Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 Arwen, Apprentie druide.

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ExArwen
ExArwen
Masculin Nombre de messages : 9
Race et âge : Elfe / 21 ans
Cité : Silmarie
Métier : Apprentie Druide

Feuille de personnage
Compétences: Manipulation du feu - Faveur divine Silmaria - Dressage d'une bête (tigre)
Compétences bonus: Spécialisation au sabre
Réputation :
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Arwen, Apprentie druide.
   Arwen, Apprentie druide. EmptyVen 3 Juin - 15:50

Nom : Fyren.
Prénom: Arwen.
Âge: 17 ans
Race: Elfe pure.
Cité/groupe d'appartenance: Silmarie.
Métier: Apprentie druidesse.
Position (facultatif): Tutrice de la Grande Prêtresse (Saison 2)
Monture/engin: Arod, un cheval qu’elle a eu poulain à ses douze ans et qu’elle s’est entêtée à élever elle-même avec l’aide d’un dresseur. Serait-ce une raison de son manque flagrant de docilité et de discipline ?
Arme: Sabre à la lame incurvée.
Armure: Simple cuirasse qui couvre le haut de son buste et se prolonge en épaulière, complétée par des protection et un corset en cuir. Plus et plus lourd la gênerait plutôt qu’autre chose.
Compétences choisies: Manipulation du feu / Faveur Divine de Silmaria / Dressage d’une bête (Tigre blanc).
Compétence bonus: Spécialisation au sabre.
Faiblesse: Tout ce qui se rapporte à la vie quotidienne (cuisine, marchandage)
Main dominante: Droite.
But du personnage: Redorer le blason de Silmarie et venger la mort de son frère.

Description physique:
Une athlète. C’est ce que l’on peut dire au premier regard que l’on pose sur elle en vue de ses tenues toujours adaptées à ses activités et de sa démarche.
Des jambes fines parées de muscles travaillées par des exercices quotidiens et ses courses, des bras du même acabit pour supporter le poids de la lame qu’elle porte toujours à son flanc, autant dire que le corps d’Arwen pourrait être aisément désirable si cela l’intéressait de l’être et c’est sans parler des courbes charmeuses qui s’harmonisent avec la ligne de ses hanches.
Le tout lui donne une allure singulière, séduisante autant que menaçante et il faut déjà avoir un sacré cran pour l’aborder ce qui tombe bien, elle déteste les pleutres. Si les jeunes femmes ont du mal à assumer leur forme, le sens du mot pudique lui est étranger et elle adore en jouer notamment avec Anarel, un soldat de l’armée rescapée assez talentueux pour sortir du lot dont elle a remarqué le malaise en présence d’un membre appartenant à la gente féminine et qu’elle a en conséquence pris pour cible de ses charmes : autrement plus divertissant que de jouer au scrabble.
Il faut dire qu’elle a des arguments en plus de ses attributs aguicheurs, si elle n’est pas d’une beauté incroyable, on a du mal à s’échapper lorsqu’on croise son regard d’un acier extrêmement clair et lumineux ou brille son amour pour le combat qui fait écho à ses mèches blanches aux reflets étonnement…violets. On la soupçonne d’utiliser des produits sur ses cheveux pour obtenir pareille coloration, elle dit qu’elle n’a franchement pas que çà à faire. Qui sait ?

Caractère, qualités et défauts:
Une détermination, une volonté à toute épreuve. L’elfe est belliqueuse, impétueuse et fière de ses origines. Une rage de vaincre l’habite mais qui ne la conduit pas à agir de façon hâtive contrairement à ce que l’on pourrait croire de prime abord. Malgré son jeune âge et son manque de mise à l’épreuve, elle a retenu des enseignements de son frère l’atout qu’est la réflexion et ne cède jamais à la précipitation. En bonne combattante, Arwen sait toujours attendre son heure et sait aussi que les sentiments non contenus quel qu’ils soient dans un combat ne mènent qu’à une mort plus rapide.
Pourtant, derrière son apparence sereine se cache sous un vernis aussi épais qu’une feuille de chêne une jeune femme d’à peine 17 automnes qui a subi plus que certains ont endurée en une existence entière. Elle dissimule relativement bien ses émotions en public, même si ceux qui la connaisse peuvent lire en elle sans grande difficulté, mais nettement moins en privé, disons plutôt qu’elle ne se gêne pas pour exposer son avis et peut être prise de colère spectaculaire lorsqu’on aborde des sujets qui ne lui plaisent guère. N’essayez néanmoins pas d’en jouer de ses en combat, ce serait peine perdue.
Ce n’est pas la dernière à répertorier les personnes à l’instinct et vous pouvez toujours y aller pour la faire changer d’avis ! Une vraie tête brûlée, ou plutôt une tentative se voulant discrète pour cacher sa vulnérabilité.
La vie pour elle n’a pas été facile, enlevée pour être mariée de force, impuissante le jour de la mort de son frère, son extrême exigence envers les autres vient de cette exigence qu’elle s’impose désormais pour survivre. Sa vie d’autrefois n’est plus et jour après jour l’apprentie druidesse ne voit qu’un pays sans guide, un royaume sans couronne, laissé à l’abandon. Comment réagir dès lors ? Se taire, se relever et se battre. Jamais vous ne l’entendrez se plaindre, juste pousser une gueulante par ci par là (çà pas de problème, elle est passée pro). Après le départ de Mort elle n’a pas cessé de s’activer de quelques manières que ce soit, enterrer les morts, dégager l’Autel des gravats, soigner les blessés légers, incendier (au sens figuré bien entendu) ceux qui se lamentent ou cède au désespoir sans parler de ceux qui ose critiquer Zed pour ses choix ou Nalween qu’elle considère être une sœur pour elle, ayant grandi à ses côtés sous l’égide de son grand frère.
Depuis cette catastrophe Arwen a très peu dormi sous peine de cauchemars, ce qui se peut se lire facilement sur son visage marqué mais elle s’en contrefiche l’important étant d’offrir un exemple du fait de sa position à son peuple pour leur permettre de se remettre sur les rails, c’est ce que son frère aurait voulu. Aujourd’hui, avec l’annonce de Zed elle s’autorise à espérer un renouveau pour tous les silmariens et trouve dans sa foi la force qu’il lui faut pour avancer.



Biographie:
La nuit est si calme désormais. Silmarie, ma Cité a toujours été familière et joyeuse la nuit. Les Elfes se complaisent dans l’obscurité, elle nous est rassurante d’une certaine façon à nous qui en sommes proches mais désormais certains de nous la craignent. Les elfes ne se regroupent plus dans les tavernes, les belles et gracieuses danseuses ne se produisent plus dans les cours ici est là et n’accompagnent plus les spectacles haut en couleurs des illusionnistes. Dans les quartiers aisés, les nobles sont cloitrés dans leur demeure volet fermé malgré le printemps qui s’annoncent leurs enfants éperdus de contes et de romans chevaleresques ne descendent plus le long des vignes vierges pour jouer un tour à leur mère inquiète. Que dire du quartier de l’Autel et de la plaie béante qui trône en son sein, je parle des ruines de l’Autel bien entendu.
Mes pas résonnent dans les rues de Silmarie. Je sais me faire discrète d’habitude pour faire des tours aux autres druides ou aux soldats qui résident dans le même quartier que moi, la sœur cadette du Tuteur de la Grande Prêtresse de Silmaria, mais inutile d’être discret lorsque que plus personne ne peut vous entendre car ils n’y résident plus comme mon frère aîné et ses confrères qui siégeaient aux conseils des anciens, soldats comme druides ont péri lors de l’attaque de la Cavalière Mort pour son bon plaisir.

Je suis la dernière Druide encore en vie de la Cité, je me prénomme Arwen.
Je suis née il y a maintenant dix-sept années en l’an 133 en automne. J’ai visité plus de lieu, traversé plus de contrées que la plupart des Elfes n ‘en ont fait en toute une vie. Je n’étais pas auprès des miens lors de ce massacre d’ailleurs et à mon retour je n’ai rencontré que des visages mornes, des regards perdus qui fuyaient inlassablement le mien et ce n’est que lorsque je suis parvenue à l’Autel escortée du puissant félin à mes côtés que j’ai rencontré une personne ayant le courage de m’annoncer la nouvelle. Zed.
Tout a été détruit, tout s’est effondré alors qu’il m’avait posé une main paternelle sur l’épaule. Je l’avais repoussé doucement, articulant un « Ca va aller » qui était resté bloqué dans ma gorge avant de me détourner. Je m’étais enfoncée dans les ruines de l’autel, dégageant les gravas qui encombrés le passage me frayant un chemin jusqu’aux appartements croisant des cadavres qui n’avaient pu être sorti des décombres et j’y suis restée cloîtrée des heures, des jours, anéantie par la chape de plomb qui s’était abattue sur moi. Ma vie s’était effondrée, mon cœur a pleuré la mort des miens.
Et puis je me suis relevée et j’ai marché. J’entendais hurler le monde à l’image d’un fauve qui gronde, son tumulte était comme un appel impérieux à mon âme de combattante. Il m’imposait un défi à relever, celui de ne pas céder à ma peine, de rassembler les elfes sous une bannière pour que nos morts soient fiers, fiers et soulagés que leur sacrifice ne soit pas été vain. Nous devions nous battre, c’était plus qu’un défi, c’était une raison de vivre, un renouveau, une intime certitude que je puisais directement de ma foi et de ma loyauté envers ma Cité.

Et cet ultimatum, j’allais le relever pour mon frère, pour mon peuple pour rendre à Silmarie sa fierté.
Mon frère…était mon univers. A ses côtés, j’ai appris à manier mon élément : Le feu, symbole de ma vivacité d’esprit et de ma ténacité comme il se plaisait à me dire.
Il me disait souvent que j’étais douée, je n’en croyais pas un mot surtout lorsque je m’acharnai des heures pour au final aboutir à une flammèche qui sortait de nulle part avant de disparaître. Il me fallait alors recommencer, encore et encore jusqu’à ce que mon feu se renforce. Pourtant mes efforts donnèrent leur fruit, et plus d’une fois lorsque je me battais avec mes confrères druides je me transformais en torche humaine, le plus souvent je ne me contrôlais pas quand je fulminais de colère avant que je parvienne à me maîtriser avec l’âge. Mon talent a malheureusement tendance à jouer avec les deux extrêmes, tout ou rien et l’un comme l’autre ne me convienne guère.

J’ai toujours été une combattante au fond de moi.
Je l’ai toujours su, j’étais une concurrente, j’aimais les challenges, me dépasser, me surpasser. J’aimais la fureur des combats, la peur de la mort est aussi enivrante que la vie car c’est lorsqu’on se mesure aux autres, qu’on offre le meilleur de soi, lorsqu’on se donne tout entier dans la bataille qu’on prend la mesure de la vie qui coule dans nos veines. Oui j’aimais les combats, je m’y sentais vivante de part cette énergie que l’on investit dans chacun d’entre eux.
A l’adolescence, le sabre s’était imposé à moi comme une évidence. Le poignard me paraissait être une arme de fourbe, d’assassin, sans foi ni loi et surtout sans honneur, bien que j’ai appris avec le temps qu’en dissimuler un dans ma botte était loin d’être une précaution de trop et l’arc ne permettait pas de me mesurer à mon adversaire.
Il me fallait quelque chose qui me permettrait de me battre à la loyale, ni trop léger ni trop imposant qui me ferait perdre mon principale atout, ma vitesse et ma souplesse dont je n’étais pas peu fière et puis un jour mes doigts se refermèrent sur la garde d’un sabre et mon corps se sentit en harmonie avec l’arme. J’avais trouvé mon allié le plus fidèle.

De cinq ans mon aînée, l’épéiste à laquelle je me confrontai le plus souvent se révéla être… Nalween. Etrange n’est-ce pas ? Je m’entraînais avec la future réincarnation de la Déesse en personne, mais aussi avec la jeune femme la plus solitaire de l’Autel sûrement dû au fait que les autres avaient toujours une espèce de fascination mêlée à de la peur lorsqu’il la contemplait, omniprésente. Je n’avais pas ce sentiment à ses côtés, je l’avais toujours connu et je recherchais constamment sa présence. Elle dégageait une sorte d’aura apaisante qui me calmait quand j’étais excédée sans parler de ses sempiternels proverbes qui me faisaient taire dès que je tentais de me justifier. « La force du fort réside dans son pardon » répondait-elle à une de mes tentatives pour légitimer mes conflits. J’étais belliqueuse à l’adolescence, je le suis encore aujourd’hui mais l’âge me permet de prendre du recul sur chacun de mes actes et les enseignements de mes maîtres résonnent à mes oreilles jour après jour.

Et puis il y a eu une autre dame qui me permit de maîtriser le feu qui m’habitait. Sastiah. Une tigresse blanche aux rayures noires et aux yeux d’un bleu océan qui n’est pas sans rappeler le mien.
J’étais dans les montagnes de Storghein lorsque des dresseurs de bêtes nous avez parlé d’une rumeur comme quoi des braconniers sévissaient dans les montagnes enneigées, chassant les tigres qui s’y trouvaient pour leur formidable fourrure. Le visage de mon maître s’était immédiatement fermé tout comme le mien alors que mes yeux s’étaient plissés de haine.
Aucun elfe n’avait jamais ôté la vie d’un animal et si nous tolérions que les autres races chassent pour se nourrir, tirer profit et massacrer ainsi une bête allé mener ses gens vers une mort certaine. Avec l’aide d’un pisteur qui décela leur trace nous les prirent en chasse pendant plus d’une semaine. Nous les avions rapidement retrouvé et leur mort avait été rapide, la première fois que j’avais fait couler le sang d’un autre être vivant et que j’avais mis fin à sa vie d’ailleurs mais un autre détail considérablement plus important est a relevé de cette histoire : La présence d’une boule de poil à peine plus grande qu’un chaton dans une cage. J’avais paniqué en m’apercevant que du sang parsemait son pelage immaculé, rapidement calmé par mon maître qui me fit observer que ce n’était pas le sien et puis le félin apeuré avait tourné ses yeux sur moi. Les plus beaux yeux du monde avais-je pensé alors. Sastiah.

Difficile à croire que ce minuscule chaton apeuré ce soit transformé avec les années en la colossale tigresse qui marche aujourd’hui à mes côtés. Ses yeux sont toujours aussi beaux, empreint d’une sagesse étrange mais ses énormes pattes me rappellent que le terme « apeuré » a disparu de son vocabulaire. Son rugissement fait trembler les murs, ses griffes sont tranchantes, ses dents sont autant de poignards aiguisés, sa taille et son imposante carrure sont autant d’arguments de poids pour vous faire passer votre chemin.
Pourtant il ne se passe pas un jour sans que je ne m’endorme à ses côtés. Aujourd’hui c’est elle qui apaise mes peurs, qui posent son énorme tête contre mon cœur lorsque je me réveille en sursaut d’une nuit peuplée de cauchemars. Mais s’il m’est encore donné d’avoir peur, c’est que je suis toujours en vie.
Non, nous ne sommes pas tous mort.

Le silence. Il est mon compagnon de route désormais. Les autres elfes ne m’approchent plus, ils n’osent pas. Depuis le décès de mon frère aîné, mon cœur déjà anéanti a dû faire face en plus du deuil à l’agonie de ma cité. Je ne peux lire dans les yeux des miens que de la tristesse et du désespoir. Parfois certains s’estiment assez épargné pour me couvrir de compassion quand ce n’est pas de la pitié lorsqu’ils me reconnaissent.
Je n’ai besoin ni de compassion ni de pitié.
La Cité connaît une crise sans précèdent mais ce n’est pas pour autant que nous devons baisser les armes. Je suis une guerrière quand un ennemi se dresse devant moi je l’affronte. Quand un homme frappe ma cité il doit s’attendre au pire. Je raisonne par combat, jour après jour de l’aube jusqu’au Crépuscule je lutte désormais pour ne pas m’effondrer. J’ai perdu la personne qui m’était la plus chère mais si en tuant mon frère ils ont broyé nos espoirs, plongé les elfes dans le désarroi, ils ne nous ont pas asséné le coupé létal. Ils auraient dû.
Notre foi, indéfectible, reste une flamme, un éclat dans les ténèbres qui nous guettent. Silmaria nous protège et nous donne la force, mais c’est à nous, aux elfes, de se battre jusqu’à ce que l’ordre règne à nouveau sur nos terres et puisse permettre aux plus jeunes d’entre nous de grandir dans la paix. Je serai le rempart qu’il manque à ma cité Pour Silmaria et la Grande Prêtresse, je me battrai de tout mon soûl jusqu’à ce que renaisse l’espoir dans les yeux des miens.
Eloween, le nom est sur toutes les lèvres. La nouvelle Grande Prêtresse, laissée sous la garde d’un étranger pour la mettre à l’abri. Quand je vois ce qu’il est arrivé à Nalween, à Erendar et à notre armée je me demande encore comment certains peuvent critiquer le choix de Zed. Aujourd’hui, l’avenir nous appartient.

Mon heure de gloire...
Votre prénom: Flo... Je vous laisse deviner le reste !
D'où venez vous? Sud de la France pas loin de Marseille.
Âge: Euh...Ahem ><.
Avez-vous lu et approuvé les règles? [ Validé by Eléa ^^ ]. Ce qui tombe bien, moi non plus.
Comment avez-vous connu le forum? Bouche à oreille ou plutôt pression familiale >>.
Idées, remarques ou suggestions? Non, j’avoue ne pas encore être assez familier au forum pour en émettre ^^’.


Dernière édition par Arwen le Sam 4 Juin - 2:49, édité 1 fois
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Eléa
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Compétences bonus: Manipulation du feu, dressage d'une bête, Spécialisation (rapière)
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Re: Arwen, Apprentie druide.
   Arwen, Apprentie druide. EmptyVen 3 Juin - 16:40

Alours, je t'avoue que l'heure tardive ne m'aide pas à faire des phrases correctes mais je n'ai relevé que 3 détails qui me chiffonnent :

- il ne faudra pas que tu oublies de jouer le côté maternel et possessif de la jeune femme avec Eloween comme avec ses amis pour le deuxième ^^
- dans ta biographie, tu parles d'un poignard dans la botte, attention, tu ne peux avoir qu'une seule arme à la création ^^ Si tu en veux plusieurs, tu devras aller chez un forgeron !
- fais attention aux quelques fautes qui se sont glissées dans ta fiche Wink

Un dernier détail, l'amitié d'Arwen pour Nalween ne doit pas influencer cette dernière dans l'éducation d'Eloween et la direction de la cité. Eloween est censée être une nouvelle génération de Prêtresse ^^"

Brefle, à moins que je ne sois vraiment trop fatiguée, la fiche me semble tout à fait apte à être validée ^^
Personnage validé rang 3 !

[ Pour la bataille, je t'ai déjà intégré comme nous avions convenu par MP et avec Nalween ]
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ExArwen
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Re: Arwen, Apprentie druide.
   Arwen, Apprentie druide. EmptySam 4 Juin - 2:45

Pour Eloween, je ne l'ai pas trop évoquée puisque chronologiquement je ne l'ai pas encore rencontrée mais je n'avais pas oublié. Par contre, je pensais que son côté possesif était exclusif à Elo, pas forcement à ses proches donc je ferai attention. En même temps, vu que les 3/4 doivent avoir passé l'arme à gauche x).

Le poignard c'était juste par rapport à l'avatar, mais comme j'ai choisi spécialisation au sabre de toute façon c'était vraiment anecdotique je ne compte pas l'utiliser ^^.
Pour le reste j'ai bien vu qu'Elo ne ressemblait pas franchement à Nalween, je n'ai pas dit que j'allais l'éduquer comme l'a été Nal... enfin je crois XD. Tu m'avais bien expliqué par Pm donc pas d'inquiétude de ce côté là ^^.

Et les fautes, je vais en éditer çà !


Dernière édition par Arwen le Sam 4 Juin - 2:51, édité 1 fois
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Re: Arwen, Apprentie druide.
   Arwen, Apprentie druide. EmptySam 4 Juin - 2:50

Le côté possessif à bien y réfléchir ... joue-le comme tu préfères n_n (Soit envers Elo soit envers tes amis) ! Et ça marche pour le reste ! =)

Demain je lance les sujets de bataille mais étant donné que tu es nouveau, tu peux dès aujourd'hui faire un RP en début printemps si tu le souhaites (qui se situera bien sur avant la bataille, soit pendant la première semaine de printemps). Amuse-toi bien !
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Re: Arwen, Apprentie druide.
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