Nom: Asbjörn
Prénom: Ylliis
Surnom: L’Ours du Nord
Âge: 41
Race: Astorg
Langue: Astorg & Elfique.
Cité d'appartenance: Storghein
Métier: Compagnon de la Reine
Position :Compagnon & Capitaine des Armées
Monture: Une jument noire. C'est une bête robuste et rapide qu'il possède depuis trois années et qu'il a nommé Nirys.
Arme: Sa fidèle hache qui fut reforgée et aiguisée de très nombreuses fois au fil des années. Le manche en revanche est d’origine et il y tient énormément : le bois provient d’un arbre qu’il coupa avec l’arme de son père lorsqu’on lui forgea la sienne. Il la soulève à une seule main sans problème mais pour quelqu'un de plus chétif que lui, deux bras seront peut être nécessaires.
- Spoiler:
Armure: Même s’il passe le plus clair de son temps dans une tenue moins encombrante, Ylliis possède une armure de plate complète qui lui sauva de nombreuses fois la vie. L’équipement d’un guerrier étant comme une partie de lui-même, il l’entretient avec grand soin même lorsqu’il ne la revêt pas pendant des semaines.
- Spoiler:
Compétences choisies: Spécialisation en Haches, Faveur Divine, Tacticien. Dévouement (bonus).
Kalten:
Dieu de la Guerre et du feu, grand et blond, sa force lui vient de tous les ennemis qu'il décapite pour protéger son peuple.
Pouvoirs conférés: Gagner en force après chaque meurtre sur le champ de bataille, rendre sa peau brûlante au contact physique, regagner de l'endurance et de la vitalité avec le sang des ennemis.
Faiblesse: Magie, Archerie.
Main dominante: Droite
But du personnage: -Protéger sa Reine
-Protéger les temples et les serviteurs du Dieu Kalten
-Défendre sa cité et son peuple
-Retrouver la hache de son père
Description physique:Si l’on devait comparer Ylliis à un élément naturel, ce serait sans hésiter à la montagne qu’on l’identifierait. Bien qu’il se soit tassé de quelques centimètres avec l’âge, il dépasse encore aisément les deux mètres dix et pèse plus de cent-vingt kilos. C’est une véritable force de la nature, comme son père l’était avant lui. Naturellement musclé, il a travaillé son corps pendant de longues années pour devenir le colosse qu’il est aujourd’hui. Oubliez cependant la caricature du géant malhabile et empoté, son agilité et son pas fluide ne laisse aucun doute sur sa capacité à se mouvoir aisément et pour le malheur de ses ennemis, mortellement.
Ylliis est en revanche le parfait exemple de l’Astorg pure souche, ce qu’il est effectivement. Arborant une longue crinière blonde, il porte aussi une longue barbe tressée et d’épais sourcils broussailleux. Ses yeux bleus acier, propres aux gens du Nord, laisse transparaitre l’expérience que lui a apportée à sa vie de guerrier. Sa peau claire à l’origine, recouverte d’une toison d’or, a bruni avec l’âge et le soleil. Ses mains racontent son histoire, tout comme son torse, parsemé de cicatrices de tailles diverses qu’il reçut lors de ses nombreux combats.
Même si sa jeunesse est derrière lui, Ylliis reste un bel homme et profite à présent du « charme de l’âge ». Sa réussite auprès des femmes est notoire, ses récits épiques et son statut de vétéran faisant considérablement pencher la balance en sa faveur. Il est conscient des limites de son corps et récupère moins facilement que par le passé mais il a su compenser la fougue de la jeunesse par l’expérience des années.
Hors des champs de batailles, il revêt la plupart du temps un ensemble composé pantalon de toile ou de cuir simple mais ample, d’une paire de bottes recouvertes de fourrure et laisse son torse nu à l’exception d’un harnais de combat. Un homme du Nord, d’après lui, doit savoir supporter le froid de son pays.
Caractère, qualités et défauts:Au fil des années, la façon de penser d’Ylliis a énormément évoluée. Jeune, il était impulsif, fonceur et plein de préjugés. Son père ayant participé à la guerre entre Cydonia et Storghein, il léga à son fils sa haine et il n’était pas rare d’entendre sortir de la bouche du géant : « Un bon Cydien est un Cydien mort. »
Après la grande guerre de 151 qui fut scellée par l’alliance des peuples et des cités, sa mentalité évolua énormément. S’être battu au côté des Cydiens et des autres peuples lui permis d’apprendre à les connaitre et il se rendit finalement compte que seul des mentalités différentes, des conflits d’intérêts et territoriaux les séparaient. Si une nouvelle guerre entre cités éclatait, Ylliis n’hésiterait pas une seconde à tuer un étranger mais en temps de paix, il ne fait plus partie de ceux qui provoquent ou haïssent gratuitement.
Lorsqu’il s’agit de se battre, le colosse est parfaitement à l’aise et possède une façon de penser bien distincte. Pour lui, un homme doit affronter son adversaire au contact, pour le sentir s’éteindre et vivre pleinement le combat. Il comprend en revanche que les femmes utilisent les arcs et la magie pour compenser leur faiblesse physique mais un mâle usant de ces instruments aura difficilement son respect, à l’inverse, une femme osant l’attaquer de front aura toute sa sympathie. Il n’abat jamais un homme désarmé ou refusant de se battre, ne violente ni les prisonniers, ni les civils et déteste la guerre lorsqu’elle tourne en boucherie. Pour lui, le combat est un art et tuer son adversaire, en plus d’être une preuve de supériorité, est un acte respectueux.
Malgré ses réticences, Ylliis comprend que les guerres sont nécessaires et n’hésitera pas à attaquer des ennemis en sous-nombres même si il estimera n’en retirer aucun honneur. Ses convictions personnelles ne méritent pas qu’il mette en danger la vie de ses hommes et lorsque sa cité est en guerre, la victoire devient son objectif principal.
Dans le cadre privé, Ylliis est plutôt un baroudeur. Rarement chez lui, il part régulièrement pendant une semaine afin de découvrir des régions ou simplement se retrouver seul dans de grandes étendues sauvages. Il aime le calme mais c’est aussi un bon vivant, capable de descendre plusieurs tonneaux de bière à lui tout seul avant de flancher. Il est très proche de sa famille bien qu’il passe peu de temps avec eux. Sa femme et lui s’entendent comme deux bons amis et ne tiennent pas rigueur des « écarts » de l’autre.
Biographie:
Chronologie:114 : Naissance.
130: Ylliis fabrique sa première et fidèle hache avec l'aide de son père.
132 : Entrée dans l’armée le jour même de ses 18 ans.
134 : Ylliis se marie avec Ilyena.
148 : Ylliis suit le chemin de ses frères et après l'armée, il est invité par Kriisten en personne à entrer dans les compagnons pour la protéger.
150 : Malgré la résistance héroïque des compagnons, Kriisten est enlevée. Le père ainsi que tous les frères d’Ylliis sont tués.
152 : Pour récompenser le sacrifice de sa famille et ses actes de bravoures durant la guerre, Ylliis est catapulté Capitaine des Armées. Il demande cependant à rester membre des Compagnons même si son nouveau rôle lui prend la majeure partie de son temps.
Famille:Il possède deux filles et trois fils, tous ou presque sont dans des institutions de la cité. Ylliis élève aussi les enfants de ses défunts frères et doit donc nourrir une véritable fratrie. De sa génération, il est le seul survivant. Son père n’avait eu que des fils, quatre, exactement et tous entrèrent dans les compagnons mais seul Ylliis, le plus jeune, survécu à l’enlèvement de la Reine Kriisten en 150.
Les Asbjörn possèdent une grande demeure dans le centre de Storghein.
(Je détaillerais sa descendance dans le dossier pour ne pas surcharger la fiche et pouvoir prendre mon temps =) )
La découverte d'un don des dieux:La hache… Tous mes frères ont pu être enterrés avec leur arme mais pas mon père. Dans la furie du combat, peut être qu’un de nos ennemi s’en ai servi ou peut être que l’un d’eux l’a pris comme trophée ? Je l’ignore, mon sang bouillonne de rage, nous avions failli et notre Reine avait été enlevée. Qui étaient ses agresseurs ? Personne ne pouvait le dire mais nous avons tout fait pour la retrouver, il s’agissait de notre devoir de Compagnons, nous vivons pour la servir.
Mon père me disait souvent que les dieux veillaient sur ceux qui croyaient en eux. Je n’ai jamais été un grand fidèle mais ce jour-là, j’ai prié le Dieu de la Guerre dans son temple, le suppliant de m’aider à servir mon pays tout en restant en vie, pour veiller sur ce qu’il restait de ma famille, j’étais le survivant, je devais m’occuper de mes neveux et nièces.
Ma hache prélève un nouveau tribut, le bras armé d’un Eratien quitte le corps auquel il appartient, bientôt rejoint par le second. D’un puissant coup de pied, je fais tomber à terre mon adversaire, il est mort. Deux nouveaux adversaires se rue sur moi, ils ont plus d’allonge mais leurs lances sont fragiles, d’un revers, je brise la première arme mais le second soldat est vif, mes côtes me brules, la pointe de fer a percé mon armure. Levant bien haut ma hache, je fends le crâne de mon bourreau, puis brise le nez du survivant d’un coup de poing, le projetant à terre. Je ne sais plus depuis combien de temps je me bats, la fatigue ne m’atteint pas, mes blessures ne semblent jamais saigner bien longtemps, plus le temps passe, plus mes coups sont puissants et assurés, je me sens investit d’un pouvoir divin, personne n’est plus capable de m’arrêter.
Une nouvelle taillade, je tue un autre adversaire, le malheureux est presque scié en deux, que m’arrive-t-il ? Les dieux auraient ils décidés de me soutenir dans cette bataille ? Dans un recoin de mon crâne, alors que ma hache fend une fois encore l’air sans faillir, je me promets d’aller au temple lorsque je retournerais à la capitale.
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