Description physique: :
Cimber a toujours eu dès sa plus tendre enfance les cheveux blonds. Quant a ses yeux, ils sont d'une couleur assez singulière au reflet violet. Il porte sa chemise blanche aux manches roulées a chaque fois, gardant un bouton détaché. Pour le bas, il porte presque toujours des shorts beige pâle avec de grosses bottes au extremités recouvertes de metal, bref, un arsenal qui semble lourd, mais qui ne l'est pas vraiment. Bien qu'il ait le temps de dormir dans sa petite caravane, il semble toujours avoir des cernes sous les yeux, mais ca lui donne un certain charme. Il a la peau plus que pâle, mais encore c'est ce qui le rend mignon. Biensûr il n'a pas de pilosité facial, bien qu'a quatorze ans, on commence a en avoir. Son regard naturel semble toujours fatigué, alors si on y ajoute les cernes, il a donc souvent l'air exténué, même si il ne prétend ne pas l'être. Ses lèvres sont relativement pâles. Ses cheveux semble définitivement ne pas être professionelement coupés. Il tente toujours de balayers son toupet sur le côté pour laisser son fron a découvert, mais une mèche y retombe toujours. Le côté gauche de ses cheveux est maladroitement plus long, mais lui donne une coupe de cheveux plutôt reussi sinon. Il est assez petit, mais une demi tête de plus que les jeunes de son âge. Il est vraiment mince, sans toutefois être squeletique. Par contre il n'a pas beaucoup de muscles. Il a le nez fin, tout comme ses traits. Si on assemble tout ca, il est la graine d'un jeune homme magnifique qui n'aura pas de mal a se trouver une copine, mais pour l'instant, on peu le qualifier de mignon. (Oui oui, mignon petit garçon). Il a des doigts minces mais pas très long, il semble étonnant que ceux-ci puissent si bien jouer de la harpe, et pourtant...! Des pieds relativement petit, mais proportionnels pour sa taille font contrast avec son équilibre, ce qui laisse (encore une fois) certaines personnes perplexes.


Caractère, qualités et défauts:
La partie un peu moins simple de Cimber. Il est un garçon très imprévisible qui peut tant bien décider de manger un aliment au goût atroce sans s'en pleindre, comme froncer le nez sur une bonne cuisse de poulet. Il adore rire et est parfois un peu impertinent... En fait, souvent. Il va rire de choses qui ne sont pas drôle, et rire de choses qui sont drôles. Tout le monde est gagnant, pour lui! Il est très (trop) positif et actif. Il adore courire et grimper dans les arbres. Il est assez rusé et peut facilement contourner les termes d'une promesse ou d'un engagement (ex: Je t'ai dit que j'allais te laisser me poser n'importe quelle question, pas que j'allais y répondre.) Il est cependant d'une naĩveté déconcertante, même si il est a la fois rusé (Ex: Croit a tout ce que tu lui dit, mais n'execute pas tout ce que tu lui conceil même si tu lui dit que ce serait le plus judicieux.) Son optimisme n'a d'égale que sa gourmandise, il mange comme un gouffre sans fond! Par contre, lorsqu'il est temps d'être serieu, il se contrôle et tente tant bien que mal de regler les choses (Notez: Souvent mal...) Il déteste perdre mais n'est pas mauvais perdant, on peut qualifier ca de compétitif. Finalement, il change du tout au tout en jouant de la harpe. Il se fige, et seuls ses doigts continue de bouger, produisant le plus radieux des sons. Le dérenger alors qu'il en joue résulte a une ignorance totale: Il ne parle nis répond que losrqu'il a terminé. [/u][/color]



Biographie: La forêt de Limaille. Pas étonnant que le jeune ''Garçon au cheveux de soleil'' ,comme sa grand mère l'appelait, paraissait si mal en point. Quoi qu'il en soit, il les haïssait tous. Tous autant qu'ils étaient. Sa grand-mère, la vieille folle qui a reussi a se faire passer pour une sorcière, éloignant du coup tout voyageur de la forêt a coup sur. Sa mère, complètement imbut d'elle même, se croyant trop parfaite pour vivre dans une ville, l'interdisant de ne serait-ce que d'approcher une trace de civilisation. Et enfin, le pire de tous, son père. Il a fait de sa vie un enfer permanent, le forcant a faire le travail qu'il était trop paresseux pour faire, lui distribuant des coups de poings a la moindre erreur, et abusant de son corps lorsqu'il en avait envi. Oui, tous, il les haïssait!

Un jour, s'en fut trop. Il reussi a fuire, et courru vers la sortie de la forêt! Il devait quitter cet enfer... Il devait fuir! Il fît un bon kilomètre avant de s'écraser au fond d'une fausse. Qui avait creusé ca? Et pourquoi la?! Peu importait, ce qui était vraiment préocuppant en ce moment était l'état de sa jambe cassée, la noirceur qui s'annoncait et la faim qui le tenaillait. Il agonisait au fond d'un trou pendant deux jours entiers, gelé et en plein délire lorsqu'une bande de chasseurs des environs l'ont trouvés. Apparement il les suppliait de le laisser mourrir seul, mais ils n'en firent rien, bien entendu. Emmené a un village puis a un autre pour sa jambe, «Je ne suis pas assez compétent pour réparer un os fracassé, allez voir mon collègue du village voisin! Tenez, je vous paie le transport, jeune homme!». Il finit a Erathia, on il fût en convalescence pendant des mois. Son pire enemi était le sommeil. Au moins une fois par nuit, il rêvait que son père revenait le chercher, et que le calvaire recommencait.

Puis finalement, il était libre. A l'exterieur de l'hopital, il vit une vieille harpe, sur le bord du chemin, seulement deux cordes étaient encore intacte. Il le prit, et avec seulement deux cordes, attira tout les passant a proximité. La pluie tombait sur ses doigts minces et agiles qui se baladaient d'une corde a l'autre. Pourtant, ce qui jouait n'avait rien d'impressionant... C'était comment il le jouait, comment il le faisait sortir. Sa rage, sa peine, sa joie, son doute. Tout y passa dans des melodies harmonieuses qui lui rapportèrent assez d'argent pour s'acheter une nouvelle, cette fois neuve et magnifique, harpe. Puis un bon jour, il aperçu son salut, la Troupe. Un large sourire et une joie jamais éprouvée au part avant l'éclaira. Cimber s'extirpa de ses pensées, le même sourire au visage. Il caressa la dernière corde encore debout de sa toute première harpe du bout du doigt. «Pas le temps de rêvasser, faudrait pas se ramolir».