Kriisten, Oblat.

Nom: Fridén.
Prénom: Kriisten.
Âge: 35 ans
Race: Astorg pur sang.
Cité/groupe d'appartenance : Storghein.
Métier : Politicienne et Soldat.
Position : Oblat.
Monture/engin : Fridhilde, jument.
Arme : Épée bâtarde, soit une épée à une main et demie.
Armure : Un vent glacial du Nord, une acrobate qui n'a que faire de s'encombrer de lourdes pièces d'armures. Elle est assez éparse couvrant les points vitaux quoique solide, sa faveur divine l'aidant largement à supporter ce qui pourrait être un poids mort pour d'autres femmes.
Compétences : Charisme / Maniement de l’Épée bâtarde / Faveur divine [Kalten]. Bonus : Tacticien.
Faiblesses : Maho, Alchimie, Pistage.
Main dominante : Droite.
But du personnage : Protéger et faire prospérer Storghein.

Description physique:

Un cristal aux mille facettes, un mirage ardent. Un corps désirable à la taille fine et aux formes attrayantes, une peau pâle comme la nacre marquée par le froid de Storghein et qui pourtant n’a rien perdu de son attrait. Belle, cela va sans dire croyez-vous que des hommes lutteraient dans la poussière et le sang pour une nuit si le lot à ravir ne déchaînait pas tant de passions ?

Femme du Nord, blizzard de glace, ses yeux cristallins affichent tour à tour une fougue enflammée ou une fureur glaciale. Un visage ciselé rehaussé de pommettes assassines qui séduisent autant qu’elles effraient. Car elle est femme, elle est reine. L’argent éclatant de ses iris incrustés de poussière d’azur rappelle le froid lancinant de la lame qu’elle manie alors que ses cils d’obsidiennes aux tracés enivrant captivent et envoûtent. L’ambivalence à l’état pur. Nul ne sait, nul ne doit savoir ce que cache son port altier, ses yeux et ses lèvres pulpeuses si souvent armées d’un sourire carnassier.

Le froid. C’est aussi lui qui a si souvent imprimé des gerçures, des crevasses sur la peau de cette créature si désirable. Elle n’est pas femme de Cour, de celles qui se parent de lourdes pierreries et d’or pour rehausser un charme dégoulinant de mièvrerie : Chaque pas, chaque regard révèle la Conquérante, la Guerrière qui sommeille dans sa silhouette langoureuse nimbée de lumière mais aussi dans ses mains qui ont perdu leur douceur à force de manier l’épée.

Des boucles mordorées aux reflets chatoyants d’argent à la lumière du soleil d’ivoire de Storghein, la glace qui trouve une nouvelle fois écho dans la platine de sa crinière sensuelle et sauvage qui capte les moindres reflets de l’astre solaire, rarement libres, de simples tresses la parsèment pour ne pas la gêner simplement retenus par des broches nordiques et qui coule jusqu’au creux de ses reins. Des hanches qui font tourner la tête de tant d’hommes, misent en valeur par une taille fine qu’un corset de métal souligne renfermant dans un décolleté serré sa poitrine généreuse. Guerre ou pas guerre, l’Oblat ne se défait jamais de ses attributs guerriers et même ses robes sont hybrides faites pour lui assurer le plus d’aisance possible.

Caractère, qualités et défauts::

Que dire ? Que Kriisten peut selon son humeur vous assassiner du regard ou au contraire vous promettre une nuit inoubliable à ses côtés ? Non, ce serait réducteur. Kriisten n’est pas du genre girouette, elle est téméraire cela va sans dire parfois même au-delà de la raison lorsque des impudents tentent de piétiner son honneur et sa fierté sans parler de ceux qui oseraient faire affront à sa cité. Storghein. Elle est tout pour elle, sa demeure, sa famille, sa raison d’être. Elle donnerait sa vie, voir plus si cela était possible pour défendre son foyer et ne se lasse jamais de recevoir jour après jour les doléances de ses vassaux car c’est chacune de ses étincelles qui font la beauté de la Cité des Neiges.

Intraitable, entêtée c’est surtout lors des conflits directs que l’Oblat est la plus difficile à convaincre ainsi ses conseillers ont-ils la sagesse infinie d’écourter certaines entrevues avec des seigneurs et d’attendre que la tempétueuse reine se soit apaisée. Pourtant la Politicienne sait rapidement identifier les tensions et désamorcer les conflits dès lors qu’il revête une certaine importance de l’ordre de ceux qui ont remué Azthia en 15o mais laissez un cydien approcher de prêt ou de loin sa précieuse cité et nul garde ne sera assez fou pour se placer entre elle et lui.

Les Cydiens. Elle les a en horreur, une aversion maladive qui lui vaut une interrogation constante envers son Consort lorsqu’il lui vante des futilités comme la vertu de la tolérance et de la paix des peuples. Oh, paix il y aura mais lorsque Storghein aura écrasé cette cité de bon à rien qui se complaisent à peindre des tableaux et à chanter leur amour pour des dames plus pimbêches les unes que les autres. Irrécupérables donc. Les seules qui trouvent grâce à ses yeux sont les fières amazones qui se sont libérées du joug de ces travestis à jupes à des kilomètres des guerriers de Storghein.

Séductrice et envoûtante, Kriisten a pourtant toujours vu en ses nombreux amants plus que de simples passe-temps. Elle avait ses têtes, souvent des compagnons d’ailleurs mais elle s’est toujours refusée à ne voir en eux que des faibles, abrutis par ses courbes vertigineuses du fait de son infini respect pour les siens. Cette infinie fierté encore, son plus grand défaut. Elle la rend arrogante, dédaigneuse et par manque de recul l’Oblat ne s’en rend pas compte.

Un roc. Inébranlable depuis la seconde ou elle a pris le pouvoir. Portant le deuil de sa sœur et de tout un peuple, Kriisten n’a jamais pour autant courbait l’échine car si elle était brisée par le chagrin personne ne devait savoir ce qu’il en était. Kriisten a donc cette qualité indéniable de pouvoir vous décochez son plus beau sourire la peur au ventre ou encore paraître songeuse, effrayée, enchantée en un laps de temps ridiculement court. Autant de facettes qu’un cristal vous disais-je.

Biographie::

Les Oblats. Ce titre que les Astorgs prononcent avec une fierté non dissimulée tant pour la charge que pour celle qui l’incarne a des milliers d’années de la misogynie d’autres peuples. Un système mis en place depuis des siècles et qui a trouvé dans sa mécanique subtile, celle des femmes, un fonctionnement hors pair. Qui a dit qu’un tas de muscles serait bon à régner uniquement car il a fracassé le crâne de son adversaire ? Comme toutes les héritières potentielles, Kriisten a suivi une formation autant physique que politique et même si elle devait avouer que se jeter à corps perdu dans les combats l’enchantait bien plus que passer des heures à étudier des essais sur la guerre, l’Oblat en comprenait aujourd’hui l’impératif.

Kriisten eut une enfance extrêmement paisible à Storghein, si on peut qualifier de paisible le climat épouvantable pour un étranger mais si sécurisant pour les Astorgs qu’était celui de la Cité des Neiges. Un froid qui n’avait que faire de vous épargner de sa froide morsure, de la neige à revendre qui rendait compliquée la moindre expédition et une mer impraticable pour un novice… Biotope que les Astorgs ne changeraient pour rien au monde.
Si elle était sûre d’une chose, c’est qu’elle n’aurait jamais ne serait-ce que pensé remplacer un jour sa sœur et de la découla la douce quiétude qui berça son enfance. Née cadette de la précédente Oblat, ces descendants auraient dû prendre sa succession et la jeune Kriisten avait dès lors orientait son ambition pour un poste de Capitaine des armées afin d’asseoir le règne de sa sœur et de l’aider au mieux.

Dans une ère de paix, l’Oblat n’eut pas réellement l’occasion de se former à la guerre devant se contenter d’une escarmouche désolante visant à chasser les Almers de Tamawa. Devant être spectatrice du fait de son jeune âge, elle sentait pourtant sur le chemin le sang de ses ancêtres brûler dans ses veines à l’idée de participer à des combats comme elle savait depuis toujours que sa place était parmi les soldats. Naïve Kriisten. Avais-tu vraiment cru que tes bagarres clandestines avec des gamins de ton âge dans les cours de château seraient comparables à la guerre ?

Mais elle passa outre la fureur des combats et son lot de morts, s’efforçant de décortiquer la tactique mise en œuvre par sa sœur. Gardant pour elle ses impressions, elle portait désormais un tout autre regard sur sa lame dont elle se saisissait à chacun de ses entraînements car elle savait pertinemment ce que toutes deux allaient devenir lors de la vraie danse : Un foutu requiem. Eut-elle le loisir de s’enfermer dans ses sombres pensées ? Non. En grandissant son caractère se forgea au rythme des entraînements, de leur dureté et de leur exigence. Elle fit totalement abstraction du reste axant tout son être sur la maîtrise de son épée modelant son corps pour qu’il soit le plus puissant au combat. Sa voix se fit plus assurée, cette voie grave et saisissante qui s’élevait de plus en plus dans le Palais en des ordres concis et clairs. La princesse monta en grade forte du soutien infaillible de ses soldats qui lui faisaient toute confiance et qui reconnaissaient en elle une meneuse au charisme indéniable.

L’état de grâce fut de courte durée. Alors âgée de 22 ans, Kriisten voit sa sœur succomber aux ravages de la maladie cette dernière ne faisant guère la différence entre reine et citoyen. Blessée et meurtrie, la nouvelle Oblat couronnée se tournera alors elle aussi vers les lieux de culte et plus particulièrement vers celui du Dieu protecteur Kalten suivant la ferveur religieuse qui s’était abattue sur Azthia et ses prières ne lui semblaient pas chères payées en retour de la force et de l‘endurance que Kalten lui offrait lors des combats.

Le regard de l’Oblat courrait aujourd’hui sur les toits où la neige se faisait moins lourde augurant un été clément. La Cité des Neiges avait retrouvé la paix depuis quatre longues années où chaque peuple avait eu le temps de se reconstruire. Joris avait succédé à Meliant qui avait emporté avec lui au Tribunat ses maudites intrigues politiques et ses fausses apparences laissant l’Oblat à un Consort aimant et à des Compagnons dévoués ce qui permit à la Dame de s’adonner à la gestion de Storghein libérée d’un poids considérable. Mais la paix semble avoir était remise en jeux, certains à la Cour murmurent que Meliant ne se contentera pas du Tribunat, d’autres rapportent la peur grandissante qu’inspirent les manipulateurs de la magie du sang. Oui, la paix semble désormais bien plus que compromise…

Mon heure de gloire...

D'où venez vous? Toujours de sud ! Ça crève les yeux en lisant la fiche non ?! /BRIQUE/.
Âge : Non, je ne dirais pas que j'approche dangereusement de la vingtaine n'insistez pas T__T !
Avez-vous lu et approuvé les règles ? [ Validé by Eléa ^^]
Comment avez-vous connu le forum ? DC de Cersei x3.
Idées, remarques ou suggestions ? Je m'excuse auprès de la communauté Cydienne pour cette fiche et pour les futures paroles que proférera Kriisten xD ! J'ai totalement foiré le codage, çà faisait bugger toute la page (blonde un jour, blonde touj... *sors*) donc je suis revenue à l'ancien formulaire ^^'.

Bonjour et bienvenue =)

Je n'ai rien à redire, validée ! (Si je vois un truc qui cloche après coup, je t'envoie un mp ^^)
Normalement il faut préciser la langue parlée, là tu peux parler Elfe et Astorg Wink

Avant toute chose, pense à faire ton dossier ici : https://elea-sky.forumsrpg.com/f11-dossier-central

Pense également à remplir ces deux questionnaires :
https://elea-sky.forumsrpg.com/t1670-questionaire-obligatoire-liens-entre-personnages
https://elea-sky.forumsrpg.com/t1415-saison-2-questionnaire-obligatoire-a-remplir

Dès que ce sera fait, tu pourras demander un RP à quelqu'un ici :
https://elea-sky.forumsrpg.com/t11-demandes-de-rp
ou lancer ton RP en attendant que quelqu'un réponde.

Amuse-toi bien parmi nous =D

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