Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar

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Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMar 4 Sep - 13:55


Renseignements généraux
Nom (facultatif) : Tylmar
Prénom : Ethiann
Âge : 23 ans
Race : Cydien
Langues: Toutes.
Cité d'appartenance: Erathia
Métier: Templier (Crépusculaire)
Position (facultatif): N/A
Main dominante: Droitier



Possessions
Monture ou engin : N/A
Arme: Une faux de guerre runique dont la lame s’illumine d’un vert pâle.
Armure: Une chemise de mailles simple et des bottes en plaques renforcées.
Nom de votre échoppe :N/A
Roleplay
Compétences: Esprit / Manipulation de la nature / Connaissance des langues
Compétence bonus (si offerte par le métier): Invocation
Faiblesses: Maho, chant, acrobatie…
But du personnage: Retrouver les assassins de sa meilleure amie et détruire l’ordre zélote, responsable selon lui de la mort de sa petite sœur. Protéger l’élue de son cœur ainsi que l’ordre des Templiers, qu’il considère comme sa seule famille restante.

Description physique

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Il serait difficile de ne pas remarquer cette bombe sexuelle qu’est Ethiann. Soyons modeste, après tout il est surement l’un des plus beaux garçons que Cydonia ait pu voir. Il mesure environ 176 centimètres pour un poids moyen de 68 kg. Sa silhouette athlétique et son beau corps musclé garanti sans matières grasses est l’un de ses meilleurs atouts pour plaire à la gente féminine. Ses bras sont tout de même assez fins, bien qu’ils soient robustes. Ses jambes sont extrêmement habiles et lui permettent d’atteindre une vitesse de course raisonnable ainsi que de supporter assez facilement les longues distances et ce, peu importe la saison. Il est vêtu d’un long manteau noir masquant sa chemise de mailles ainsi que d’une capuche assortie. Sous cet attirail il est muni d’une simple tunique en lin et d’un pantalon, tout deux d’un gris très sombre que l’ont pourrait aisément confondre avec le noir. Ses pieds sont protégés d’une paire de bottes en cuir recouvertes de plaques d’armure ornées qui décorent son talon avec de petites ailettes fantaisistes. Son atout majeur réside dans son regard, en effet très peu de femmes parmi la multitude qui croisèrent sa route ne purent résister à ses pupilles noisette. Son visage d’une manière général est celui d’un jeune homme plein de vie et très gâté par mère nature. En effet, ses prunelles surplombent un nez fin et délicat qui lui-même domine ses lèvres pulpeuses et sensuelles. L’ensemble ainsi formé lui permet d’arborer aisément une foule d’émotions faciales plutôt charmantes. Il est important de noter la présence d’une cicatrice longue de sept centimètres sur son torse, partant de la dernière côte de gauche pour aller s’arrêter au niveau de sa taille, toujours du côté gauche, vestige d’une de ses missions. Il possède également un tatouage prenant toute l’omoplate et descendant quelques centimètres plus bas. Le tatouage représente un loup formé de roches et de lianes, dans une théologie ancienne il représente le gardien de la nature, Ethiann se l’est fait faire lorsqu’il apprit à canaliser ce pouvoir de manipulation de la nature.



Caractère, qualité et défauts:


Comment décrire ce si beau jeune homme ? Bon tout d’abord il est important de savoir qu’il est quelqu’un en qui on peut avoir confiance. En effet le séducteur invétéré qu’il est n’est cependant pas du genre à divulguer les pires noirceurs des gens, enfin dans certaines limites cependant. Il serait tout à fait déconseillé de lui avouer que vous pratiquez la maho. Il fait également état que le jeune homme est quelqu’un de plutôt romantique avec les demoiselles et de courtois d’une manière générale. Cependant il sait se défendre et sa langue devient aussi acerbe que celle d’un politicien lorsqu’on pousse le bouchon un peu trop loin. Il n’est pas du genre à cacher son franc parler, à faire part de son mécontentement mais aussi de tout ce qui lui fait plaisir. D’un naturel moyennement bavard, il aime être écouté mais aussi écouter et analyser les autres, les jauger, savoir et deviner comment ces derniers réagissent ou réagiront. Lorsqu’il est énervé, il perd instantanément toutes formes de bonnes manières, il peut devenir extrêmement irréfléchi et agit sur un coup de tête.
Un autre aspect important de sa personnalité est bien sur le fait qu’il soit très attiré par la gente féminine, qui généralement lui rend assez bien. Néanmoins il cherche depuis bien longtemps la personne avec qui il finira ses jours, de ce fait il a toujours été fidèle envers celles qui ont partagé sa couche.
Comme beaucoup de templiers, il n’aime pas les zélotes, plus particulièrement, il les haït au point de vouloir réduire le monastère en cendres car il les juge responsables de la mort de sa petite sœur.



Dernière édition par Ethiann le Mer 5 Sep - 12:57, édité 3 fois
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Re: Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMar 4 Sep - 13:57

Biographie:

Acte I. Un amour fraternel inconditionnel, première partie.




23 ans.
Tout à commencé il y a 23 longs printemps, lorsque mon corps de nouveau né fut arraché de son cocon maternel. Mes parents étaient fiers de ma naissance, heureux d’avoir apporté au monde un nouvel être à tourmenter. Pourquoi dis-je tourmenter ? Tout simplement parce que la vie n’est que le prélude qui mène inexorablement à la mort après nous avoir fait traverser les pires douleurs qui souillent notre monde. Vivre, n’est qu’une longue succession de tourments ponctués de quelques moments d’intense bonheur que d’autre horreurs encore pires viennent nous arracher. Enfin, j’étais là, un enfant qui ne savait pas encore que le bonheur ne s’obtient que dans l’éternelle souffrance. Je naquis donc dans une bonne famille de Cydonia, assez riche et moyennement réputée. Ma mère était une fille de bonne famille et mon père un riche marchand qui avait eu la chance de faire fortune avec son commerce de matières premières. Je ne manquais donc de rien, j’avais tout l’amour de mes parents, des boniches à foison, le moindre de mes caprices était exaucé, ce que n’importe quel gosse aurait voulu, en somme. Mais comme la vie n’est basée que sur un échange d’égale importance, il fallait aussi son lot de malheurs dans toute cette utopie. En effet, j’avais développé malgré moi quelque chose de bien ennuyeux pour moi-même, mais surtout pour les autres. Je fêtais très vite ma quatrième année, entre temps j’avais eu une petite sœur que je chérissais par-dessus tout malgré mon jeune âge, Ferris. Une enfant que mes parents disaient de non-désirée, une bâtarde boiteuse, un vilain petit canard. Néanmoins ils l’avaient gardée bien qu’ils la haïssaient. En effet, ma sœur était en faite une demi-sœur, enfant illégitime que mon père ramena un soir à la maison. Il avait fricoté avec une elfe lors d’un voyage d’affaires non loin de Silmarie et visiblement il n’avait pas vraiment su se maitriser.
Enfin bref, j’atteignais péniblement l’âge de huit ans, ma constitution légère m’avait vite fait comprendre que la vie ne me serait que plus pénible chaque année de mon existence. C’est également dans cette période que mes dons commencèrent à me pourrir la vie. Bien que je fus l’ainé et le chouchou de la famille, ma sœur vivait et semblait heureuse, nous étions très proches, atrocement proches. Pourquoi atroce me direz vous ? Tout simplement parce qu’il ne fut pas plus douloureux pour moi que l’horrible moment où je découvris ma sensibilité à la magie, j’étais capable de bien des choses avec cette étrange phénomène. La moindre saute d’humeur était cataclysmique sur les jolies fleurs que ma mère prenait tant de temps à bichonner… Du temps qu’elle n’accordait pas à ma sœur. J’étalais très rapidement mon mécontentement quand à ce que Ferris, ma sœur, endurait : Des regards emplit de mépris, des remontrances à outrance, pas le moindre signe d’affection…
Je fus donc rapidement éloigné d’elle, mes parents ne souhaitaient pas que je lui donne de mauvaises idées, je fus expédié chez mon oncle qui vivait non loin de l’école des élémentaires. Il y avait étudié dans sa jeunesse car lui aussi s’était révélé sensible aux éléments, maitrisait l’air. Il m’enseigna pendant deux ans les principes de base, me permettant de gérer mon pouvoir un minimum et donc éviter de ravager le paysage lors d’une crise de rage. Je lui doit beaucoup, j’en ai conscience, mon oncle était le frère de ma mère, et n’aimait pas vraiment mon paternel, je crois qu’il avait vite cerné le personnage, un type à moitié alcoolique, doué en affaires, beau parleur et un coureur de jupons comme on en fait plus. Après ces deux longues années, mon seul souhait était de retrouver ma sœur adorée, je n’imaginais pas encore que le pire ne m’était pas encore arrivé.
J’avais à présent dix ans et je découvris que j’étais devenu sensible à une autre sorcellerie qui se nommait l’Esprit. Je ne contrôlais pas ce mystérieux pouvoir et il m’était difficile de supporter toutes les horreurs qu’elle me permettait de découvrir dans le crane de mes parents. En plus de traiter ma jeune sœur comme une moins que rien, ils avaient projeté de l’abandonner à maintes reprises. Pourquoi ne l’avaient-ils finalement pas fait ? Je fus heureux d’apprendre par la même occasion qu’ils n’étaient pas des monstres et que pour se donner bonne conscience ils avaient décidé de la garder en se disant qu’elle ferait une bonne ménagère et qu’éventuellement si ils avaient pu la caser avec un de ces gros porcs de nobles de Cydonia, elle aurait été une bonne poire pour que nous puissions encore nous élever dans la société.
Ma sensibilité à l’esprit devint un réel problème pour eux autant qu’elle me torturait à ne pouvoir faire taire ces abominable pensées qu’ils avaient envers Ferris. Mais le plus douloureux était sans doute de lire dans son esprit à elle. Imaginez un instant quels furent mes émotions en ressentant toute la peine et la détresse de ma sœur qui ne souhaitait rien de plus que vivre loin de ces monstres. Je partageais presque son point de vue, mais j’aimais tout de même mes parents malgré leurs agissements honteux. Tandis que je mettais tout en œuvre pour qu’ils traient enfin Ferris comme une enfant et non comme une esclave, ils m’écartaient encore une fois d’elle. Ma mère avait demandé à mon oncle de m’emmener à Tamawa, disant que j’avais besoin d’un peu de discipline, ce à quoi mon oncle avait répondu que celui qui méritait le plus de discipline dans cette maison était sans aucun doute mon père. Cette remarque ne passa hélas pas sur le ton de la rigolade, tandis que je sentais les pensées de mon père qui désirait ardemment de voir mourir mon oncle, ma sœur qui pleurait de ne plus me revoir et ma mère qui se foutait totalement de la situation, un simple regard vers ma sœur larmoyante suffit pour que nous nous comprenions, sans le moindre mot, je lui promettais de revenir pour elle. Je parti cependant le cœur lourd de devoir laisser ma chère sœur dans cette maison avec mes parents.

Acte II. Un amour fraternel inconditionnel, deuxième partie.




Mon oncle me promit de nous maintenir en contact via des lettres que nous nous enverrions, ce qui allégea ma peine bien que je ne pouvais imaginer ce qu’elle subirait. Mon arrivée au temple fut plutôt surprenante, je n’avais encore jamais vu de Templiers. C’était quelque chose d’inédit pour moi qui étais encore haut comme trois pommes. Je me séparais de mon oncle, a qui je glissais les tous premiers mots à l’attention de Ferris : « Je t’écrirais et je te promets de revenir te voir. » avant d’être accueillit par l’un des maîtres, qui m’apprit que ma formation ne prendrait pas moins de six ans si j’étais bon, et de 8 si j’étais dans la moyenne. J’avais alors compris que la vie ne voulait pas que je revoie ma sœur. Les premiers cours s’enchainaient, l’entrainement pour maitriser mon esprit était dur long et fatigant. J’appris également l’art de la guerre selon les templiers et les principes qu’ils impliquaient. Chaque semaine qui passait me rapprochait un peu plus de ma sœur qui entre temps était entrée à l'école élémentaire de Cydonia pour son pouvoir lié à l'eau, mon oncle me faisant parvenir ses lettres parfumées et réconfortantes. Je savais bien qu’elle me cachait la triste vérité mais elle était si douce, si soigneuse du choix de ses mots que je n’y pensais pas. Chaque lettre que je lui envoyais était emplie de ce même sentiment de joie, je ne voulais pas qu’elle broie du noir par ma faute. Elle était cependant loin de se douter que mon entrainement n’avait rien de joyeux, bien qu’il soit pénible et difficile, j’œuvrais de tout mon possible pour être le meilleur, plus je serais bon, plus je la retrouverai rapidement. Deux années étaient déjà passées, le peu d’expérience que j’avais acquis me permettait déjà de mieux gérer ces afflux d’émotions qu’il m’était possible de capter ainsi que la faculté de télépathie qui était encore un point horriblement compliqué à gérer. Comme toutes les deux semaines, mon oncle venait m’amener la lettre que ma sœur m’avait écrite. Une lettre bien moins joyeuse que toutes les autres, je l’avais compris du regard de mon oncle. Ma sœur n’avait jamais aimé mon père, je le savais depuis bien longtemps cependant sa lettre était pleine de mots qui me réconfortaient. Elle le savait, elle savait que moi je l’aimais, et même si ils l’avaient si mal traité pendant si longtemps, elle ne voulait pas que la tristesse ne meurtrisse mon cœur. Elle me sacrifiait ses véritables sentiments, son bonheur et sa libération pour tenter d’atténuer ma peine. Même mon oncle qui ne portait pas son beau-frère dans son cœur n’avait exprimé le moindre contentement à cette nouvelle. Tous mes proches compatissaient à ma douleur, j’avais besoin de leur soutien, ils le savaient. Mais mon véritable chagrin était occulté pour mes inquiétudes envers ma sœur, qui était désormais seule avec ma mère, qui n’était pas la sienne et qui la détestait encore plus que n’importe qui. De multiples horreurs traversèrent mon esprit encore brouillé par les brumes du deuil. Pour la première fois de ma vie, j’avais peur, peur pour ma sœur. Je lui envoyais une lettre instantanément, dans laquelle je lui demandais de faire attention, de s’enfuir si elle le pouvait, de partir avec mon oncle et de s’éloigner de sa geôlière. Le temps passa, mon oncle ne me rapporta pas de nouvelles lettres de Ferris, mon effroi grandissait bien qu’il m’assurait qu’elle allait bien, il la voyait personnellement pour lui remettre mes lettres, j’avais donc confiance en lui. J’atteignis l’âge de quatorze ans, nous arrivions au mois de Soufflegivre, Ferris fêtait son douzième anniversaire, seule. Comme ile le faisait depuis déjà quatre années, mon oncle m’apportait une nouvelle lettre qui cette fois était jointe d’un bijou, un petit collier composé d’une fine chaine argentée et pourvu d’une petite tourmaline d’un vert d’eau profond elle-même cerclée de deux minuscules apatites d’un bleu turquoise clair. J’aurai pu le reconnaitre entre milles : Le bijou de Ferris. Je lisais la lettre, le cœur serré.

Ferris Tylmar a écrit:
Mon cher frère,
Je t’écris pour te faire part d’une nouvelle qui je crois ne pourra que te causer de la peine, dame Tylmar à décidé de m’envoyer au monastère Zélote de Cydonia maintenant que j'en ai l'âge minimal requis, afin de « Trouver une utilité à l’ignoble bâtarde » que je suis. Bien que ton oncle m’ait promis de toujours nous faire parvenir ces lettres, j’ai peur. J’ai peur que nous ne puissions jamais nous revoir, que nos destins ne se recroisent que lors d’un énième bain de sang entre les zélotes et les templiers. Ethiann, mon frère, sache que je t’aimerai toujours, bien que nous ne soyons pas du même sang, tu resteras mon grand frère bien aimé quoi qu’il puisse m’arriver là bas.
Je t’offre le collier que ma mère avant cédé, il te portera je l’espère plus de chance qu’à moi, je prie également Silmaria pour qu’elle te protège chaque soir, j’espère qu’elle exaucera mes prières.
Je t’aime mon grand frère.

Adieu
Ferris.

Je me souvins être resté tétanisé encore quelques secondes après avoir lu le mot « adieu ». Ma stupeur était telle que j’avais inconsciemment laissé certaines émotions s’envoler et capter l’attention de quelques uns de mes compagnons Templiers. Comment aurais-je pu imaginer ma mère capable d’une telle atrocité ? Elle envoyait ma sœur directement dans le camp le plus radicalement opposé à l’Ordre des Templiers depuis l’an 100. Cette nouvelle m’avait ravagé, complètement, instantanément, définitivement. Je n’avais plus qu’une seule idée en tête : sauver Ferris de cet enfer.
Malheureusement que pouvais-je faire, à seulement 14 ans ? Je n’étais même pas capable de maitriser tout les principes de l’invocation… A défaut de prier Silmaria qui était du culte elfique, je ne pouvais que prier la divine Callista, la protectrice des enfants.
Mais j’étais déterminé, déterminé à me débarrasser de cette formation, de la terminer le plus vite possible et d’aller chercher Ferris au cœur même du monastère. J’aurai pu tuer pour elle, non, je tuerais pour elle, ma sœur unique que j’aimais par-dessus tout.
Les années s’enchainèrent, mes liens avec Ferris étaient quasiment rompus, la fréquence de nos correspondances était passée de quinze à soixante jours, et les rares lettres que j’avais d’elle était rédigée étrangement, il lui était impossible de me cacher qu’elle souffrait là bas. Moi-même je savais, tout comme mon oncle et ma mère qu’elle n’était pas faite pour l’entrainement militaire et encore moins celui de ces tarés de zélotes. J’appris à utiliser une arme d’hast, tout d’abord une lance, les langues et aussi à canaliser ce mystérieux pouvoir qu’était la manipulation de la nature. J’étais encore très mauvais en la matière, je le suis toujours d’ailleurs, mais je parviens à le bloquer si besoin est, ce qui m’est suffisant. Mon expertise en combat de mêlée n’est pas mauvaise, J’avais appris avec Maître Ilya à manier la lance runique, cependant je n’excellais pas dans ce type d’arme, mes coups étaient assez précis mais le fait de planter une lame dans un corps ne me correspondait pas, elle me fit essayer quelque chose d’autrement plus macabre, combinant le tranchant d’une lame à l’allonge d’une lance : Une faux. Une faux de guerre plus précisément, il se révélait que j’étais bien plus habile avec une arme me permettant de moissonner toute une zone d’un simple balayage qu’une arme me demandant de la force pour faire entrer son extrémité dans la chair. De plus, cette arme, bien que peu répandue rendait plus pratique pour moi la parade des coups pour une raison que je ne m’explique pas, en plus de son utilité en tant que levier, il était aisé de trancher les cibles d’entrainement avec autant d’efficacité qu’une lance l’aurait transpercée. Ma maitrise de l’esprit avait progressé, je pouvais lire dans les gens comme dans un livre ouvert et leur faire ressentir mes émotions, j’étais devenu capable de communiquer par télépathie avec mes frères et sœurs d’armes. Cependant, ce n’étais pas assez et le temps m’avait rattrapé.

Acte III. L’avènement du templier : La vie d’un homme brisé.




Je venais d’avoir dix-sept ans, alors que s’approchait la fin de la formation auprès de maître Ilya, je compris pourquoi la vie n’était qu’une succession de tourments. Mon oncle vint me voir, cela faisait plusieurs mois qu’il ne m’avait donnés de nouvelles de Ferris. Il n’avait pas la moindre lettre, juste un étrange air sombre et funèbre. Il n’avait même pas eu le temps d’ouvrir la bouche que je savais, je l’avais lu, il venait m’annoncer que je ne reverrai plus jamais ma sœur, que je ne pourrai jamais lui tenir cette promesse faite il y a plusieurs années.

Il lui était très difficile de me mentir, pour ne pas dire impossible. Et je savais à quel point il appréciait cette petite fille chétive que mon père lui avait présenté comme « l’ignoble bâtarde », il avait été le premier à clamer haut et fort qu’elle n’en était pas moins une Tylmar et que comme les autres, il la chérirait comme sa propre fille. Je me souvins aussi du premier sourire que ma sœur m’avait adressé, elle n’avait que deux ans, moi quatre et déjà nous nous comprenions, nous étions si proches depuis si longtemps qu’il m’était inconcevable de l’imaginer partie définitivement de ce monde cruel et vicieux. Instinctivement je cherchais à trouver son esprit et à l’atteindre de ma télépathie, chose vaine, bien entendu, je portais la main à mon cou, saisissant le collier qu’elle m’avait offert lors de la terrible annonce de son enrôlement chez les zélotes. J’essayais de déglutir calmement cette nouvelle terrible, mais je ne pus laisser exploser tout la rage et la haine qui me consumait lorsque mon oncle m’expliqua ce « tragique accident » dont elle avait été la victime, lors d’un entrainement, où elle fut mortellement blessée par son camarade de combat. Au fur et à mesure que je m’égosillais dans toutes les langues d’une multitude d’injures acides contre les zélotes, j’empoignais ma faux runique qui découpa la première cible d’entrainement à ma portée, ouvrant le mannequin de part en part sans sourciller. Je maudissais tout les zélotes de Cydonia tandis que deux templiers accouraient pour me maitriser, par peur que je ne me mette à attaquer quelqu’un. J’avais aussi remarqué les plus jeunes apprentis qui se tenaient vigoureusement la tête à cause de leur maitrise encore trop peu effective de l’esprit. Je fus aisément désarmé par les templiers, je n’avais pas vraiment cherché à résister en même temps, je n’avais que faire de mon arme sur l’instant présent, lorsque ma haine fut épuisée, ce sont les larmes qui jaillirent de mon être tandis que je me maudissais moi-même d’avoir été incapable de protéger l’une des femmes les plus importantes de ma vie. Et ça tout le monde autour de moi ne pouvait me reprocher de me sentir si faible, inutile et meurtri. Je faisais peine à voir, je me souvins qu’une de mes camarade apprentie elle aussi m’avait prise dans ses bras pour tenter d’apaiser ma souffrance. J’étais comme zombifié, je ne répétais qu’en boucle « Les zélotes ont tué ma sœur… », pendant que les larmes continuaient de s’écouler comme un tsunami ravagerait un paysage. J’avais inconsciemment fait partager toute ma douleur à celle qui tentait de me réconforter, si bien qu’elle en pleurait elle aussi. Mais qui était-elle ? Je ne me rappelle pas d’elle, cette fille ne me connaissait pas, elle ne m’avait jamais adressé la parole et pourtant elle partageait ma souffrance en essayant de me consoler. Faisait-elle partie de ces quelques filles qui m’avaient abordé quelques fois pour me déclarer leur flamme ? Non, je me serais souvenu de son visage, elle ne me disait rien. Elle était une très jolie jeune femme, une elfe ravissante. Bien que ma peine fût légitime, je fus tout de même blâmé de mon comportement, chose que je comprenais avec le recul, bien que j’aie toujours cette affliction qui me rongeait doucement le cœur tout doucement. Il était mal vu de répandre ainsi mes sentiments les plus primaires et diverses complaintes qui auraient favorisé les idées quelques peu extrêmes des templiers crépusculaires. Pourquoi disais-je extrême ? A mon sens ils avaient raison, les zélotes étaient des monstres, des ordures responsables de la mort de mon unique sœur. Je ne prononçai mot sur le coup, je ne fis même pas mine de vouloir répliquer aux maitres templiers. Pourtant ce n’était pas l’envie qui m’en manquait, j’aurai voulu pouvoir les envoyer paitre et partir avec ma lance sous le bras massacrer à tour de bras les zélotes qui croiseraient ma route. Mais je n’étais qu’un apprenti, une sombre merde incapable de me battre à égalité avec un zélote entrainé, j’avais besoin de m’entrainer, de m’entrainer encore, de devenir templier et d’acquérir toute l’expérience nécessaire. Trois autres années passèrent, j’avais atteint l’âge de vingt ans, Ferris aurait eu dix-huit ans dans quelques mois…

Acte IV. La main armée de la vengeance : De l’Aube au Crépuscule.




Avec trois années de retard, j’avais enfin accomplit ma formation, j’allais être nommé Templier de l’aube, membre de la branche combative et de la division des piliers. Un grand moment pour moi qui fréquentais maintenant cette jeune apprentie qui avait porté avec moi ce fardeau il y’a trois ans, j’avais appris à la connaitre et elle était devenue ma meilleure et plus fidèle amie, presque une sœur. Elenwë, c’est ainsi qu’elle se nomme. En elfique il me semble que cela avait un lien avec les étoiles. Quoi qu’il en soit elle était toujours là pour moi, elle me soutenait quoi que je puisse faire, même les choses les plus idiotes. Mais maintenant que j’avais enfin obtenu le titre de Templier, je l’avais quelque peu perdue de vue, elle avait 2 ans de moins que moi et était très prise par son propre entrainement. J’aurai souhaité plus que tout au monde que Ferris ait été présente à la cérémonie, qu’elle soit fière de moi. Malheureusement la seule femme qui était encore en vie dans ma famille était ma mère. Cette même mère indigne qui avait envoyé ma tendre et fragile sœur à l’abattoir. Jamais je ne pourrais lui pardonner, je crois d’ailleurs que si je devais la recroiser aujourd’hui, je serais capable de lui faire du mal. Mais ceux qui auraient le plus à me craindre restent ces salopards de zélotes. J’étais devenu un jeune homme beau garçon, ce qui me valait une certaine côte après des filles, templier, multilingue mais je restais une parfaite quiche en magie. En effet ma maîtrise de la nature était toujours aussi bancale, j’étais capable de bien des choses dans une limite bien trop enquiquinante pour pouvoir prétendre être habile avec ce type de pouvoirs, me contentant alors de quelques tours de passe-passe.
Le temps passait toujours, j’avais acquis au fil de mes diverses missions une certaine notoriété au sein de Tamawa, mon plus gros soucis à gérer était toujours ces femmes qui se bousculaient à ma fenêtre, en quête d’un homme pour combler leurs désirs. Je n’étais pas de ce genre là, je n’étais pas de ceux qui se vautraient avec des catins nymphomanes croqueuses d’hommes. Je cherchais quelque chose de fort et pur. Malheureusement il était difficile de trouver chaussure à son pied. De plus j’avais toujours cette petite vendetta à mener contre le monastère de Cydonia, mais je n’étais pas prêt, pas encore. J’avais acquis un don précieux, la patience, l’art de pouvoir contenir ses pires envies pour conserver un semblant de réflexion. De plus il m’était compliqué de devenir un templier crépusculaire. En quoi était-ce si compliqué ? Tout simplement parce que je savais que Ferris aurait été fière de me savoir templier de l’aube. Bien que les idéaux crépusculaires collaient parfaitement à mes attentes, je n’avais ni la discipline, ni la motivation nécessaire pour accomplir ceci. J’avais peur de ce qu’aurais pu penser mon oncle et Ferris de moi. Il ne me restait que ce dernier comme famille, ainsi qu’Elenwë. Elle fut d’ailleurs elle-même templière, une bretteuse hors pair armée de sa magnifique rapière à la lame violacée. Elle était vraiment une très belle femme, je crois que si elle n’avait été si proche de moi je n’aurai pas eu le courage de céder à ses avances. Nous passions toujours beaucoup de temps à nous entrainer, ma plus grosse faiblesse en tant que manieur de faux était les personnages agiles et rapides, capable d’esquiver le coup meurtrier de mon arme pour me perforer l’abdomen aussi sec. De son côté à elle, en dehors des archers qui étaient à tous deux un gros désavantage, elle éprouvait les plus grandes difficultés à lutter contre des adversaires munis d’une allonge, tel que les lanciers et hallebardiers. Nous nous formions mutuellement à lutter contre l’autre, nous avions atteint un degré de connaissance de l’autre qu’il était difficile de nous départager lors d’une petite joute amicale, les apprentis trouvaient même du temps pour venir assister à nos petits entrainements. Je vivais presque heureux.

Presque… Jusqu’à ce que cette chienne de vie ne se remette à me priver de la personne avec qui je m’entendais le mieux. Je n’ai jamais eu les détails relatifs à l’affaire, je sais juste qu’Elenwë n’en était pas revenue indemne, comme la moitié de son groupe. Les soigneurs ne purent que la maintenir en vie temporairement, l’énorme blessure qui l’avait presque sectionnée en deux lui était fatale, peut importe la magie employée, même la terrifiante maho n’aurait pu la ramener près de moi. Encore une fois j’étais tourmenté par la haine et l’indignation, priant une nouvelle fois Callista et Silmaria, espérant que l’une des deux divinités eut pitié de moi et m’accorde un miracle. Personne ne voulait m’apprendre ce qu’il s’était passé, peut être aussi parce que les peu d’entre eux qui auraient pu sont soit morts, soient pas en état de prononcer le moindre mot. Elenwë a toujours été forte, elle était la meilleure bretteuse que j’avais pu rencontrer, comment avait-elle pu se faire massacrer à ce point ? Quel genre de monstre aurait pu mutiler ce petit bout de femme avec autant d’acharnement ? Je voulais mes réponses, mais les seuls mots que je reçu furent les derniers d’Elenwë, mourante tandis que je la prenais dans mes bras, le cœur lourd, les yeux larmoyants. Dans un ultime effort elle m’avait esquissé un sourire avec le plus grand mal avant de prononcer deux mots, les deux mots les plus cruels qu’une personne qui vous est cher puisse vous dire sur son lit de mort : « Je t’aime ». C’est alors que je compris, j’avais compris l’absurdité qu’était la paix, la douce connerie que les templiers étaient en train de faire. Maintenir la paix en Azthia était difficile pour ne pas dire impossible avec la seule volonté du pacifisme. Tandis que le dernier souffle de celle qui m’avait soutenue, réconforté et aimé quittait son corps déformé par toute la cruauté du monde, j’avais pu comprendre la signification de ces mots qu’elle m’avait adressé, elle m’avait aimé dés qu’elle m’avait vue, elle ne me l’avait jamais avoué, elle aurait souhaité passer sa vie auprès de moi, devenir une épouse parfaite pour l’homme qu’elle considérait comme parfait.
Un énième choc pour moi, je ne savais quoi dire ou faire, je n’avais pu que pleurer en serrant son corps inanimé dans mes bras en priant toutes les divinités de me la rendre. Je restai ainsi une grosse poignée de minutes, avant de finalement la poser sur son lit de mort, rendant un dernier hommage à sa mémoire. J’empoignai ma faux, ainsi que les morceaux de la rapière runique d’Elenwë, avec la même fureur que celle que j’avais sentie en apprenant la mort de Ferris, j’avais tout compris, j’avais enfin atteint la quintessence de la lucidité. La voie crépusculaire s’ouvrait à moi et tandis que j’emprunté ce chemin, à la lisière de mon vingt et unième printemps, je n’avais plus qu’une seule idée en tête : La vengeance.

Acte V. Le voile crépusculaire : Nouvelle vie.




Je m’installai à Erathia, une ville parfaite pour les âmes en peine telles que moi, les templiers crépusculaires étaient moyennement bien vus, considérés par certains comme des extrémistes, par d’autres comme des mercenaires, et d’autres encore comme des vétérans souffrants de je-ne-sais quel traumatisme. J’avais une petite maisonnette modeste au sein de la ville où le simple fait d’avoir une arme sur soi était un crime. J’avais pleinement conscience que je ne pourrait jamais brandir mon arme de la même manière et avec autant de ferveur qu’avant, néanmoins j’avais la certitude que maintenant je pourrais tuer sans le moindre état d’âme toute personne qui oserait se dresser sur ma route, enfin non je devais être un peu prétentieux voir même un peu cinglé pour m’imaginer brandir cet instrument de mort envers une dame ou un autre templier. Autant si la personne en face de moi se révélait être un zélote, il n’aurait amorcé le moindre mouvement que son âme aurait été fauchée par le tranchant vert de ma lame. Voici maintenant trois années que je vis à Erathia, toujours dans ma quête de retrouver ceux qui m’avaient privé de ma sœur et de ma meilleure amie. En y repensant je ne savais pas ce qu’étaient devenu ma mère et mon oncle, autant pour cette dernière je m’en foutais royalement, autant j’aurai voulu reprendre contact avec mon oncle. Comme chaque année, j’allais fleurir la tombe d’Elenwë et de Ferris, ne pouvant retenir une larme en me remémorant des souvenirs maintenant lointains et terriblement douloureux d’une époque pourtant si joyeuse.
Je pensais d’abord à Ferris, cette petite sœur malaimée de son père, le connard notoire qui ne l’avait gratifié que de mépris et de remontrances. Une demi-elfe/cydienne pourtant si douce, aimable et à l’écoute du monde qui l’entoure, quelqu’un de bien. Ensuite je pensais à Elenwë, sa voix qui m’avait percuté au plus profond de mon âme lorsque j’avais appris le décès de Ferris, la femme qui m’avait aimé en secret pendant des années sans pouvoir me l’avouer et sans même que je ne la soupçonne. Je regrette maintenant de ne l’avoir satisfaite comme elle l’aurait désirée, inconsciemment je l’avais faite souffrir pendant des années, pensant qu’elle était une amie, ma meilleure amie, presque une sœur alors qu’elle aurait souhaité fonder une famille avec moi. Il m’était presque plus douloureux de penser à Elenwë qu’a Ferris, bien qu’en imaginant ma frêle sœur face à un « camarade » la blessant mortellement, involontairement ou non, dans un entrainement suffisait à me faire écumer de rage. L’image d’Elenwë, le visage pâle d’une mourante à l’agonie, de son corps presque élagué en deux parties distinctes, j’avais même cru comprendre que la chose qui lui avait fait ça avait d’abord joué avec elle… Et elle, dans son dernier soupir, dans mes bras, me révélant son lourd secret avant d’abandonner toute lutte contre l’étreinte étouffante de la mort…
N’importe quel homme pleurerait à ma place, même les Astorgs, aussi bestiaux soient-ils n’auraient pu retenir des larmes. Je ne trouverai peut être jamais les assassins d’Elenwë, peut être pas de mon vivant, mais je pouvais jurer haut et fort que si la vie ne me suffisait pas, je les poursuivrais dans la mort, je les attendrais aux portes des enfers pour leur rendre au centuple ces années de souffrance que j’ai subis. Une seule chose était claire et limpide comme l’eau, si je devais tomber nez-à-nez avec l’assassin d’Elenwë, je prendrais sa tête après lui avoir fait gouter au désespoir et à la souffrance infinie, de même pour chaque zélote que je croiserai, chacun d’entre eux goutera la lame de ma faux vengeresse jusqu'à ce que je détruise leur maudit ordre de fanatiques.

Moi, Ethiann Tylmar, je le jure sur mon honneur de templier.




Mon heure de gloire !
Votre prénom(facultatif): Christophe
D'où venez vous? (facultatif) Basse normandie
Âge (facultatif): 20 ans
Avez-vous lu et approuvé les règles? Je vais signer ça sur le champ, mais oui, bien entendu. [Validé by Eléa ^^].
Comment avez-vous connu le forum? Mystère. Rolling Eyes
Idées, remarques ou suggestions? Hmmmm, non.


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Re: Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMer 5 Sep - 6:43

Bonjour et bienvenue =)

> La manipulation des éléments n'est pas disponible pour les Templiers de plus de 20 ans et attention, s'il déteste les Zélotes, manipuler un élément en est tout de même la caractéristique. Toutefois, ta biographie colle très bien étant donné que tu as appris la manipulation avant l'Esprit et que tu justifies comment tu peux aller au Temple donc c'est bon !
> Le problème d'une pierre runique c'est que si elle est cassée en deux, ce n'est pas réparable (pour la rapière), il faudra en racheter une nouvelle ^^

Description physique
> Attention, les membres de ce forum sont libres de ne pas tomber sous le charme de ton personnage car en l'espèce, tu décris presque la compétence charisme !

Biographie
> A 10 ans sans avoir reçu de leçons sur l'Esprit, tu ne peux pas envoyer tes pensées à Ferris. La première chose que ressent un Sensible c'est de recevoir les émotions des autres ^^
> Attention, le Monastère Zélote n'accueille personne sans qu'il soit passé par l'école élémentaire Wink De plus, l'entrainement Zélote est similaire à celui des Templiers mis à part qu'ils forgent le corps plutôt que l'Esprit !
> Par contre, ce n'est pas au Temple que tu as pu apprendre à maitriser la Nature Wink
> Je pense que tu le sais mais je préfère te préciser que les armes sont interdites à Erathia !

Une fois ces quelques détails modifiés, je te validerai ! Si tu as des questions, n'hésite pas ^^
Quand tu auras terminé, préviens nous à la suite de ce message Wink
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MessageSujet:
Re: Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMer 5 Sep - 11:20

Citation :
La manipulation des éléments n'est pas disponible pour les Templiers de plus de 20 ans et attention, s'il déteste les Zélotes, manipuler un élément en est tout de même la caractéristique. Toutefois, ta biographie colle très bien étant donné que tu as appris la manipulation avant l'Esprit et que tu justifies comment tu peux aller au Temple donc c'est bon !

Du point de vue du personnage les zélotes sont des traîtres, rien d'autre, ils auraient pu être mages, assassins, saltimbanques ou politiciens, à ses yeux ça ne fait aucune différence, il déteste les zélotes pour des raisons tout autres et le fait de manipuler la magie ne change rien pour lui.

Citation :
> Le problème d'une pierre runique c'est que si elle est cassée en deux, ce n'est pas réparable (pour la rapière), il faudra en racheter une nouvelle ^^

La pierre est intacte, mais le manche dans lequel elle est sertie est cassé en deux (mais pas à hauteur de la pierre en question) l'arme en elle même sera réparée quoi qu'il arrive avant d'être utilisée puisqu'elle est possédée par le personnage sous certaines conditions (pour pas m'étaler en public je t'enverrai les détails en MP.)

Citation :
Attention, les membres de ce forum sont libres de ne pas tomber sous le charme de ton personnage car en l'espèce, tu décris presque la compétence charisme !

C'était pas le but de la manœuvre, désolé ^^'

Citation :
A 10 ans sans avoir reçu de leçons sur l'Esprit, tu ne peux pas envoyer tes pensées à Ferris. La première chose que ressent un Sensible c'est de recevoir les émotions des autres ^^

C'est corrigé.

Citation :
Attention, le Monastère Zélote n'accueille personne sans qu'il soit passé par l'école élémentaire De plus, l'entrainement Zélote est similaire à celui des Templiers mis à part qu'ils forgent le corps plutôt que l'Esprit !

J'ai précisé que Ferris avait fait un petit passage à l'école élémentaire avant tout ça.

Citation :
Par contre, ce n'est pas au Temple que tu as pu apprendre à maitriser la Nature

Le personnage est autodidacte sur ce point, il ne maîtrise pas à proprement parler ce pouvoir, il peut juste faire quelques bricoles "banales" et son entrainement est prévu pour se faire après en RP. Par maîtrise, j'entends le fait de pouvoir s'en servir à des buts offensifs/défensifs (Pour les infos complémentaires, je te MP ça aussi avec ce que j'ai cité plus haut, pour pas trop en dire.)

Citation :
Je pense que tu le sais mais je préfère te préciser que les armes sont interdites à Erathia !

Bien entendu Razz


Je crois que je n'ai rien oublié... Enfin j'espère é_è
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Re: Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMer 5 Sep - 12:44

Citation :
Citation:
La manipulation des éléments n'est pas disponible pour les Templiers de plus de 20 ans et attention, s'il déteste les Zélotes, manipuler un élément en est tout de même la caractéristique. Toutefois, ta biographie colle très bien étant donné que tu as appris la manipulation avant l'Esprit et que tu justifies comment tu peux aller au Temple donc c'est bon !
Du point de vue du personnage les zélotes sont des traîtres, rien d'autre, ils auraient pu être mages, assassins, saltimbanques ou politiciens, à ses yeux ça ne fait aucune différence, il déteste les zélotes pour des raisons tout autres et le fait de manipuler la magie ne change rien pour lui.
Ma remarque n'était pas à titre indicatif. Peu importe comment ton personnage considère les Zélotes, le fait de manipuler un élément tout comme eux implique un rapprochement avec ces derniers (c'est tout de même leur caractéristique que de maitriser un élément et une arme ce qui techniquement fait de ton personnage quelqu'un de similaire à eux). Aussi, ce point sera-t-il à prendre en compte, de la façon qui te sied, chez ton personnage.

Citation :
Citation:
> Le problème d'une pierre runique c'est que si elle est cassée en deux, ce n'est pas réparable (pour la rapière), il faudra en racheter une nouvelle ^^
La pierre est intacte, mais le manche dans lequel elle est sertie est cassé en deux (mais pas à hauteur de la pierre en question) l'arme en elle même sera réparée quoi qu'il arrive avant d'être utilisée puisqu'elle est possédée par le personnage sous certaines conditions (pour pas m'étaler en public je t'enverrai les détails en MP.)
Je t'ai répondu par mp sur ce point, du coup j'attends ta réponse ^^

Citation :
Citation:
Par contre, ce n'est pas au Temple que tu as pu apprendre à maitriser la Nature
Le personnage est autodidacte sur ce point, il ne maîtrise pas à proprement parler ce pouvoir, il peut juste faire quelques bricoles "banales" et son entrainement est prévu pour se faire après en RP. Par maîtrise, j'entends le fait de pouvoir s'en servir à des buts offensifs/défensifs (Pour les infos complémentaires, je te MP ça aussi avec ce que j'ai cité plus haut, pour pas trop en dire.)
C'était une simple remarque, un peu comme sur les armes à Erathia.

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Re: Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar
   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMer 5 Sep - 13:20

Citation :
Ma remarque n'était pas à titre indicatif. Peu importe comment ton personnage considère les Zélotes, le fait de manipuler un élément tout comme eux implique un rapprochement avec ces derniers (c'est tout de même leur caractéristique que de maitriser un élément et une arme ce qui techniquement fait de ton personnage quelqu'un de similaire à eux). Aussi, ce point sera-t-il à prendre en compte, de la façon qui te sied, chez ton personnage.

Aucun soucis, on est d'accord sur tout ça ! J'voulais juste préciser ce petit détail au cas où il y aurait eu malentendu.
Je compte bien prendre en compte cette "ressemblance" qui était indirectement désirée pour plusieurs raisons. Razz

Citation :
Je t'ai répondu par mp sur ce point, du coup j'attends ta réponse ^^

Effectivement, j'ai aussi supprimé cet aspect (que je vais retravailler pour que ça colle avec tout le reste.), j'étais parti sur des comparaisons d'armes physiques à la base et j'avais négligé l'aspect essentiel de l'arme runique, encore désolé pour tout ça silent

Citation :
C'était une simple remarque, un peu comme sur les armes à Erathia.

J'ai justifié aussi cet aspect parce qu'après relecture je me trouvais moi-même assez vague sur le sujet donc j'me suis dit qu'il était préférable de tuer les ambiguïtés ^^

Voila voila, j'ai apporté les modifications en fonction du MP et j'espère que tout colle parfaitement maintenant Razz
Et encore désolé pour tout ça, j'ferai une fournée de cookies pour me faire pardonner *yeux de cocker tout triste*
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   Ethiann - Chroniques crépusculaires : Ethiann Tylmar EmptyMer 5 Sep - 13:56

Normalement, tout est bon, donc je te valide ! Avant toute chose, pense à faire ton dossier ici : https://elea-sky.forumsrpg.com/f11-dossier-central

Pense également à remplir ce questionnaire :
https://elea-sky.forumsrpg.com/t1670-questionaire-obligatoire-liens-entre-personnages
N'hésite pas à faire un petit tour dans les annonces ! Wink

Dès que ce sera fait, tu pourras demander un RP à quelqu'un ici :
https://elea-sky.forumsrpg.com/t11-demandes-de-rp ou lancer ton RP en attendant que quelqu'un réponde.

Amuse-toi bien parmi nous =D
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