Renseignements généraux

Nom (facultatif) :
Prénom : Amalya
Âge : 23 ans
Race : Origine Cydienne
Langues: Cydien, Astorg. Avec plus de facilité dans le Cydien.
Cité d'appartenance: Muria
Métier:artisan Orfèvre.
Position (facultatif):  //
Main dominante: Droitière

Possessions Monture ou engin : Cheval de trait Arme: un petit poignard Armure: pas d'armure Nom de votre échoppe : //

Roleplay Compétences: Manipulation du feu, Caractéristique amélioré (précision dans ses gestes), Dressage d'une bête (Cheval) Compétence bonus (si offerte par le métier): Faiblesses: Marchandage, Discrétion, acrobatie But du personnage: D'être reconnue dans son travail, créer sa propre échoppe & peut-être fonder une famille.

Description physique

Amalya est une jeune femme de taille moyenne, atteignant presque le mètre soixante-dix. Quand on la voit au loin, on ne sait pas si c'est une jeune femme ou au contraire une femme très âgée. Ses longs cheveux blancs sont un trompe l'oeil qu'elle affectionne. Une fois plus près il est facile de lui donner un âge, une vingtaine d'année, peut être vingt-cinq maximum. Elle a le visage ovale et lisse montrant bien qu'elle n'a rien vécu de très difficile, de petites épaules rondes, des hanches plus étroite que large et de longue jambe finement musclée.

Son visage est serein presque tout le temps. Dans ses yeux gris, on peut y lire une grande partie de ses émotions qu'elle tente souvent de camoufler par un sourire. Elle a de long cils qu'elle fait battre pour se faire une clientèle. Cela ne marche malheureusement pas toujours. Amalya a une nez fin, ni crochu ni trompette, et ses lèvres sont ni fine ni épaisse mais douce.

A ses oreilles pendouillent de petites boucles qu'elle a confectionné elle même avec les restes de travaux. Elle porte également autour de son cou un collier du même acabit. Il descend avec grâce jusqu'à sa poitrine ronde. Elle aime bien se mettre en valeur en portant des vêtements très clair. Elle s'est déjà essayer au noir ou bleu nuit mais cela ne fait qu'accentuer son teint déjà pâle.

Ses bras sont fins et se terminent par des mains fines au allure fragile. Ses poignets semblent se briser à chacun de ses mouvements pourtant elle reste solide et forte. Amalya a la chance d'avoir de longs doigts ce qui facilite grandement son travail. Elle répare des bijoux ou certain ornement sur les armes. Mais elle apprécie de pouvoir récupérer les chutes de pierre et de métal pour pouvoir fabriquer ses propres inventions.

Caractère, qualité et défauts:

Amalya est une jeune femme qui se veut simple. Elle n'aime pas se prendre la tête, en général quand un conflit s'annonce elle préfère ne pas prendre partie. Mais quand celui-ci va à l'encontre de ce qu'elle est, une Amazone, elle ne s'éclipse pas. Elle n'aime pas quand on manque de respect aux siennes. Elle est très têtue et ne pardonne pas facilement, mais le fait un jour ou l'autre. La jeune femme aime rire et s'amuser mais quand elle a une cliente, un bijou à réparer rien ne peut la distraire.

Malgré la précision de ces gestes dans son travail, Amalya est parfois maladroite. Elle est capable de démêler un collier très fin, mais ne pas voir un simple trou dans le sol. Elle en rit beaucoup. Mais elle est aussi susceptible, alors on peut rire mais pas se moquer. Elle se vexe, tempête, boude mais finalement ne pas en vouloir vraiment. Une chose est certaine : Elle n'a jamais tord. Ou du moins, elle admet difficilement avoir tord. Souvent à mi-mot quand son interlocuteur ne la regarde pas.

Elle n'a jamais voyagé pour le moment mais elle apprécie bien trop sa ville pour s'y soustraire. Elle aime découvrir de nouvelle manière de faire tel ou tel chose, donc elle ne serait pas contre une petite escapade dans Cydonia ou même Silmarie si elle est acceptée. Elle ne recule pas devant le danger mais préfère le contourner.

Avec ses Soeurs, elle est douce et très patiente. Elle sait qu'elle ne peut pas aimer toute les femmes comme des Soeurs, mais elle les considèrent toutes comme tels. Se sont elles qui l'on élevé et c'est elles encore qui on fait vivre ce rêve de liberté. Elle voue à la princesse une totale adoration et respect ses ainées bien plus qu'elle ne voudrait le laisser paraître.

Avec les hommes, elle est différente. Elle ne se préoccupe pas du tout d'eux. Elle ne leur adresse la parole que quand c'est nécessaire. Elle n'a pas l'impression d'avoir besoin d'eux pour être entière et heureuse. Amalya est comblée quand elle redonne vie aux objets qu'on lui confit et quand les femmes se parent avec et se sentent belle.

Biographie:

Armellya est née à Muria.

A sa naissance, le petit poupon avait décidé de faire une frayeur à sa mère. Elle s'était fait un collier avec le cordon ombilical qui la reliait à elle. La femme qui attrapa la petite fille le coupa précipitamment et lui mis une grande claque sur les fesses pour tenter de la faire réagir. Mais le nouveau né ne respirait pas. Elle l'allongea donc sur une table et de deux doigts fit quelques appuis sur sa cage thoracique encore fragile. La petite ne bougeait pas mais la femme commençait à sentir qu'un peu de couleur venait aux joues de l'enfant. Elle lui mis une autre claque sur les fesses et là, un cri se fit entendre. Plein de vie, plein de promesse, le premier cri d'Amalya résonnait dans la pièce pour le plus grand bonheur de sa mère. Celle-ci la prit sur son corps encore trempé de sueur et la regarda ramper lentement vers son sein.

A deux ans et demi, Amalya trottinait partout dans la maison de sa mère. Celle-ci vivait avec une autre femme qui avait eut un petit garçon un an avant la naissance de la fillette. Les deux enfants étaient inséparable. Ils aimaient beaucoup imiter leurs mères dans les tâches quotidiennes. Souvent dans leurs jambes les deux petits démons se faisaient souvent bousculer mais en riaient à chaque fois. La petite fille aimait déjà les bijoux et prenait souvent le collier de sa mère comme peluche pour s'endormir. Elle aimait la matière douce de l'ambre. Son frère lui préférait jouer avec le cheval de bois que lui avait fabriqué la voisine. Il racontait souvent qu'il ferait le tour du monde à « zeval ». Et Amalya riait beaucoup quand il s'amusait à faire de son jouet un véritable guerrier.

A six ans, la fillette refusait catégoriquement d'apprendre certaine aptitude que sa mère avait. Elle disait clairement qu'elle ne voulait pas se battre mais qu'elle voulait fabriquer des colliers et des boucles d'oreille. Sa mère qui ne comprenait pas cette envie la forçait un peu à devenir forte pour la préparer à devenir une sentinelle. Mais l'enfant aussi têtu qu'une mule ne faisait rien pour faire plaisir à sa mère, et parfois elle disparaissait avec Timothée, son frère, pendant toute une journée dans les rues de Muria. Ensemble, ils rejoignaient d'autres enfants et s'amusait à imiter les grands. Amalya en garde d'ailleurs de tendres souvenir qui la font sourire à chaque fois qu'elle y pense.

A huit ans, elle n'avait toujours pas changé d 'idée et commençait même à apprendre discrètement les gestes pour devenir orfèvre. Elle ne suivait plus Timothée car il ne pensait toujours qu'à jouer. La fillette quand à elle, aimait bien s'assoir sur un banc et regarder les adultes travailler et faire des commentaires sur ce qu'il se passait ou non au palais. Elle se fit durant cette période, un ami. Un petit animal tout rond, tout ronronnant. Un chaton qui semblait seul trouva refuge à ses pieds. Quand il leva les yeux vers elle, elle comprit qu'ils avaient besoin l'un de l'autre et elle l'adopta aussitôt. En quelques jours à peine leur lien était tel qu'il ne lui suffisait que d'un regard pour que la boule de poile la comprenne et lui obéisse. Sa mère était surprise et effaré de comprendre que sa propre fille avait le pouvoir de se lier aux animaux. Elle eut un bref instant l'idée de se servir d'elle pour avoir un animal qui l'accompagnerait partout. Mais l'amour que portait Amalya à Titus était si exceptionnelle qu'elle ne laissait pas de place à une autre bête.

A dix ans, Amalya avait déjà une grande agilité dans les doigts et réparait tout les bijoux de ses mères. Elle ne se préoccupait plus de Timothée et gardait une relation fusionnel avec le félin. Elle commençait à apprendre à lire, à écrire et cherchait un maître pour l'aider à perfectionner ses techniques de réparation. Mais souvent, les femmes ne l'acceptaient pensant à une lubie passagère. Du coup, la jeune fille travaillait chez elle. Elle prenait aussi du temps pour Titus qui aimait bien se pavaner dans la rue à ses cotés. Même si parfois, elle ressentait sa honte quand elle trébuchait ou percutait quelqu'un. Elle avait une amie à qui elle rendait souvent visite. Emeliane. Toute les deux aimaient écouter les ragots dans la rue ou les contes que racontaient les voyageuses Amazones.

A quatorze ans, elle trouva enfin un maître orfèvre qui la prenait chez elle tout les après-midi. Elle devenait de plus en plus rapide et précise dans ses gestes et dans son travail. La femme était très fière de son apprentie. Elle lui demanda un jour, si elle avait la chance de manipuler le feu comme elle ou non. La demoiselle ne savait pas quoi lui répondre, elle n'avait jamais pensé à cela. Alors, curieuse d'en apprendre d'avantage, Amalya demanda à son maître de lui montrer comment faire. Celle-ci ne se fit pas prier et lui fit une démonstration en lui expliquant que si elle pouvait le faire cela l'aiderait dans son travail. Soit en faisant naître une petite flamme pour faire fondre les métaux soit en laissant le feu dans les mains pour manipuler les métaux avec plus de précision sans se bruler. L'apprentie se mit donc à rêver d'avoir cette chance. Elle se disait que si elle avait toujours voulut faire ce métier c'est qu'elle devait avoir au fond d'elle des aptitudes qu'elle ne connaissait pas encore.

A dix-sept ans, Titus est mort. Quand il lâcha son dernier souffle, la jeune femme ressentit comme un craquement en elle. Elle sentait que le lien était rompu et un grand vide s'installa à la place. Elle eut du mal à s'en remettre et se mit a corps perdue dans son apprentissage. Elle allait bientôt pouvoir prendre son envole et construire sa propre échoppe ou bien devenir une véritable employé de son maître. Ce qui serait pour le moment le plus sage. Elle ne recherchait plus à combler le vide pensant que rien ne remplacerais le chat roux qui l'avait toujours accompagné. Au bout d'une dizaine de jours elle ne le pleurait. Sa mère avait l'impression qu'elle en faisait de trop mais elle ne pouvait pas comprendre le lien qui les avait unis. Timothée était partit depuis deux ans dans la quartier des soumis et y travaillait.

A dix-huit ans, Amalya se défit de son apprentissage. Sur l'enseigne, son ancien maître avait fait rajouter son prénom comme Orfèvre en second. Elle avait confiance en elle et en son travaille. Elle savait qu'elle pouvait confier la boutique et le plan de travail à la jeune femme sans se faire de souci. Celle-ci était enfin dans son élément et commençait à apprendre à manier le feu. Sa capacité à le faire s'était révéler plus tardivement qu'il n'était habituel mais l'essentiel pour elle était d'apprendre à le maîtriser. Sa mère la félicita en lui offrant les clés d'une toute petite pièce de la maison. Elle se situait à l'extérieur. Amalya avait donc son petit chez soi personnel avec son entrée. Quoi demander de mieux pour commencer dans la vie active.

A vingt ans, elle récupéra un cheval qui devait être relâché. Blessé au niveau d'un jambe il ne pouvait plus servir dans les champs. Elle l'acheta un bon prix et pris soin de lui. Elle réussi à le dresser et fut surprise de voir que leur relation devenait aussi forte que celle qu'elle avait vécu avec Titus. Elle le nomma Odin. Elle se servait de lui pour les balades qu'elle aimait faire ou pour transporter la charrette qu'elle remplissait de ses courses pour le magasin. Il boitait encore un peu mais semblait avoir une nouvelle vie.

Aujourd'hui, à vingt-trois ans, Amalya vit toujours dans la petit maisonnette accolé à celle de sa mère. Elle est encore dans la boutique de son ancien maître. Elle pense souvent que le voyage lui apprendrait des choses mais ne se sent pas encore tout à fait prête à partir seule à l'aventure. Elle s'est rendu une fois à cydonia avec son maître et s'était rendu compte que taire sa nature Amazone n'était pas chose simple. Surtout quand devant elle certains hommes faisaient les beaux parleurs ou en brutalisaient d'autre. Elle en avait donc conclu que Muria était vraiment une cité qui lui semblait équitable.

Mon heure de gloire !

Votre prénom(facultatif): Julie
D'où venez vous? (facultatif) Seine et Marne
Âge (facultatif): 23 ans (oui oui, comme Amalya !)
Avez-vous lu et approuvé les règles? [Validé by Eléa ^^]
Comment avez-vous connu le forum? Par un partenariat sur un autre forum.
Idées, remarques ou suggestions? hum, je n'en ai pas ^^