Concours : création d'un village d'Azthia

Salut à tous !

Dans le contexte du Calendrier de l'avent le Staff vous propose un petit concours !

Deux hommes à cheval au sommet d'une petite colline discutent. Soudain, l'un demande à l'autre...

"Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"

A vous de nous renseigner sur le sujet ! Décrivez-nous un village d'Azthia, sorti tout droit de votre imagination, qui doit cependant se fondre dans le décor et être cohérent avec le contexte du forum. Le support est libre : description, RP, vidéo, dessin, plusieurs documents... Le village qui plaira le plus sera intégré officiellement dans l'univers d'Azthia, il sera alors possible d'y jouer et d'y faire évoluer nos personnages.

Proposez-nous vos idées jusqu'au 31 Décembre dans ce sujet.

Et surtout, amusez-vous bien !

Ilmarë a écrit:

Joris a écrit:: Salut à tous !

¤*¤

En ce 1° Décembre, vous ouvrez la première fenêtre du Calendrier de l'avant et découvrez...

Deux hommes à cheval en train au sommet d'une petite colline. Soudain, l'un demande à l'autre...
"Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"
Petit concours !

A vous de nous renseigner sur le sujet ! Décrivez-nous un village d'Azthia, sorti tout droit de votre imagination, qui doit cependant se fondre dans le décor et être cohérent avec le contexte du forum. Le support est libre : description, RP, vidéo, dessin, plusieurs documents... Le village qui plaira le plus sera intégré officiellement dans l'univers d'Azthia, il sera alors possible d'y jouer et d'y faire évoluer nos personnages.

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Et surtout, amusez-vous bien !

Je viens de remarquer, ils sont à cheval ou en train? Laughing

[ Ceci devait être une petite réponse humoristique à Ilmarë, et puis le délire s'est tellement développé que j'ai décidé d'en faire ma participation. N'Joy. x) ]

Nan mais c'est pasqu'en fait c'est le village des transports de chemin de fer, installé à coté des Mines de l'Amoria, vous savez cette montagne très célèbre située encore plus au nord de Storgein et dont on peut apercevoir le sommet éternellement enneigé du haut du palais de l'Oblat, les soirs de pleine lune, par temps clair, en sautant à cloche pied enroulé dans un tranche de jambon géante et en inclinant la tête de 42 degrés vers la droite.

Bref, au pied de cette montagne donc se trouve l'entrée des mines de fer de l'Amoria. Et devant l'entrée des mines de fer se trouve la Sitée des Nains Capables et Fiers de l'être (ou plus communément appelé SNCF, c'est quand même plus facile à prononcer.). Les habitants sont sympas, quoiqu'un peu bourrus, barbus et couverts de poussière de charbon. A l'origine, comme tout bon Astorg, il paraitrait qu'ils sont blonds. Mais c'est difficile à vérifier sous la poussière charbonnée qui leur barbouille le visage. En même temps ils aiment pas prendre de bain. Parait que l'eau gèle si vite chez eux qu'on peut rester coincé dedans. Vu comme ça je les comprends... Rassurez vous au bout d'un moment on s’habitue à l'odeur. Ils sont plutôt petits, la sélection naturelle a fait son œuvre : les grands finissaient systématiquement par devenir complétement gaga à force de se cogner au plafond des galeries. Plutôt efficace.

Et donc, pourquoi village des transport de chemin de fer me direz vous ? Pasque du fer dans les mines de l'Amoria il y en a des tonnes et des tonnes. Si bien qu'ils ne savent plus quoi en fer justement (ahah... Ce jeu de mot pourris vous est offert en bonus par la maison, ne me remerciez pas, c'est bientôt Noël). Ils ont donc décidé de paver complétement le sol de leur rue de ce métal. (ce qui avec la rouille leur donne un aspect rouge contrastant joliment avec la neige qui couvre les toits une bonne partie de l'année). Et puisqu'ils en avaient encore et encore, ils ont même pavé les chemins d'accès au village (d'où les chemins de fer, je suis sur que vous commencez à comprendre.) Voyant cela, un ingénieur de la ville eut un jour l'idée de mettre en place un système de transport automatisé pour pouvoir se déplacer sans se fatiguer d'un bout à l'autre de la ville : un série de petits chevaux en fer forgés et à roulettes accrochées les uns derrières les autres et tractées par un cheval (un vrai cette fois) répondant au doux nom de Vapeur. Devant le succès rencontré, ils ont décidé d'étendre la voix ferrée jusqu'à Storgein et d'enfin s'ouvrir au commerce l'année dernière (ce qui leur permet à présent d'écouler leur trop plein de fer). Le point de rencontre n'est pas situé loin de Storgein, un allé retour se fait en deux jours, vous pourrez donc vous rendre sur cette nouvelle destination touristique les jours paires, et en revenir les jours impaires.
Cet Hiver, un grand marché de Nowel y sera organisé. N'hésitez pas à aller visiter !

Et voilà pourquoi les deux hommes étaient en train ET a cheval, au sommet de la colline a découvrir ce lieu encore inconnu à leurs yeux.

Vous vous ennuyiez ? Voici un peu (beaucoup) de lecture Laughing

Mon très cher Anatole Clari

Voilà un bien long moment que nous ne nous étions vu et la raison en était une fois encore un de mes longs voyages de part les recoins les plus reculés d'Azthia à la recherche de toute connaissance ou toute curiosité et cette fois-ci j'en fus pour mes frais. À l'extrême ouest de l'endroit où s'élevait Ptot Tàh, là où je ne pensais jamais me rendre nous découvrîmes une merveille que je vais vous conter.

Nous étions deux, mon compagnon et moi et nous échangions allègrement en montant une colline quand il me demanda “Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?” Je regardais à mon tour.

Au loin se tenait un village, en partie dissimulé par une abrupte falaise. Le vent froid de l'hiver n'émoussa pas notre curiosité, pas plus d'ailleurs que les tourelles de guet à l'entrée du village, accolée à la falaise. Nous nous y rendons, intrigués. Nos chevaux renâclent un peu à descendre de la colline sur laquelle nous nous tenions, le sol froid étant un peu pierreux et traître. Peut-être aurions nous dû descendre par l'arrière de la colline et la contourner ? Nous ne pouvions décrocher notre regard de l'imposante falaise et du village qu'elle cachait en son sein, comme saisis d'un envoûtant appel.

Alors que nous avancions, nous constatâmes que la falaise englobait entièrement le village, quoiqu'il eût été plus véridique de dire que le village fut bâti à l'abri de la crevasse qui entaillait la falaise sur une largeur fine à l'échelle de l'affleurement rocheux. Toutefois impression était donnée que le massif protégeait véritablement les habitations de son auguste présence. Nous ignorions encore si la faille traversait la falaise de part en part, toujours était-il que le village protégé du vent du nord.

Enfin nous approchions des tourelles de garde. Il s'avéra que les premières bâtisses vu village étaient installées juste en retrait de l'entrée de la faille – de taille honorable à échelle humaine. Les tourelles s'élevaient au pied de la paroi de part et d'autre de l'entrée en avant afin d'avoir une visibilité maximale des environs et entres elles avait été élevé une basses palissade de bois au rôle que nous supposâmes plus symbolique que défensif puisqu'un homme pouvait grimper par-dessus ou un groupe de pillard pugnaces la détruire aisément. Quelle importance quand dans ce vaste désert de sable, les dunes les plus à même de cacher l'arrivée d'ennemis étaient à une bonne distance de la falaise. Distance suffisante pour avertir le village et préparer la défense.

Nous ralentîmes au niveau des tourelles et arrêtâmes nos montures devant la palissade. En levant la tête j'aperçus une arche de pierre taillée, encastrée dans la paroi afin d'offrir une porte d'entrée majestueuse à ce village discret. Un garde sur une des tourelles s'appuya sur la balustrade pour nous fixer de son regard attentif. Un autre vint de derrière la palissade s'enquérir de nos intentions.

Qu'avions nous à répondre ? Bonnes, nos intentions l'étaient, car c'était bien la curiosité qui nous poussa à venir découvrir ce village qui nous était inconnu.

La palissade nous fut ouverte et invitation fut faite de suivre un enfant qui nous mènerait à la demeure du doyen du village faisant office de maire. Le garçonnet d'une dizaine d'année nous fit un visite commentée. Mus par sentiment de respect pour le lieu, nous mîmes pied à terre et alors que nous contournâmes la caserne, grand bâtiment à l'entrée du village, nous fûmes stupéfait. Les parois de la faille s'ouvraient vers le sol en un bel arc de cercle, couvrant en une voûte naturelle majestueuse ouverte au sommet une oasis luxurieuse malgré l'hiver.

La faille traversait bien la falaise et en son centre coulait une rivière qui venait pénétrer la paroi au nord avant l'entrée du village. La végétation était bien celle que l'on pouvait trouver dans toute oasis du désert en un peu plus fournie. Les habitations étaient disposées le long de la rivière, à une certaine distance tout de même du cours d'eau laissant une libre circulation. L'enfant-guide nous fit traverser un pont et nous mena un peu plus loin dans le village. Les visages que nous voyions étaient bienveillants et enjoués, tous étaient Almers comme si la beauté et la sérénité qui émanait de l'oasis s'imprégnait dans chacun des être qui y vivaient.

Nous vîmes devant nous que la faille s'élargissait en un cercle presque parfait. Lorsque nous parvînmes finalement à cet élargissement, nous fûmes émerveillés une fois de plus. Là sous nos yeux ébahis trônait un paisible lac dont était issu la rivière, environné de maisons. Il fallut à notre guide de nous tirer les habits pour nous détourner de la contemplation de l'eau étincelante sous le soleil. Elle réfléchissait les rayons solaires dans toute l'anfractuosité garantissant une luminosité à l'ensemble de la faille.

Notre jeune guide nous amena jusqu'à une maison de taille moyenne creusée dans la même roche jaune que la falaise et couverte d'un toit de tuiles cuites ocres en un seul étage. La demeure du doyen du village était décorée d'un oranger qui poussait devant et la caressait la façade de ses branches feuillues au moindre souffle d'air. Nous n'eûmes guère le temps de nous demander où laisser nos chevaux car une ribambelle d'enfants d'âges divers nous proposèrent leurs services avec pour seul paiement, un chaleureux “merci” et un sourire amical.

Quand nous entrâmes dans la maison nous fûmes accueillis par la délicieuse odeur d'un pain aux épices en fin de cuisson, ce qui rappela à notre estomac que notre dernier dîner datait de cinq heures plus tôt. Nous étions arrivé dans un salon dont l'ameublement en bois était réduit – quoi de plus normal au sein d'un désert de sable même abrité par une oasis – de fait le sol était couvert de tapis et de coussins afin de permettre aux résidents de s'asseoir par terre. Un homme âgé nous accueillit chaleureusement, assis en tailleur dans un petit espace salon dans un coin confortablement garni de coussins.

« Venez, venez voyageurs. Venez donc vous asseoir à mes côtés, vous arrivez à point nommé, ma femme et ma belle-fille auront bientôt finis la préparation du repas. »

Nous ne nous fîmes pas prier. Le doyen avait une voix rauque et éraillée par l'âge et ses paroles nous semblèrent baignées de soleil.

« Je vous souhaite la bienvenue à Hephoh, voyageurs. Je me nomme Dohni Aragle, doyen de notre bienheureux village. Je dis bienheureux car nous avons connu le malheur il y a cinq ans lors de la destruction de Ptot Tàh par Maladie. »

Le vieil homme réprima un frisson en prononçant le nom maudit. Dans ses yeux passa un souvenir de douleur.

« Mon fils aîné y vivait. Nous autre eûmes plus de chance notre ancien village subit la destruction des sbires d'Azael, mais nous fûmes nombreux à survivre. Nous errâmes au plus loin sans trop savoir où trouver espoir dans cette guerre jusqu'à ce qu'un beau jour nous sentîmes un appel. En le suivant nous découvrîmes cette oasis accueillante. Nous y fîmes notre nouvelle résidence et voilà cinq ans que nous vivons dans le bonheur. »

Le regard du doyen, très expressif, s'illuminait le long de son discours. Il nous parla de sa ville avec extase et pour ce que nous avions vu, nous pouvions affirmer qu'il disait la vérité. Son second fils entra et les femmes apportèrent le repas où nous fûmes conviés. Les mets étaient simples et les portions juste suffisantes puisque nous étions deux de plus que prévus, mais que Zéphyr me soit témoin qu'aucuns repas ne me paru plus délicieux.

« Nos tourelles de guet nous protègent uniquement des vagabonds et des pillards, peu sont les voyageurs qui arrivent jusque chez nous. Vous comprenez notre joie à vous accueillir aujourd'hui. »

Le repas achevé et une infusion de thé de l'oasis dégusté nous fûmes invités à visiter leur reste du village. Je pourrais vous conter ce village pensant des heures et des heures, je me restreindrais à ces points suivants.

Outre les arbres fruitiers et les animaux paissant les villageois avaient aménagés des cultures de tubercules, base de leur alimentation, des céréales et quelques légumes. De l'autre côté de la faille l'ouverture était close par un haut mur de pierre dans lequel avait été aménagé une porte et des ouvertures haut placées offrant une vue sur l'extérieur et une entrée de lumière. Ici chaque habitation s'insérait au milieu de la végétation, les maisons les plus hautes faisaient deux étages et certaines bâtisses plus grandes faisaient office de salles communes de réjouissances ou d'événements.

En parlant d'événements, nous arrivâmes comme le disait Dohni Aragle “à point nommé”, les habitants préparaient la fête de l'équinoxe d'hiver. Les préparations comptaient les repas et les gâteaux, la décoration du village pour lesquelles ils tressaient des guirlandes de fleurs et concoctaient des pigments pour se peindre la peau de symboles gais et racontant des histoires.

La joie et la vie baignaient Hephoh et ses habitants chaleureux et accueillants. Nous fûmes conviés une fois encore à participer aux festivités, comment refuser ? Je vous narrerais l'histoire de la fête de l'équinoxe dans un autre courrier, car je crains de vous fatiguer sous tant de mots, vous me direz que j'aurais dû en faire un livre ! Oui je vous rassure, je pense y venir tant ces souvenirs sont beaux.

Oui vraiment ce fut avec désespoir que nous quittâmes Aglar et sa merveilleuse Hephoh. Cependant, il fallait bien rentrer chez nous, nos responsabilités et nos amis nous attendaient. On nous offrit des vivres pour le retour et des herbes à thé que je vous ferais goûter lors de notre prochaine rencontre. Je ressentit un déchirement me transpercer lorsque je passais la Porte Verte, car telle est son nom, face au désert si désespérément vide et froid en cet hiver. Comment l'expliquerais-je ? Il me sembla que la force qui nous attira en ces lieux, ainsi qu'elle l'avait fait avec les rescapés cinq ans plus tôt, nous suppliait d'y demeurer et voyait avec malheur notre départ.

Je n'ai pas la force de vous relater notre retour. Je me sentais vide de toute espérance et de sens d'être.

Aujourd'hui je me suis fait à mon retour et me demande encore quel est la source de cet appel si mystérieux et impérieux ? Est-ce un dieu ayant élu résidence dans l'oasis appelant à la compagnie d'humains ? Je n'aurais la force d'y retourner moi-même, ou alors je n'en reviendrais pas, je laisse donc le soin d'étancher cette curiosité à d'autres.

Année 155, Hiver
Écrit de ma main,
Ambroise Dinitole
Érudit

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p.s : j'avoue avoir eu recours à google pour m'assurer de mes passés simples………

Joris a écrit:: Salut à tous !

Dans le contexte du Calendrier de l'avent le Staff vous propose un petit concours !

Deux hommes à cheval au sommet d'une petite colline discutent. Soudain, l'un demande à l'autre...
"Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"

A vous de nous renseigner sur le sujet ! Décrivez-nous un village d'Azthia, sorti tout droit de votre imagination, qui doit cependant se fondre dans le décor et être cohérent avec le contexte du forum. Le support est libre : description, RP, vidéo, dessin, plusieurs documents... Le village qui plaira le plus sera intégré officiellement dans l'univers d'Azthia, il sera alors possible d'y jouer et d'y faire évoluer nos personnages.

Proposez-nous vos idées jusqu'au 31 Décembre dans ce sujet.

Et surtout, amusez-vous bien !

Pour ma part, j'ai choisi en support de prendre des photos ! Je vous laisse regarder tout ça ~

Spoiler:

[NB : Si vous les voulez en taille réelle, je peux vous les envoyer par mail. Elles sont très volumineuses.
Et je précise qu'elles sont toutes de moi Smile

Vous pouvez les réutiliser sans soucis. ]

Deux hommes à cheval sont en train de monter au sommet d'une petite colline. Soudain, l'un demande à l'autre...

- "Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"
- "C'est le village de Kayanahé."

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Concours : création d'un village d'Azthia 370891village

L'histoire du village de Kayanahé est intimement liée à son Dieu. La légende raconte que Le Dieu unique Orenda a crée Kayanahé pour en faire un havre de paix, un endroit en parfaite harmonie entre tous les êtres vivants. C'est un lieu où Humains et Animaux habitent ensemble en toute quiétude, vivent de tout ce que la nature à à leur offrir. Après avoir fait le monde, le Créateur voulu faire un endroit parfait. Alors, sa queue blanche se changea peu à peu en feuilles, puis en branches et en arbres. Les arbres se creusèrent, se déformèrent, et prirent forme de maisons. Ensuite, il voulut y vivre, et pour cela il se scinda en trois : une licorne, un loup et un ours. Trois animaux purs, blancs comme la neige. Le loup représente la partie d'Orenda désirant l'évolution, le contact avec les autres peuples. L'ours, lui, souhaite garder ce lieu le moins connu possible, pour le préserver et le garder intact. La licorne est l'équilibre entre les deux.

Kayanahé est un village très ancien, et depuis toujours, il est dirigé par trois personnes. A l'adolescence, chaque habitant du village choisit sa voie et son animal totem, entre l'ours le loup et la licorne, qu'il gardera toute sa vie. Le plus âgé de chaque dirige le village avec les deux autres. Ils représentent le conseil des trois, les trois partie de leur Dieu, et sont très respectés des autres membres du village, la vieillesse incarnant la sagesse ; la blancheur de leurs barbes et cheveux le pelage de leur Créateur.

Le peuple de ce village est assez hétéroclite, certains possèdent des oreilles pointues, d'autres non, incarnant ainsi les différentes formes du dieu unique. Mais ils ont tous en commun leur agilité, leurs longues jambes et leur amour des animaux ; comme le Créateur garde aussi toujours sa même couleur blanche immaculée. Ils arborent souvent des tatouages ou de la peinture. A cause de la chaleur et de l'humidité quasi constante, ils sont peu vêtus. Les maisons sont fabriquées à même les arbres, ce seraient les mêmes qu'à la création du village, restaurées au fil du temps. D'autres sont venues s'ajouter, toujours crées de la même façon. Les animaux sont libres d'y circuler comme bon leur semble, il n'est d'ailleurs pas rare qu'un habitant adopte l'un d'eux, et qu'ils deviennent les meilleurs compagnons qu'il soit. Les Kayas – c'est ainsi qu'on les nomme – respectent la nature et ne tuent que pour se nourrir. Lorsque c'est le cas, ils adressent alors une muette prière en guise de pardon pour cet acte. Tous ne sont pas si respectueux du conseil des trois ni de la vie animale, mais ils seraient fous de ne pas croire en Orenda et tous les principes inculqués depuis leur plus jeune âge.

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- Création du village -

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Orenda, le Dieu unique, le Créateur, est représenté par un animal d'un pelage blanc immaculé. Il est le père de tout. Il n'accorde pas de faveur divine, il est partout, il est la Vie elle même.

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- Différentes formes -

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Rodena, la compagne d'Orenda. Fou d'amour pour elle, il lui aurait accordé une partie de ses propres pouvoirs. Elle est la déesse de la flore.

Ceux qui la prient obtiennent la capacité de faire pousser plus rapidement des plantes.

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Concours : création d'un village d'Azthia 484033pomim001h

Les gardiens. Orenda leur a accordé le meilleur de chacun, le meilleur du côté animal et du côté humain. Ils ont pour rôle de surveiller que les Kayas ne franchissent pas l'interdit suprême, et de punir ceux qui le font.

Les personnes aimant d'un amour inconditionnel les animaux sans franchir l'interdit se voient offrir les mêmes capacités que les gardiens, leur corps se transforment et deviennent comme eux.

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Bajira est la déesse des cavaliers.

Ses adorateurs peuvent demander à n'importe quel animal assez puissant d'être leur monture durant une journée.

Concours : création d'un village d'Azthia 519588desse

Saggie est la Déesse-oiseau. Elle est souvent représentée sous la forme d'une humaine portant des plumes.

Elle accorde le pouvoir de prendre le contrôle d'un oiseau, pratique surtout pour observer en toute discrétion. Mais attention! Votre corps reste vulnérable durant ce temps là.

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- "Mais, comment sais tu tout ça? Et pourquoi entend on parler de ce village que maintenant?"
- " Parce que les maisons que tu vois sont surtout celles des gens du totem du loup, dont je fais partie."

Alors, de ses pieds nus, il relança son cheval, droit sur le village.

"Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"

C’était la première phrase qu’il m’avait posé alors que nous étions sur une colline non loin d’Erathia. Je n’en revenais tellement pas que je n’arrivais pas à ouvrir la bouche et placer un mot. Comment cela était-il possible. Mon père l’avait cherché et moi aussi je l’avais cherché mais je ne pensais pas le trouver aussi vite. J’étais abasourdie, cependant je décidais de me bouger et d’expliquer à mon compagnon ce qu’était ce village, ce qu’il représentait pour moi. Je descendis tranquillement de mon cheval, fit s’installer mon compagnon sur les rochers non loin de là et commençait alors à lui expliquer.

« Il y a de cela très longtemps, mon père m’a raconté une histoire que je trouvais rocambolesque sur un village qui avait disparu de la carte d’Azthia tellement les habitants ne se faisait pas remarquer. Il était très difficile de le trouver car selon les dires de mon père, les villageois était protégé par un dieu. »

Mon interlocuteur me regarda avec un air étrange, et je m’empressais de lui expliquer de quoi il en retournait.

« Il y a de cela quelques années, un petit village près d’une étendu d’eau non loin d’Erathia fit son apparition. Les habitants étaient bons et chaleureux. Ce village était étrange et en même temps il recelait de bonne humeur et de bien être. Il avait été juste à côté d’une source d’eau de telle sorte que les villageois pouvaient s’approvisionner sans se prendre la tête et cultiver de dont ils avaient besoin pour se nourrir. Le village n’était pas très grand, il ne s’agissait pas d’une grande ville mais c’était tellement convivial qu’on ne s’en rendait pas compte. »

Elle s’arrêta un instant se rappelant les différentes histoires que sont père lui avait raconté, puis quand tout fut remit en ordre dans sa tête, elle recommença.

« Ah un moment, il y eut une grande sécheresse et les récoltes étaient moindres. L’eau du lac se tarissait et alors que tout le monde avait du mal à se nourrir, un jeune homme vint un soir, totalement épuisé. Il était couvert de blessure et une très longue entaille le saignait abondamment le long de son abdomen. Sans une minute de perdu, les villageois n’hésitèrent pas à lui donner ce qu’il leur restait pour le soigner, le nourrir et le faire boire. Après quelques jours, le jeune homme s’est réveillé et il a passé deux voir trois mois dans le village si ma mémoire est bonne. »

Elle s’arrêta un instant, laissant à son compagnon le temps d’assimiler ce qu’elle venait de raconter.

« Il s’appelait Aegoth, un nom peu commun en vérité. Les habitants ne pouvaient dire de quel race il appartenait tellement il semblait mélangé de trait des différentes races. Ils ne posèrent pas plus de questions et recommencèrent leur petite vie, essayant tant bien que mal de se nourrir. Et puis un jour, au lever des habitants, l’homme avait disparu. Ne restait de lui qu’une trace sur un papier, un grand merci. Mais alors que les habitants pensaient que rien n’avait changé, la lumière du jour leur prouva le contraire. Le petit village était désormais non loin d’un bois qui selon la légende regorge de bêtes tout aussi différentes les une que les autres et qui pouvaient être chassées. Le lac qui était au plus bas était remonté à son maximum et les champs qui paraissaient si pauvre venaient de revivre. »

Elle s’arrêta une fois de plus, tournant son regard vers le village.

« Les habitations sommaire étaient remplacé par des petites maisons en pierre bien plus résistante et le village se vit affubler de route et d’une grande place. En une nuit, ce petit village était devenu une petite ville, aménagée et florissante. Les habitants érigèrent une statue sur la place en l’honneur du jeune homme, ils étaient persuadé que c’était lui qui avait fait cela et il n’avait pas tord. Le dieu veillait sur eux, comme eux avaient veillé sur lui. »

Elle regarda son compagnon qui souriait aux éclats, puis reprit.

« On dit que le dieu tient éloigné tout ceux qui essaieraient de profiter de la gentillesse des habitants de ce village et que pour cela il a dressé des collines. On dit aussi que chaque personne qui s’installe dans ce village le voit d’une manière différente que son voisin, comme si la magie s’était installé et vous montrez ce que vous aviez envie de voir. Mon père à chercher ce village de légende, et lorsqu’il m’a parlé de cette histoire, j’ai voulu le chercher aussi. Et voilà que je l’ai trouvé, c’est magnifique. On peut voir d’ici l’abondance et on peut sentir la gaieté. Regarde bien je te présente le village d’Aegisia, village de légende s’il en ait. Si on allait le visiter ? »

Sans un mot de plus, nous remontions sur nos montures et nous dirigions en riant vers ce petit village qui était un village de légende pour ma famille.

Spoiler:

BOURG L'HIVER
Concours : création d'un village d'Azthia Winter10

Deux hommes à cheval au sommet d'une petite colline discutent. Soudain, l'un demande à l'autre...

"Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?"

Un bruit de clochette se faisait entendre non loin de là, un homme arrivait par derrière le petit groupe. La silhouette de cet inconnu se profilait au fur et à mesure qu'il s'approchait des deux jeunes gens, il avait l'air imposant et une épaisse barbe blanche se dessinait au fil de son avancée, il portait d'ailleurs un vieux manteaux fourré de couleur rouge mais lequel semblait usé par le temps et l'humidité. L'un des deux garçons ne put s'empêcher de l'interrompre durant sa course afin de se renseigner sur les origines de cet endroit qu'il pouvait voir au loin.

"Monsieur ! Excusez moi de vous déranger mais j'aimerai savoir le nom de ce village, celui là au bas de la montagne !"

"Ho ho ho ! Bien le bonjour mes chers amis ! Mais c'est Bourg l'Hiver bien sûr ! Comment ne pouvez-vous pas connaître cette bourgade ? Il s'agit de la capitale du jouet, un village non loin de l'imposante forteresse de Storghein qui jouit d'une excellente réputation et notamment durant les périodes de fête. Montez donc avec moi, je vous ferai faire une visite exprès mais soyez sages !"

Les deux amis acceptèrent bien que leur hôte laissait échapper une odeur bien singulière, si ce n'était une odeur horrible de sueur et de crasse mais il valait mieux se garder de faire la moindre remarque, après tout ce n'était pas poli envers ce brave homme !

"Je vous présente Bourg l'Hiver ! Ho ho ho ! Une petite bourgade de quelques âmes où artisans et paysans travaillent ensemble. Vous pourrez voir sur votre droite le clocher de l'église destiné à notre déesse de la joie, la belle Hilina mais n'oubliez pas de tourner la tête vers la gauche pour remarquer la première maison de notre humble patelin."

Les bâtiments n'avaient rien d'extraordinaire, ils étaient construits avec des matières régionales et ils semblaient convenir à la plupart de leurs occupants. Une petite route avait été tracé à l'aide de clôture quelque peu vétustes bien qu'elles puissent donner un certain charme à la bourgade mais c'était surtout la trace des chariots qui permettait l'existence d'un semblant de route. La plupart des maisons était des fermes ou en tout cas ressemblait à des fermes selon les deux voyageurs, il s'agissait en effet de grandes bâtisses construites en long et en large mais qui ne s'élevait guère haut afin d'économiser le chauffage qui devait être fort précieux dans ce genre de contrées.

"Nous voici devant chez moi, souhaitez vous prendre un bon chocolat accompagné de quelques pains d'épice ? Ils sont délicieux ! Ho ho ho ! Excusez mon impudence mais j'ai oublié de me présenter, Hël Perënoh. Si vous voulez bien me suivre..."

Hël Perënoh descendit non sans faire trembler sa charrette et le sol puis il convia ses deux hôtes à l'accompagner au sein de chez lui. Sa maison n'avait rien d'exceptionnel, une grange toute de bois construite et qui tout comme son manteau semblait avoir de l'age mais comme dit le dicton, il ne faut jamais se fier aux apparences et tel était le cas pour cette bâtisse ci. En effet, il s'agissait non pas d'une simple maison mais d'un immense entrepôt de jouets qui s'entassaient les uns par dessus les autres ce qui n'avait pas manqué de provoquer la stupéfaction des deux jeunes gens.

"Monsieur Perënoh Hël, vous revoilà ! Nous avions besoin de vous pour traiter les commandes, vite vite vite, le temmmmmmps presse !!!"

Une horde de petits enfants, sûrement natifs du village étaient en train d'accourir auprès du grand bonhomme, qui cela pouvait donc il bien être ? Il semblait bien connaître le village et ces habitants avaient également l'air de bien le lui rendre, c'était une scène plutôt émouvante à observer mais le dénommé Perënoh Hël n'était pas décidé à faire traîner les choses et s'empressa d'escorter ses invités à une table sur laquelle était prédisposé un plateau de victuailles.

"Bienvenue à Bourg l'Hiver ! Ho ho ho ! J'espère que la visite vous aura plu mais je suis dans le plus grand regret de devoir vous abandonner, du travail m'attend malheureusement et j'ai pas une seconde à perdre ! "

Et c'est ainsi que les voyageurs passèrent quelques journées à flâner au sein de ce petit village du Nord d'Azthia dans lequel il faisait bon vivre malgré la froideur ambiante. Perënoh Hël était un guide des plus doué mais quoi de plus facile pour un vendeur que de vendre un objet pour lequel il ne cesse d'avoir de l'admiration ? Enfin bon, désormais vous connaîtrez la petite bourgade de Bourg l'Hiver, ses paysages vallonnés, son épaisse de neige, ses bâtisses de bois et sa célèbre fabrique de jouet !

Mornejardin et Mornebourg

Concours : création d'un village d'Azthia 515747HarrenhalConceptArtgameofthrones30615289680426

Deux hommes à cheval discutent au sommet d'une petite colline. Soudain, l'un demande à l'autre...

«Quelle est cette charmante bourgade que l'on aperçoit en contre-bas... ?»

Sidd se figea. Son jeune apprentis n'avait apparemment pas assez étudié la géographie, parce que quand on voyage dans le désert, il serait préférable de longer la mer du moins jusqu'au delta avant d'arriver à Ptot tah juste après. Néanmoins, les gens évitent depuis des années le delta. Tout le monde sait qu'a son côté est se dressent les remparts, selon les rumeurs, encore fumants de Mornejardin. Le village, quant à lui, se trouve de l'autre côté, l'agriculture n'ayant pas été pratiquée depuis la chute de l'empire Erathien. Sidd, un Cydien d'environ une quarantaine d'année et son jeune apprentis de dix-sept ans, Bastan, se dressent seul a quelques kilomètres des tours de pierre et des ruines de l'ancienne citadelle qui autrefois constituaient l'orgueil de l'empire qui dominait Azthia. L'homme ne sût répondre à son apprentis avant une longue réflexion. Comment lui expliquer, sans avoir l'air d'un couard que cet endroit était hanté et qu'ils ne devaient pas y mettre les pieds?!

«'l'évite et on suit l'détroit vers l'nord.» Ordonna-t-il

«Nos chevaux ne tiendront pas, maître. Je vois un village passé les ruines. Il pourrait y avoir une auberge et une écurie, non?»

«Boug' d'idiot. Mêm' payé, j''rais pas a Morn'jardin.»

«Allé, maître! Ils vont mourir, nos chevaux! Et... la nuit va tomber...»

Et le maître dû acquiescer. Ils allaient devoir passer par la Citadelle de Mornejardin jusqu'au village de Mornebourg. En passant par la herce depuis longtemps rouillée et détruite par le temps, ou des pillards, l'homme jetais des regards inquiets autour de lui. Ça n'aurait pas eu l'air si lugubre si la nuit ne s'apprêtait pas à tomber, si les remparts à l'architecture Erathienne de cette immense forteresse n'étaient pas en ruine et si, bien sûr, ils n'étaient pas là ou s'était déroulé de terribles évènements. Or le maître n'avait qu'une seule envie: prendre le pont, si par chance il tenait encore debout, et atteindre Mornebourg.

«Qu'est-t-il arrivé ici, Maître...?»

L'homme ferma les yeux. Ce n'était pas une jolie histoire.

Histoire de Mornebourg et Mornejardin.

Avant l'an 0, car bien entendu, les archives de la citadelle ont autant disparu que son bâtisseur, se dressait la splendide Citadelle de Mornejardin. (Notons que ça n'était pas son nom à l'époque. Néanmoins, les historiens n'ont jamais pu trouver ne serait-ce que comment ils l'appelaient avant, et l'ont donc baptisés Mornejardin). Ses huit tours d'architecture Erathienne étaient ornées de système d’irrigation sophistiqués qui permettait de faire pousser des plantes, arbres et fleurs à même les mûrs et les toits de celle-ci. À l’intérieur de l'enceinte se trouvaient quelques bâtiments (notamment ce que les historiens croient être des serres et un baraquement) et bien entendu, la tour principale elle-même. Elle fut bâtie à cet endroit simplement parce que le delta fournissait une terre extrêmement riche qui accumulait les nutriments transportés des montagnes à l'est. Ils pouvaient y faire pousser presque n'importe quoi. Bien entendu, la forteresse fût bâtie aussi pour protéger un pont qui permettait de traverser le détroit jusque dans le désert (notamment ptot tah). De l'autre côté de ce pont se dressait ce magnifique village à l'agriculture florissante qu'était Mornebourg. Ses habitants y étaient nombreux et la fortune de celui-ci se basait principalement sur l'agriculture. Puis vint un jour en une date inconnue, ou la citadelle fût assiégée par nul autre que ses propres bâtisseurs, les Erathiens. Plusieurs historiens croient que la raison de ce revirement était que le seigneur de cette forteresse à insulté ou peut-être même déclaré une indépendance, se croyant intouchable. Certains disent qu'il voulait simplement faire chanter les Erathiens pour obtenir on-ne-sait quoi. Assiégée fût Mornejardin, ses vastes tours recouvertes de végétation exotique et de chute d'eaux artificielles s'embrasèrent comme des torches qu'on pouvait voir à des kilomètres. Les habitants de Mornebourg furent massacrés et leur village mit à sac, le seigneur de Mornejardin n'échappant malheureusement pas à la boucherie. Un sinistre endroit en ruine et abandonné qui, dit-on, brûla sans répit pendant des jours. Sa terre devint finalement noire et infertile, plus rien ne pouvait y pousser. Ne restais plus de la splendeur du plus grand jardin connu d'Azthia que cendres et mort. Le tout fut oublié et évité pendant des années, en fait, jusqu'à la chute de Ptot Tah, décimée par Maladie. Beaucoup de rescapés ne trouvèrent refuge aux ruines de Mornebourg, ou ils rebâtirent ce qu'ils pouvaient pour y vivre. Quelque uns ont maintenant déserté le village en entendant qu'Erathia était maintenant ouverte à tous, d'autres l'ont quittés par faute d'agriculture. Beaucoup l'ont quittés à cause de l'ombre de la forteresse morte qui planait au dessus d'eux... Vous y aventurerez-vous?

Le trône de Mornejardin

«Ô, si magnifiques sont mes arbres,

Si luxuriantes sont mes plantes;»

Un fort vert; Un fort bleu; un fort rouge;

La couleur ne le rend pas moins vulnérable.

Mais le croyait-il? Mais le croyait-il?

Pauvre seigneur de Mornejardin.

«Ô, messire, ô messire;

Que point mes arbres puissent m'offrir?»

La gloire, ô la gloire;

Aucun arbre ne pouvait l'empêcher de mourir

Mais le savait-il? Mais le savait-il?

Pauvre seigneur de Mornejardin.

«Ô messire, ô messire;

Que pourrais-je craindre de vous?»

Maintenant, sur son trône vide ne s’assoit plus que la pluie;

Seuls les vents passent ses portes

Sur ses terres ne poussent plus la vie;

Sur son trône vide ne s’assoit plus que la mort.

Le temps est quelque chose de merveilleux tant il passe vite. Veuillez nous excuser du retard mais en ce jour fravieux, nous allons enfin donner les résultats de ce concours ! =D

Après délibération, Jacen et moi avons décidé de choisir le village de Lilith comme grand gagnant de ce concours ! Le choix était difficile et nous avons beaucoup hésité mais nous ne pouvions malheureusement pas intégrer de nouvelles races sur le forum et nous avons estimé que ce petit havre de paix donnerait envie aux visiteurs de se rendre dans le désert ! Nous remercions tous les participants pour leurs créations toutes plus sympathiques les unes que les autres et nous vous félicitons tous !

Le village sera intégré sous peu (le temps qu'on se remette à jour ^^) sur la carte d'Azthia !

Félicitations à tous, vous nous avez fait rire/rêver/pleurer (euh peut-être pas !) et bravo particulièrement à l'heureuse gagnante, Lilith =D

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Concours : création d'un village d'Azthia

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