Azthia

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Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...

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Renseignements Généraux

:: Biographies :: Storghein

[Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins.

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Dipankara

Nombre de messages : 29
Race et âge : Astorg, 37 ans
Cité : Storghein
Métier : Soldat

Feuille de personnage
Compétences: Spécialisation dans le combat à l'épée + bouclier, Faveur divine: Aatorva
Compétences bonus: /
Réputation :

(3/10)

Sujet:

[Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins.

[Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Empty

Dim 23 Fév - 5:25

Renseignements généraux
Nom : Inconnu à ce jour, se fait lui même nommer Yol’Aatorva qui dans son dialecte natal signifie “Sacrifié au Dieu Aatorva”
Prénom : Dipankara
ge : 37 ans
Race : Astorg
Langues: Astorg, Mun’ahir (patoi dérivé de l’Astorg, langue maternelle des habitants du bastion de Mun, plus de précisions dans l’histoire de Dipankara.), Elfique (mais il rechigne à le parler).
Cité d'appartenance: Storghein. (Bastion Natal de Mun, à 35 kilomètres au sud ouest de Storghein, le bastion est intégré aux terres de la Cité de Storghein.)
Métier: Soldat, à été élevé par des prêtres de Mun.
Position (facultatif): Capitaine du 10e Régiment Victorieux de Storghein, assigné à la protection du domaine sud-ouest de Storghein (sud-ouest des murs de la cité mère.)
Main dominante: Droitier

Possessions
Monture ou engin : Jument de bataille, robe Isabelle, petite, relativement rapide, trapue excellent cheval pour parcourir les longues distances de la frontière du domaine de Storghein.
Arme: Epée courte à une main, ancienne, cette épée lui à servi depuis ses 16 ans il refuse d’en prendre une plus résistante et moins usée, Dipankara l’a fait bénir par les prêtres de Mun sous le signe d’Aatorva. Il possède également un bouclier en métal couvert de cuir, nécessaire à tout soldat.
Armure: Une armure loin d’être banale ma foi, l’épaule gauche (du bras qui tiens le bouclier) est protégé par un protège épaule en métal, l’intérieur du protège épaule est en fourrure. Vêtu également d’une cape en Tartan gris et vers, fait de laine de de Chameau Nordique (voir avatar pour mieux comprendre). La cape est attachée à la boucle de ceinture représentant un crâne en métal, chevauchant deux autres pièce de métal, vêtu également d’un kilt dans un Tartan de la même couleur en fourrure de Chameau Du Nord domestique. Est équipé de bottes en fourrure et en cuir, sur la ceinture du kilt sont attachées plusieurs totems de métal en forme de pointes, supposés appeler aux Dieux de protéger les régiments de la désertion et de la trahison.

Roleplay
Compétences: Spécialisation dans le maniement de la combinaison épée + bouclier, Faveur divine (ayant été élevé chez les prêtres).

Faiblesses: Toute magie à distance /Discrétion / Mauvais archer/ Tout type de confrontation à distance
PS : Faiblesses tout de mêmes compensées par une bonne vitesse de course, et l’utilisation du bouclier permettant de se défendre un maximum en attendant d’approcher. Mais énorme faiblesse tout de même.

But du personnage: Mettre la main sur la Terre au Sud et être l’homme qui soumettra les Cydiens au Royaume de Storghein. La protection de toute les populations du domaine de Storghein lui tient également énormément à coeur, car il en faisait partie lui même.

Anecdote biographique: Il dépense la moitié de son salaire de capitaine pour l’orphelinat de Storghein qui donne une éducation et un foyer à tout les Astorg de Storghein et d’outres terres.

Description physique
A 37 ans seulement les marques de la vie des soldats de Storghein sont déjà bien visibles sur le corps de Dipankara, le teint blanc, le visage assombrit par des années à se battre, creusé par le manque de sommeil et marqué par la détermination. Le manque de sommeil et la ferveur à l'entraînement à injecté de sang des yeux dont le blanc était à l’origine marqué pour les transformer en outil de guerre cherchant sur de vastes étendues les cibles clées. La vie de soldat à endurcit la moindre partie du corps de Dipankara, sec et musclé par la pratique du combat ses muscles sont longs mais robustes, tout comme son torse est extrêmement robuste. Du haut de son mètre 76 pas si haut son allure terrifie la plèbe et transforme le plus endurci des rebelles en un agneau près à se rendre. Les cheveux rasés de sa têtes sauf sur un bande sur haut du crâne qui laisse apparaître et pousser des cheveux blonds vénitiens en bataille faisant penser clairement à une flamme et rajoutant à la sinistre détermination déjà lisible dans ses yeux. La barbe rasée sauf la moustache et la barbe de menton également blond vénitienne rajoute à cette allure non soignée mais stricte, négligée mais terrifiante.

Les jambes robustes, un tatouage tribal sur le pectoral droit jusqu’à l’épaule et un bracelet de force au poignet droit le tout ajouté à son armure, donne au Capitaine du 10e Régiment victorieux l’envergure de son titre.

Caractère, qualité et défauts:
Très préoccupé par son métier, la première chose qu’il a toujours en tête est la sécurité des citoyens du Royaume, si les citoyen ou une parcelle du Royaume est en danger il rassemblera son régiment pour lancer une expédition sanglante dans le but de ne laisser aucun survivant dans ceux qui ont osé pénétrer le Royaume.
Il est également déterminé, il mènera ses missions à bien quoi qu’il se passe et même si il doit mourir pour la mission. Cette détermination viens de ses croyances, pour lui l’Oblat est une bénédiction arrivée sur le peuple de Storghein pour les remettre dans le droit chemin, pour leur permettre de dominer le continent car ils sont justes et leurs rangs sont forts. Et les Dieux récompensent les grands guerriers. C’est ce pourquoi il est totalement dévoué à l’Oblat et à ses Dieu en particulier Aatorva.
Malgré tout son coeur n’est pas de pierre, et il a pu par le passé tomber à genoux devant ses camarades gisants au sol, même si il faut bien le dire, une vie de soldat endurcit un homme, son coeur existe.

Sa principale qualité en plus de sa dévotion totale et sa foi sans faille, est une qualité du terrain, il est un grand stratège, endurcit et intelligent il a par le passé débusqué et fait massacrer des troupes Cydiennes entrées sur le sol de Storghein par une simple observation des embuscades répertoriées lors des deux derniers mois, il a pu déterminer ou ils avaient établit leur avant poste et avant que la petite troupe de guérilleros Cydiens puissent faire d’autre dommages leurs têtes furent renvoyés dans de large chariot aux dignitaires Cydiens à l’origine de l’attaque.

Un très grand défaut est peut être aussi dû à se dévouement…en effet il considère que tout soldat se doit d’être extrêmement dévoué, ainsi il ne pardonne aucun acte de désobéissance par la peur et exécute n’importe quel homme sous ses ordres qui ne se serait pas comporté comme déterminé à servir. On raconte même qu’il aurait égorgé un soldat pour un pas en arrière face à l’adversaire. C’est sûrement une légende, mais dans toute rumeur il y a une part de vérité. Les soldats lui donne le surnom du “Tyran Dévoué”.

Il éprouve un aversion extrême pour les Cydiens, et pense que leur terre devrait appartenir à Storghein. Il n’aime pas vraiment les elfes non plus, il pense que leur présence dans le nord relève de la clémence de la Reine et qu’ils n’attirent que des ennuis, mais il les accepte même si il se refuse à parler leur langue, qu’il connaît pourtant.

Anecdote: Il considère les femmes comme supérieur aux hommes et plus dignes de vivre.
C’est des femmes que sortes les grands guerriers et non des hommes, si naît un jeune homme, c’est l’éducation qui lui sera prodigué par sa mère qui en fera un homme d’honneur, les femmes assurent que notre Royaume ne soit jamais à court de guerrier et font de meilleur chefs que n’importe quel homme car elles ont dirigé les guerriers depuis le berceau jusqu’au champs de bataille et parfois elle mêmes ont protégées leur guerriers contre l'ennemi. Elle nous connaissent plus que personne et ont construit là façon dont nous pensons.
Que pouvez vous redouter de plus que la fureur d’une femme guerrière si ce n’est la fureur d’un Dieu ?

Biographie:

Naissance et jeunes années

Dipankara naquit il y a 37 ans à Mun petit bastion appartenant au Domaine de Storghein, situé à 35 kilomètres au Sud Ouest de Storghein. A sa naissance, sûrement fils d’une famille pauvre qui ne pouvait se permettre un enfant de plus, il fut abandonné sur le pas de la porte du temple de Mun dédié à Aatorva, divinité manichéenne de la peur et du courage, et protectrice de ceux qui s’illustrent par ce dernier. Si il avait été abandonné sur le pas de la porte d’un temple c’est bien que ses parents ne voulaient pas sa mort mais ne pouvaient faire autrement, et c’est exactement ce que se dirent les prêtres et prêtresses du temple. Il fût donc élevé sous le nom de Dipankara qui signifiait en langue antique (étudiée au temple par les prêtres) “Enfant du Froid”. Élevé dans l’enceinte du temple, jusqu’à ses 6 ans sa vie s’écoula sans accrocs, il serait sûrement prêtre dans ce même temple si tout n’avait tourné un jour de Souffleciel alors que le soleil réchauffait à peine le Temple encore si froid d’un rude hiver. Ce jour là, l’Oblat et sa cohorte de protecteurs étaient en visite au temple et faisait un tour de leur domaine pour s’assurer de l’accomplissement des tâches de chacun.
L’Oblat alors visitant le temple un archer fonça par la porte de l’édifice et décocha une flèche en direction de la Reine mais avant même que la flèche ne sorte de l’arc, l’archer, visiblement un renégat elfe, était dans le mur du temple une épée dans la tête, six flèches dans le buffet, et une dague dans les côtes, l’escouade des gardes de l’Oblat avait agît avec une telle force, une telle vitesse, sans un soupçon de terreur pour leur propre vie, à l’inverse, les prêtres et prêtresses eux étaient par terre calfeutrés derrière leur mains ou figés par la peur devant la surprise de l’attaque.

Alors l’Oblat la Reine de tout le Nord et bien plus, vint vers le petit garçon au lieu de se protéger derrière ses gardes lui posa la main sur la tête et en frottant ses cheveux à l’époque tout roux dit au garçon “pas trop peur mon petit ? “ . Du haut de ses 6 ans Dipankara compris tout ce qu’il venait de voir, il donna un nom à ce qu’il ressentait: peur et vu qu’il avait eu la même réaction que les prêtres il en déduisit que les prêtre avaient eu peur et que les gardes et l’Oblat n’avaient pas eu peur . Dès lors la conception de tout les enseignements du temple changea radicalement pour le petit Dipankara, jusqu’à ses dix ans il compris petit à petit que les prêtres bien que bons professeurs ne serait pas accueillis dans la demeure de Aatorva car ils étaient lâches ils ressentaient la peur et la colère. Ils ressentaient trop, ne pouvaient pas se contrôler. Alors il fallait se contrôler.

Se contrôler et trouver le moyen d’être accueillis dans le cercle d’Aatorva.

Adolescence et Serment au Divin Royaume

A l’âge de ses dix ans toute sa conception du monde avait changée, il était souvent en désaccord avec les prêtres sur leurs réactions face aux voleurs de petit butin dans le bastion, quand les prêtres disaient que le crime était une fatalité, il disait que si ces hommes travaillaient au lieu de voler tout le monde vivrait mieux et qu’ils étaient “méchant et inutiles” (il avait 10 ans).

A l’âge de ses 14 ans un autre évènement vint troubler sa vie, alors qu’il allait récolter les pommes de terres derrière le temple il aperçu quelqu’un en train de faire ce que lui voulait faire, il compris alors que cette personne volait des pommes de terre. Il s’approcha de l’homme et lui dit:
“Excusez-moi… ce ne sont pas vos patates ! “

L’homme se retourna et s’exclama:

“Gamin ! J’en, j’en ai besoin pour… ma famille, ils n’ont rien à manger…
- Mais je vous connais vous êtes le marchand sur la grand place..
- Oui.. c’est moi.. mais je n’en ai pas assez pour ma famille
- Pourquoi vous les vendez si vous ne pouvez pas vous nourrir
- Et bien… en fait j’ai besoin d’argent aussi et.. mais j’ai trop vendu c’est pour me nourrir…
- Bien d’accord.. prenez en un peu et partez, mais vous les mangez hein ? Vous ne les vendez pas…

Le marchand en pris 6 autres données par Dipankara et parti… alors Dipankara pendant une semaine alla au marché, et observa tout les jours le marchand. Quelqu’un qui semblait honnête pourtant, mais ce dernier n’eût jamais les lèvres violettes.. En effet en lui donnant des pommes de terres l’adolescent avait injecté dans l’une des pigments violets, très violets qui aurait du rendre la bouche de quiconque violette en mangeant une telle pomme de terre.

Cela voulais dire que le marchand l’avait soit donnée soit vendue…

Alors il reparti se demanda ce qui se passait. Mais le jour d’après un grand homme passa les lèvres complètement violettes, sans autre hésitation il le suivit mais ce dernier s’en aperçu bien vite et au coin d’une ruelle roua de coup le jeune homme, qui malgré tout son courage ne pu rien faire contre cet homme de grande taille, il fut contrains de prendre la fuite… Il avait été contrains d’être lâche ... Il réfléchit.. longtemps, très longtemps cet évènement lui restait en tête pendant un an il y réfléchit alors il comprit.. Si il voulait être courageux il fallait qu’il n’ait jamais besoin de fuir, jamais… Donc il lui fallait devenir quelqu’un de fort.

Il s’entraîna dans la cour du temple pendant un an avec un bout de bois en guise de fer et une icône divine usée en guise de cible ou parfois des ballots de paille, frappant, reculant, imaginant l’adversaire, grand, petit, faible, fort, lourd, maigre, rapide.

A l’âge de ses 16 ans et avec l’argent qu’il gagnait au temple il s’acheta une épée, et repris l'entraînement avec celle ci. A 16 ans également un grand homme entra dans le temple, il ne fît qu’un tour dans la tête du jeune, homme c’était celui qui l’avait déjà roué de coup, sauf qu’il ‘était pas seul accompagné par 6 autres hommes tous en habits noirs. Des Moghot, une sorte de mafia, c’était donc pour ça qu’il avait à l’époque les lèvres violettes, le marchand se faisait racketter par ces bandits, et la c’était au tour des prêtres... Ils en voulaient a leurs provisions et bien sûr de peur les prêtres ne contestèrent pas longtemps. Mais Dipankara se dit que s’était le bon moment pour éprouver ses capacités, il se jeta sur le grand homme tentant de lui planter son épée en plein coeur, mais une cible mouvante n’était pas un ballot de paille, et il ne fît que lui entailler le bras alors qu’il pris un coup de genou en plein sternum qui l’étala par terre.
Les bandits partirent sans même le regarder, avec les provisions des prêtres, les prêtres crièrent sur le jeune homme qu’il aurait pu se faire tuer.

Alors l’adolescent pris sa décision, il jura devant Aatorva qu’à ses dix-huit ans il rejoindrait l’armée pour défendre le peuple de sa propre lâcheté.

S'entraînant toujours de la même façon le garçon commença néanmoins à résoudre de plus en plus de crime de droit commun à coup d’épée menaçant les bandits pour qu’ils prennent des emplois honnêtes, se mettant lui même à l’idée que les hommes n’agissaient que par la peur, il n’agissaient que si l’on les poussait à bout, la majorité des hommes n’étaient que des lâches.

A ses 18 ans le jeune garçon toujours un peu frêle et dont les cheveux se rapprochaient du blond vénitien doucement remercia les prêtres et prêtresses du temples, leur jura qu’il reviendrait un jour et qu’il saurait les remercier de l’avoir élevé si longtemps et de lui avoir sauvé la vie à la naissance.

Il se mit en route pour la cité principale, priant sur le chemin bien qu’il soit convaincu que sont salut ne pourrait venir que de sa seule force et que sa vie ne serait conditionnée que par les limite qu’il s’imposerait.

A son arrivée à la cité le nouvellement adulte Dipankara fut halluciné du nombre de gens et de la taille des bâtiments c’était la première fois qu’il voyait une cité et à l’époque il existait encore des choses qui pouvait l’impressionner. Il demanda son chemin pour le bâtiment de l’armée et malgré un accent très prononcé à l’époque les gens lui indiquèrent le chemin.(Ayant été élevé dans un bastion un peu éloigné, il parlait usuellement un dialecte issu de l’Astorg nommé le Mun’ahir, donc en Astorg pur il avait un accent et quelques confusions.) Arrivé dans le bâtiment de l’armée c’est d’un pas décidé qu’il franchit le seuil, et leur demanda de l’engager. Les Astorg ne posaient pas de questions, un nouveau soldat était un soldat, et dès qu’il aurait prêté serment devant les Dieux et envers l’Oblat, il serait entraîné et rejoindrait ses frères d’arme d’ici 7 mois. Et 7 mois plus tard, il intégrait le 8e Régiment en tant que Soldat.

L'ascension et la découverte des beautés du monde

Le jeune Soldat ne mettra pas longtemps à démontrer ses capacités exceptionnelles déjouant maintes embuscades Cydiennes, et exécutant les ennemis dans celles qu’il n’avait pu prévoir comme si il les avait vus arriver, pendant 10 ans en tant que soldat du dixième régiment il essuya tellement de coups autant à l'entraînement que sur le champs de bataille que sa peau devint un cuir, son mental un bélier enfonçant les ennemis 6 pieds sous terre avant même que sa lame ne leur fende la gorge, la détermination devint lisible sur chaque membre de son corps, autant dans ses yeux que dans sa main si ferme sur le pommeau de son arme qu’on eu cru qu’elle lui ai poussé directement dans la main.

Considéré par ses propre camarade comme un puissant allié, lui même se voyait plus comme un fervent serviteur de son Dieu et de l’Oblat. Soulageant par sa maîtrise ses alliés de la peur du combat, il n’essuya durant dix ans aucune défaite, durant dix ans il combattit avec ferveur.

Puis il rencontra une femme Cydienne et alors qu’il s'apprêtait à l’achever d’un coup d’épée en travers de la gorge la Cydienne cria “par Aatorva j’irai jusqu’au bout !” Et la Cydienne s’élança sur lui pour le terminer. Il bloqua la lame de Cydienne avec son bouclier, la désarma, choppa sa gorge et dit…
“Quel déesse viens tu d’implorer, Cydienne ?”
- Aatorva… sale rat
- Aatorva …
- … Quoi ? Achève moi que je te poursuive en enfer !
- Comment connais tu cette déesse, Cydienne !?
- C’est là, la seule qui mérite d’être implorée pour nous autres soldats.
- Je suis d’accord, Cydienne
- Pardon ?
- J’ai moi même juré allégeance devant Aatorva de protéger les guerriers qui la vénérait.
- Alors…
- Alors je te lâche Cydienne… Viens au temple du bastion de Mun dans 6 jours ne te fais pas remarquer, je veux en savoir plus, va maintenant ou mes soldat te trouverons.

Six jours plus tard encapuchonnés en noir il se retrouvèrent dans la cour extérieure du Temple, il parlèrent fort longtemps…
Dès lors tout les Dimanche Dipankara sortirais de l’armée pour rejoindre la frontière. Et retrouver cette étrange Cydienne…
Leurs croyances étaient similaires et la vie qu’elle lui décrivait avait l’air si belle.
Son coeur de jeune homme trouvait enfin un réconfort qui lui avait si longtemps interdit, et pendant deux années ses instinct furent satisfaits chaque semaine, son besoin de voir le monde également, tout était enfin beau. L’existence avait en fait un sens.
Un Dimanche dans une grange de la frontière un homme masqué tout en noir de la tête au pieds s’approcha de lui et sa compagne. Nu il se leva d’un bond brisa le bras de l’assassin supposé à main nue, lui rendant impossible l’usage de sa dague, il plaqua l’individu au sol et lui arracha son masque.
Alors il fut surpris de découvrir … sa compagne.
Celle qui vénérait la même déesse que lui, avait tenter de l’assassiner.
Lâchement.
Dans le dos, en le trompant, il n’y avait jamais eu de sentiment, qu’illusions.
Rien, illusions, seul était la mission lâche de cette femme assassin.
Alors en pleurs, et de rage devant ce qu’il venait de réaliser il prit dans ses deux mains sa tête et la cogna violemment contre le sol. Il ne posa pas de question, il pleura et revint à l’armée en pleurs, laissant le cadavre de sa compagne dans la grange. Il ne bougea pas pendant deux semaines, pendant deux semaines les batailles s'enchaînaient et il n’y trouva aucun plaisir, il ne trouvait aucun plaisir nul part. Il vit ses camarades tomber devant ses yeux sans qu’ils ne réagisse.
Puis alors qu’il méditait sur son futur. Ce qu’il deviendrait et sur ce qu’il avait vécu. Il compris enfin ce qu’était le monde, le monde était remplis de lâches et de fourbes, aucun Cydien n’était digne de confiance leur vie de corrompus les rendaient fourbes, la seule chose que la vie donnait aux gens était la gloire de servir leur royaume. C’était ça les beauté du monde, vivre pour servir Storghein et l’Oblat, vivre pour servir au nom de la déesse Aatorva et s’assurer le salut des âmes de tous. Que leur lâcheté ne puisse durer les rendre fort, les rendre grands par respect ou par peur.
La beauté c’était le pouvoir, la gloire.
Le plaisir est futile. Les passions, futiles. Le désir, futile. Seul importe le Royaume, La Reine et les Divins.

La Victoire au service des Divins

A 30 ans, l’armée devint la seule raison de vivre de Dipankara, pour défendre le Royaume, le Suzeraine, Les Dieux.
En 4 ans il débusqua une centaine de Cydiens, il en éviscéra deux dizaines lui même. A 34 ans il avait plus d’influence stratégique sur le 10e Régiment que le Capitaine et le Stratège de celui ci. Si bien que sur décision du général de l’armée le Capitaine du dixième ainsi que le Stratège furent remplacés par Dipankara seul.
A 36 ans, il fait repousser un raid d'une coalition de 127 bandits avec un contingents de 34 soldats, avant même que le raid ne commence les troupes de Dipankara exécutaient les bandits qui passaient à peine la frontière. Évitant ainsi le moindre trouble à la population.

Le 10e Régiment fut donc renommé le 10e Victorieux après cette victoire éclatante.
Et Dipankara honoré par l’Oblat elle même, et par un défilé du 10e Victorieux dans les rue de Storghein.

A 37 ans, alors que sa gloire est à son apogée, Dipankara perçoit le monde comme un Empire appartenant à la gloire de l’Oblat.

On raconte que Dipankara recevrai l’aide d’une divinité sur le champs de bataille agissant à travers son regard paralysant les faibles de peur, sa détermination lui permettant d’ignorer la douleur jusqu’à l’accomplissement du but qu’il se fixe. Mais cela parait une formidable fabulation des guerriers qui l’ont rencontré son allure est juste magistrale rien de plus. C’est évident, ce n’est que de la superstition n’est ce pas ?

Divinité: Aatorva
Faveur divine : Aatorva accorde à ses adorateurs la puissance de juger les âmes, celles qui sont pures, grandes et ne connaissant ni la peur ni la colère n’ont rien à craindre. Néanmoins les lâches, les fourbes, ceux dont le coeur est empli de colère ou de peur seront figés quand Aatorva leur dévoilera la noirceur de leur futur.
Aatorva n’accorde ses faveurs qu’aux grandes âmes, et peut au combat bénir ces âmes pour qu’elles accomplissent leur devoir, leur donnant un courage et une détermination à toutes épreuves. C’est une arme à double tranchants… en effet si la détermination peut vous faire traverser un champs de flèche, la fin de cette bénédiction s’est bien souvent soldée par la mort honorable de l’adorateur, car les flèches vous ont quand mêmes atteints. Sans doute avez vous tué votre cible, mais les blessures sont réelles et beaucoup n’ont pas survécu à ce qu’il ont fait sous cette bénédiction.

Description : Aatorva est la juge devant l’éternel, à votre mort elle est celle qui vous dira Grand guerrier ou Pleutre assassin. Il est dit qu’elle accueille les plus grands en son palais, où attend le bonheur éternel. Tout les Dieux la connaisse comme la Gardienne de la Porte, celle qui à le pouvoir de juger tous les fidèles, de n’importe quels Dieux. Et également comme celle qui s’incarna en humaine pour ouvrir les portes entre les mondes.
Selon la légende elle fit alliance avec la première Oblat pour ouvrir à nouveau les portes du monde des Dieux aux plus Vaillants des mortels.
Elle est également la Femme de Krom, et la plus vieille déesse des Artogs.

image de Aatorva: http://hpics.li/85412e6

Mon heure de gloire !
Votre prénom(facultatif): William
D'où venez vous? (facultatif) de France
ge (facultatif): 18
Avez-vous lu et approuvé les règles? [Validé ^^]!
Comment avez-vous connu le forum? RPG top ^^ Es numero UNO ^^
Idées, remarques ou suggestions? Ouip j’ai remarqué deux trois fautes dans l’histoire comme “dominait en maître” c’est un pléonasme, ça se dit pas on dit “régnait en maître” ou juste “dominait” ^^ Et deux trois fautes comme ça, faut corriger :3 ^^

Dernière édition par Dipankara le Lun 24 Fév - 4:19, édité 5 fois

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Eléa

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Compétences bonus: Manipulation du feu, dressage d'une bête, Spécialisation (rapière)
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Sujet: Re: [Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Lun 24 Fév - 1:43

Bonjour et bienvenue ! =) Quelques petits points sont à corriger avant ta validation : > Compétences : si je comprends bien, tu as choisi la spécialisation à l'épée et la spécialisation au bouclier ? Si oui, il faut dissocier les deux compétences dans ton profil comme ta fiche pour permettre aux membres une meilleure compréhension. ^^ Ps : on dit "faveur divine" pour la compétence. ^^ > Petite précision, un bouclier, aussi puissant soit-il, ne te protègera pas d'une attaque élémentaire (feu, eau etc), du moins ne te rendra pas insensible à ladite attaque, le bois comme le cuir brûlent. > Je valide le fait qu'il soit capitaine du 10e régiment. > Je me permets de demander des précisions sur ta déesse : les pouvoirs accordés à ceux qui la prient sont donc : - juger la grandeur d'âme : là j'avoue ne pas comprendre en pratique ce que ça donne, je veux bien une explication sitiplait ^^ - donner du courage et une détermination à toute épreuve : ok pour moi. > Les mois sont précisés ici : LIEN, juillet correspond à Souffleciel. > Cydonia et Storghein n'ont pas de frontières communes (c'est un détail mais j'ai cru comprendre ça dans ta biographie). > Sur la fin de la biographie, tu dis que ton personnage a tué une centaine de Cydiens et débusqué des milliers de Cydiens en quatre ans. Ce ne sera pas possible. Seules des escarmouches sont recensées entre les deux cités (des batailles bien rangées n'ont que rarement eu lieu) et ensuite, seuls les soldats ou assassins sont concernés, tuer un civil est considéré comme un crime, autant chez les Cydiens que chez les Astorgs. Il faudra éditer, une ou deux centaines, je veux bien, mais pas plus. Les armées Astorgs et Cydiennes ne sont pas si bien fournies qu'elles puissent se permettre autant de perte en si peu de temps. > Pour le passage sur le raid de 800 soldats ce sera non également, il n'y a pas eu d'escarmouche entre les deux cités sur la frontière depuis longtemps, notamment parce qu'ils n'ont pas intérêt à s'attaquer de front, ensuite parce que Cydonia ayant trahi lors de la bataille de Tamawa, ils n'ont plus rien tenté depuis. x) Une fois ces détails corrigés, je te validerai, si tu as des questions, n'hésite pas à m'envoyer un MP !

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Sujet: Re: [Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Lun 24 Fév - 2:50

Ahaha désolé x) Je me suis un peut emporté sur le compte des morts ... bref j'arrange tout ça au plus vite x) . Je considère la spécialisation épée bouclier comme une combinaison, on ne se bat pas pareil avec une épée et un bouclier qu'avec une simple épée... Donc je dissocie mais je précise.. ? En passant les bandits à la fin de la biographie c'est un regroupement de bandits nomades, pas des cydiens Alors le jugement des âmes, c'est pourtant simple.. J'écris si mal que ça ^^ ? La détermination, lisible sur l'adorateur d'Aatorva, inspire une telle peur à ses ennemis que tout ceux qui sont lâches s'en retrouve paralysés de terreur. Ça fait partie en quelque sorte du "boost de détermination d'Aatorva, quelqu'un de déterminé c'est effrayant, quelqu'un de Divinement déterminé ça glace le sang au poing de t'encrer les pieds dans le sol si tu es un lâche, un faible... Par contre quelqu'un qui n'est pas lâche n'en aura presque rien à faire... Ça va, c'est plus compréhensible ? Une petite chose en passant le cuir sa brûle très très mal, si mal que de 1800 à 1950 environ les habits des pompiers étaient en.... cuir. Et mon bouclier est en métal sous le cuir si tu as lu, alors ce n'est pas une bonne défense mais je pense qu'il est légitime de dire que cela permet de parer deux ou trois boules de feu. Et autres magies élémentaires, il va sans dire qu'un attaque peux passer outre cette défense mais en attendant... c'est pas si mal ^^ Je dois vraiment écrire mal, parce que j'ai jamais dis qu'il avait une frontière commune, la Cydienne est en mission c'est pour cela qu'elle est débusquée à la frontière par Dipankara. Et mon personnage n'a jamais tué de civil. Ça serait lâche et c'est pas vraiment dans son crédo x). Bon pour les bandits et le régiment je baisse les chiffre mais je rappelle que c'est une coalition de bandits, pas des Cydoniens, les bandits exécutes dans cette bataille n'ont pas d’affiliation.

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Sujet: Re: [Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Lun 24 Fév - 4:45

Je me permets de citer tes messages pour qu'on s'y retrouve xD Citation : Je considère la spécialisation épée bouclier comme une combinaison, on ne se bat pas pareil avec une épée et un bouclier qu'avec une simple épée... Donc je dissocie mais je précise.. ? Cela n'est pas dérangeant que tu combines les deux (c'est même logique quand on regarde comment se battaient les romains par exemple) seulement ce sont deux compétences différentes sur le forum. Dans le profil, il ne figure que les compétences, pas la façon dont on s'en sert, c'est pour cela qu'il faut dissocier les deux Citation : En passant les bandits à la fin de la biographie c'est un regroupement de bandits nomades, pas des cydiens En effet, je n'avais pas vu, autant pour moi. ^^ Citation : Alors le jugement des âmes, c'est pourtant simple.. J'écris si mal que ça ^^ ? XD Non non juste que j'avais du mal à visualiser dans un RP ce que ça peut faire rien de dramatique ! En gros donc si la personne est lâche, elle sera paralysée mhm ça marche pour les PNJ (à condition de se montrer raisonnable mais je te fais confiance ^^) par contre un joueur aura toujours le choix de dire si ça marche ou pas sur son personnage. Citation : Une petite chose en passant le cuir sa brûle très très mal, si mal que de 1800 à 1950 environ les habits des pompiers étaient en.... cuir. Et mon bouclier est en métal sous le cuir si tu as lu, alors ce n'est pas une bonne défense mais je pense qu'il est légitime de dire que cela permet de parer deux ou trois boules de feu. Et autres magies élémentaires, il va sans dire qu'un attaque peux passer outre cette défense mais en attendant... c'est pas si mal ^^ Quelqu'un qui manipule le feu n'enverra pas forcément une boule de feu. En combat singulier, certains membres ont déjà chauffé à blanc leurs épées ou encore, à distance, fait chauffer les parties métalliques des armures de leurs ennemis. Cydonia est spécialiste là dedans, ils forment les meilleurs élémentaires, c'était une précision en relation avec ça. Mais comme dit, c'était une précision, parce qu'un bouclier reste une solide défense malgré tout (surtout face à de telles méthodes qui restent longues à mettre en place et pas à la portée de tout le monde ^^) mais en bonne admin, je me dois de donner les mêmes limites à tout le monde Citation : Je dois vraiment écrire mal, parce que j'ai jamais dis qu'il avait une frontière commune, la Cydienne est en mission c'est pour cela qu'elle est débusquée à la frontière par Dipankara. Non non ce passage je l'ai bien compris, seulement tu parles de combats sur des terrains qui appartiennent visiblement à Storghein ou qui sont en limite de la cité et de son territoire d'influence (ou alors j'ai mal compris et là autant pour moi xD) et comme tu dis que tu y combats des Cydiens, je me permettais de préciser que ce type d'affrontement est rare et qu'ils n'ont pas de frontières communes. Si tu le savais, pas de soucis dans ce cas. ^^ Citation : Et mon personnage n'a jamais tué de civil. Ça serait lâche et c'est pas vraiment dans son crédo x). Tu n'avais pas précisé à la fin pour le passage où il tue une centaine d'entre eux en quatre ans c'est pour ça que je préférais le dire. ^^ Pour le reste, tout me semble bon, si mes explications te conviennent, je te valide sur le champ. Je te laisse modifier pour le profil et préviens moi ensuite à la suite de ce message pour que je finalise ta validation ! =)

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Dipankara

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Sujet: Re: [Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Lun 24 Fév - 5:04

Citation : Cela n'est pas dérangeant que tu combines les deux (c'est même logique quand on regarde comment se battaient les romains par exemple) seulement ce sont deux compétences différentes sur le forum. Dans le profil, il ne figure que les compétences, pas la façon dont on s'en sert, c'est pour cela qu'il faut dissocier les deux Ok, bien compris ^^ Citation : XD Non non juste que j'avais du mal à visualiser dans un RP ce que ça peut faire rien de dramatique ! En gros donc si la personne est lâche, elle sera paralysée mhm ça marche pour les PNJ (à condition de se montrer raisonnable mais je te fais confiance ^^) par contre un joueur aura toujours le choix de dire si ça marche ou pas sur son personnage. Bien sûr mon idée de base c'était de laisser le joueur avec lequel je RP choisir C'est plus intéressant quand chacun mais son grain de sel ^___^. Citation : Quelqu'un qui manipule le feu n'enverra pas forcément une boule de feu. En combat singulier, certains membres ont déjà chauffé à blanc leurs épées ou encore, à distance, fait chauffer les parties métalliques des armures de leurs ennemis. Cydonia est spécialiste là dedans, ils forment les meilleurs élémentaires, c'était une précision en relation avec ça. Mais comme dit, c'était une précision, parce qu'un bouclier reste une solide défense malgré tout (surtout face à de telles méthodes qui restent longues à mettre en place et pas à la portée de tout le monde ^^) mais en bonne admin, je me dois de donner les mêmes limites à tout le monde La boule de feu était un exemple, je me doute que tu dois donner des limites, je précisais juste la réalité de la physique xD donc voilà un bouclier ça marche... mais pas contre tout, je m'en doute... si le mec chauffe à blanc mon bouclier par exemple je suis dans la *** xD Donc ok pour tous ça ^^ Citation : Non non ce passage je l'ai bien compris, seulement tu parles de combats sur des terrains qui appartiennent visiblement à Storghein ou qui sont en limite de la cité et de son territoire d'influence (ou alors j'ai mal compris et là autant pour moi xD) et comme tu dis que tu y combats des Cydiens, je me permettais de préciser que ce type d'affrontement est rare et qu'ils n'ont pas de frontières communes. Si tu le savais, pas de soucis dans ce cas. ^^ Oui je le savais donc, ok ^^ Et si les cydiens en escarmouches sont plus nombreux à la limite du territoire d'influence, je veux dire rare mais plus fréquent c'est parce que s'enfoncer en territoire ennemi c'est toujours assez dur, plus que de rester en bordure pour tenter des escarmoucherons. Bref, Ok. ^^ Citation :** Tu n'avais pas précisé à la fin pour le passage où il tue une centaine d'entre eux en quatre ans c'est pour ça que je préférais le dire. ^^ Pour le reste, tout me semble bon, si mes explications te conviennent, je te valide sur le champ. Je te laisse modifier pour le profil et préviens moi ensuite à la suite de ce message pour que je finalise ta validation ! =) Et bien visiblement on est d'accord. Ok pour moi ^^

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Reine Amazone

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Sujet: Re: [Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins. Lun 24 Fév - 5:46

C'est ok dans ce cas, je te valide rang 1 ! =) Alors, dans un premier temps, n'oublie pas d'aller faire ton dossier : ICI Lorsque tu voudras débuter le RP, je te conseille de faire un petit tour ICI ! Amuse toi bien parmi nous ! =) Si tu as des questions, surtout, n'hésite pas !

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[Attente de vérification et/ou validation] Dipankara, Yol'Aatorva, au service de l'Oblat pour les Divins.

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