Ereth Nombre de messages : 9
Âge : 27
Race et âge : Almer ~ 26 ans
Cité : Erathia
Métier : Chasseuse
Feuille de personnage Compétences :
Pistage ~ Archer ~ Piège Compétences bonus :
Dressage - elle dresse un griffon nommé Smaragd Réputation :
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Sujet: Ereth, chasseuse Almer !
Sam 22 Fév - 10:13 Renseignements généraux Nom (facultatif) : ZÿPrénom : ErethÂge : 26 ans Race : AlmerLangues: CydienCité d'appartenance: ErathiaMétier: ChasseusePosition (facultatif): ~Main dominante : Droitière
Possessions Monture ou engin : Cheval bai, à la crinière et à la queue courte, nommé Mÿru. Il a des muscles puissants et court vite. Arme: Un arc en if, léger mais très performant, fierté d'Ereth.Armure: Tenues faites de cuir, allant de cuirs fins aux cuirs renforcés de fourrures épaisses en fonction des saisons. Elles sont sobres, faites mains et parfois rapiécées, et se camouflent parfaitement bien - plusieurs coloris en fonction du type d'endroit ou elle chasse. Ce n'est pas parce que c'est main, que c'est de mauvaises qualités ! Au contraire !Nom de votre échoppe : ~ Roleplay Compétences: Pistage ~ Archer ~ PiègeCompétence bonus (si offerte par le métier): DressageAnimal dressé : Ereth élève un griffon nommé Smaragd, qui possède les attributs communs à sa race : un corps d'aigle, greffé sur un arrière de corps de lion, avec des oreilles de cheval et une queue de serpent. Ses griffes ont la particularité de noircir au contact du poison. Ereth a trouvé Smaragd dans une forêt, une nuit de pleine lune, alors qu'il n'était encore qu'une jeune griffon, environ agé d'un mois. Elle l'a recueilli, et elle le dresse désormais au combat, et ne sais pas encore si elle le gardera ou si elle le revendra. Actuellement, Smaragd est agé d'un an.Faiblesses: Empathie envers les animaux ~ Faveur DivineBut du personnage: Elle n'a pas de but précis, mais elle est en quête de créatures mystiques, et donc d'agrandir son tableau de chasse.
Description physique Il y a certaines personnes qui ont des apparences normales, voir même banales mais qui on ce don, ce don assez rare, d'avoir ce léger « quelque chose ». Un petit quelque chose qui les fait ressortir de la banalité même ou ils semblent inscrits aux premiers abords. Ils ne sont pas d'une beauté extrême pour autant, mais leur nature leur permet d'exercer une attirance toute particulière sur les autres. Et bien, il est vrai, Ereth fait partie de cette catégorie de gens là. Encore est il que, fort heureusement pour elle, cette attirance ne s'exerce pas sur les animaux – il aurait alors était fort dur pour elle de rester discrète durant une traque. Elle est assez classique, typée comme une Almer. Sa peau halée, s'approche plus d'un bronzage doré que d'un bronzage bien foncé, mais hormis cela, elle est conforme à sa race. Ses cheveux d'un faux blond - elle s'est faite une teinture -, autrefois longs, sont désormais courts, pour éviter qu'ils s'accrochent aux branches, mais courts dans le sens qu'ils sont aussi courts que ceux d'un homme, tous regroupés du coté gauche, et avec la partie droite du crâne rasé. Ses yeux sont eux aussi typiquement Almers : des yeux de biches, aux faux airs innocents, au regard d'un noir de jais, et de longs cils. Pour terminer son visage, il faudra ajouter qu'elle à un nez légèrement retroussé, qui lui confère un coté enfantin. Elle n'est pas très grande, arrivant environ a l'encolure de son cheval, mais elle est élancée, avec une musculature puissante sans toutefois être trop imposante : des muscles lui permettant d'endurer des heures sans bouger, en traquant une proie, sans ressentir la moindre fatigue, mais également lui permettant de tirer à l'arc avec habileté, force et précision. Quand à son petit quelque chose, il serait impossible de l'expliquer sans toutefois se perdre dans de longs discours hasardeux sur la condition et le regard de chacun sur la beauté. Ainsi, pour vous éviter tout discours ennuyant, je dirais que c'est son regard qui intrigue, d'une seule couleur, sans distinction entre pupilles et iris, mais avec une profondeur et un reflet de son âme qui ne peut que bouleverser.Caractère, qualités et défauts: Il faut tout d'abord savoir que Ereth se plaît à faire croire aux gens qu'elle est une jeune femme sans véritablement de caractère, mais au contraire plutôt superficielle. N'étant pas très sociale, il ne lui ai pas difficile de ne pas s'attacher aux gens. Si elle cache sa vraie personnalité, c'est par timidité, une extrême timidité qui lui vient de son enfance. Elle a aussi en horreur de raconter ses histoires passées – dont son enfance -, car n'aimant pas s'apitoyer sur son sort. Elle a en réalité un caractère plutôt complexe. C'est une battante, qui ne s'accorde en aucun cas la défaite. Elle est loyale et respectueuse envers tous ceux qui seront l'apprécier à sa juste valeur. Toutefois, comme dit précédemment, rares sont ces amis, car elle se complaît à la solitude, et son caractère changeant est bien souvent agressif. En effet, un rien la rend nerveuse, et elle sera alors capable de sortir des remarques qui ne plairont sûrement pas à son interlocuteur. Elle sera aussi langue de vipère et ne se privera pas de donner de fausses pistes ou informations aux personnes l'importunant, notamment d'autres chasseurs traquant le même gibier qu'elle. Lorsqu'elle se sent en confiance, à l'inverse, c'est une jeune femme attentionnée, avisée et réfléchie, qui sera de bonne foi et porteuse de bons conseils. De même, durant une chasse, elle se sentira à l'aise, et la traque est un des rares plaisirs qui lui font oublier ses soucis et expulser sa colère. Écouter le chant des oiseaux et le silence de la nature n'aura sur elle que des effets positifs. Pour finir, ce brin de femme courageux – et outrageux la plupart du temps - n'a pas réellement de ville d'attache. Sa cité d'appartenance étant Erathia, elle préfère cependant vagabonder au gré de ses envies, et passe le plus clair de son temps éloignée de toute civilisation.Biographie: Introduction
« N'est-il pas dit aux enfants de vivre leurs rêves ? Pourquoi diable leur dit-on de s'accrocher à ce qui les fait vivre et rêver, pour, dès qu'ils aient l'impression de toucher au but, leur enlever tout espoir ? J'aimerais être comme Elle, comme Ilith. Elle est insaisissable, elle. Mon destin ne pourrait-il pas en être de même ? » Ma main tremblait légèrement en écrivant ces quelques lignes. Imperceptiblement, certes, mais les larmes coulant sur mes joues, racontaient bien plus. Une première larme vint s'écraser sans un bruit contre la feuille de papier sur laquelle ma main d'enfant avait écrit.La première larme : l'Espoir
Il est des souvenirs qui marqueront à jamais la vie de quelqu'un. Ils n'ont parfois pas d'importance, ce sont parfois simplement des scènes quotidiennes de notre vie. Mais ces scènes s’impriment en nous. Un des premiers souvenirs que j'ai, est celui où je me vois, mon père et moi, jouant ensemble. C'était un matin doux, comme il en est au printemps. Les oiseux chantaient la liberté, et un vent infime venait caresser mes cheveux d'enfant – j'avais alors sept ans. Nous avions alors une sobre demeure sur les rives du grand fleuve Nael. Nous n'étions que deux, mon père et moi-même, ma mère ayant déjà disparu de ma vie. Mon père m'avait raconté que c'était un ours qui l'avait prise, durant une expédition dans la haute chaîne des montagnes de l'Est, alors que j'étais âgée de deux ans. Quoi qu'il en soit, je ne gardais de souvenir que l'éducation reçue de mon père, et non de ma mère. Le cadre était idyllique ce jour-là, mais je ne serais reconstituer exactement la scène. Les seuls souvenirs précis étaient les oiseaux qui chantaient, et le vent. Et en face de moi, mon père, péchant dans le fleuve, et m'apprenant quelques astuces. « - Tu vois, ma fille, il faut que tu t'assoies, et que tu ne bouges plus, c'est primordial tu comprends ? Regarde dans l'eau. On voit mon reflet. Tu sais, les poissons ont peur de ce reflet, alors tu dois leur laisser le temps de s'habituer à lui. Ensuite il n'auront plus peur, et ils approcheront de la ligne. Tu te souviens ce que c'est que la ligne ? Bien. Tu vois, regarde. Il y a un poisson qui s'approche. Ne bouge surtout pas, d'accord ? » Ses paroles étaient douces et rassurantes, et l'on sentait l'amour paternel en ces paroles, et en sont chaleureux regard. C'est alors qu'il me passa la canne à pêche. J'étais encore jeune, et apprendre me faisait envie. Ainsi la saisis-je entre mes petites mains, et appliquai-je les conseils prodigué par mon père. Tout me semblait alors clair pour moi, je me sentais destinée à la pêche et à reprendre l’échoppe de mon père à Ptot Tàh, où il vendait ses poissons. Mais ce qui me marqua dans ce souvenir, c'est que lorsque je pris la canne, les oiseaux cessèrent de chanter. Et le vent se mit à souffler plus fort.La deuxième larme : Quand vient la haine...
S'écrasa alors la deuxième larme, et ressurgit un deuxième souvenir. Je n'avais que peu d'amis, mais du haut de mes dix années, je ne souhaitais rien d'autre de plus que d'en avoir. Rien ne m'était alors plus cher à mes yeux. Il faut alors comprendre la joie immense qui envahit mon cœur lorsqu'une famille vint bâtir sa maison près de la nôtre. Ils étaient trois, et Almers, tout comme mon père et moi. Darkhun, le père était lui aussi pécheur, mais il n'avait travaillé qu'en tant que vendeur à Ptot Tàh. Ainsi, désireux de vouloir monter sa propre entreprise de pêche, avait-il décidé de venir sur les rives de Nael pour apprendre le métier. Avec lui, était venue sa femme, Angia, et son fils, Minjun. Je n'avais d'abord pas osé m'approcher d'eux, par timidité, mais aussi car je n'avais jamais connu personne hormis mon père. Aussi fut-il dur pour moi de venir à leur rencontre, et s'écoulèrent un ou deux mois avant que les deux familles ne fassent vraiment connaissance. Ce fut par un matin d'été que Darkhun vint frapper à notre porte. C'est un homme fort louable, du moins était-ce l'impression qu'il dégageait, avec qui mon père ne tarda pas à lier de fort liens d'amitiés. Ce dernier proposa alors à Darkhun de lui transmettre les ficelles du métier, car il se devait, disait-il, d'aider un confrère pêcheur nouveau dans le monde des poissons. Mon père et lui devinrent de plus en plus absent à mesure que le temps passait, ils leurs arrivaient même de s'absenter durant plusieurs jours, et de revenir chargés de prises. Les retrouvailles se faisaient toujours dans une joie festive, mais au fond de mon cœur, vint s'installer un sentiment nouveau : de la haine. Une enfant de dix ans peut-elle connaître la véritable haine ? Il me semblait que oui. Cette haine grandissait un peu plus à chaque retour de voyage. J'avais jusqu'alors cru que mon père ne m'abandonnerai jamais, mais il partait désormais avec un homme rencontré depuis peu, sans se soucier de mon cas, ni plus même m'apprendre le métier qu'il m'avait destiné. Durant les absences des deux hommes, Angia m'invitait en sa demeure. Malgré notre différence d'âge, toutes les deux avions le sentiment d'être rejetée et abandonnée par les hommes. J’eus de longues discussions avec elle, elle m'appris à cacher mes sentiments, et fit naitre en moi un raisonnement adulte et mûre, que n'aurais jamais eu une fillette de mon âge. Angia devint comme une mère pour moi. Et c'est alors que je fis connaissance de Minjun.La troisième larme : Vivre
La troisième larme vint aussi mouiller le papier au souvenir de Minjun. Minjun était un petit garçon de douze ans. Il était Almer mais avait des airs Jinmen, ce qui m'avait toujours intrigué chez lui. A force de passer nos journées dans une même maison, nous fûmes obligés de nous parler, à un moment ou à un autre. Il s'avéra que Minjun était drôle et gentil, et que tout les deux, nous nous entendîmes vite bien. Il avait pour passion la chasse, et par un matin d'automne, il m'entraîna dans une petite zone boisée aux bords du fleuve. Nous avions fabriqués de petits arcs en bois ridicules, et taillés des flèches durant toute la matinée. Notre après-midi se résuma à des tentatives infructueuses de chasses d'écureuils, mais au moins nous nous amusâmes bien. Nous ne tardâmes pas à a nous rendre de plus en plus régulièrement dans le petit bois, mais aucun de nous ne parvenait à tuer un animal. Angia, qui avait remarqué notre manège, se rendit à Ptot Tàh, et nous acheta des livres sur l'art de la chasse et des pièges. Grâce à ses ouvrages, je fis bientôt ma première mise à mort : un jeune écureuil se fit transpercer par ma flèche. J'eus d'abord de la tristesse, comme tout enfant devant le cadavre d'un animal. Puis je perçu autre chose, une sensation de bien-être qui m'envahit, et dès lors, je ne pus m'empêcher de chasser. Nos après-midi passées dans les bois était un refuge pour moi, j'oubliais tout, notamment les absences de souvent plus d'un mois de mon père. En hiver, vint le jour de mon anniversaire. Mon père n'était pas là ce jour-là, comme de coutume. Mais pour balayer mon chagrin, Minjun et Angia m'avaient offert un arc solide et puissant, ma première vraie arme. Lorsque je m'en saisit, se produisit un événement étrange, qui me marqua également : les oiseaux se mirent à chanter, et le vent qui soufflait se calma subitement. J'avais beau être Almer, le seule déesse en qui j'avais foi était Ilith. Et ce jour-là, je me mis à penser que peut-être était-ce elle qui m'accordait sa bénédiction ?La quatrième larme : A feu et a sang
Puis vint l'ultime larme. Celle de la douleur, de la déception, et de la mort. Le lendemain de mon anniversaire fut le jour le plus sombre de mon histoire. Alors que je venais de fêter mes onze ans, le monde sembla vouloir s'écrouler autour de moi. Les deux hommes rentèrent au cours de l'après-midi. Mais contrairement à d'habitude, ils ne revinrent pas charger de prises : aux contraires, leurs paniers semblaient désespérément vides. De plus, les deux hommes ne revinrent pas tout à fait en même temps : Darkhun rentra en premier, puis ce fut au tour de mon père, quelques minutes plus tard. La scène me sembla se dérouler au ralenti. Tout deux se dirigèrent d'un coté du modeste salon de la demeure d'Angia, et se tournèrent obstinément le dos. Il y eux d'abord un silence, puis Angia se décida à parler : « - Que ce passe-t-il ? » Hélas, sa question n'obtint pas de réponse, et force nous fut de constater que les pêcheurs ne se décideraient pas à parler. Silencieusement, presque religieusement, Angia nous entraîna, Minjun et moi, en dehors du salon. Dès lors que la porte se referma sur nous, les voix des deux hommes s'élevèrent, impétueuse et colérique. Nous n'entendions mais ne comprenions pas ce qu'ils se racontaient, mais la dispute semblait violente et donnait l'impression de s'envenimer de plus en plus. Puis il y eu un bruit de verre cassé, s'ensuivit un bruit mat et sourd, un deuxième et un troisième. Et le silence. Un silence qui ne voulait pas prendre fin. Et soudain, un éclat de rire, froid, sec, irréaliste. La porte de salon s'ouvrit sur un homme méconnaissable, couvert de sang et au regard de démon. Malgré cela, je reconnus cet homme comme étant mon père. La suite fut confuse, et je ne gardais pas de souvenir précis de ce qui déroula ensuite. Angia découvrit le corps de son mari étendu sur le sol, mort et couvert de sang, le crâne ouvert en deux, sans doute ayant été fracassé contre la petite table. Je croyais me souvenir qu'en fait, Darkhun avait voulu prendre les devants sur mon père, et ruiner son entreprise de pêche, afin de devenir plus riche et plus puissant que lui. Mon père n'avait pas du apprécier. Je n'aurais sans doute jamais la véritable version des faits. Quoi qu'il en soit, mon père décida de prendre la fuite, et ainsi m'enleva-t-il avec lui, vers les montagnes de l'Est. Je ne pouvais plus le regarder en face sans repenser au corps inanimé de Darkhun. Et la haine que j'avais accumulée ne fit qu'accroître lorsqu'il m'annonça que malgré les erreurs qu'il avait fait, il voulait que je reprenne son échoppe de pêche, que je fasse cela pour lui. S'en fut trop pour moi. Je ne voyais plus cet homme qu'en assassin, de plus, la chasse était devenue tout pour moi. « - Je ne reprendrai ton échoppe. Je veux être chasseuse, lui annonçais-je avec dédain. - Ma fille ? Chasseuse ? Mais ma pauvre, tu crois véritablement que je te laisse le choix ? Ta mère ne serait pas d'accord! - Ne me considère plus comme ta fille ! Et je n'ai jamais eu de mère, du moins pas dans mes souvenirs ! Alors je n'en ai rien à faire ! Je serai comme Ilith ! Insaisissable ! Tu ne m’empêchera pas d’être ce que veux ! »La renaissance
« N'est-il pas dit aux enfants de vivre leurs rêves ? Pourquoi diable leur dit-on de s'accrocher à ce qui les fait vivre et rêver, pour, dès qu'ils aient l'impression de toucher au but, leur enlever tout espoir ? J'aimerais être comme Elle, comme Ilith. Elle est insaisissable, elle. Mon destin ne pourrait-il pas en être de même ? » Si j'écris cela, c'est pour me souvenir. Me souvenir dans les moments durs, que j'ai choisi ma destinée. Je serais celle que je voudrais être. Ma main referma le petit cahier. Je saisis mon arc et mon carquois, les livres de chasse d'Angia, et mon cahier. Et je m'échappai définitivement de l'emprise de mon père. Seule, à onze ans, je partais en quête de ma vie. Devenir chasseuse serait pour moi un but. Et si je devais choisir un nom de chasseuse, ce serait... Le Phoenix.Mon heure de gloire ! Votre prénom(facultatif): CamilleD'où venez vous? (facultatif) D'un monde étrange, ce qui explique peut-être bien des choses me concernant ^^Âge (facultatif): 16 ansAvez-vous lu et approuvé les règles? J'ai lu ! D'ailleurs :[Validé !]Comment avez-vous connu le forum? En faisant des recherches pour trouver un bon forum RPIdées, remarques ou suggestions? Superbe forum
Dernière édition par Ereth le Dim 23 Fév - 8:17, édité 3 fois