Nom (facultatif): /
Prénom: Edna
Âge: 68 ans
Race: Cydienne
Cité/groupe d'appartenance: Cydonia
Métier: Chamane
Position (facultatif): /
Monture/engin: /
Arme: Un couteau émoussé qui lui sert plutôt à préparer ses herbes et autres plantes qui lui servent pour faire la tisane...
Armure: vous croyez qu'une épaisse toile de coton arrête les flèches adverses? Moi je crois pas, et je suis pas sûre que la capuche de la pélerinne bloque les coups de poing.
Compétences choisies: _ imposée: Rituel
...................................... _ choisies: Mysticisme, Soin
Faiblesse: Navigation: elle a toujours été affligée d'un horrible mal de mer, et rien que de grimper dans une barque, elle se sent déjà plutôt mal... Les acrobaties, c'est loin d'être son fort, vous comprenez, à son âge, on a du mal à plier les genoux déjà... Du même coup, le combat à mains nues, elle préfère éviter, non pas qu'elle sache pas où taper, mais elle risque plus de se briser la main que de faire mal à son adversaire. De plus, avec ses rhumatismes et son arthrite (hein!) elle est sensible à l'humidité, et surtout au froid humide.
Main dominante: Droite.
But du personnage: Vivre?
Nom de votre échoppe: /

Description physique:

Edna est ce qu'on peut appeler une vieille, avec ses 68 ans. Elle est malgré tout très grande, pour cet âge, avec son bon mètre soixante dix à peine voûté.
Mais cette haute taille est marquée par une maigreur relative, et une grande "sécheresse".
Edna a les muscles noueux, durs comme le bois et pas tellement plus épais que les tendons qui les prolongent, et elle a parfois l'impression de craquer de partout comme une vieille porte sur des gonds rouillés, avec son arthrite et ses rhumatismes.
Il lui arrive même de boiter, si elle marche trop longtemps d'affiler.
Elle a les bras et les jambes longs, le visage aussi.
Ses cheveux gris blanc n'ont plus trace de leur brun originel, et retombent en filasse jusqu'à ses épaules, plutôt qu'en toison.
Un certain nombre de mèches lui masquent anarchiquement le front, haut et ridé, et les pattes d'oies aux coins des yeux, allant même jusqu'à, parfois, lui cacher l'oeil droit.
Ses yeux sont d'un vert pâle un peu gris, là aussi, et enfoncés au fond des orbites comme deux bêtes aveugles dans leurs puits. Bien sûr, elle voit encore, mais pas comme lorsqu'elle avait vingt ans, avec son regard voilé par l'âge et la cataracte.
En dessous, son nez est fin, et en d'autres lieux, d'autres époques, d'autres univers, aurait été qualifié de grec, encore qu'il resta bosselé de cassures multiples, et dévié vers la droite, sur la fin de l'arrête.
Ses pommettes sont légèrement saillantes, mais l'impression est accentuée par ses joues plutôt creuses, qui encadrent une bouche fine, aux lèvres pincées, surplombant un menton volontaire.
Dans l'ensemble, son visage est oblong, plutôt fin, au cuir tanné par l'âge et toute une vie au grand air, pouvant paraître ridé comme un vieux vêtement que l'on porte toujours dans les mêmes plis.
On la voit le plus souvent voyager avec son seul bagage, un sac usagé aussi ancien et craquelé qu'elle, au moins, accroché à son épaule, appuyée sur une vieille branche noueuse à la main droite, dont on ne sait trop si elle l'utilise pour s'aider à marcher, pour tâter le terrain sous ses pieds, ou encore pour se frayer un chemin dans les passants à coups de bâton.
Elle est alors vêtue d'une pélerinne rapiécée à capuchon, qui fut noire, jadis, et lui tombe aux genoux, masquant les chemises lâches et larges dont elle se couvre, et ses braies usagées, puisqu'elle est chaussée de hautes bottes de marche en piteux état.


Edna est grincheuse. Edna est irritable. Edna est asociable...
On pourrait presque l'avoir définie, comme ça. Elle n'aime pas la compagnie, vivant seule ou presque, sans amis réels connus... Juste des voisins éloignés à qui elle demande des "nouvelles du monde", parle de "la pluie et du beau temps".
Chez elle, elle n'a de compagnie que ses oiseaux, qui ne sont pas à elle du tout, puisque plus ou moins sauvages et libres, mais elle les nourrit, les abrite et les soigne, quand elle peut.
Les soins c'est son métier, mais si il lui permet de vivre, elle ne le fait pas au même tarif pour tout le monde.
Ainsi, en campagne, un bol de soupe un quignon de pain lui suffisent, mais elle n'hésitera pas à demander plusieurs fois le coût réel de l'intervention, si son commanditaire lui parait riche, ou simplement si sa tête ne lui revient pas.
Bien qu'en fait, elle soit rarement appelée par les riches, qui lui préfèrent des médecins en bonne et due forme, souvent moins miteux, biens plus chers, plus prestigieux et pas forcément plus efficaces pour autant.
Elle les déteste le plus souvent en bloc, comme elles déteste les politiciens, les "serpents hypocrites venimeux", et les généraux, "des couards de brutes sanguinaires".
Quand vient le froid, ou l'humidité, elle se raidit encore plus, et son humeur ne s'en améliore pas, elle peste contre tout, râle sur n'importe quoi.
Mais elle ne devient jamais colérique, et fait preuve d'une patience qu'elle même estime merveilleuse à l'égard des enfants, des gens simples... Disons qu'elle accepte de leur parler, en fait.
Edna est aussi plutôt casanière, appréciant de disposer de ses petites habitudes, ronchonnant quand on l'en arrache.
Couchée au crépuscule, même au plein coeur de l'hiver, toujours levée avant l'aube, elle est sur les routes au soleil levant, pour faire sa "tournée", et refuser de s'apesentir chez elle... Un chez elle impersonnel, rien de plus qu'une cahutte de bûcheron équipée d'une paillasse et d'un foyer, en vérité.
Elle aurait pu vivre en ville, peut-être... mais elle n'aime pas la ville. Quand elle y vient, elle dort avec les mendiants et les parias, ou elle prend une chambre dans les bas quartiers de Cydonia, qu'elle abandonne rapidement.
La ville, c'est trop de foule, trop d'odeurs, trop de bruit, trop de pierres, trop de déchêts... trop d'humanité au même endroit, voilà tout.
Elle n'y pénétre qu'au compte goutte, cherchant des ingrédients rares qu'elle se paye grâce au petit pactole qu'elle amasse au fur et à mesure, ne dépensant presque rien, ou venant soigner quelqu'un parmis ses vagues connaissances dans la rue.


*Le facteur Pincet faisait comme tous les matins sa tournée à vélo pour distribuer le courrier quand soudain le chien du voisin de M. Resouf sauta la barrière et se mit à... *
[Rembobinage] /dzzzzzzzzut/ "Veuillez nous excuser de ce contretemps momentané. Les responsables de cette erreur ont été virés. Les responsables des responsables de cette erreur ont été viré aussi. Le responsable de l'engagement des responsables des responsables de cette erreur a été viré aussi." /Tchhhhhhhhhhhak/ [Redémarrage]


Il fut une époque où Edna était jeune, évidement.
Une époque dont nul n'a plus vraiment souvenir, à part elle.
Elle est née dans une famille bourgeoise de Cydonia, y a grandit, jusqu'à ses vingt ans. Et, là, du jour au lendemain, elle a disparu, sans plus jamais de nouvelles... sans laisser de pistes, sans explications.
Elle même ne pouvait se l'expliquer, se brusque changement de situation, alors qu'il lui avait toujours semblé être heureuse, dans sa vie d'avant. Qu'elle avait un temps regretté, d'ailleurs. Mais c'était, comme plus fort qu'elle, un appel auquel elle ne savait pas résister.
Un rêve une nuit, un rêve qui avait tout changé, un rêve qui l'avait lancé sur les routes, seule, sans protection. Elle s'était alors découverte chamane, un peu sur le tas, rêvant chaque nuit, de choses qu'elle ne connaissait pas, incapable de contrôler réellement ses nuits et ses rêves. Bien sûre, elle ne le savait pas tout ça, elle se disait juste qu'elle était complétement folle à lier, qu'elle allait finir violée par le premier venu, sur la route, et puis comme esclave, et comme elle n'était pas trop moche, alors... Qui savait. Elle avait finalement quitté la route, marché dans les collines, les terres sauvages, s'écartant parfois vers un hameau de quelques maisons pour récupérer de quoi se nourrir, des nouvelles aussi, à l'époque.
Il lui fallut un an pour trouver le but de son voyage, une vieille chamane toute ridée, replète, haute comme trois pommes, au tein basané, une vieille nua qui ne connaissait même plus son âge.
L'ancêtre semblait devoir mourir au premier souffle d'air, elle survécut quatre ans, quatre années en solitaires, où Edna ne vit finalement personne, sauf, très rarement, à intervalles irréguliers et incohérents, deux ou trois personnes qui venaient voir si la vieille vivait encore, recquéraient ses conseils, la ravitaillaient et partaient dans la journée.
Elle y apprit les rudiments de sa magie, les herbes, la maîtrise des rêves et de l'astral, mais aussi, à l'époque, la débrouille, la gestion de son temps, aussi, la solitude, et les manières de combattre et aussi celles de fuir. Au fond d'elle même, elle savait très bien que ce n'était qu'une étape, que ça ne durerait pas, qu'elle devrait passer à autre chose... mais quoi? Elle connaissait si peu du monde, en fait.
La mort de l'aïeule lui força la main. Elle mourrut un jour où il y avait de la visite, lors d'un voyage dans l'astral. Le visiteur en question fit bien comprendre à la jeune apprentie qu'en restant ici, elle finirait par devenir folle ou mourir, car plus personne n'y viendrait... Il insista d'ailleurs pour brûler le corps de la vieille, et la majeure partie de ses possessions.
Edna n'en retira qu'un petit couteau à herbes gravé, et une lourde branche noueuse qu'elle prit comme bâton de marche, polie par les ans et les mains de nombreuses personnes, mais dont l'histoire lui était aussi inconnue que celle de l'ancêtre.
Et elle repartit sur les routes, gagnant quelques sous dans des activités de charlatanisme, dans la crédulité des gens.
Elle finit un peu par hasard, par atterrir à Muria, malgré elle, sans avoir rien fait pour ça, d'autre que d'avoir rencontrée une Amazone sur la route, médecin de son état, plus vieille qu'elle d'une demi douzaine d'années.
Elle marchèrent ensemble pendant dix jours, sans trop savoir ce qu'il allait en advenir, simplement parce que le jour de leur rencontre, leur chemin coïncidaient, et à papoter, elles firent un jour de plus, et encore un. Edna se sentit retombée en enfance, à rire comme une folle, à parler de tout et n'importe quoi, à faire n'importe quoi, aussi... Le printemps était radieux, les campagnes en fleur, en quelque sorte, et Edna s'installa à Muria, où elle fut comme chez elle, pendant dix ans, aux côtés de son amie, sa compagne, à qui elle servit d'assistante, puis d'associée, au fur et à mesure qu'elle se révéla la surpasser, en soins. Mais toutes les histoires heureuses devaient finir mal, c'était une règle. Son amante mourrut au cours de la dixième année, d'un blessure qui refusa de cicatriser, alors qu'elle même n'était pas là.
Tous ceux qui la connaissaient le virent disparaître d'un coup, s'enfoncer dans le désespoir, la hargne, la misanthropie. Et elle disparut pour de bon, ne laissant un matin qu'une demeure brûlée, des cendres au vent, des souvenirs fugace dans la mémoire des gens.
Elle partit se perdre, à l'est.. Loin à l'est, toujours à l'est. Par delà Storgheim, par delà les contreforts de montagnes, dont elle ne connaissait pas même le nom, suivant les cols et les vallées. Elle marcha, encore, et encore, soignant ceux qu'elle rencontrait, par devoir plus que par réelle envie, ne cherchant que sa fin, en fait, dans les montagnes désertes, plus loin encore. Là, dans l'est, elle sauva sa vie en voulant la perdre.
A monter toujours plus haut, si haut que plus rien ne vivait, parmis les neiges éternelles, parmis le blanc manteau de mort, qui sait ce qu'il arriva? L'avalanche, peut-être? La chute de sérac? L'inconscience, le foid, la chute? La mort, peut-être même, dans ces contrées si étranges, proches pourtant en distance, du monde connu, et tellement éloignées par tout le reste.
Elle reprit goût à la vie, parmis les montagnards frustent qui l'avaient recueuillie. Surtout grâce à une jeune fille, une adolescente d'une douzaine d'année, qu'elle repéra rapidement, parmis les autres.. Elle était chamane, comme elle... et personne ne l'avait formée, encore. Un peu par jeu, un peu pour elle même, un peu pour ses souvenirs, un peu pour cette jeune fille, aussi, elle lui servit de professeur, lui apprenant tout ce qu'elle savait. La fille était intelligente, apprenait vite.
Edna avait atteint près de quarante-huit ans, quand elle estima qu'elle avait fait tout ce qu'elle pouvait, pour la jeune fille, qui devenait presque une femme désormais.
Une femme qui accordait trop d'importance, trop de place, dans sa vie, à son enseignante, au goût d'Edna... Qui n'avait aucune, mais alors aucune envie de revivre ça.. Elle avait l'impression d'une trahison, si elle acceptait... Finalement, elle qui s'était fait une spécialité de disparaître d'un coup, sans prévenir, s'y remit facilement, et partit sans un mot, sans un regard en arrière. Mais sa petite voix dans sa tête qui l'accusait de lâcheté, se faisait toujours plus forte, cette fois, sans qu'elle puisse la faire terre.
Elle regagna cependant les plaine, où elle se fit guérisseuse errante, pour soigner les gens, sans jamais lier de relations, redoutant par trop qu'il lui arrive d'établir un lien avec quelqu'un... Asociable, misanthrope, ni amis ni intimes, rien qu'elle, seule, et la petite voix dans sa tête, qui lui murmurait "lâche, tu es lâche, tu es lâche"...
Et elle continuait, à aller par les routes, soignant le passant, quel qu'il soit, et peu à peu, appris à apprécier les simples, les humbles, les petits... pas tous, mais plus que les riches en tout cas, et à les aider comme elle pouvait.
Ce fut dans cette optique là, qu'elle se réinstalla à Cydonia, sachant pertinament qu'on ne se souviendrait même plus d'elle, en marge de la ville, parce qu'à 63 ans révolus, elle ne se sentait plus capable de trimballer sa vieille carcasse à travers tout le continent...

Mon heure de gloire...

Votre prénom(facultatif): Ben Edna, nan? App'lez moi Zaz', au pire, ça marche j'me r'connais bien comme ça... mais j'doute que ça serve par ici
D'où venez vous? (facultatif) Ahah, bonne question! Hummmm... Si j'dis Cydonia... nan. P'têt bien d'un coin du Lyonnais...
Âge (facultatif): à peu près dans ces eaux là oui...
Avez-vous lu et approuvé les règles? Euh, y avait un code ridicule à énoncer, mais bon, 4 lettres en majuscules, un verbe et un adjectif c'était un peu compliqué pour moi alors j'préfère répondre "viiiii"...
Beuh... bon. [Validé...] (ça fait un peu genre BHV, ou DVD, ou Steak Surgelé non? ) [... par Coco] (mais pas autant que mon grand-papa... )
Comment avez-vous connu le forum? Par Evangeline
Idées, remarques ou suggestions? eeeeuh...
Dites, vous connaîtriez pas des sites d'avatars, au passage?

Bienvenue ! =)

Alours, comme d'habitude, je lis la fiche et je te dis si quelque chose ne va pas ^^

- Il te faudra un avatar (et si possible, en accord avec l'âge de ton personnage).
- Il te faudra remplir le profil.
- Un p'tit détail (vi je sais, je suis casse pied XD) : on dit Cydienne (même si Cydonienne me plait mieux XD).
- Dans ton histoire tu parles d'être venu vivre à Muria, toutefois, si tu pars de la cité, une prime sera mise sur ta tête et si tu es capturée ton sort dépendra de Philéa. Je te laisse donc le choix de laisser comme telle ton histoire ou de changer ce passage.

- Il te faut signer les règles
- Il te faudra marquer le code mwouah ah ah ah !! XD

Jaja te fais dire qu'il te validerait bien uniquement parce que tu viens du Lyonnais XD
Brefle, ces détails passés, je te validerais avec plaisir ! Ta fiche est très agréable à lire, j'y ai pris un grand plaisir à la lire (surtout ton histoire) ^^


Edit Jacen= Bienvenue! On a un topic pour les sites d'avatar: https://elea-sky.forumsrpg.com/l-exposition-et-legendes-f51/idees-d-avatars-t155.htm

Ahah, j'veux bien une mise à prix...

Mais c'est piégeux, comment on l'sait ça dans l'histoire c'est pas marqué...



Bouh, d'façon, elle est officiellement morte, vu le temps, alors qui va la chercher, sérieusement?
Sinon j'ai un peu peur d'avoir versé dans le mélo-dramatique, meuh bon... M'a fallut la journée d'hier pour faire ça... (quand j'parle à une certaine personne j'peux pas écrire... meuh j'vais pas raconter ma vie...)

bon, j'va corriger Cydienne... (j'pas fait esprès m'dame, j'ai du me mélanger

et le profil c'est?
Et pis après j'vais trouver un avatar.



(ah, si, j'ai pas tout suivit, pour signer les règles, c'est où c'est pas en marquant le code? )


Edit: l'avatar est p'têt pas assez vieux, là.... Mais j'ai pas mieux encore...
(déjà, il a fallut que je retravaille l'oeil, pour l'avoir vert, le nez pour essayer de le brusquer à droite, la joue droite j'ai retravaillé aussi pour la rendre moins pleine, et puis aussi la joue gauche, bref, j'me suis amusée comme une 'tite folle avec l'ordinateur et paint.... )

Il faut marquer le code dans ta fiche même s'il est tout pourri.

Pour le profil, il faut mettre les infos demandés dedans (stout con XD).

(C'est Eléa -> je fraude sur le pc de Jaja XD).

Alours pour le profil en fait tu vas dans l'onglet "profil" et tu remplis (âge, cité d'appartenance et métier) et ensuite tu remplis ta fiche de personnage (compétences et compétence bonus) ^^

Ah et je tiens au code XD Enfin Jaja hein moi j'm'en moque ^^
Pour l'avatar c'est vrai que si tu trouves plus vieux ce serait bien sinon tant pis va on fera avec (à mon avis c'est dur à trouver).
Pour Muria, si tu pars de la cité, tu es déserteur en fait donc tu auras une prime sur ta tête et oui, je te poursuivrais mwouah ah ah ah (ou pas hein, promis je mords pas XD).


Edit Jacen= Suite à différents problèmes que nous avons eu, je rappelle que seuls les modérateurs et les Admins peuvent poster avant la validation.

Là j'crois qu'j'ai un ava.... correct..


J'dois êt' folle... j'ai bien passé 3h, pour passer du premier, au second... avec paint paske j'ai que ça...
Mais j'pense que l'ava doit être assez vieux^^



Meuh bon...
Par ailleurs, ch'uis pas sûre que quelqu'un qui me traque ce soit nécessaire, ou alors il est nul, et il est à bout de nerfs, depuis le temps.
Imagine qu'elle a quitté Muria depuis... pfiou... 30 ans? Aheum... du coup, peut-être que dans l'univers du forum ça peut manquer de réalisme?
enfin j'm'étais dit qu'les gens sur place croyaient qu'elle avait finit par mourir, du coup.

Pour le reste, bon ben j'vais voir ça^^

Je crois que tout est bon, à part qu'il faut que tu signes les règles ici(clique!).

fait.

Oki.
Dans ce cas je te valide n___n

Pour l'explication pour Muria : en fait, peu importe le temps écoulé, toute personne quittant Muria est déserteur et donc recherchée.

Personnage validé rang 2

Youpi...

Pour le reste, tant que ça reste un brin réaliste^^

Spoiler:

Je plaide coupable...

Sinon bienvenue !!