Nom (facultatif): Awen
Prénom Gabrielle
Âge 17
Race Demi-elfe (silmarien) cydienne
Cité/groupe d'appartenance: Son corps est à Cydonia mais son coeur est à Silmarie.
Métier: Aspirant Zélote !
Position (facultatif) : ///
Monture/engin : Ses jambes, ses pieds, et ses orteils.
Arme : A l’occasion un arc.
Armure : Toujours vêtue d'une tenue très moulante en cuir violet complétée par des parties en acier.
Compétences imposées : Manipulation de la glace et est une redoutable tueuse à mains nues.
Compétences choisies : Empathie
Faiblesse : Justement son pouvoir d’Empathie et sa grande confiance en elle.
Main dominante : Main gauche.
But du personnage : Découvrir son ascendance paternelle et devenir une grande Zélote.
Nom de votre échoppe : ///
Description physique:
Gabrielle possède une crinière indomptable, aussi douce que du cachemire, aussi bleu que la mer, qui lui tombe jusqu'aux hanches. Sa peau, de la même couleur que le lilas, douce au touché, d'un teint de porcelaine les plus raffinées, attire plus que les regards. Dans l'ensemble elle est assez normale, grande, fine et élancée, avec un ventre plat, parée de belles formes, même du haut de ses dix-sept ans, sujet aux convoitises. En revanche, ses yeux, fait oublier tous ce qui a de banal en elle. De la même couleur que l'or fondu, lumineux comme le soleil, fait ressortir l'astre qui sommeille elle, un regard hypnotisant, empêchant à sa victime des détourner le regard. Ses pommettes sont un peu plus foncées que le reste de son corps, ses lèvres charnue et pleines à souhait, sont d'un joli violet. Un petit nez qui remonte légèrement, un menton vaguement saillant qui n'enlève rien à son charme. Son corps gracile respire l'agilité, ses belles jambes foulant le sol avec légèreté. La jeune elfe aurait pu être une personne à la beauté parfaite mais hélas, il lui manque un doigts à la main droite, l'obligeant à utiliser son autre main au quotidien. D'ailleurs, la cicatrice de cette amputation lui fait régulièrement mal, la contraignant à tremper son poing dans de l'eau froide le plus souvent possible. Heureusement que celle encore valide, compense. Elle ne se maquille pas, préférant rester naturelle, et dans les rares occasions où elle le fait, elle se met une sorte de pâte noire autours des yeux, faisant ressortir la couleur de ces derniers. Pour terminer, détestant avoir ses cheveux dans le visage, ce qui la générait dans ses activités, elle se fait une tresse, chaque matin.
Caractère, qualités et défauts:
Gabrielle a un caractère de cochon, il faut l'avouer. Elle s'énerve vite, même pour des choses infimes, déteste l'autorité, que d'ailleurs elle conteste souvent. Se savant, très belle et désirable, elle joue avec cela, faisant d'elle une grande manipulatrice et l'art du mensonge n'a plus de secret pour elle. Redoutable tueuse, elle n’hésite pas à aller jusqu'au bout des choses, quitte à enlever la vie de quelqu'un. C'est aussi une savante croqueuse d'hommes, ce que beaucoup de personnes ignorent, heureusement pour elle. Cela fait beaucoup de défauts pour une si jeune personne. Elle a quand même de grandes qualités pour rattraper ses écarts. Elle est loyale, quand elle donne sa confiance, elle l'a donne vraiment et ne fait pas les choses à moitié. Elle est intelligente et rusée (comme un renard), gracieuse et agile (comme une panthère), gentille et généreuse (comme un chien) et bien sur, a une volonté de fer. Très persévérante, elle termine toujours ce qu'elle a commencé, avançant sur le chemin de la vie avec une confiance inébranlable, voulant retrouver son père coûte que coûte. En général c'est une fille "bien", elle cache quand même quelques sombres mystères, elle peut dégager une aura malveillante, une barrière fort utile, laissant les autres à distance. Sinon la plupart du temps des gens l'apprécie, elle, sa franchise et son humour. Comme toute personne, elle se relève être très complexe et contradictoire. Elle aime avoir raison et est très têtue, pire qu'une bourrique. En fin d'adolescence, Gabrielle se cherche encore, espérant enfin se trouver.
Biographie:
Tournoyant dans le ciel, la neige, dans une danse endiablée, virevoltait autours de Gabrielle, la faisant frissonner de plaisir. Les flocons venaient se poser sur le bout de ses oreilles, sans jamais fondrent, éternels... Normalement, ils auraient du mourir au contact de sa peau, mais non .. Gabrielle avait une température corporelle extrêmement basse, assez basse pour que les flocons ne se dissolvent pas et pour ne pas avoir froid même en pleins hiver. La magie qui sommeillait en elle, commençait déjà à se réveiller.
Elle avait huit ans.
Puis l'hiver passa, l'été arrivait à grands pas, uniquement vêtue d'un souffle chaud et irrespirable. La jeune elfe haïssait la chaleur, le soleil et tout ce qui allait avec. D'ailleurs sa peau pale le confirmait, même si elle était violette, on comprenait facilement qu'elle ne s'exposait pas souvent aux rayons de l'astre du jour. Elle préférait sortir la nuit sauf l'hiver où elle sortait à toutes heures, seulement vêtue d'une petite tunique, rarement malade, rarement frileuse. Elle aimait s’asseoir dans la poudreuse, regardait les étoiles, très peu vêtue. Sa mère ne s'en était jamais rendue compte. Heureusement pour elle, la ville ne tarda pas à se parer de nouveau d'un magnifique manteau blanc, moelleux à souhait. C'est là que tout ce compliqua, Gabrielle découvrit son pouvoir.
Elle courrait sur une colline, cheveux au vent, quand elle trébucha sur une racine d'arbre. Elle allait plonger le tête la première dans une rivière, fermant les yeux, se préparent au choc, qui ne vint jamais. La rivière s'était totalement congelée, alors la petite elfe continua de glisser sur le ventre, pour s’écraser sur l'autre rive, le nez dans la poudreuse. Elle apprit à le dominer, à le dompter. Gelant les choses, les renforçant, les déplaçant, étrangement beaucoup plus de flocons tombaient là où elle passait ...
Mais elle n'était pas au bout de ses peines. Cinq ans plus tard, un soir d'automne, alors qu'elle bouquinait, blottit dans son lit, elle fut proie à une grande tristesse, une douleur infinie se rependue en elle. Ce soir là, elle pleura comme jamais elle n'avait pleuré.
Le lendemain la situation empira, des sentiments contradictoires naissaient en elle. Elle était en colère mais en même temps triste, jalouse, amoureuse, joyeuse, fatiguée, désespérée, enfin tout un tas de chose. Elle n'eut pas le force de se lever, comme si elle avait le poids du monde posé sur les épaules. Puis une grande fièvre s'empara d'elle (Elle monta a 37° c'est pour dire ...), alors sa mère commença à s’inquiéter. Voyant que la situation ne s'améliorer pas, elle fit venir de grands médecins mais aucun ne trouva le mal qu'elle couvait. Pensant que sa dernière heure était arrivée, dans un semi sommeil, Gabrielle vit une sorte de viel homme entrer dans sa chambre. Ce dernier s'approche du lit, murmura quelques paroles, ferma les yeux de la malade, puis repartit. Cette nuit, Gabi dormit d'un sommeil sans rêves, un sommeil paisible. Elle n’avait pas aussi bien dormir depuis des semaines. Quand elle se réveilla, avec une légère migraine, elle essaya de faire quelques pas dans sa chambre, finit par atterrir sur son lit, sereine.
Dès qu'elle fut remit, elle céda à la curiosité et partit à la bibliothèque, à la recherche de réponses. Elle voulait savoir se qu'elle avait eu. Après six heures de lectures intenses elle tomba sur un mot qui attira son attention : Empathie, le pouvoir de ressentir les émotions des autres, de les amplifier ou encore les atténuer. Ce pouvoir l’embêter, car elle avait déjà du mal avec ses propres émotions alors avec celles des autres .. Elle vivait comme une ermite, évitant les lieux publiques, les rassemblement ou tous contacts avec quelqu'un. Un seul point positif, maintenant elle sentait quand on lui mentait ...
Cela faisait déjà un an qu'elle était aspirante Zélote. Elle manipuler avec virtuosité la glace et avait reçu comme surnom de ses camarades "Glaçon". Même si elle évitait le plus possibles tous contacts, elle ne pouvait empêcher une main sur sa hanche ou un doigt sur son visage. Le contact ne durait rarement plus d'une minute. Une minute désagréable pour tout le monde. Pour elle car elle sentait ce que la personne ressentait et elle n'aime pas du tout cela, provocant dans sa tête d'atroces migraines, et pour la personne en question car il avait soudainement froid. Gabrielle avait la peau aussi froide qu'un glaçon, aussi dur que la glace et aussi douce que la neige. Et quand pour une raison quelconque elle touchait quelqu'un (chose très rare), il faisait souvent un bon.
Un jour un voleur s'introduit dans sa maison, dans l'espoir de les voler, elle et sa mère. Elles se retrouvèrent collées contre un mur, et quand le bandit commença à se rapprocher, Gabrielle tendit les mains devant elle, un réflexe. L'autre tomba par terre, raide mort. Son sang s'était congelé de l'intérieur. Elle regarda ses mains stupéfaites, les cachant vivement dans son dos. (Pendant de longs jours, elle refusa de les utiliser, de peur de faire encore du mal). Sa mère épatée, lui parlait de son père. Ce fut d'ailleurs la seule fois où elle lui parla de lui. Son père était un cydien, grand combattant Zélote, qui possédait de puissants pouvoirs.
Elle savait aussi se battre à mains nues, un vrai massacre quand elle s'y mettait. Elle avait aussi un peu essayer l'arc, mais sans plus. Et pour son pouvoir d'empathie, cela ne s'arrangeait pas. Si quelqu'un était stresser (avant un test par exemple), elle l'était aussi mais en dix fois pire, pareil pour d'autres émotions. Elle haïssait cela, être dépendante du ressentit des autres. Cela faisait d'ailleurs d'elle une proie facile, si on savait comment retourner son don contre elle.
Elle était très bien partit pour retrouver son père, mais elle ignorait bien sur qu'il était mort ...
Mon heure de gloire...Votre prénom(facultatif): Ange
D'où venez vous? (facultatif) Du ciel
Âge (facultatif): Un ange n'a pas d'age
(J'avoue j'ai 8ans ><)
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Validé by Eléa ^^ ]
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et j'ai plus d'aspirine --'
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