Nom :
D'jerbal

Prénom:
Sanko

Âge:
38 ans

Race:
Astorg

Cité/groupe d'appartenance:
Storghein

Métier:
Soldat/Forgeron itinérant

Monture/engin:
Chariot avec deux buffles Marteau et Enclume (l'imagination de forgeron ça surprend), pour transporter son matériel et sa forge mobile.

Arme:
Un bon gros marteau de bataille

Armure:
Un tablier de cuir brut ignifugé, des braies de laines épaisses et de solides bottes cloutées.

Compétences choisies:
Spécialisation dans une arme (le marteau de bataille)
Charisme
Manipulation du feu

Faiblesse:
J'en ai pas moi, de faiblesse...Bon peut être une légère difficulté à me déplacer sans cliqueté et jurer quand la discrétion et de rigueur, mais c'est pas important ça! Si? Arf...
La navigation aussi, je sais ça étonne qu'un Astorg ait pas le pied marin et ben moi non! J'ai horreur de ces foutues coquilles de noix, qui tanguent, craquent dans tout les sens et se retournent par tempête. Laisser moi sur mon sol bien stable je demande que ça!!

Main dominante:
Droitier

But du personnage:
Me balader à travers les campagnes, forêts et cités de notre bien beau pays à part peut être à Cyndonia, sûrement même. Mais j'suis un gars avec un esprit ouvert...et un gros marteau!

Nom de votre échoppe :
La forge ambulante. C'est le nom de mon palace/commerce sur roues, y a une belle affichette dessus où vous pourrez le voir.

Description physique:


On commence par le début alors? Alors je suis un Un bon, grand gars frisant le mètre quatre-vingt quinze, je pèse dans la centaine de kilos. J'ai des yeux gris aciers, vifs, surplombé par de fins sourcils brun, j'ai les cheveux attachés en catogan au niveau de la nuque. Ils sont comme les sourcils, mais ils commencent à blanchir au niveau des tempes, le temps marque même les hommes les plus imposants. Je suis également très propre (madames je vous attends!) toujours rasé de prés, moustache, barbe, tout ça très peu pour moi, le poil brulé, ça sent le cochon grillé et après j'ai faim! Une balafre parcours mon visage de la pommette gauche à la mâchoire de façon verticale, souvenir de mon passé de soldat. Une mâchoire que j'ai carrée d'ailleurs.
Au niveau de l'allure, j'ai celle qui correspond à mon métier, de gros avant-bras avec des brûlures, des mains pleines de vigueur, un torse puissant qu'on compare souvent à celui de mes boeufs de solides jambes, malgré une blessure au niveau du genou droit qui m'empêche de parcourir de très longue distance. Je crois que j'ai fais le tour...ouais, me semble bien!

Caractère, qualités et défauts:

Je ne suis pas un méchant bougre qu'on se le dise! J'ai le visage parfois dur, mais ne vous inquiétez pas, c'est généralement les séquelles d'un passé plein de souffrance et la suite logique d'un métier qui se veut difficile pour les yeux, ce qui vous oblige à froncer les sourcils. Je suis une bonne pâte quand on me connait bien et j'aime bien le contact humain de toute manière. Attention ça veut pas dire que je suis une bonne poire, têtu et méfiant quand on m'approche un peu trop, j'ai tendance à maintenir une certaine distance avec les gens qui ne sont pas de vieilles connaissances. Je donne pas non plus dans le mélodramatique, j'ai foiré un truc? Ben je recommence et je continu, s'agirait pas de s'apitoyer sur son sort, j'ai des objets à fabriquer et concevoir. Il me manque juste quelque chose dans ma petite vie de commerçant itinérant: une femme. C'est aussi pour ça que je parcours les terres. Je suis avec la gente féminine maladroit et timide dans l'entreprise de séduction, c'est pas pour rien que je suis tout seul un*snif*. Et pour finir mon plus grand défaut: l'exubérance, dans l joie, comme dans la peine et pire dans la colère, il faut que je montre mes sentiments. Sinon j'implose et je finis par me blesser ou blesser quelqu'un.

Biographie:

Déballer ma vie, comme ça, pour le plaisir de la voir sur tout les tabloïds...D'accord, mais c'est bien parce que c'est vous!
Tout commence par une froide nuit d'hiver dans un petit bordel de Storghein, Je naquit aprés des heures de pure souffrance pour ma pauvre mère. Ah petite mise au point, je ne suis pas le fils d'une prostituée, jje suis né dans un bordel parce que ma mère sur la route du dispensaire, c'était retrouvé en pleine contraction devant l'établissement et la mère maquerelle avait eu la bonté de la secourir dans cette instant de détresse.
J'ai vécu seul avec ma mère jusqu'à sept ans, bichonné et parfois frappé, j'ai vécu la vie de tout un chacun. Il a fallu, à cet âge, que je choisisse mon apprentissage et j'ai choisi comme un bon petit garçon le métier de soldat. J'ai vécu les jours et les nuits d'entraînement, la pression des instructeurs sur des pauvres enfants de dix ans mais je ne regrette pas, ça vous forge le caractère!! A douze ans, j'ai commencé à avoir la structure d'un grand guerrier (physiquement je parle), Les instructeurs ont alors décidé de me mettre chez les fantassins lourds dés mon âge, que « je baigne dedans ». Ben pour y baigner, dans un monde de brute et de camaraderie franche, j'ai trouvé ma place comme mascotte dans le régiment du marteau. Un régiment de première ligne envoyé dans le tas pour faire le ménage quand la cavalerie n'était pas là ou pas nécessaire.
A quatorze ans, je maitrisais le marteau comme les gars de dix-huit et j'étais capable de me faire respecter sans l'aide d'un aîné, une grande fierté. Trois ans plus tard on m'a envoyé sur mon premier combat, une escarmouche avec des brigands apparemment mieux organisés qu'à l'accoutumée. C'est à ce combat que j'ai récupéré l'estafilade qui massacre encore maintenant mon doux visage. Une cochonnerie de truand aux yeux en amandes qui voulait passer par un chemin dont je barrais l'accès, on a engagé un rapide combat, rapière contre marteau. Il pensait avoir le dessus avec sa rapidité mais j'avais l'allonge. Un coup d'estoc vers ma gorge que j'ai dévié avec le manche de mon marteau, mais qui lacéra la peau de la mâchoire, à la pommette, du même mouvement j'ai fais basculer mon marteau de bas en haut. Celui-ci lui écraser sa virilité, il tomba à genoux et d'un magnifique swing je lui faisais éclater la cervelle. Ma vie de soldat continua ainsi pendant prés de cinq ans, jusqu'au jour où lors d'un entrainement je reçu un méchant coup dans le genoux droit qui m'immobilisa pendant prés de six mois et qui me fit arrêter ma carrière de soldat à vingt-deux ans.
J'ai alors découvert le métier de forgeron et plus précisément d'armurier. Cette découverte se fit grâce à un vieil homme, le vieux Aldirh était dans l'hôpital militaire à cause d'un coup de marteau mal avisé sur sa main et qui l'avait privé de l'usage de sa main droite. Me voyant comme lui au fond du gouffre, il nous sauva tout les deux, en venant me chercher dans le trou béant de mon mal être. Il décida de me prendre comme apprenti pour continuer à vivre de sa passion, mais en l'enseignant. Je découvris alors une grande affinité avec le feu et le métal en fusion, je passais des heures dans la forge à répéter des gestes, à les perfectionner et le vieil homme me regarder faire, à corriger certains défauts ou à s'assoupir avec le rythme régulier du choc de l'acier contre l'acier.
A la fin de mon apprentissage de sept ans, il me confia sa boutique et parti vivre dans la plaine. AU bout de quelques années, il mourut dans son sommeil, paisible, serein et sans regret. De mon côté à la nouvelle de sa mort, j'eus du chagrin, mais je décidais de continuer encore un peu. Quand mes économies furent assez conséquente, je m'achetais une grande carriole, je descellais la forge l'installa à l'intérieur et je parti à l'aventure, avec comme seuls amis mes boeufs, mes outils et mon marteau de guerre. Voilà où j'en suis à présent...




Mon heure de gloire...

Votre prénom(facultatif): Titi pour les intimes
D'où venez vous? (facultatif) de la campagne
Âge (facultatif): 20 ans
Avez-vous lu et approuvé les règles?
Comment avez-vous connu le forum? top site
Idées, remarques ou suggestions? ma foi ça me paraît trés bien pour l'instant, j'en ferai quand je verrais l'occasion d'en faire.