Prénom: Aedos
Âge: 20 ans
Race: Nua
Cité/groupe d'appartenance: Cydonia
Métier: Gardien
Position: Héritier des rites nuas
Monture: Un cheval à la robe couleur safran, nommé Xanthos.
Arme: Mensana, le plus haut dieu du panthéon nua, père de tous les dieux, aussi appelé l'insufflateur d'âme ou celui qui enfanta le monde, proscrit le port des armes. Les armes étant synonymes de mort et lui de vie, il ne tolère pas que son peuple les porte.
Armure: Toujours selon les préceptes du dieu Mensana : « Conserve ce que t'as conféré la nature ». Provenant d'une région où le Soleil ne manque pas, il n'a pour seul armure, que sa peau et un pagne en peau légère, couvrant la zone de son bassin pour le respect de la pudeur humaine.
Compétences choisies: Faveur Divine; Mysticisme; Combat à main nue
La faveur divine d'Aedos, est celle de la déesse associée à la Lune : Sélénée
Elle est dans la tradition nua, la déesse des arts et de la chasse. Une des divinités principales pour ce peuple très proche de la nature. On dit que c'est une déesse rêveuse et aimée des bêtes, qui protège avec ardeur tous ses fervents.
Pouvoirs conférés: Influencer les bêtes au son d'un instrument, appel des yeux de la déesse qui lui permettent de lire les anciens écrits de son peuple.
Faiblesse: Le port d'arme étant proscrit par Mensana, Aedos n'a jamais tenu arme en main, il n'a donc aucune expérience, ni aucune approche de leur utilisation. De plus, il n'a jamais eu d'affinité particulière avec les éléments de la nature et ne peut donc en maîtriser aucun.
Main dominante: La main droite.
But du personnage: Fonder une Cité nua, basée sur les rites ancestraux.
Description physique:
Aedos, est un jeune homme à la stature fière et puissante. Dans la tradition nua, il est dit que le physique d'un homme est le reflet de sa constellation. Il eut la chance de naître sous la constellation du lion. Ainsi, tout en lui porte à rappeler ce noble animal. Il dispose d'une musculation importante, acquise au fil des années dans le cadre de son éducation aux rites ancestraux. Sa formation au combat à main nue et au mysticisme ne furent pas sujets de loisirs. Ainsi, depuis son succès et son « avènement » au titre d'héritier des rites nuas, il arbore sur la partie droite de son torse jusqu'à son avant-bras, un tatouage illustrant un dragon, symbole du dépassement de soi. Selon la légende, Sélénée aimée des bêtes, aurait dompté un dragon pour en faire sa monture. Ce tatouage, plus qu'un symbole, est aussi la marque d'appartenance à l'ordre des sélénides, dont il est devenu le gardien.
Pour en revenir à sa comparaison avec le lion, tout comme cette digne bête, Aedos possède une longue crinière châtain foncé, qui lui descend jusqu'au milieu du dos. Cela étant, il n'est pas pour déplaire aux femmes nuas. Les cheveux longs faisant partie des canons de la beauté de ce peuple, son passage ne laisse pas indifférent. En effet, cette sublime crinière, couplée à la finesse de ses traits et à sa prestance naturelle, font de lui un homme très convoité. Le seul aspect qui pourrait s'avérer gênant est celui de ses yeux. D'un jaune profond, tout comme ceux du lion, ils confèrent à son regard quelque chose d'inquiétant, de déplaisant. Comme si ses yeux pouvaient sonder votre âme... Qui sait?
En tant qu'héritier des rites nuas, Aedos est encore un des seuls à porter la tenue traditionnelle. Le peuple nua vivant dans une zone où le Soleil (incarné par le dieu Celcius), a pour habitude de frapper, leur peau a acquis une résistance naturelle à la chaleur. De ce fait, ils ne se sont pas encombrés de tenues fastueuses, ne portant que le minimum pour conserver leur pudeur. Ainsi, la tenue traditionnelle n'est composée que d'un pagne en peu légère, recouvrant uniquement la zone du bassin pour les hommes et la poitrine en plus pour les femmes.
Bien sûr, cette tenue, simple et sans fioriture, s'accompagne souvent de bijoux en tous genres et de décorations corporelles. Les parures représentent le nombre de rites accomplis par un individu. Voilà pourquoi Aedos ne quitte jamais ses ornements. Pour ne citer qu'un exemple, il a obtenu la dague qu'il porte à sa ceinture, lors de son premier rite de chasse : la dague n'est pas considérée comme une arme chez les nuas, mais comme un outil. Tuer un homme avec une dague est un acte sacrilège dans leur tradition.
Caractère, qualités et défauts:
« Debout, devant Ptot Tàh, la chevelure de velours soulevée par une brise, il lorgnait l'horizon. Seul, triste... Qu'attendait-il? Peut-être son peuple... Oui, son peuple ! Le regard plongé dans le vide, l'esprit perdu dans le vague, il s'imaginait un monde. Un monde sans loi, où la passion serait maîtresse. Un monde sans peur, où l'on connaitrait notre âme sœur. La vie serait opulence et les règles se feraient exceptions. Un ange passe, voilà qu'il revient à la réalité. Cette douloureuse réalité... Innocent, dans la fleur de l'âge, il lui restait l'éternité, pourtant je le voyais désillusionné. Et ce, par la vision apocalyptique d'une civilisation tyrannique, d'une civilisation acerbe. Dans laquelle le mot d'ordre est "asservir", dans laquelle la guerre, aussi insipide soit-elle, reste inaliénable. Ainsi, debout, devant Ptot Tàh, il continuait à espérer... »
Autoportrait d'un nua libre.Aedos, est un jeune homme au cœur sensible. C'est une des raisons pour lesquelles il a été choisi comme héritier des rites nuas. Sa sensibilité envers ses semblables et envers la nature, lui confère une grande pureté, à tel point qu'il aurait pu devenir prêtre. Mais le spectacle traumatique de l'enlèvement de ses semblables, alors qu'il avait tout juste 5 ans, a contribué à faire pousser les germes de la haine dans son âme éther. C'est ce qui l'a conduit sur la voie du gardien, plutôt que sur celle du prêtre. En effet, la rancœur qu'il a ruminé en lui toutes ces années l'a guidé vers le bras vengeur de dieu. Gardien des valeurs ancestrales, il veut unifier les nuas afin de leur rendre leur dignité.
Cette bonté d'âme, gâchée par une haine profonde des almers n'est pas le seul point qui le caractérise. On peut également le caractériser par le choix du dieu (dans son cas de la déesse), dont il est devenu le porte-étendard. Sur Terre, il a choisit de représenter Sélénée aimée des bêtes, déesse des arts et de la chasse. Si son choix s'est porté vers elle, ce n'est que le résultat de son destin. La tradition veut que le nom d'un nua, détermine son avenir. Ainsi, Aedos, dont le nom signifie « poète », était déterminé à suivre Sélénée.
Amateur des arts, il s'exerce depuis l'enfance à l'ocarina. Sa maîtrise de l'instrument en question s'est grandement accrue depuis qu'il honore la déesse Sélénée. De telle manière, que grâce à sa rhapsodie, il est capable de dompter le cœur des bêtes. Toujours en phase avec la nature, il a le sentiment de s'en rapprocher lorsqu'il souffle dans son ocarina. Le son de cet instrument est la seule chose qui lui procure encore un tant soit peu de bien être. Son âme mélancolique et vengeresse ne vie plus que pour un seul but: l'avènement des nuas. Dans cette optique, il combat toutes les injustices qui se présentent à lui au cours de son chemin, et n'hésite pas à prendre la vie de tout almer qui se montrerait belliqueux ou irrespectueux envers son peuple.
Biographie:
La naissance
Un soir de pleine Lune, en l'an 130 après CE, sous la constellation du lion, naquit un Nua. Sa mère, veuve depuis quelques mois, expira en lui laissant place. C'est orphelin, qu'arriva Aedos en ces terres inconnues. Aedos, nom choisit par son père avant que celui-ci ne se fasse massacrer, il y a de cela 3 mois, par une troupe de murlocs enragés, alors qu'il fouillait le sable à la recherche de coquillages pour le dîner. Une mort peu glorieuse, mais qui affecta beaucoup ses semblables. Il était tuteur auprès de la jeune génération et leur enseignait la pêche. Ce fut une perte non seulement pour ses proches, mais aussi pour le village, dans lequel il avait un rôle important à jouer.
Aedos, fils de pêcheur, comme tous les rares orphelins du village, fut élevé par l'ordre des sélénides. Un ordre mystérieux qui vouait un culte à la déesse Sélénée. Dans la tradition des nuas - peuple très disparate et éparpillé sur l'archipel - chaque village avait son dieu protecteur. Le village d'appartenance d'Aedos avait pour protecteur, la déesse de la Lune, associée aux arts et à la chasse. Les prêtres élevèrent donc le nouveau-né avec grand soin, car enfanté à la pleine Lune, ce n'était pour eux pas un hasard qu'il se retrouvât au temple.
Déjà, ils sentirent en lui une sensibilité et une dévotion sans pareil. Alors qu'il ne pouvait souffler mot, il affichait un grand sourire dès que l'on prononçait le nom de Sélénée devant lui. De plus, lorsqu'on le posait devant l'autel de la déesse, il pouvait rester des heures à le contempler sans broncher. Le patriarche - le plus vieux et le plus sage des prêtres sélénides - n'eut pas l'ombre d'un doute face à un tel comportement. Sage qu'il était, il possédait le don de double vue. Il avait eu la vision de l'avenir du village, qui serait décimé et de l'avenir des nuas, qui, asservit par un autre peuple, connaitraient des heures biens sombres... Il fallait donc former un héritier des rites nuas, jeune et vigoureux, qui rappellerait au peuple ses origines dans l'espoir de les rallier un jour et faire de Nua-Ty une fière Nation.
An 135 ap CE
Le jour funeste qu'avait prédit le patriarche arriva plus vite que prévu. En l'an 135 après CE, un peuple inconnu, les almers, découvrit l'existence de l'archipel Nua-Ty et décida de soumettre le peuple nuas. Les nuas, vivant en harmonie avec la nature et leur environnement, était un peuple très pacifique qui n'avait jamais eu à livrer de guerre et qui respectait la vie plus que n'importe quelle autre race. Il ne fut pas difficile pour les almers d'asservir un grand nombre de nuas. Éparpillés, ne disposant d'aucune stratégie guerrière, les villages les plus proches furent défaits avec aisance. Toutefois, la nouvelle de l'intrusion s'étant répandue dans chaque village, certains finirent par essayer de résister, refusant l'esclavagisme. Les fervents donnèrent énormément de fil à retordre aux almers. En effet, dévoués à leurs dieux, ils étaient la force protectrice de leurs villages. Ils incarnaient sur Terre les pouvoirs divins, et disposaient de compétences rapprochant leur âme de la nature, comme la maitrise des éléments, l'appel des esprits ou la magie rituelle. Ainsi, arrivés au village de Sélénée, les almers voulurent attaquer de nuit pour avoir un avantage tactique. Aedos avait à peine cinq ans, lorsqu'il assista à l'enlèvement de ses pairs... Sans surprise, les sélénides, dans un élan de désespoir, durent se replier et prirent la fuite dans la dense forêt environnante. Les almers n'avaient pas prévu leur fuite et ne se risquèrent pas à les suivre dans cette immense forêt. Mais l'échec des sélénides fut tout de même cuisant : le village fut rasé, les trois quarts de l'ordre asservis, ainsi que les villageois. Ainsi se réalisa la prédiction du patriarche.
L'ordre des sélénides fut rebâti au cœur de la forêt. Grandement affaibli par la perte de leurs confrères et consœurs, ils espéraient ne pas être débusqués une nouvelle fois. Doucement, l'ordre reprenaient leur train de vie, construisant leur nouveau temple à partir de rondins de bois et de feuilles de palmiers séchés. Les prêtres, jusqu'à maintenant habitués à être nourris par leur village en échange de leur protection, durent chasser par eux-mêmes. Étant dévots de la déesse chasseresse, chasser fut pour eux presque instinctif.
La formation
Dix années s'écoulèrent tandis qu'Aedos recevait son apprentissage. Désormais âgé de quinze ans, quelque chose avait changé en lui. Depuis l'horreur de la Nuit Écarlate, où il fut spectateur malgré lui, son âme pure et chaste avait été rongée par la haine et le ressentiment. Il maudissait chaque jour durant le peuple almer...L'ayant remarqué, le patriarche, qui suivait de très près sa formation, s'inquiéta beaucoup du sort de ce jeune prêtre. Voyant que sa haine était intarissable, il décida de le former en tant que gardien. Les gardiens étaient les bras armés des dieux, ils maitrisaient le combat à main nue, car aucun autre type de combat n'était toléré dans la tradition: Le dieu Mensana, insufflateur d'âme et père de tous les dieux, interdisait le port d'arme car cela allait à l'encontre du don de la vie.
Ainsi, en plus de sa formation de prêtre, il suivit celle de gardien, qu'il apprit auprès des mystiques sélénides. Sa formation était longue et fastidieuse, il suivait des cours de théologie pour en apprendre plus sur les dieux nuas, des cours de rites et traditions pour tout connaître des pratiques de son peuple, ainsi que des cours de mysticisme et de combat à main nue. On avait auparavant essayé de lui enseigner la maîtrise élémentaire, mais aucun élément ne répondait à son appel. Il était de nature trop impatiente pour pratiquer la magie rituelle. Et pour finir, la métamorphose animale ne semblait pas non plus son fort. Somme toute, il consacrait le plus clair de son temps à appeler les esprits animaux, entouré des mystiques sélénides, qui éprouvait avec joie, ses progrès en la matière. Ses esprits de prédilection étaient ceux de la baleine, du lion et de l'aigle dont il apprenait peu à peu toutes les subtilités. Sa formation au combat à main nue, quant à elle n'était vraiment pas une joie. Il apprenait à frapper, à encaisser, à endurer des combats qui duraient en longueur et à neutraliser les ennemis armés. Une vraie formation de combat rapproché en définitive... Qu'il apprit ensuite à coupler avec ses dons de mysticisme pour plus d'efficacité.
Le Rite
Bientôt, l'âge adulte arriva. Il avait désormais 20 ans, et devait réussir le rite de chasse pour pouvoir être considéré comme un adulte par ses frères et sœurs et enfin obtenir son titre de gardien/héritier des rites. Il avait, après cette épreuve, le choix de rester ou de quitter les terres nuas. Lors des prémices du rituel de préparation, on lui attribua la chasse au basilic, la chair de ce reptile était un met savoureux pour les nuas, mais ils avaient rarement l'occasion d'en manger. Le basilic est une espèce qui ne vit principalement que dans les plaines arides, et qui est réputé pour être assez coriace. C'est ainsi qu'il partit, quittant la forêt pour rejoindre les plaines arides de l'île, avec pour seule arme, une gourde et ses enseignements. Durant ce rite de chasse, il devait mettre à profit toutes ses connaissances pour survivre et rapporter la chair de la créature qu'il aura occis. Cette aventure était une grande source de d'embarras, il se demandait s'il était à la hauteur...
Sur le chemin, il s'occupa en jouant de l'ocarina. Ses mélodies, chargées d'une profonde mélancolie, attendrissaient le cœur des animaux environnants: les sangliers s'inclinaient, les loups hurlaient, les oiseaux chantaient... Aedos n'en revenait pas, c'était la première fois qu'il jouait de l'ocarina en dehors du temple. Il s'empressa de remercier Sélénée pour ses grâces, et s'arrêta un moment pour prier.
Il lui fallut deux jours pour sortir de la forêt et atteindre les plaines. Une fois en dehors de la forêt, il contempla un moment ce vaste terrain, sec, l'herbe jaunie par le Soleil. Devant ce spectacle macabre d'une nature malade, il s'avérait qu'il n'était pas si mal loti dans sa forêt. Après tout, il ne manquait de rien dans cette jungle luxuriante... Cette immensité lui paraissait d'un vide sans nom, mais il savait que quelque part, se trouvait un basilic. Il arrivait à présent au bout de sa quête, interdiction de se tromper, il ne disposait que de son corps et des esprits animaux pour le vaincre. D'après ses instructions, c'était amplement suffisant...
C'est ainsi que, toujours à la recherche de son basilic, il rencontra un troupeau de mustangs s'abreuvant dans une petite étendue d'eau. Il lui vint tout à coup une idée... Son expérience dans la forêt lui avait démontré qu'il pouvait toucher le cœur des bêtes à l'aide de son ocarina. Il décida donc de charmer un de ces mustangs et d'en faire sa monture. Il entama donc une longue et douce rhapsodie, se rapprochant prudemment du troupeau. Quand il fut assez proche, il remarqua un magnifique cheval à la robe couleur safran, continuant à jouer sa mélodie, il plongea son regard dans le sien. Ce moment le transcenda, c'est comme s'ils furent connectés par un lien supérieur... A à peine 2 cm de l'animal, Aedos souffla sa dernière note, puis posa sa main sur son museau, sans le quitter du regard. Le cheval eut alors un mouvement de révérence et courba l'échine, comme s'il l'incitait à le monter. A peine sur son dos, celui-ci partit au galop. Aedos tentait de s'accrocher tant bien que mal, tandis que son cheval filait comme le vent. A cet instant, il décida de le nommer Xanthos, nom qui lui paraissait refléter la puissance de sa monture.
Le cheval galopait depuis maintenant une bonne heure, quand tout à coup, il se cabra. Aedos tomba à la renverse sans comprendre ce qui arrivait... Jusqu'à ce qu'il voit un basilic se dresser sur sa route. Dès lors, il mit tous ses sens en alerte, en position de combat, il avança prudemment vers l'animal tout en évitant de croiser son regard. Le basilic fondit sur Aedos sans aucune pitié. Le jeune mystique appela en lui l'esprit de l'aigle, sa vision fut à ce moment décuplée, les mouvements du basilic lui paraissait d'une lenteur épouvantable. Il esquiva l'attaque de front, lui creva les yeux avec ses ongles aussi tranchant que les serres de l'aigle, puis appela l'esprit du lion pour lui démantibuler la mâchoire. Laissant le basilic agoniser, il arracha une dent pour preuve de sa victoire, puis à l'aide de cette même dent lui arracha plusieurs lambeau de chair, jusqu'à ce que sa besace soit remplie. Grâce à la vélocité de Xanthos, le retour fut bref.
Nouveau départ
Désormais de retour au temple et ayant fait preuve de sa bravoure en accomplissant le rite de chasse, il reçut une dague pour symboliser son succès et on lui tatoua un dragon sur la partie droite du torse, jusqu'à l'avant-bras pour symboliser son statut de gardien sélénide et héritier des rites. Aedos avait enfin terminé sa longue et pénible formation. Il pouvait maintenant vivre pour son véritable but: l'avènement des nuas. C'est ainsi qu'il décida, sur le dos de Xanthos, de quitter le temple et d'avancer vers son avenir. Où cela le mènera-t-il? A suivre...
Mon heure de gloire...
Votre prénom: Romeo
D'où venez vous? Paris
Âge: 19 ans
Avez-vous lu et approuvé les règles? oui
[Thingol Approved]Comment avez-vous connu le forum? Google
Idées, remarques ou suggestions? Après avoir attentivement lu toute l'histoire (très riche soit dit en passant) de ce forum. J'ai eu une grande sensibilité pour la cause nua, peuple que j'ai trouvé recalé au second plan. Fervent défenseur des outsiders que je suis, j'ai donc décidé de m'intéresser tout particulièrement à ce peuple, en espérant ne pas trop extrapoler, étant donné qu'on ne sait presque rien des nuas.