Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 Nalween, Grande Prêtresse.

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ExNalween
ExNalween
Nombre de messages : 544
Âge : 31
Race et âge : Elfe - 26 ans
Cité : Erathia, la Lumineuse.
Métier : Prêtresse.

Feuille de personnage
Compétences: Faveur divine - Lame longue - Rituel
Compétences bonus: Connaissance de l'Histoire et des Langues - Chant.
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Nalween, Grande Prêtresse.
   Nalween, Grande Prêtresse. EmptyVen 1 Mai - 10:04

Prénom: Nalween
Âge: 22 ans
Race: Elfe
Cité/groupe d'appartenance: Silmarie
Métier: Prêtresse
Position (facultatif): Grande Prêtresse

Monture/engin: Un coursier elfique imposant blanc, qui correspondrait à un cheval de trait "humain" s'il n'était pas plus fin. Il a été offert à Nalween a sa nomination officielle et porte le nom de Kaze, le vent en hommage à sa fougue et à sa rapidité.

Arme: Epée longue sacrée, forgée pour la Prêtresse.
Le métal dans lequel la lame fut conçue provient sans doute d'un alliage entre divers métaux ce qui lui confert un poids étonnement léger pour une arme de ce gabarit. La lame est extremement effilée et à double tranchant, létal dans les mains de la Reine Elfe.
Son apparence est pourtant celle de ceremonie. Le pommeau est percée en triangle ouvragé, est orné d'une gemme aigue marine incrustée en son sein, equilibrant la lame irrisée ornée de runes anciennes alors que la garde entrelacent elegamment filés d'argents et tissus permettant une prise en main parfaite.
Compétences choisies: Faveur divine - Lame longue - Rituel.
Faiblesse: Torture – Poison
Main dominante: Gauche
But du personnage: Défendre Silmarie.
Nom de votre échoppe: -

.: |Description physique: |:.


    La beauté de l’elfe Prêtresse est légendaire. De tout temps, les songes que porte le vent vantent les grâces de cette Déesse de la nature, de Silmaria. Les elfes ayant entr’aperçue Nalween se souviennent de sa frêle silhouette, de cette beauté à la taille svelte, de sa froide douceur et de sa démarche souple mais majestueuse, du léger vent aux senteurs musquées qui l’accompagnent ou encore de son regard hypnotisant. Tous peuvent la décrire comme la plus belle des créatures d’Azthia.

    Son port est altier, celui d’une reine et sa démarche fière est pleine de grâce féline. La majesté avec laquelle elle se déplace semble sublimer ses gestes pures. Sa peau est d’un teint d’opale aussi blanc que les neiges immaculées des glaciers et ne se teintent que peu. Nalween est juste assez grande pour que cela soit remarqué et sa carrure est celle d’une sylphide.
    Ses épaules graciles dominent un buste fin et délicat aux senteurs apaisantes. Son ventre plat à la peau velouté laisse place à des hanches fines. Ce corps aux proportions et aux courbes agréables est prolongé par des jambes longues et fines, au galbe élégant et séduisant. Délicat, ses bras en sont le reflet et se terminent par des mains aux doigts fuselés, longs et agiles. Ses muscles semblent en être presque absents, ses bras n’en sont que plus fins. De beaux ongles allongent ses derniers aux teintes argent.
    Des cheveux de couleurs changeantes attirent les regards et cascadent avec légèreté le long de son dos légèrement cambrée. Ses mèches diaphanes d’une pureté sans égal valsent tel des rubans à sa suite et adoptent des reflets argent miroitant grâce à l’astre lunaire. Nul n’a un jour déterminé leur couleur d’origine, si on peut nommer couleur l’argent ou l’ébène brillant qu’adoptent tour à tour ses cheveux à l’aspect si soyeux, lourd et lisses bien que parfois légèrement ondulés en des boucles raffinées, tout simplement éblouissant.

    Elle ne les attache que peu se serait mater leur éclat, et ses douces mèches encadrent son visage gracieux, contrastant parfois douloureusement avec son teint neigeux. La peau presque translucide de son visage lui donne un aspect fantomatique mais rien ne serait prouver mieux l’éclat de son âme que ses yeux en amandes légèrement bridés semblables à deux saphirs embrumées, rêveurs et d’une luminescence tellement pure qu’ils peuvent paraître translucides. Ces cristaux azurs sont cerclés par la magnificence de ses longs cils charbonneux aux courbes délicates. Son nez fin surmonte des lèvres d’un rose opalescent irisé comme une rosée. Ces pommettes sont hautes ce qui renforce la noblesse de son visage aspect renforcé par son long cou de cygne au port souverain.

    Souligné par un collier d’or blanc, Nalween ne porte néanmoins que peu de parure malgré son rang. Des joncs d’argents s’harmoniseront avec des boucles opalines et azur. Ses bras fins seront cerclés d’arabesques et de circonvolutions, et des légères bagues orneront ses doigts mais toutes très discrètes orné de croix et de rune de Silmaria. Nalween si elle doit se revêtir de nombreuses étoffes selon les différentes processions et réjouissance et sa Camériste ne manque pas de lui faire parvenir les plus beaux tissus lors de ses fêtes. Malgré cela, Nalween reste très réservée quand elle ne participe à des cérémonies. La Prêtresse se vêt alors d’une robe bleue qui se marie avec charme à ses yeux. Le décolleté de la demoiselle et en partie voilé par des étoffes fines et légèrement translucides d’un bleu océan. Cintrant gracilement sa taille, la robe moule élégamment ses courbes sans pour autant être provocantes et finie par s’évaser aux genoux, partiellement fendue. A cette robe bustier s’ajoutent des manches en voile si léger qu’il parait brume et entourent Nalween d’une aura de lumière. Des bottes qui remontent jusqu’à ses genoux chaussent ses pieds, de part leur morphologie parfaite, elles furent faites sur mesure. Bottes somme toutes assez simple, mais comportant de légers talons qui furent un calvaire pour Nalween et du même bleu azur que sa robe. Des rubans de soie ornent ses dernières et remontent le long des jambes opales de la Prêtresse pour se finir en un nœud simple. Inutile de préciser que de précieuses gemmes et pierreries ornent ses vêtements.






.: |Caractère, qualités et défauts |:. :


    Nalween est à n’en pas douté une jeune femme mature.

    Lorsqu’Ayaween vit la naissance de Nalween en songe, son destin était scellé d’ors et déjà. Nal’ serait la treizième Grande Prêtresse de Silmarie et siégerait à la tête de la vie politique et religieuse à la mort de son aînée. Elle fut éduquée en ses termes et Erendar son Tuteur ne lui laissa aucun répit. Son sérieux et son sens des responsabilités n’ont donc rien d’étonnant au vue des épreuves qu’elle a traversé tout au long de sa vie et du poids qui pèse sans cesse sur ses frêles épaules. Ayant connu Ayaween de son vivant, Nalween appris beaucoup de la Grande Prêtresse de son époque et vécut très mal la mort lente de cette dernière. Mais elle due se relever car lorsque son décès fut déclarée, elle n’eut pas de temps pour le deuil. Réaliste et pragmatique lors des réunions officiels, son comportement contraste étrangement avec sa légèreté quotidienne et cette douceur qu’elle perd en un masque froid lorsqu’elle traite des débats de Silmarie.
    Nalween n’aura de cesse de trouver des réponses juste et équitables aux problèmes de son peuple et la Prêtresse garde un œil attentif aux agissements des autres contrées même si il n’est pas dans son rôle d’ingéré dans leur politique. C’est là sa principale crainte, de ne pas être digne de son peuple qui lui est pourtant fidéle, car elle manque cruelement d'expérience.

    Courageuse, elle n’a jamais cédé au fardeau qu’elle porte sur ses épaules car bien que fière d’être la réincarnation de Silmarie, la tâche n’en ai néanmoins pas éprouvante.
    Assurant et assumant à plein temps le rôle de Prêtresse avant la mort d’Ayaween, la jeune elfe a gardé ce côté maternel ce qui se résulte par une extrême douceur dans son caractère, bien qu’elle ne manque pas pour autant de répondant. Très impulsive dans sa jeunesse, Nalween désobéissait parfois à Erendar pour s’enfuir dans les collines de Silmarie mais avec les années ses obligations l’ont rattrapée, si bien qu’elle devint plus réfléchie. Ses Conseillers ont cependant tous la même impression de vide et de distance en présence de Nalween mais avec le temps la demoiselle tente de combattre son côté farouche et solitaire.

    La témérité de Nalween n’est plus à prouver. Consciente qu’elle pourrait être dangereuse si elle n’en faisait qu’à sa tête, la Prêtresse s’efforce donc de faire preuve de patience. Mais lorsqu’elle désire quelque chose à des fins louables, elle ne reculera devant aucun obstacle pour l’obtenir. Usant de ses qualités, Nalween est certes connue pour son intelligence mais aussi pour son charisme. Sa beauté avec l’âge a pris une ampleur qu’elle a elle-même du mal à assumer mais elle sait utiliser ses charmes. Le tintement argentin clair de sa voix ne peine pas à s’élever au milieu de personnes plus imposantes car la prestance de Nalween est infinie.
    Malgré tout sa trop grande élégance lui fait du mal. Jeune cela allait encore mais dés lors que son corps commença à changer, les autres enfants la désertèrent. N’ayant pas connu ses parents, ses relations se limitaient à Erendar. Rares sont les amis de Nalween et autant vous dire que jamais un elfe n’a pu trouver le courage d’affronter l’incarnation Silmaria. Certes la Prêtresse se sait aimée par son peuple mais pour sa classe et non pour sa personne.

    Pourtant Nalween représente la bonté même. Se préoccupant peu d’elle, Nal’ appris très tôt à maîtrisé son Talent pour les soins et elle passait la majeur partie de son temps dans les Temples Elfes à s’occuper des blessés. Vous croiserez toujours Nalween dans ses songes, mais un simple salut vous vaudra un doux sourire.
    Les amis de Nalween la décrivent comme une elfe à l’écoute mais très discrète qui ne se confie jamais. Loyale Nalween n’hésitait pas à désobéir aux ordres lorsqu’il le fallait d’ailleurs c’est un de ses principales défauts. Nalween ne peut pas obéir à des ordres qui pour elle n’’ont pas de sens. N’importe quelle règle ne trouvant pas de sens dans son esprit cartésien sera enfreinte et elle ne s’y pliera que très rarement. D’ailleurs, si son sens de la justice et si fort il se double d’un esprit rancunier. A présent, rares sont les règles auxquelles elle doit se plier, mais son monde n’est plus celui protégé par Erendar et par Ayaween mais celui redoutable d’Azthia.



Mon heure de gloire...

Votre prénom(facultatif): Secret n_n
D'où venez vous? (facultatif) Du sud =3
Âge (facultatif): Trop jeune.
Avez-vous lu et approuvé les règles? Non non j'ai tout fait au feeling >>. Validé par Jaja! Comme son film xD !
Comment avez-vous connu le forum? Par le crôuton Jacen et le parteneriat avec Lao.
Idées, remarques ou suggestions? Rien du tout n_n.


Dernière édition par Nalween le Ven 6 Nov - 5:40, édité 2 fois
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ExNalween
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Re: Nalween, Grande Prêtresse.
   Nalween, Grande Prêtresse. EmptyDim 3 Mai - 8:53

.:|Biographie:|:.


    Du plus loin qu’elle se souvienne, elle n’a jamais connu ses parents.
    Elle répond au nom de Nalween, Treizième Grande Prêtresse de Silmaria. Son ascendance importait peu à ce que l’on m’a dit et elle a donc cessé de vouloir en apprendre plus. Quelque part je crois que son Tuteur, Erendar, s’est substitué à son père du mieux qu’il l’a pu.
    Ayaween, son aînée a vu sa naissance en songe il y a de cela 22 ans. Des gardes personnelles de la Prêtresse se sont alors dirigées vers son lieu de naissance et lorsqu’elles arrivèrent au lieu dit, elles expliquèrent la situation à ses parents qui bien que déchirés durent confier leur descendance à ses inconnues en armure, pour Silmaria. C’est assez douloureux, Nalween n’a pas connu d’amour maternel et n’en connaîtra jamais. De même, rares sont les Prêtresses a avoir eut des enfants, et elle n’est plus sûre qu’il y en est eut. Sa vie est vouée à Silmaria. La première personne qui lui vient à l’esprit lorsqu’elle fouille ses souvenirs reste le vieil Erendar, le Chef des Druides.
    Enfin Nalween se doute qu’il n’est pas si vieux mais du haut de ses cinq ans, cet Elfe aux cheveux gris ne pouvait être que vieux. A l’heure où il ne pouvait encore rien lui apprendre, à cause de son trop jeune âge, il veillait déjà sur elle dérangeant par la même occasion la Gouvernante qui le chassait à coups de décibels élevées. Cela à l’époque la faisait rire.
    Rapidement, ses journées se firent plus dures.

    Ayaween s’est mis à présenter les premiers signes de vieillesse et l’on s’aperçut qu’elle serait la plus jeune des Grandes Prêtresses de la brumeuse Silmarie. Son éducation prit des proportions effrayantes. Du haut de ses sept hivers, elle apprenait à maîtriser parfaitement l’Elfique, les mœurs et coutumes de mon peuple, ses protocoles strictes. Son vocabulaire se devait d’être exhaustif et aussi aiguisé que le fil d’une lame elfique. Erendar marmonnait des choses incompréhensibles dans sa barbe, le visage songeur. Je ne doute pas qu’il s’en soit toujours fait pour elle, même s’il ne me lui a jamais avoué.
    Sa vie fut rythmée par ses cours aux proportions qui la dépassaient parfois. On lui inculqua l’Histoire d’Azthia en si peu de temps que je me demande aujourd’hui comment sa tête n’a pas implosé. Tout y passa à sa suite les sciences, mathématique, physique, organique, biologie, géologie sans oublier la capitale médecine ainsi que les littératures des plus grands poètes Elfique, aux œuvres marquantes de nos conteurs. Elle avait à sa disposition la plus grande bibliothèque d’Azthia, elle y passait la moitié de sa vie. Nalween était studieuse et ses Précepteurs remarquèrent avec soulagement sa vivacité d’Esprit, ce qui il semblait les soulager. Pas Erendar. Il ne relâcha jamais la pression qui lui pesait tant, si bien qu’avec l’âge son désir d’indépendance ne fit que croître.
    Jeune, il fut comblé par ses cours récurrents équestres. Elle y côtoyé quelques jeunes elfes de l’aristocratie de Silmarie et leur esprit étaient bien trop différents pour qu’ils sympathisent. Ils étaient jeunes et inconscients, elle avait sur ses épaules le point des Guerres qui avaient hanté Azthia et sans doute leur avenir différerait en tout du sien.

    A ses quatorze ans, sa vie pris un tournant radical. Nalween fut envoyée au Temple secondaire, la Tour de Silmaria afin de mettre en pratique les enseignements qu’elle avait reçus à la fois des Anciens et de ses Précepteurs. Le Temple était en lui-même sublime. Symbole architecturale de l’adresse des elfes, il harmonisait sans mal du marbre blanc à du quartz. Des glycines couraient le long des toits s’harmonisant avec charme avec des gemmes de couleurs améthyste et des tapisseries azurs couvraient les murs blancs. Pour la première fois de nos vies nous fûmes confrontées à une réalité effrayante : Celle de la Vie et de la Mort. Avec l’aide d’autres prêtres et prêtresses de notre ordre, nous nous occupions des blessés et des malades aidant nos aînés qui s’occupaient des cas les plus graves. Son adresse a utilisé mes Talents ne laissaient aucun doute sur son identité et sa trop grande beauté fit prendre leur distance à mes confrères. Je ne le leur reprocherais pas, elle serait leur prochaine dirigeante et cela avait de quoi impressionner. D’ailleurs, je parle mais j’étais tout d’abord comme eux, pour rien au monde je n’aurai approché la Déesse.


    Mon âme sourit encore lorsque je me remémore sa rencontre avec Aesän. Assise au souper, Nalween était comme d’habitude seule à une des tables du réfectoire et mangeait son plat avec lenteur et discrétion la tête dans ses songes. J’étais personnellement en retard et lorsque je revins de l’écurie, je cherchais des yeux Aesän mon ami de longue date. Prise de stupeur, je le vis à la table de Nalween et en vue du sourire resplendissant qui éclairait le visage de la Prêtresse, ce dernier avait du faire preuve d’humour. Quelque peu éberluée, je me suis approchée de leur table et j’ai pressé l’épaule de mon ami pour lui faire signe de ma présence, même s’il n’en avait pas besoin. Aesän était aveugle de naissance, et il était capable de retenir le moindre rythme de pas et de mettre un nom dessus ce qui m’a toujours impressionnée. Bref Nalween chercha mon regard et lorsque je croisais le sien, je tombais de stupeur devant ses saphirs de glace qui me dévisagèrent, jamais je n’avais vu d’yeux aussi beaux mais ils teintèrent de chaleur lorsqu’elle me lança un doux sourire et m’inviter à m’asseoir.
    Devant le ridicule de ma situation –bouche bée et plantée bêtement comme un saule -, je m’exécutais en silence et ne parvint pas à lui retourner son sourire, hypnotisée. Aesän fit les présentations et expliqua alors que lorsqu’il avait entendu le chant de la voix de Nalween il n’avait pu s’en détourner et s’était retrouvée dans ma situation. Une pointe de jalousie monta en moi, qui fus chassée par le rose qui teinta élégamment les joues d’opales de Nalween. Et la conversation se fit naturellement, et nous découvrions que derrière cette si belle enveloppe se cachait une Elfe qui manquait cruellement d’amour. Devant notre amitié, Erendar ne put cacher son air guilleret de Tuteur gâteau.

    Ensemble nous fîmes les quatre cents coups, aux damnes de nos maîtres. Attention, nous étions studieux et nous travaillions du mieux que nous le pouvions.
    Nalween évidemment pouvait beaucoup mais aujourd’hui, je ne l’envie pas. Le plus drôle, c’est qu’en général lorsque que nous manquions des cours, c’était du au fait que nous étions coincés dans des passages secrets et je ne vous dis pas le boucan que causait la disparition même courte d’une future Grande Prêtresse.

    Bref notre affaire la plus étrange fut celle de l’armurerie.
    Elle eut lieu lord de notre deuxième année au Temple. Nous souhaitions faire aiguiser nos lames, Aesän et moi étant des prêtres guerriers mais devant le refus catégorique du forgeron nous avions décidé d’emprunter des pierres à aiguiser dans cette dernière. Nous avions alors traîné Nal qui a miraculeusement échappé à la surveillance d’Erendar et une fois sur place, nous sommes tombés béats devant la beauté des orfèvreries présentes dans la pièce. Aësen montait la garde, à l’affut alors que Nalween et moi nous activions. Je crois savoir que le regard de cette dernière avait été attiré par une épée longue runique.
    La sage demoiselle avait détourné son regard, mais je voyais sans peine à quel point cette arme l’avait envouté. L’attrapant avec adresse, j’eus un sourire avant d’interpellé Nal qui fit volt face, je lui envoyais donc l’épée.
    Celle prit une teinte vive azur quand Nalween la prit en main. Les yeux agrandis par l’étonnement, elle laissa échapper un cri de stupeur et lâcha la lame qui tomba avec fracas sur le sol, faisant grimacer Aesän, et la lame poussa une lance, qui fit tomber une hache qui fit tomber une masse d’arme. Avec effroi nous vîmes l’armurerie tomber pièce par pièce et Nalween arrêta de justesse la réaction en chaîne.
    A la Grande Prêtresse fut cédée l’épée et elle apprit à la manier avec concentration et adresse. Je crois savoir qu’aujourd’hui encore Nal n’a pas renoncé à se perfectionner.

    Se furent nos plus belles années.
    Nous fûmes séparés et se fut douloureux pour tous. Nalween se donna corps et âme à sa formation car Ayaween faiblissait de plus en plus. Erendar fut plus dur avec elle, et cela l’éprouvait autant qu’elle je pense.
    Aesän et moi parcourons le monde, prêchant la volonté de Silmaria et je ne peux pas oublier en regardant le Crépuscule nos soirées échappées dans les Brumes des Collines de Silmarie.
    Je crois savoir qu’Ayaween lui est apparue en songe, ce ne peut être pour de bonnes raisons. Que Silmaria soit avec elle.

    Journal de Brieth, an 150
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Jacen
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Compétences bonus: Invocation- Ritualisme - Connaissance des langues
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Re: Nalween, Grande Prêtresse.
   Nalween, Grande Prêtresse. EmptyDim 3 Mai - 9:37

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Bienvenue sur Azthia Nalween!


Et bien c'est du tout beau tout chaud, une magnifique appropriation du personnage avec lequel tu prends tes libertés, c'est excellent! Comme je m'y attendais, rien à redire sur cette fiche. Je suis très content de voir ce personnage incarné avec un tel niveau!

C'est sans suspens que tu es validée m'amzelle, bienvenue dans le monde des .... Verts!!
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