Je regardai autour de moi quelques secondes, a gauche, puis a droite; Personne a l'horizon. Personne de suspect, ou quelque chose du genre, tout du moins. Je m'engouffrai dans une ruelle étroite et ouvrit la porte. Le labo de Scarlett. Honnêtement, j'adore flâner là, surtout quand elle y est, ce qui n'était pas le cas à l'instant. Des livres, une grosse table, et un lit tout ce qui a de plus normal... ou presque, si on exclu les taches de sang un peu partout. Sans même penser aux conséquences (oui, je sais, j'agis souvent 'sans même penser aux conséquences'), j'avancai vers le gros lit de Scarlett et m'éffondra dessus. Les draps, du lin, avaient l'odeur de ma très chere maîtresse. Je pris une grande respiration, et m'étira. J'avais les muscles endolories et un mal de tête abominable, mais juste cette odeur me faisait sourire.

- '' Comme je suis pitoyable. '' Dis-je dans un soupire, en fermant les yeux

Doux moment de confort, son lit était moelleux, probablement bourré de laine et de paille, ou un truc comme ca. Si elle me voyait, elle en profiterait pour me donner la fessé, ma maîtresse! Mais elle n'était pas là, et son odeur même ne pouvait me donner la fessé. Il n'y avait qu'elle. Il n'y avait que Scarlett, pour me donner des giffles monumentales, qui souvent me faisaient perdre une dent, lors de mes mauvais coups. Il n'y avait que Scarlett, pour me sourire avec complicité, quand je revenais couvert de sang. Il n'y avait que Scarlett, qui, avec son odeure seule, pouvait me donner de telles pulsions. Car oui, j'avais des pulsions. Le seul mensonge, et le pire, celui qui me ronge depuis que je la connais, que je lui ai conté, était sur mes sentiments envers elle. 'Juste ma maîtresse', avais-je dit, ce jour là. Mais je m'étais senti si coupable de lui avoir menti, que j'ai rectifié 'Vous êtes aussi une personne très importante pour moi, dame Scarlett'. J'avais reussi a m'en tenir à ca, et à ne pas déballer 'Et aussi, la plus belle femme que j'ai vue, je suis éperdument amoureux de vous et le fait de vous avoir loins de moi pendant ne serait-ce qu'une minute me donne envi de hurler'. Mais non, je l'avais bien gardé, ce fait. J'étais en train de sombrer dans le sommeil quand j'entendit la porte s'ouvrir. Vite vite vite, debout!

En un bond, j'étais maintenant debout, droit comme un pic, à regarder au sol. Je n'ôsait pas la regarder, et je m'attendait a une claque monumentale de sa part, pour m'avoir pris sur le fait. Oui, je ne pouvais, et ne voulais, pas nier que j'étais sur son lit, en train de rêvasser. J'ouvrit tout de suite la bouche pour me racheter.

- ''B-Bon soir dame Scarlett, J-J-J'ai.. E-Effectué la mission que vous m'avez confiée... J-J'ai réduit au silence l'homme.''

Et c'est là que je risquai un regard vers elle. WAM! La claque, je venais de me la prendre. Mais pas par sa main, pas sa beauté pure et simple. Je me sentait ramolir et fondre a l'interieur, sans oublier les habituels frissons qui me parcoururent le dos. Je glissait, toutefois non sans lutter, vers le désir. Mais là n'était pas le temps, Scarlett devait avoir mieux a faire!

Wam! Et cette fois, ce n'était pas sa beauté qui me fit tomber par terre, la joue rouge et brûlante. C'était bel et bien sa main, qui allait laisser une trace. Je restai là, par terre a regarder... Par terre, alors qu'elle me sermonnait.

- ''Idiot ! Qui t'a permis de te mettre à ton aise dans mon lit ? Personne à ce que je sache ! Je vais te faire souffrir comme jamais petit imbécile d'apprenti !!!" Tonna-t-elle

Je fermai instinctivement les yeux et serrai la machoire, m'attendant a un ouragan de coups de pieds et de coups de poings phénoménal. Bien entendu, j'allait la laisser faire, puisque je ne méritais pas mieux. En fait, si elle me l'avait ordonnée, je m'aurais fait horriblement souffrir moi même pour ne pas qu'elle ait a se salire les mains sur ma pitoyable personne. Je m'en voulait terriblement, c'était un fait. Cependant, je ne regrettais pas. Parceque je savais les concéquences de mes actes, et je compte les assumer la tête haute. De plus, chaque coups de pieds, chaque coups de poings et chaque insultes qu'elle me lancait au visage me rappelait a quelle point je l'aimais, ma maîtresse.

Elle s'agenouilla a côté de moi et... Déposa ses lèvres sur ma joue encore rouge. Mes yeux s'ouvrirent d'un coup, et j'en était déja au stade de l'oubli. J'oubliais la douleure de sa gifle, et seul la douceur de son baisé, aussi bref et sec était-il, parcourir mon corps sous forme de frissons. Instinctivement, je regardai ailleur en sentant mon visage devenir écarlate.

- '' Tu l'as éliminé ? C'est bien Lans. Prépare tes affaires, nous avons un rendez-vous important désormais, et ce n'est que le début. La richesse nous tend les bras !"

Et elle poursuivait sans même prêter une once d'attention a ce qui venait se passer, ce qui me fit sourire. Je pourrais faire la chose la plus idiote du monde, elle me frapperait et on continuerais. J'aime comment ma maîtresse ne s'attarde pas longtemps sur les choses idiotes, et comment elle passe a l'acte physique, et non psychologique. C'est vrai, quoi, le pire châtiment qu'on puisse me faire subire c'est un cours de maths! Pitié, coupez moi une main, un pieds, ou les deux! Mais ne me faites pas languire comme ça!

Je n'eut même pas le temps de rassembler mes ''affaires'' qu'elle franchissait déja la porte. Et donc je la suivis en pressant le pas. J'ignorais completement de ce qu'elle voulait parler, mais bon. Ca avait l'air de la motiver, et ca me suffisait. Cependant, je ne pu retenir une certaine curiosité.

- ''Dame Scarlett... Où allons-nous?'' Risquai-je, en écartant un vieillard de mon chemin

Ce quartier ne me disait rien qui vaille. Je sais, je me sens... Chez moi, dans ces quartier plus ou moins douteux, mais le problème est que ses habitants sont des rats, des saletés d'insectes misérables qui n'hésiteront pas à te poignarder dans le dos, sans sens de l'honneur ou de gratitude. Non, en fait, je n'aimais pas ce quartier. Si je pouvais tous les tuer, je le ferais. Par mégarde, je laissai paraître mon dégout et ma haine sur mon visage, et sur mes mains; mes poings se serrant.

-"Nous allons faire fortune, et cela devrait te suffire. Car si tu m'aime avec autant de passion que ce que tu dis ressentir envers moi, tu devrais avoir une aveugle confiance en moi. Et même si tu ne m'aimais point, un apprenti se doit de faire confiance à son maître. Fait moi confiance. C'est tout ce que je demanderai... Si par ta faute mon plan est un échec, je te jure sur Azaël que ta punition n'en sera qu'énorme."

Et hop! Je virai au rouge, mais biensûre je prit soin de détourner mon regard vers un homme perché sur une échelle de bois, en train de reclouer son enseigne. Depuis quand elle le savait? Elle bluff, voyont! Je ne suis pas SI transparent que ça, non? Non?! Changer de sujet, je devais changer de sujet! E-Et j'ai jamais dit que je... L'aimais... Au dernières nouvelle. Oh non!! Et si je lui avais tout déballé lors de l'une de mes soirées de beuverie?! J'étais foutu! Elle allait retourner ca contre moi à chaque fois! Changer de sujet, vite vite vite!!

- '' Q-Quand même... Ce quartier me semble...''

- "A partir de maintenant Lans, tu feras exactement ce que je te dirai. Une mine d'or est sous tes yeux, nous ne serons pas les mineurs ni les joailliers mais les passe droits, haha. Ce quartier est nôtre, il ne reste plus qu'à dicter la loi et à la faire respecter."

- ''H-Hein?''

J'y comprenais rien, moi! Elle brandissait des phrases que seule elle comprend et s'attend à ce que j'entretienne une conversation avec ca? Bon... Je mérite un ou même deux coups de fouets pour avoir remis en question l'état social de ma maîtresse, aussi jugai-je bon de prendre certaines initiatives et de lui épargner l'effort d'expliquer. Je n'aurai qu'a prétendre que j'ai tout compris, et quand je la verrai a l'oeuvre, je n'aurrai qu'a l'imiter! C'est ca! Ca va fonctionner!

- ''O-Oh! Je vois... A-Alors, par où commence-t-on, Dame Scarlett?'' Dis-je en baissant la tête avec respect.

- "Lans ! Charge toi des hommes qui approchent, je m'occupe du marchand. Montre moi ce que tu as appris !"

Et voila un sourire qui se formait sur mon visage. Dame Scarlett, regardez moi! Il ne m'en fallait pas plus pour saisir le premier homme qui foncait sur mon par les épaules et lui donner un de ces 'headbutts'! Mon crane fracassant son nez, qui gicla de sang d'un coup. L'autre, tentant de dégainer son arme, dû rattraper son amie, qui foncait sur lui, après que je l'ai envoyer valser vers celui-ci.

La bonté des hommes mène toujours a leur perte. Et alors qu'il interompis son geste pour rattraper son camarade, j'étais maintenant juste devant lui. Lui donnant un rapide coup de poing au visage, il eut le pire réflèxe du monde: laisser tomber ce qui aurait pu lui servir de bouclier humain et, cachant son visage dans ses grosses mains, se retourner. Il était dos a moi.

Je le saisi par les cheveux, et tirai par l'arrière, le déstabilisant. Tout ce qui me restai a faire, c'est lui donner un bon coup de pied dans le genous, le disloquant, et le forcer a tomber a genous. Avec mon bras gauche, je le retint par le coup, et ma droite s'apprêtait prendre ma lame pour lui enfoncer dans les boyaux.

C'est alors que monsieur nez-en-miette me saisi par la jambe, toujours par terre. Il tentait de se relever en se servant de mon comme appuie?! Ridicule. D'un geste bref, sec, je sortis ma lame et un mouvement latérale vint lui trancher le coups, le sang giclant de partout.

Malédiction! Je l'avais tué! Espèrons que c'est ce que Scarlett voulais... Sinon, j'allais passer un mauvais quart d'heure! Je risquai un regard vers elle, mon visage signifiant clairement 'C'ÉTAIT UN ACCIDENT'

- ''D-Dame Scarlett?'' Risquai-je, l'autre homme commencant a se débattre

Le tuer? Je ne demandais que ca! Alors que Scarlett finissait de convaincre le marchand, je rangeai ma lame. Je n'aivais nul besoin de moyens sanglants pour le tuer, d'autant plus que je devais obéir au meilleur de mes capacitées: Si Dame Scarlett voulait un bain de sang, je n'allais certainement pas gâcher ce précieux liquide et l'éparpiller partout. Et hop! La tête du bonhomme fis un tour, son coups lâchant un craquement immonde.

Immonde, c'était le nom des personnes de son espèce. Je n'avais, n'ai, et n'aurrai jamais l'ombre d'un regret en ce qui concerne le meurtre d'hommes comme ceux-ci. Le simple fait de l'appeler 'homme' était pour lui un privilège qu'il ne méritait pas. Qu'ils crèvent tous, qu'ils souffrent. Ils m'avaient pris ma soeur, aujourd'hui je leur montrai qu'ils le regretteraient toute leur vie. Ma vie est consacrée a Azael, a Dame Scarlett, et au meutre de tout ce qui pouvait concerner de près ou de loin le destin tragique de ma défunte soeur. Je lâchai le corps et regardai Scarlett donner les dernières directives a son nouveau petit pantin.

- '' Pourquoi utiliser la Maho quand votre seul charme suffit a persuader n'importe quel homme, ma chère maitresse?'' Dis-je, en souriant

Ca m'arrivait, de passer quelques petits compliments par ci et par là. J'espèrais qu'elle l'apprécie, parcequ'un compliment venant de ma part vallait de l'or. Mais c'était ce que j'aimais chez ma maîtresse: offre lui de l'or, elle éxigera des diamands. Je l'admire, pour ca. Il y a des tonnes de choses qui font que je suis amoureux de Scarlett, plus que je puis en compter. Pour commencer, elle. Son corps, son attitude, son visage. Je lui offrit donc mon plus beau sourire une nouvelle fois, qui voulait dire tout simplement que je l'adorais. Même couvert de sang (que dis-je? SURTOUT couvert de sang), je parviens à ne penser qu'a elle. Cette attitude causera probablement ma perte, mais pour l'instant, ce qui importait c'était que je l'aimais. Point.

"Comment oses tu critiquer mes manières de procéder ?! Si j'agis ainsi c'est pour protéger mes arrières de toutes trahisons, le charme à ses avantages mais il a aussi ses limites, et ce genre de marché ne se conclut pas au charme. Du travail t'attend, ramène les au laboratoire pour que l'on puisse récupérer leur sang... Et je t'attendrai dans ma suite, j'ai à te parler."

- '' C'est vrais, mes excuses, Dame Scarlett. Et... J-Je ne vous ferai pas attendre. ''

Et voilà, elle venait de faire ma journée. Tout le long de la marche du retour, les bras encombrés par ces deux cadavres de lourdeaux, je souris. Je ne cesse de le répéter, mais ce qui fais que moi et Dame Scarlett étions si... proches? Était à quel point elle me repoussait, et à quel point je m'accrochais. C'était évident, elle aimait bien m'envoyer promener, et c'était encore plus évident: J'adorais me promener. Hehe. Cependant, quand elle avait à me parler, c'était la plus part du temps avec ses poings. En fait, je ne m'inquiétais pas, si elle avait a me frapper, elle avait une raison vallable, qui me donnait par la suite envis de me frapper a mon tour.

Scarlett était certe un peu... Physique? Oui, disons physique. Donc, étant un peu physique, elle n'est tout de même pas déspotique. Elle me frappait, me gifflait et me faisait mal lorsqu'elle en sentais le besoin, et ca, je lui en était reconnaissant. Je suis presque sûr que si je racontais tout cas a quelqun, ils me diraient qu'elle est folle, et que je suis masochiste. Eh bien soit! Ca m'est égal! Le reste du trajet fus silencieux.

Arrivé dans le petit laboratoire, mais ô combien siniste (d'ailleur, si jamais j'avais du sang en trop, je ferais un petit coeur avec sur la porte, hehe)! Mais bon, trève de plaisanteries. Alors que ma maîtresse entrait dans sa chambre, j'alla placer les deux cadavres (quel domage, l'un d'eux avait déja perdu la moitié de son contenu. Dame Scarlett allait encore être décu...) tête première dans la baignoire, et je décapitai soigneusement le second. Je me dirigeai ensuite nonchallement vers ses appartements et, comme à l'habitude, cogna avant d'entrée. J'ai fort a parier qu'elle allait me frapper pour mettre du sang partout dans sa chambre et sur la poignée de porte, mais j'avais encore plus fort a parier qu'elle m'aurait fais très mal si je l'avais fait attendre.

- ''Vous... Vous vouliez me parlez, Dame Scarlett?'' Dis-je, en prenant soins de regarder le sol

Son jeune apprenti, si séduisant et charmant pouvait-il être pénétra dans la chambre de la jeune femme. Ses doux et beaux cheveux bouclés, son regard azur... Peu de femmes auraient pu résister à ce charme sans faille, mais malheureusement ce jeune homme appartenait déjà à une femme, qui était loin d'être partageuse ! En effet, Scarlett entretenait une relation quelque peu incestueuse avec son élève, mais ce n'était guère une barrière pour le couple... Si l'on pouvait appeler cela un couple. "Fuis moi, je te suis" était ce qui décrivait au mieux cette relation ! La jeune femme au coeur de pierre se montrait froide et insensible face à toutes les attentions amoureuses de Lans... Elle l'aimait, mais ne pouvait lui avouer. Mais elle n'était jamais contre une partie de jambe en l'air avec lui, c'était d'ailleurs dans ces moments qu'elle pouvait montrer à son apprenti tout l'amour qu'elle pouvait ressentir pour lui...

"Vous... Vous vouliez me parlez, Dame Scarlett?''

"Te parler ? Non. Approche Lans..."

Elle l'enlaça, pour ensuite le ramener sur son lit. Elle avait terriblement envie de lui, et ne se gênait pour assouvir ses caprices... La cydienne l'embrassa avec passion dans le cou, même si ces tendres baisers s'apparentaient plus à des morsures... Elle le deshabilla avec ardeur, ses vêtements n'étaient plus que des loques... Il saignait mais ces doux moments amoureux valaient toutes les peines du monde... Ils étaient nus et jouissaient d'une ardente passion. Les courbes de la gardienne mêlaient aux muscles masculins du garçon... Les langoureux baisers qu'ils s'échangeaient, les torrides caresses qu'ils entretenaient et les cris poussés... Ils semblaient heureux mais la jeune femme était essoufflée...

"Laaanns !!!!!!!!!!!! Hooooooo... Laanns !!!!"

Le couple avait passé un tendre et délicieux moment... Qu'ils finirent dans un bain de sang commun, ils n'allaient pas gaspiller le sang que leur avait offert les victimes du matin.

[Merci de nous désengager tous les deux dans ton prochain post s'il te plait ! Et merci ]

- "Te parler ? Non. Approche Lans..."

Je ne me fis pas prier. Le ton de ma maîtresse, son regard, son corps... Tout commencait à peser lourd sur mon self-control. Je ne pu réprimer un sourire qui devait être un mélange de complicité et d'excitation. Et alors qu'elle m'enlacait, je cédai. Sois elle jouait la comédie pour me faire perdre tout mes moyens (et ca fonctionnait très bien...) devant elle, sois elle avait vraiment envie d'une certaine attention de ma part. Je dois avouer que faire des galipètes avec ma maîtresse est une experience que je ne déteste pas. Mais bref, a peine le baisé sur le cou terminé, mes vêtements volaient déjà dans tout les côtés de la piece. Tant mieux, ils commencaient a me brûler la peau. Je n'osait pas regarder Scarlett dans les yeux au début, de peur d'y voir un sourire moqueur et qu'elle me dise 'T'es trop bête' ou un truc du genre. Mais finalement, je surmontai ma peur et plongea mon regard dans les sien alors que c'était au tour de ces vêtements (pour ne pas dire mes pires ennemis mais en même temps ceux qui m'empêchait de... bref) de faire des vols-plannés.

La partie fut courte mais intense, respiration lourde, libido dans le plafond, mon corps (je ne pouvais dire pour celui de ma maîtresse) moite, et du sang. Oui oui, du sang. Elle aimait me mordre, me griffer et me montrer toutes ses petites attentions particulières à mon égard. C'était en quelque sorte un moyen subtil de me dire que je comptais pour ell
e, c'est du moins ce que j'en comprenais. Il y avait biensûre le plaisir, pur et simple.

- "Laaanns !!!!!!!!!!!! Hooooooo... Laanns !!!!"

Juste en disant ca, j'étais à l'apogée, et incapable de répondre mieux qu'avec des gémissement de plaisirs, je croisai mes doigts avec les siens et nous continuâme. Dame Scarlett, peut-être ais-je été un mauvais apprentis, peut-être vous ais-je décu... Mais dans ce domaine, je ne peux que reussir. Je ne peux que vous satisfaire, et je ne dit pas ca que par narcisisme. La vérité c'est que je lui donne plus d'attention qu'a moi même, dans cette partie, parceque je sais qu'aucun autre homme ne le ferait jamais. Ils sont presque tous pareils, il utilisent la fille pour se satisfaire, et la jettent au poubelles après. Pas moi, bien au contraire. J'étais satisfait en un seul cris, un seul gémissement de sa part.

Finalement, après avoir assez saigné et tout le tralala, je me réveilla dans la petite baignoire, presque remplie de sang. J'étais dans une telle extase que j'en avais oublié comment j'en était arrivé là, mais peu m'importait. Je prenais un bain de sang avec celle que j'aime, et ca me suffisait. Je me permis même (oui oui, quelle audace de ma part) de jouer avec l'une des mèches de ces cheveux délicatement. Aussi couverte de sang qu'elle pourait l'être, je reussirai toujours a percevoir la divine éffluve qui émanait d'elle, qui parcourait tout mon corps sous formes de frissons d'extases et finir jusqu'au bout de mes orteils. Je l'aime un peu plus à chaque secondes, à chaques giffles, à chaques mots.

Finalement, tout redevint à la normal. Elle alla se rhabiller et je fis de même, pour ensuite aller me débarasser des cadavres. Je lui adressai un légé sourire de gratitude, presqu'imperceptible, pour finalement sortir avec mon 'lourd instrument de musique', en direction d'un coin éloigné du port.

[Tout les deux désengagés ^^ J'ai <3 le roleplay! Merci!]