Enfin chez soie!

J’ai énormément de difficulté à retenir un sourire. Me voila! Ici a Storghein face a la demeure ou j’ai grandi, mon manoir! Une énorme demeure qui a parcourue les siècles! Il avait appartenue a mon ancêtre, un Astorg de sans pure! L’un des premiers! Je suis donc une héritière…qui a déjà héritée, si nous voyons les choses différemment. Biensur, le cotée Astorg de sang pure était du cotée de ma mère, jusqu'à ce qu’elle épouse mon père un Elfe et qu’ils donnent la vie a deux sang mêler. Non en effet je ne suis pas très fier. J’aurais malheureusement voulu être ‘’sang pure’’ et avoir qu’elle que privilèges, mais rien n’est parfait.
Après le décès de ma mère…Mon père c’est remarié.
Et il essayait avec énormément de volonté de diriger la seigneurie. Mais en vain, il n’a jamais su comment y faire. Le pauvre. Alors il ce saoula tout les jours et me donna, a moi et ma sœur, une enfance médiocre.
Alors la veuve Elektra débarqua, épouse mon père et propagea le malheur partout dans nos terre. Cela ne m’étonnerait guerre d’entendre le fait qu’elle aurait empoisonné mon père pour avoir ses richesses. Pas de chance, elle aurait du épouser ma mère si elle voulait avoir une fortune. Alors elle a vendu les terres et déménagea plus loin dans la cité, dans le quartier qu’elle mérite.
Bien sûr ce que mon horrible belle mère ne savait pas, c’est que, peut de temps après ma fugue j’ai racheté les terres familiales! Comment? Et bien, mon père, sans doute pour ce racheté de la vie de misère que j’ai eu, m’a donné tout ce qu’Il possédait, son héritage et celui de ma mère. Cela peut donc automatiquement me reclasser dans le rang de noble. Mais ce n’est pas ce que j’ai choisi de faire, j’ai rachetée mes terres, engager des domestiques, donné de mon or a des pauvres. Mais cela dit, j’ai encore énormément de biens en réserve!

Bon trêve de rêverie. Je longe le petit chemin de gravier et me posta devant l’immense porte d’entrée, sans avoir même eu le temps de frappé a la porte. Une domestique prit la peine de l’ouvrir à ma place. Mais... Ce n’est pas une domestique.

-Voyons mademoiselle! Dit-elle de sa voie forte et rassurante,vous êtes ici chez vous alors pas la peine de frapper!

-Je suis si heureuse de vous revoir nourrisse!

Je l’enlace, et entra dans la demeure. Les domestiques prirent la peine d’enlever mon armure et mes bottes. Je dois l’admettre, je ne suis plus très habituée à ce genre de service! J’ai passée 6 mois dans les bois pour le travail! Les conteurs sa voyage! Il faut tout de même que j’arrive à payer mes domestiques. Depuis mon retour, j’ai beaucoup entendu parler de ma venue. Du fait que je n’arriverais jamais à entretenir mes terres et avoir pas suffisamment d’argent pour vivre. Ma mère avait raison, dans ce quartier beaucoup son jaloux de la famille et du fait que je me débrouille bien. Mais je dois l’avoué … j’ai certaine crainte.

Les domestique et moi ce dirige a l’étage et elles me préparent des vêtements propres, une robe. Ciel cela fait si longtemps que je n’en ai pas portée! Je prends mon bain et savoure cet instant… Ont est bien chez sois, je ne peux pas me passer de ses mois dans la nature ni de ses journée a la maison, dans ma seigneurie! Je suis gourmande…
Je me retire de la baignoire et enfila la robe… Dieu du ciel! Cette robe appartenais a ma mère. Je je croyais qu’elle était perdue!

-Nous l’avons trouvée dans une male au grenier, dit une des domestiques

Je la remercia d’un signe de tête. J’étais trop concentrer a contempler cette robe dans le miroir. Cette couleur rose saumon légèrement plus foncé avec des petites fleures brodés dans le tissu. Cela me fessais pensée aux nuits d’hivers, lorsque je me blottissais dans la robe de ma mère pour me réchauffer, elle était sur la chaise berçante prêt du feu toujours en caressant mes cheveux et a me chanter des berceuses. Après c’est quelques pensés, je me sentais pathétique, je ne suis plus la même gamine. Mon enfance ce résumais a rien et j’ai du me battre pour survivre.
Soudain j’entendis une cloche. Une des servantes ce dirige en bas des escaliers, je la suis, curieuse de savoir qui était devant ma porte.

-Tout va bien, merci je vais répondre personnellement, dis-je perplexe.

Je d’éclanche le verrou qui ce décrocha et ouvris la porte.

[ Enfin chez "soi" serait mieux je pense ]

Du plus loin que remontaient mes souvenirs, j'ignorais totalement tout de ma cité natale si ce n'était que l'homme qui nous avait terrorisé toute notre enfance durant y vivait. Ma mère, terrorisée à l'idée que ce dernier ne nous retrouve, priait chaque jour durant Silmaria et Esra pour nous protéger et nous épargner la peur et la tristesse mais, contre toute attente, si ses prières avaient su nous protéger de l'influence de notre géniteur, elles ne nous avaient pas prémuni contre la douleur du départ de ma jumelle. Felwen avait quitté le domicile familial depuis des mois et son absence pesait chaque jour un peu plus sur notre famille et dans nos coeurs si bien que j'avais pris la décision de partir à sa recherche. Aussitôt, ma mère s'était opposée à cela, de peur que notre père ne remette la main sur moi et il m'avait fallu la rassurer des jours durant pour qu'elle tolère éventuellement l'idée. L'appui de mes grands-parents avait été fort util. De tout temps, ils nous avaient protégés et avaient su raisonner ma mère et une fois encore, c'était grâce à eux que Lailaith s'était résignée.

Le jour de mon départ, une semaine plus tard, finit par arriver si bien que ma mère ; dont les traits laissaient à penser qu'elle était aussi jeune ou presque que moi, j'exagérais sans doutes parce qu'il s'agissait de ma mère et que, à mes yeux, elle demeurerait toujours la plus belle créature que cette terre ai portée, en dehors de celle qui partagerait mes jours et de ma cadette peut-être ; les yeux embués de larmes et le coeur pétri de peur, garda néanmoins le sourire en me disant d'un ton doux qu'elle m'aimait et qu'elle avait confiance en moi. Vidar n'existait qu'en son coeur et rien ne violerait jamais ce jardin secret mais pour ma part, j'étais et demeurais « Lyra Sandel » tout comme Ada n'était autre que Felwen. Si j'étais conscient du nouveau sacrifice que j'imposais à ma pauvre mère, je ne pouvais me résigner à agir autrement. Ma jumelle me manquait cruellement et aujourd'hui que j'étais adulte, je ne craignais plus mon père, bien au contraire. L'ombre du passé qui avait terrorisé ma pauvre mère des années durant n'était rien de plus qu'un homme fait de chair et de sang. Tout aussi puissant soit-il, j'étais persuadé de pouvoir m'en sortir et de tirer de ses griffes ma petite soeur. Felwen avait toujour eu tendance à s'attirer facilement des ennuis mais, du plus loin que remontaient mes souvenirs, j'étais toujours venu à son secours et je ne comptais pas l'abandonner.

Avec calme, j'avais arnaché ma pouliche dont la robe sombre me permettrait de passer plus ou moins inapperçu jusqu'à Storghein du moins. J'avais bien entendu pris le soin de prendre une carte de la région pour éviter de me perdre sottement puis, ceci fait, j'avais embrassé ma famille avant de partir. La cité était relativement éloignée de la mienne si bien qu'il me fallu plus de trois jours pour l'atteindre. Lorsque, le troisième jour, la pouliche entra dans la cité, ses sabots foulant le sol gelé de Storghein, j'éprouvais un étrange sentiment. Des contes et légendes racontés par ma mère durant mon enfance, ne restait que la sensation de froid mais c'était comme si j'étais déjà venu ici, comme si quelque chose se rappelait à moi bien que je fus certain de n'avoir jamais vécu dans cette cité. Je passais le reste de la journée à chercher une auberge décente et, lorsque je fus certain qu'on prendrait soin de Los, je quittais les lieux à pieds pour fouiner un peu dans la cité. Silmarie était magnifique, Storghein en revanche me semblait triste, froide et trop vide pour être vivante. Je n'aimais ni la cité ni ses habitants mais pourtant, je n'avais pas le choix. Cherchant à me faire discret, je me devais de ne pas attirer l'attention et pourtant, j'avais besoin de réponses ... de renseignements. Aussi, une fois retourné à l'auberge, je demandais à la jeune femme qui me servait si elle connaissait par hasard quelqu'un susceptible de me renseigner sur une famille et elle me donna un nom, ce qui jusque là, expliquait ma présence devant la porte de cette inconnue. D'un sourire charmeur, je lui demandais en Astorg :

« Bonjour, pardonnez moi de vous déranger gente dame mais je suis à la recherche d'Abigaia Yseult, suis-je à la bonne adresse ? »

[ Oups!!! Merci! ]


Je d’éclanche le verrou qui ce décrocha et ouvris la porte.
Un coup de tonnerre heurta ma poitrine, ce jeune homme…J’ai crue ne serais-ce qu’un instant qu’il était Argus. La ressemblance était pourtant tellement accablante, mais, Argus avait les yeux grisâtres et le jeune homme posté devant moi avait…Pas des yeux bleus, mais je dirais, des yeux d’une couleur très particulière… Vert d’eau je dirais. Je savais bien que revoir Argus un jour, depuis que mon père l’avait envoyé a l’armé de force, était impossible. Du moins pour l’instant.

Nos regard ce croisa… Seigneur! J’en ai presque détournée le regard! Quel impacte!
Je ne croie pas que... dévisager un inconnu ainsi, même une personne en temps normal, n’est très convenable pour une personne bien élevée…Bon sa y est… j’ai retrouvée mes grands airs. Je fronce légèrement les sourcils, qui est-il et que fessait t’il dans ma propriété? J’avoue être un peu méfiante…

« Bonjour, pardonnez moi de vous déranger gente dame mais je suis à la recherche d'Abigaia Yseult, suis-je à la bonne adresse ? » dit-il avec un sourire charmeur.

Je reste de marbre. Physiquement du moins, son sourire m’avait donné, étrangement, un peut de chaleur. Naturellement, je suis la ‘’maitresse de maison’ et fondre devant un inconnu?? Vous me prenez pour qui? Pour Aldrena la catin? De plus, les domestiques regarde l’entré avec des yeux de hibou. Quoi de mieux pour donner un bon exemple de femme autoritaire! Mon visage ce durci, je dois l’avouer… en ce moment j’essais de toute mes force de ne pas répondre a son sourire. Qui auraient crue cela d’Abigaia l’accueillante?

-La personne que vous rechercher est devant vous, dis-je d’un ton peu impressionné

Au contraire! Au fond j’étais très surprise! Que me voulait-il? De plus, peux de gens viennent me voire, appart pour des contras. Je reluque le jeune homme des pieds a la tête, ce n’ai pas le genre de client que je reçois habituellement. Je retins un sourire, cet homme m’intrigue… Mais de qu’elle façon? Il eu quelques longues secondes de silence, j’avais peine a retenir mon air de tutrice sévère, heureusement, sa ne paraissais pas. Je suis quand même bonne dans ce domaine, mon métier de conteuse m’avais appris, et m’apprend toujours, beaucoup de choses! J’hésite quelques instants, mais ce silence était trop insupportable et il fessait froid dehors. Je voyais bien que le jeune homme attendait une invitation, je ne pouvais pas le laisser ainsi surtout si, il a une requête à me formuler. Je ne le quitte pas des yeux et dit durement :

-Entré donc.

Sans même lui adresser un sourire j’entre dans le manoir, les domestiques semblaient étonnées, je dirais même, sans voie. Les ricanements de deux domestiques qui observaient le jeune homme d’un regard timide n’étaient pas discrets du tout.

-Marie!, dis-je subitement

L’une des deux ricaneuses s’avance, elle ne quitta pas des yeux le garçon. J’avoue que cela me frustre légèrement, ce n’est qu’un garçon normal après tout? Avec des yeux uniquement hypnotiques et un sourire extrêmement charment. A cet instant j’ai sincèrement voulu me donner une gifle. Je dois me ressaisir! Marie baissa les yeux devant le garçon, elle semblait totalement perdue devant son charme.

-Oui dame Abigaia? Dit-elle timidement

J’en suis toute retournée, je ne l’ai jamais vue ce comporter de cette façon. Je n’ose pas le regarder mais je dois l’admettre, ce garçon m’intrigue de plus en plus.

-Escorte mon inviter au petit salon, dis-je d’un ton autoritaire et, sans même accorder un regard au garçon, Je serais a vous dans quelques minutes.

Ciel! Parler de cette façon n’était vraiment pas dans mes habitudes! Mais bon. Je croie que les domestiques ont appris comment ce comporter face a des invités, ou dans ce cas la, comment bien ce tenir. Ce n’ai pas le cas pour certaine, Marie ce mordilla les lèvres et guida le garçon au petit salon toute excitée. Non mais, regarder la! Elle ce tien a moins de trois centimètres de distance du garçon! Q-Quoi? Moi jalouse! Pas du tout! Je ne sais pas… comment cela aurais été possible? Je ne connais rien de ce garçon. De toute façon ce n’ai pas convenable!

Je me dirige dans la pièce opposé du petit salon, retire du placard des chaussures convenable, certes pas des talons haut-de-forme. Car effectivement il y à peine quelques minutes, je sortais de la baignoire et j’ai, bien entendu, accueilli cet homme pied nue avec les cheveux humides. Comme je suis sotte! Je secoue mes cheveux et les laisses doucement en vague dans mon dos, je préviens une des domestiques d’ouvrir la cuisine au cas où notre invité voudrait quelques choses à grignoter ? Peut être a-t-il fait un long voyage? Je quitte la pièce et me dirige vers le petit salon, une pièce très accueillante avec en son centre une immense cheminer. Le feu dansait délicatement entre le bois et éclairais l’ensemble de la pièce qui paraissait, élas, plutôt sombre.
Je pris place dans un petit fauteuil et déposa le regard sur le jeune homme. Il était séduisent, il faut l’admettre…

-Marie vous pouvez disposer, merci, dis-je avec un sourire délicat

La domestique, disposa a contre cœur.

-Je vous en prie, assoyez-vous, dis-je souriante au jeune homme

Oui oui! Je lui ai accordée un sourire, mais je ne supporte pas d’être comme ses femmes trop dures et qui ne savourent pas pleinement la vie! N’empêche, je sais très bien comment me comporter.

-Vous vouliez me voire? Et ..sans me montrer impolie, qui êtes vous? Dis-je calmement.

[Désolé si la couleur d'écriture n'est pas pareille a la tienne ^^' je ne trouve pas la bonne couleur.]


" Vous n'êtes guère impolie gente dame, au contraire, votre question est tout ce qu'il se fait de plus légitime. Je me nomme Lyra et, pour des raisons personnelles, vous n'obtiendrais de moi que ce prénom.

Je lui affiche un sourire sincère, je trouve cet homme très mystérieux et je mentirais si je disais que cela ne me plaisais pas. Lyra? Un nom qui ne vient pas d’ici, sans aucun doute! Je ne sais pas pourquoi mais, quelques chose me dit de lui faire confiance. Comme une intuition, ce qui est très rare chez moi d’accorder une confiance aveugle. Mais, chez ce garçon… C’est, comment dire, inexplicable. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire.

-Vous pouvez m’appeler Abigaia!

Mince. Dans quoi vais-je m’aventurer? Au départ si froide. Et sans même me fier sur une information complète, je vais lui faire confiance et lui accorder ma bonne foie? Surtout à un inconnu? Ce n’est vraiment pas dans mes habitudes. Par contre, mes intuitions ne m’ont jamais trompée. Quelques chose me dit qu’il a besoin de mon aide.

Je suis venu à votre rencontre pour obtenir des informations, l'aubergiste chez qui je loge actuellement m'a en effet assuré que vous pourriez sans doutes m'aider. Je cherche une personne, un dénommé Sven Arlog, seriez-vous à même de me donner des informations sur lui ? "

Le sourire que je lui affichais s’éteint aussitôt. Je me lève d’un bond et regarde Lyra surprise. Effectivement, il avait besoin de mon aide. Pourquoi? Pour le renseigner sur un voleur! Il faut croire que, pour une foie, mes intuitions n’étaient pas tous vrais! Il est de mèche avec ce briguant? Ou le connaît t’il personnellement? Une frustration inévitable monte en moi, je pointe fermement le garçon du doigt et spontanément je me lance dans un discourt déchainée.

-Bien sur que j’ai des informations à vous donner mon cher! Vous direz à cet homme, quand vous le trouverez, de me rembourser les récoltes qu’il m’a volée! Savez-vous combien c’est difficile et long entretenir des récoltes à Storghein?


Je prends une grande respiration. En fait, les récoltes représentaient beaucoup pour moi et surtout pour les autres. Je m’inquiétais surtout pour les cultivateurs qui donnent tout leurs temps et leurs cœurs à la tâche pour assuré une meilleure vie, grâce a l’argent amassés. Car, oui. Les cultures qui proviennent des terres de Storghein sont rares, mais couteuse et je paie richement les ouvriers pour leurs travaux acharnés. Et ce salaud a volé ce qui permettait de réchauffer aisément mes employés en vue de cet hiver! Je réalisa, malgré moi, que ses réflexions ont été marmonnés à voie haute.Je regarde le garçon les yeux rond. Voila ce qui ce passe quand je suis nerveuse ou furibonde...je parle. Ou, devrais-je dire radoté? J’avoue être un peu timide face à cette situation. Je me stabilise, car nerveuse j'ai tendance a ne pas rester en place, le regarde,mais cette foie si, j'ai détourner les yeux aussitôt.

-Désolé de m’être emporter… Si j’ai besoin de régler un problème avec cet homme, je ne devrais pas m’en prendre à vous , mais a lui... désolé et pardonné mon impulsivité. Dis-je doucement la tête un peu basse, …Effectivement j’ai d’autre information, Après qu’il est volé mes récolte, j’ai poursuivit cet homme jusqu’a la foret de Kalade. Ou j’ai perdu sa trace… et je croie bien qu’il n’était pas seul.

« Y avait-il une jeune fille avec lui ? Je ne pense pas qu'il s'agisse du même homme. Celui que je cherche est soldat … Pouvez-vous m'en dire plus ? Je sais que mes questions peuvent paraître étranges, mais je vous en prie, j'ai besoin de ces réponses. Je suis désolé, vous devez avoir confiance en moi, si cet homme est celui que je cherche, nous pourrions peut-être … nous associer ? »

C’est paroles semblaient passionné. Je croie qu’il cherche la jeune fille que j’ai aperçue plutôt que Sven Arlog. Le connaissait t’il vraiment? Effectivement il est soldat, mais il est noyé dans les dettes…Effectivement ses paroles sonnent étranges. Mais l’idée de m’associer m’enchante a vrais dire.

« Nous parlons bien de Sven Arlog? Oui il est bien soldat… Mais couvert de dettes de la tête aux pieds. Je les poursuivis jusqu'à la forêt de Kalade … Je ne suis pas sur mais je croie qu’il y avait bel et bien une personne qui l’accompagnait. Vous la connaissez? Désolé j’ai oubliée que vous ne vouliez pas en dire d’avantage. Avez-vous une monture? »

Il répondit a ma question mais peut importe, je lui sourie, lui prit la main et l’entraina jusqu’au armoirie. J’étais heureuse que les armures de cuire a mon père vont enfin servir. Car effectivement, j’ai bien remarquée que ce jeune homme ne portait aucune armure et si nous avons à faire a un soldat sa serais plus que capitale surtout si il ce nomme Sven Arlog. Une famille assez connu qui possèdent, la plus part, les faveurs divines de Krom. Il est préférable de ne pas prendre de chance si les soldats disent que la famille Arlog est puissante. Je suis bien renseignée, Lyra a de la chance. Après ma fugue j’ai voulu devenir un ‘’compagnon de la reine’’. A vrais dire, cela n’a pas vraiment marché pour moi. Alors je me suis consacré à ce que j’aime le plus, les histoires.

« Tu devrais posséder une armure. Si tu veux que te l’offre! Elle est à toi. Elle ne sert à rien depuis un bon moment. Et si nous voulons vraiment combattre un membre de la famille Arlog, tu en auras besoin. Je sais bien que c’est la personne qui l’accompagne qui t’intéresse... non? »

Je croie que j’ai parlé trop vite. Je réalise que ma main touchait encore la sienne, je relâche mon emprise. Timide, je lui donne l’armure et m’avance vers la porte.

« Je apporter la dans vos bagages, ou vous pouvez l’enfiler. Pendent ce temps, j’irais emprunter un cheval. Nous pouvons nous rejoindre a l’entré du village? Est-ce que cela vous convient?»

[Pas de problème je commence la semaine prochaine ^^]