Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 [DA] Ce qui ne me tue pas me rend plus fort [Terminé]

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Ertius
Ertius
Masculin Nombre de messages : 46
Race et âge : Astorg de 20 ans
Cité : Storghein
Métier : Gladiateur

Feuille de personnage
Compétences: Spécialisation en épée, survie, pistage
Compétences bonus:
Réputation :
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[DA] Ce qui ne me tue pas me rend plus fort [Terminé]
   [DA] Ce qui ne me tue pas me rend plus fort [Terminé] EmptyMar 14 Aoû - 6:47

La chance n’était pas toujours avec moi. Mon contrat était simple, attraper un bandit vivant et le ramener afin qu’il soit juger à Dakata. Le bandit que je devais tuer avait réussit à s‘enfuir en créant un éboulement pour me stopper pendant que ses sous-fifres m’occupaient quelques instants. Non contente d’avoir réussir à fuir, il avait aussi réussit à me casser le bras droit. Mon seul véritable problème était qu’une main habitué à soutenir les coups n’était pas faite pour les donner en retour, du moins pas efficacement. Je savais écrire des deux mains mais jouer de la plume et de l’épée était deux choses bien différentes. Après avoir mis une attelle sur mon avant bras cassé, je mis mon bouclier dans mon dos et pris mon épée dans la main gauche. Il me fallait maintenant traquer cet homme. La traque fut simple et rapide, un homme fuyant en courant laisse de nombreuses traces de son passage, branches cassées, empreintes de pas, cailloux retournés … En plus d’être lâche cet idiot était allé directement à leur cachette afin de ramasser des richesses et de fuir ces contrées. Le tuer me démangea énormément, un homme aussi lâche qui avait réussit à me blesser ne méritait pas de vivre mais le contrat stipulait bien que celui-ci devait être remis vivant aux autorités. Profitant donc du fait qu’il soit de dos en train de ramasser ses affaires je l’assommai avec le plat de mon épée. L’attachant avec une corde autour d’un arbre je lui pris la tête avec une main tandis que l’autre le cognait pour qu’il reprenne ses esprits. Il commença à crier dès son retour à la réalité implorant ma piété pour sa vie, ses supplications ne servaient à rien et m’énervaient profondément. Je déchirai donc une partie de sa manche afin de le bâillonner et je lui dis :
« Tu as fait deux erreurs d’une part tu m’as cassé un bras avec ton éboulement et d’autre part tu m’as amené à ta cachette. Je vais donc avoir besoin de mon cheval pour te transporter et pendre ce qui m’intéresse dans ta cachette. Malheureusement pour toi celui-ci est assez loin et je ne te fait aucunement confiance pour rester ici sans rien tenter. C’est pour cela que je vais faire ça. »

Prenant sa jambe droite je déboitais son genou afin qu’il ne puisse pas partir sans devoir s‘infliger lui-même de la souffrance mais je savais aussi que la peur put surmonter toutes les douleurs c’est pour cela que je pris son autre jambe et que je la cassai. La souffrance fus tel qu’il s’évanoui. Je pus donc aller chercher Fourreau et revenir à la cachette sans avoir trop de soucis à me faire. Une fois le butin des bandits chargé dans une charrette qu’ils avaient je mis donc Fourreau à l’attelage malgré le fait qu’il piaffa de dégoût. Le bandit n’avait pas bougé mais il avait pleuré. Après l’avoir détaché de l’arbre puis rattaché dans la charrette nous prîmes la route menant à Dakata. Le juge fut heureux de voir qu’en plus de ramener le chef des bandits j’avais aussi trouvé leur cachette. Il me proposa une prime pour ce service t je lui répondis que je préférais obtenir la permission de m’entrainer avec la garde de la ville durant quelques temps. Le juge accepta de bon cœur et le capitaine de la garde en fut honoré, ce qu’ils ne savaient pas c’est que j’avais déjà pris une partie des pièces du butin des bandits.

Durant un mois je m’entrainai donc avec les gardes de la ville en n’utilisant que ma main gauche pendant que mon avant bras droit finissait de guérir. Cette entrainement me permis d’être véritablement ambidextre et j’aime à penser que cela fut aussi bénéfique pour la garde.

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