[DA 155] En parlant autour d'un verre. | [Public] (terminé)

Un matin.

La porte s’ouvrit dans un grand fracas, laissant entrer un peu de neige dans la taverne du Bar du Port. Une silhouette, cachée par une ample cape en peau apparut dans le coin, et fixa un moment les quelques personnes présentes. Le nouvel arrivant abaissa sa capuche pour laisser apparaître son visage : ce n’était autre qu’Oründ, le forgeron. Il desserra la ceinture, au niveau de son ventre, qui servait à maintenir sa cape en peau refermée sur lui, carapace contre le froid. Dessous, il portait un simple harnais pour se protéger le torse et un pagne en peau de bête pour les jambes. Il renifla, bruyamment il faut avouer, la bonne odeur qui émanait de l'intérieur. On ne lui avait pas menti, rien qu'à l'odeur, on pouvait jugeait de la qualité des plats servis ici. Son ventre, s’étant mis par la suite à gargouiller, il porta sa main à son ventre avant de se diriger vers le comptoir.

Lorsqu’il s’avança vers le comptoir, on pouvait légèrement percevoir le tintement de sa hache contre son bouclier, tous les deux attachés dans son dos. L’ambiance des lieux était ce jour-là plutôt calme. Seuls quelques clients étaient assis à des tables différents, dans les coins de la salle. Il s’arrêta et considéra la charmante tavernière. Il lui adressa simplement un sourire, qui ne semblait pas venir du cœur, mais n’était qu’un simple signe de politesse, avant de dire :

« Un hydromel, et je voudrais de quoi me remplir le ventre s'il vous plaît. »

Là-dessus, il fit volte-face, en attendant que la femme lui réponde, pour de nouveau examiner la salle. Lui qui aimait les tavernes où l’on riait, chantait et dansait, se trouvait légèrement déçu par l’ambiance : il était accoutumé aux tavernes bruyantes où l'on ne va même pas pour manger, mais bien pour passer un moment à s'amuser. En même temps, il suggéra que l’établissement venait d’ouvrir, puisqu’il était assez tôt, c'était donc un jugement plutôt sévère de sa part. Néanmoins, il était ce jour-là venu à la Feuille d'Or pour goûter aux petits gâteaux dont on parle parfois, qui sont, à ce qu'on dit, si bons. Il se retourna à nouveau, pour regarder la tavernière. Le temps qu’elle lui réponde, il porta sa main à la bourse assez maigre qui était accrochée à sa ceinture, se préparant déjà à la payer.

La nuit fut longue pour Yorg et son groupe de combattant. En effet, suite a une discussion plutôt mouvementé avec un autre groupe, il avait passé la nuit à argumenter de la seule manière qui convienne a un Astorg: un bon vieux duel.

- Sacrée nuit Sergent, lança un des hommes qui était en train de se remettre l'épaule en place.
-Pour sur on c'est bien amusé déclara Yorg en remettant sa hache dans son dos. Bon messieurs pour finir en beauté je vous offre un dernier verre. TOUS AU BAR DU PORT !!!!!!!!

YEAHHHH! hurla le groupe d'homme brandissant leur armes.
Il partir tous en courant a travers la ville, Yorg lui marchait doucement il appréciait ces moment où il se retrouvait un peu seul, cela lui permettait de faire le point.

Il marchait doucement en direction de la taverne, en se rapprochant il se tourna, et siffla, a ce moment un Loup d'une taille impressionnante arriva en trombe. Son pelage gris comme l'acier luisait sous les rayon du soleil levant:
- Mon bon Ulthor reste dans les parage nous irons chassez dès mon retour, déclara Yorg en tapotant l'encolure de l'animal. Yorg avait beau dépassez le mètre quatre-vingt-dix il ne semblait pas si grand face a l'animal.
Il donna alors une tape sur les flanc de l'animal qui parti a toute allure.

Yorg termina le chemin qui le séparait de la taverne, il poussa doucement la porte d'entrée et la scène qu'il vit fit apparaître un large sourire sur son visage. en effet ses compagnons d'arme avait commander un tonneau de bière et chantaient tous autour d'une table. En entrant, Yorg qui était un habitué des lieux retira sa hache de son dos et la déposa sur le ratelier, on pouvait alors observer cette hache a double tranchant gravé d'une tête de loup. En se retournant il fit un rapide tour de la salle il observa derrière son comptoir la tenancière qu'il ne manqua pas de saluer d'un geste de la main, quelque badaud venu prendre un petit déjeuner et un homme accoudée au comptoir buvant un verre d'hydromel. Il observa l'homme un instant et remarqua qu'il n'avait pas quitté son armement, il est vrai que d'ordinaire on le garde sur soit, mais a la feuille d'or cette règle était très importante.

- Bonjour a vous, déclara Yorg en se rapprochant de l'homme, je sais que se que je vais vous demander va vous paraître quelque peu déplacer mais pourriez vous déposer vos arme sur les rateliers prévus a cet effet, la patronne n'apprécie pas vraiment les armes.

Yorg attendit la réponse de l'homme tout en prenant le verre qu'un de ses compagnons lui apportait

Alors qu'Oründ sirotait son verre d'hydromel que la serveuse lui avait donné, une troupe entière d’hommes arriva dans la taverne dans un grand bruit. Il se retourna alors. Des guerriers, qui s’assirent à une table en s’agitant, avaient pénétré dans la taverne. A l'instant même où la porte s'ouvrit pour qu'ils entrent, le voile de silence qui s'était installé dans la taverne avait été rompu. Certains d’entre eux vinrent commander de quoi boire au comptoir, sous le regard d’Oründ. Ce dernier esquissait alors un petit sourire, puisque ce groupe apporta un peu d’agitation à la taverne qui lui paraissait plutôt calme jusque là.

Le groupe alla s’asseoir à une table, emportant notamment avec lui un gros tonneau de bière. Les bocks remplis, ils se mirent à chanter. Oründ, qui les regardait toujours, tapait sur le comptoir pour les accompagner dans leur chant, et fredonnait le même air qu’eux, les yeux fermés. Il se laissait bercer par l’ambiance, à présent plus convenable pour lui, de la taverne.

Sous le brouhaha, il perçut un léger grincement : celui de la porte de l’établissement ? Il ouvrit les yeux pour voir entrer un homme qui posa son arme dans le râtelier, vers lequel Oründ baissa les yeux. Il se rappela alors qu’il avait oublié de ranger son arme là. A peine eut-il émit cette réflexion que l’homme qui venait d’entrer était déjà posté devant lui, qui lui dit :

« Bonjour a vous. Je sais que ce que je vais vous demander va vous paraître quelque peu déplacé mais pourriez-vous déposer vos arme sur les râtelier prévu a cet effet, la patronne n'apprécie pas vraiment les armes. »

Oründ l’examina un instant. Qui était cet homme, pour lui ordonner une chose ? A vrai dire, ce qui irrita le plus notre forgeron, c’est que cet individu lui avait dit de faire quelque chose qu’Oründ s’apprêtait à faire. Enfin, il en déduit qu’il devait être garde. Après tout, Oründ était fautif, il n’avait pas à contester : c'était l'une des règles de la taverne à laquelle il fallait se plier. Il adressa un petit sourire à l’homme.

« Salutations. Je m’apprêtais justement à aller ranger ça là où ça doit être. Veuillez m’excuser, mais je ne connais pas bien le règlement de cet endroit. »

Il retira sa hache de la sangle qui la maintenait à son dos, et traversa la salle pour aller la placer dans le râtelier. Une fois fait, il fit le chemin inverse, en jetant un bref regard à la troupe d’hommes qui buvait, jusqu’à son interlocuteur. Il se plaça devant lui, de sorte à ce que les deux hommes se fassent face.

« Oründ Greronth, fit-il. Je suis forgeron. Et vous, l’ami, qui êtes vous ? »

Il s’appuya contre le comptoir, fixant l’homme, en attendant sa réponse.

Yorg observa l'homme qui se confondait en excuse et qui alla ensuie déposer son arme a l'endroit ou elle aurais du être. Yorg relacha alors tout ses muscle en effet il s'était préparer a une réaction plus aggressive de la par de cet personne, il était rare a Storghein qu'une remarque n'engendre pas un règlement de compte

- "Oründ Greronth, fit-il. Je suis forgeron. Et vous, l'ami, qui êtes vous?"

Cet accès de familiarité fit sourire Yorg, il savait que c'était la marque typique de tout bon commerçant. Yorg comprit alors que cette personne devait être a la recherche de quelque client et que pour cette raison il avait prit la remarque sans rien dire.

-Je me présente, Yorg sergent dans l'armée de Storghein et voici mes compagnon, déclara Yorg en lançant un regard a ses camarade qui continuait de boire plus que de raison, Yorg qui ne voulu pas envenimer la situation a cause de son attitude trop sur la défensive , il enchaina donc: excuser moi de m'être emporter tout a l'heure, mais je pensait que vous ne connaissiez pas cette règle.

- Mais dite moi donc que fait un forgeron de si bon matin si loin de sa forge? A se moment Yorg attrapa la chope tendu par l'un de ses camarades et attenda la réponse du forgeron. Il est vrai que dans la grande cité guerrier les forgeron ne quittait que rarement leur forge, suaf pour récupéré quelque arme qu'il devait retravailler ou pour livrer une de leurs oeuvre a quelque haut dignitaire.

Alors qu’il était accoudé et qu’il l’examinait, venant de lui poser une question sur son identité, l’homme en face lui répondit :

« Je me présente, Yorg sergent dans l'armée de Storghein et voici mes compagnons, en pointant les hommes à la table. Excusez-moi de m'être emporté tout a l'heure, mais je pensais que vous ne connaissiez pas cette règle. »

Oründ hocha la tête, s’apprêtant à parler à son tour. Mais l’homme vint ajouter une autre parole, qui coupa Oründ dans son élan, ce qui l’irrita légèrement.

« Mais dites-moi donc, que fait un forgeron de si bon matin si loin de sa forge ? »

Là-dessus, un des hommes vint apporter un bock à ce Yorg. Oründ le regarda s’éloigner et glissa son regard sur le militaire. Cette question, à présent qu’il y repensait, le fit sourire. Il attrapa son bock d’hydromel, en but une gorgée très succincte, et, le bock toujours en main, il le désigna au militaire, tout en avalant le liquide chaud dont est rempli le contenant. Une fois le tout bien descendu, prêt à parler pour justifier sa présence en ces lieux, il dit :

« Si je suis ici, c’est pour ça, fit-il en agitant sa chope d’hydromel. Il est assez tôt, encore, et je voulais venir déjeuner, quoi que le terme ne convienne pas étant donné mon repas ainsi que l’heure qu’il est à présent. Mais bon, c’est ainsi : j’aime commencer la journée par un bon alcool chaud pour affronter le froid. Puisque je m’apprête à aller récolter des minerais, en dehors de la ville.»

En disant cette dernière phrase, qu’il semblait avoir ajouté pour tenter de déboucher sur une autre conversation, puisqu’il avait adopté un ton, il vint croiser ses bras sur son torse. Il cachait sa cicatrice sur le torse, que vous auriez pu remarquer si vous aviez jeter un très rapide coup d’œil avant qu’il ne place ses bras par-dessus. Il abaissa légèrement la boucle de son harnais, de sorte à ce qu’elle vienne cacher la cicatrice. Décroisant les bras, il reprit une gorgée, cette fois-ci plus longue que la précédente. D’ailleurs, se rendant compte qu’il pouvait largement achever le contenu du bock, il finit les dernières gorgées à prendre en vitesse, dans un bruit assez gênant de déglutition. Il posa son bock sur le comptoir, à sa droite, puis, toujours appuyé contre, il vint à nouveau croiser ses bras en attendant autre chose de la part du garde, avec un petit sourire aux lèvres.

« Et vous, ajouta-t-il, après un instant de silence qui s'était installé, de votre côté ? Que font des militaires dans cette taverne de bon matin ? »

Il tourna la tête vers la table des gardes, un bref instant, pour voir ce qu’ils faisaient, mais aussi pour les désigner à la personne avec qui il parlait. Il reposa son regard sur Yorg, en attendant sa réponse.

Yorg écoutait attentivement le forgeron expliquer sa présence dans la taverne de si bon matin. Son explication était la plus claire et la plus logique du monde, une bonne boisson de bon matin, rien ne vaut cela. Puis l'homme lui retourna la question, Yorg savait qu'il était dans l'obligation de répondre, un discussion pouvais très vite dégénéré dans une taverne tout le monde le sais bien.

- Et bien cher forgeron nous venons mes hommes et moi de passez une nuit assez agité si vous me comprenez, déclara t'il en prenant son épaule encore un peu endoloris.

La réflexion de l'homme quant-à sa recherche de minerais commença a intrigué Yorg,

* un forgeron qui part lui même à la recherche de son propre minerais voilà qui est bien étrange * pensa t'il.

- Mais dîtes moi Oründ, vous allez cherchez du minerais seul. Sans aucune protection?Déclara alors Yorg qui pensais encore à la sécurité de tout citoyen de Storghein.

Ses hommes continuais de boire en faisant toujours autant de bruit, on entendant les chopes se percuter avec fracas, l'un des hommes observa la discussion qui se menait entre leurs chef et le forgeron, pensant que Yorg eu besoin d'aide pour régler un soucis il se leva doucement, Yorg plaça discrètement sa main dans son dos et lui fit signe que tout allait bien. Depuis le temps qu'il croisait le fer ensemble Yorg connaissait parfaitement ses hommes se qui leur permettait a tous de ne presque plus se parler pour se comprendre.

Yorg avala d'une traite son verre en attendant la réponse de son interlocuteur

Il reposa son regard sur Yorg. Ce dernier déclara alors :

« Eh bien cher forgeron, nous venons mes hommes et moi de passer une nuit assez agitée si vous me comprenez… »

Et Oründ le voyait bien : depuis le début de leur conversation, l’homme n’avait pas cessé de tripoter ses bras ou ses épaules, où il semblait blessé. Il aurait bien aimé savoir ce qui s’était passé cette nuit, la cause de toutes ces blessures. Une bagarre qui a dégénéré peut-être ? Des ivrognes qui sortaient un peu tard, le corps bien rempli d’alcool, allez savoir. Alors qu’Oründ réfléchissait en silence à la formulation de la phrase qu’il allait présenter à l’homme pour le questionner sur cette nuit, ce dernier interrompit le cours de ses pensées :

« Mais dîtes-moi Oründ, vous allez cherchez du minerai seul, sans aucune protection ? »

A présent déstabilisé, Oründ secoua la tête et répéta la phrase de l’homme dans sa tête. La chose qui agaçait le plus le forgeron, c’est quand on le brusquait ou qu’on l’interrompait. Une fois ses pensées de nouveau en place, il s’interdit de parler de sa mésaventure au cœur de la montagne, dans le froid, lorsqu’il frôla la mort, attaqué par un bandit. A vrai dire, il n’avait parlé à personne de cette histoire. Il se contentait de cacher ses blessures ou de changer de sujet dès qu’on les remarquait. S’il refusait d’en parler, c’est simple : c’est qu’il ne souhaite pas se remémorer cet horrible instant, où il gisait presque mort dans la neige, et il ne voudrait pas que l’on aille répandre la rumeur qui dirait que le forgeron Oründ serait un inconscient et imprudent.

En revanche, il se dit qu’il serait judicieux de parler de ça à un garde. Depuis son incident, Oründ a toujours évité de sortir dans la montagne, à tel point qu’il fut contraint de se trouver un fournisseur qui irait lui chercher les minerais dans la montagne juste à côté. Ridicule, non ? Du moins, c’était le point de vue d’Oründ. Mais ce matin-là, il avait voulu retourner à la montagne chercher lui-même ses minerais, puisque payer un fournisseur lui revenait au final, bien trop cher. Il décida alors d’en parler au garde.

Ainsi, après un long moment de silence où il se contentait de dévisager l’homme en silence, tandis qu’il réfléchissait à ce qu’il pourrait bien lui dire, il lui adressa un petit sourire et lui demanda, avec un petit geste de la main :

« Hm… Venez, allons discuter de tout ça à une table. »

Il prit les devants, guidant l’homme à travers la taverne, vers une table isolée, dans un coin, à l’abri des regards. Il tira la chaise où il comptait s’asseoir dans un énorme grincement qui se fit entendre dans toute la taverne. Il s’assit lourdement, regardant l’homme, puis expliqua :

« Autrefois, je m’approvisionnais moi-même en minerais. Mais un jour, un brigand m’a surpris dans un coin isolé. Il m’a dépouillé et comptait bien me tuer. Il s’est contenté de m’ouvrir le torse, fit-il en portant sa main sur son harnais : il abaissa les sangles afin que Yorg puisse distinguer sa cicatrice, qui s’étend de son pectoral droit à son flanc gauche, en face du nombril.

J’agonisais dans le froid mais j’ai réussi à rentrer à la ville, reprit-il. Depuis ce jour, je faisais appel à un fournisseur. Mais aujourd’hui, j’ai rompu notre contrat, puisque ça me revient beaucoup trop cher. »

Après avoir déclaré ça, il s’accouda à la table, en fixant le garde, comme pour attendre une réaction de sa part.

Yorg remarqua que sa question avait perturbé son interlocuteur, celui ci lui proposa de s'installer autour d'une table, visiblement l'homme avait quelque secret a dévoiler ou alors quelque ennuis, dont il voulais parlez assez rapidement.

Une fois assis a table Yorg leva le bras pour qu'un de ces homme lui amène une bières, il lui apporta et repartit aussitôt. Yorg regardait son interlocuteur avec intérêt tout en dégustant cette bière. Il lui expliqua le soucis qu'il avait rencontrez dans la montagne, cela ne surpris guère Yorg les attaques était fréquente lorsque l'on s'aventure seul en dehors de la cité. Puis L'homme montra sa blessure au torse, cette fois si cela le surpris, que les vols soit courant est une chose mais laisser un homme pour mort, cette chose n'était pas acceptable.

Puis Orund ajouta que les prix du fournisseur étant trop éléver il comptais retourner lui même chercher sa matière première Yorg eu un léger sourire

- Voila une façon de pensé digne d'un Astorg mon cher Oründ, mais pour un homme tel que vous, un forgeron, qui n'avez pas pour fonction première de vous battre, cela risque d'être chose difficile. Déclara Yorg en buvant sa bière.

A se moment Yorg savait qu'il n'avait qu'une chose a faire, escorter ce forgeron dans sa quêtes de minerais, mais Yorg n'avait pas l'autorité suffisante pour décider par lui même de déplacer un groupe de combat au complet. Mais il savait qu'il lui suffisait de demander a ses hommes et il accepterais de suite. Mais il trouva un compromis.

Ecouter moi Oründ, je ne peut pas vous laissez y retourner seul, mais je ne peut pas décider d'une mission d'escort pour tout mon groupe seul mon chef peu le décider. Donc je vous accompagnerais moi seul, ainsi qu'un amis a moi, a ses mot Yorg pensais fort a Ulthor qui désirais tant retourner a la chasse.

Ma proposition vous conviens t'elle mon ami.

Yorg fini sa bière en attendant la réponse du forgeron

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