[DA - 155] Rien ne sert de courir, il faut voler à point ! (Mission Haniel - Annulée)

Cela faisait un moment que ta quête pour la richesse venait de commencer. Au fil des années tes capacités de voleur étaient devenues assez célèbre pour les plus grands, c’est ainsi que tu te retrouvais dans cette situation : La guilde des voleurs semblait s’intéresser à toi.
Cette mystérieuse missive t’informant qu’ils cherchaient des gens comme toi, pourvus d’une motivation et de talents certains, nuls doutes, ils te considéraient comme un élément très prometteur du monde de l’ombre.
Seul restriction qui titillait ta curiosité, accomplir un acte affirmant tes motivations. « Facile à dire » que tu pensais mais ce n’était pas les demeures riches qui manquaient à Cydonia, c’est pour ça que tu avais choisis cette cité tout particulièrement. Non content d’être reconnu comme talentueux par tes pairs et même si tu ne savais comment ils avaient pu savoir à ton propos, ils t’avaient également envoyé un genre de code que tu devrais prononcer pour entrer en contact avec ton indic’.
Tandis que tu avançais tranquillement dans les ruelles sombres, un inconnu t’accoste, sans raison apparente pour baragouiner une phrase incompréhensible… ou presque. C’était donc lui ton informateur, une cydienne plutôt jeune, bien plus que toi du moins, une petite vingtaine d’années. Etant donné que tu lui réponds aimablement la partie du code qu’on t’avait remis, elle se décide à enlever sa petite capuche avant de te tendre deux lettres cachetées et de dire avec un petit ton sec mais avec un adorable accent.

« - Voila ce qu’on veut que tu fasses, y’a un noble de la ville qui nous à donné un boulot y’a pas longtemps, il voulait qu’on fasse inculper un de ses rivaux pour qu’il lui sucre sa place sur le marché de l’épice de la ville, seulement ce type à pas voulu payer ensuite. En gros on veut que tu rentres chez lui que tu lui pique tout ce qui à de la valeur et que tu déposes cette lettre là dans le coffre qu’il cache dans l’armoire de sa chambre. Vu que c’est une mission un peu spéciale, t’pourras garder la moitié du magot, la classe non ? »

Elle souriait, un agréable sourire franc qui la rendait mignonne comme tout. Par contre il était difficile maintenant que tu savais qu’elle était de mèche avec la guilde, de croire qu’elle était pure et innocente, loin de là. Elle se racla la gorge pour te sortir des éventuelles pensées déplacées ou admiratives que tu lui portais pour continuer son explication.

« - Une fois que t’as fait tout ça, dans la deuxième lettre t’as les coordonnées d’où déposer la partie du butin qui revient de droit à la guilde, tout l’reste c’est pour toi, et pas d’entourloupes mon grand, on sait exactement ce qui traine chez lui. Par contre on veut du travail propre, pas de meurtre, à la rigueur si ça tourne mal assomme le problème mais le tue pas, on n’est pas des assassins, t’vois. J’ai quelques infos pour toi aussi si tu veux, mais bon… les temps sont durs et j’aurai bien besoin d’un peu de monnaie pour pouvoir me payer le trajet jusqu'à Tamawa, tu vois. »

Une voleuse ma foi bien… Astucieuse, non ? Elle te laissait le choix, c’était déjà ça après tout. A toi de mesurer le pour et le contre, elle devait surement avoir des infos pratiques et si c’était la demeure d’un riche cydien, ce n’est pas la perte de quelques talents qui allait te mettre sur la paille.

A toi de choisir brave petit voleur, le dilemme était posé : Payer ou ne pas payer ? Telle était la question.

[Libre à toi de décrire tes impressions à la lecture de la lettre, l’arrivée à cydonia ainsi que la rencontre avec le PNJ et d’avancer directement jusqu'à la demeure en question.]

Le soleil venait de se lever sur Erathia, éclairant la ville d'une lumière pâle et brumeuse. Des effluves d'odeurs marines parcouraient les rues, portées par la faible brise automnale. Le port était le seul endroit actif de la cité encore endormie, les marins déchargeaient les cargaisons de poissons d'eau douce et de la mer. Un poisson frais qui ravirait plus d'un habitants de la cité.
Dans une petite ruelle qui reliait le port au centre de la ville, un homme marchait vêtu d'un long manteau, d'une simple chemise, d'un pantalon des plus banals et de bottes au cuir élimé par les âges. Il revenait d'une balade effectué aux abords de la ville la veille au soir. Cela lui avait permis de repérer les quelques visiteurs qui devraient arriver aujourd'hui en ville. Pourquoi ça ? Car cet homme était un voleur, et un voleur perfectionniste en prime. Il aimait tout savoir de ses « proies » et tout planifier. C'est pourquoi ce repérage lui était nécessaire.

Mais ce à quoi il ne s'attendait pas ce jour-là en rentrant chez lui, c'était de constater que quelqu'un d'autre avait visité sa chambre pendant son absence. La petite pièce qu'il possédait en ville était en réalité très simple, un lit, une armoire, une chaise et un bureau. Il n'y conservait rien à voler. Alors comment savait-il qu'on venait de la visiter ? C'est bien simple, la plume et l'encre sur le bureau avaient bougé, comme si quelqu'un s'en était servi. *Étrange* Toujours sur le pas de la porte, le grand brun se pencha afin de vérifier si l’intrus ne se trouvait pas caché sous le lit. On est jamais trop prudent. Il sortit lentement sa dague dont il ne se servait jamais, mais qui restait pourtant toujours caché dans la manche droite de son manteau. Haniel était gaucher, et comme tout voleur qui se respecte, il était habile de ses mains et préférait les armes discrètes et légères.
Il alla se poster devant son armoire et ouvrit brusquement les deux portes du meuble, faisant craquer le bois. Non, là non plus, rien d'anormal. La situation était de plus en plus étrange. Quelqu'un s'était introduit chez lui pour....pour écrire ? Ça n'avait pas de sens... C'est alors qu'il reporta son attention sur la table qui lui servait de secrétaire. La première page du petit tas de feuilles qui s'y trouvaient, n'était plus vierge comme il l'avait laissé avant de partir. Haniel s'approcha et pu y lire un mot qui de toute évidence devait lui être destiné vu son contenu.

« Monsieur,

Les voleurs courent les routes du continent depuis toujours. Mais seuls quelques élus vivent de cet art millénaire et prospèrent. Mais comme vos pairs, c'est par vos actes que vous prouverez vos motivations. Choisissez votre cité, elle saura vous trouver. Apprenez lui que voler a toujours été le plus grand rêve de l'Homme et elle saura vous guider.

La Guilde. »

-Euh.....Ok.....

Haniel ne savait pas trop que penser de ce message. Déjà quelqu'un avait dû découvrir qu'il était un voleur, ce qui avait de quoi être inquiétant quand on sait que la peine réservée à ses camarades et lui-même n'est autre que la mort. Cependant, cette lettre semblait lui venir de la Guilde des voleurs. Si tel était le cas, il n'avait rien à craindre. Le voleur avait déjà entendu parler de cette sorte de confrérie des voleurs d'Azthia. Il savait simplement que certains de ses semblables se regroupaient de temps à autres. Où ? Quand ? Comment et pourquoi ? Il n'en avait pas la moindre idée. Mais apparemment la guilde avait décidé de l'aider à répondre à ses questions.... Tout du moins après qu'il ai prouvé sa motivation à en faire partie par ses actes... *Sérieusement ? Et j'suis sensé faire quoi là ? Voler la poule aux œufs d'or ??* Cette pensé le fit rire et il alla s'allonger sur son lit en soupirant d'aise. Il regardait le plafond à la blancheur uniforme en réfléchissant.

Lorsqu'il se réveilla enfin, la nuit était tombée depuis un bon moment sur la ville. Il avait dormis toute la journée. Il s’étira longuement puis posa son regard sur la lettre toujours posée sur la table. La nuit portait conseil disait-on. Et Haniel s'était finalement résolu à accepter de tenter sa chance pour prouver ses motivations dans la ville de Cydonia. Cette cité était connue pour ses riches familles, et ce serait très certainement l'endroit idéal pour passer à l'action. Il ne se souciait pas vraiment de la façon dont son informateur allait savoir sa destination. Le message indiquait clairement « elle saura vous trouver ». Ce serait donc une femme d'ailleurs... Intéressant *if you see what I mean...* Abandonnant ses pensées mêlant l'utile à l'agréable, Notre voleur se dépêcha d'aller rejoindre sa monture qu'il avait laissé dans l'arrière cours. Il avait pris avec lui quelques pommes glânées ci et là sur les étales marchands de la ville, un gros morceau de pâté accompagné de pain qu'il était fier d'avoir aquit légalement, et enfin sa dague et une gourde d'eau. En voyageant rapidement et légèrement, il pouvait atteindre Cydonia à la tombée de la nuit prochaine, tout en prenant le temps tout de même de se reposer.

Il flatta l'encolure de son cheval, grande bête peu farouche qui à l'origine était blanche mais dont la robe n'était pas très propre. Il grimpa sur son dos après l'avoir sellé et prit la route. La route qu'il connaissait se déroula sans encombre, il ne dit pas un mot aux étrangers qu'il croisait, et arriva comme prévu à la tombée de la nuit. Il laissa son cheval dans les écuries d'une auberge et alla directement inspecter les ruelles sombres de la cité. Un sourire s'affichait clairement sur son visage. Il faut dire que la perspective d'une mission l'excitait et le rendait un peu nerveux. *Qu'est-ce qu'il vont bien pouvoir me demander ?????* Haniel était d'un naturel curieux et cette question le hantait. Il s'imaginait toutes sortes de scénarios, dont bien évidemment la plupart finissait par son succès et un enrichissement conséquent.
Mais il fut soudain interrompu dans ses rêves de richesse par une femme qui venait de le percuter. Haniel fronca les sourcil et épousseta son manteau. *Franchement* Mais la jeune femme avait commencé un discours sur la psychologie humaine et termina sa phrase en lui demandant si il savait quel était le plus grand rêve de l'Homme. *Là tout de suite, tu veux vraiment savoir....* Un sourire se redessina sur les lèvres d'Haniel, et il lui répondit avec une politesse un peu exagérée.

-Hum...Voilà une question très intéressante chère Madame... Mais quel homme n'a jamais rêvé de voler ?

La réponse qu'il venait de donner sembla convenir et son interlocutrice enleva sa capuche. Il s'agissait d'une cydienne, plutôt jeune...environ 20 ans. Elle était un peu plus petite qu'Haniel et n'était pas sans charme. Après tout quelle femme était dépourvue de charme ? Cependant, le fait qu'elle appartenait à la guilde des voleurs la rendait beaucoup moins innocente. Elle venait de lui tendre deux enveloppes qu'il saisit, et écouta ensuite ce qu'elle avait à lui dire. La mission consistait donc à voler un riches marchand... *Bouah....du gâteau* Par contre, refiler la moitié du butin à la confrérie, franchement, c'était cher payé. Mais maintenant qu'il était là, le voleur ne pouvait plus reculer.
Il ne possédait pour le moment que peu d'informations et la jeune femme lui proposa de marchander le reste des infos qu'elle possédait. *Tsssss Voleuse va !* Mais Haniel ne pouvait rien faire sans avoir plus d'informations, surtout quand on connaissait le perfectionniste qu'il était.

-Je te propose un deal, tu m'emmènes à la villa de cet imbécile et une fois là-bas je te donne ce que tu souhaites contre les informations que tu possèdes ?

La jeune cydienne sembla réfléchir un instant puis finit par sourire et s'éloigner dans les rues de la ville. Au bout de vingt minutes de marche, les deux protagonistes arrivèrent dans une rue sombre entourée de villa somptueuse. Ils n'avaient pas choisit le plus pauvre des marchands , la villa était immense. Haniel l'observa longuement jusqu'à ce que sa compagne toussote pour lui rappeler leur arrangement. Le grand brun soupira et fouilla dans ses poches et en ressortis quelques talents d'or. Perdre ainsi de l'argent lui faisait mal au cœur, mais il n'avait pas vraiment le choix. Voilà une des raisons qui faisait qu'il agissait toujours en solo habituellement. La cydienne prit les pièces et les fit rapidement disparaître de sa vue. Elle tourna ensuite son regard mignon tout plein vers lui attendant qu'il pose ses question. *La prochaine fois j'paye en nature...* Non mais franchement, c'était de l'exploitation, payer pour voler...tsss....

-Bien donc....déjà, sais-tu où est sa chambre ? Et ce que veux la guilde exactement ? Et tout compte fais, dis moi tout ce que tu sais qui pourrait m'être utile.

Oui, vu l'immensité de la baraque, pouvoir s'orienter un minimum ne serait pas de trop. De plus, si il était sensé tout voler, il ne pourrait très certainement pas tout faire en une fois, et voler plusieurs nuit d'affilé n'était pas très conseillé. Donc si la guilde avait une idée précise de ce qu'elle voulait, mieux valait le savoir. Car si elle souhaitait des bibelots dans le style de vases ou encore plus encombrants, ça compliquerait significativement les choses. Mais de toute façon, Haniel n'était pas vraiment sûr de passer à l'action la nuit même...

[HJ: J'espère que ça va, comme c'est la première mission que je fais j'savais pas si je pouvais improviser les réponses du PNJ^^']

[T'en fais pas, tu n'as fait que la bouger pour la continuité de ton trajet donc ça va.]

C’est très probablement ton jour de veine, car ta partenaire du moment, en regardant la poignée de pièces que tu lui tends, décide finalement de t’en rendre deux avec un petit air amusé.

« - C’est parce que t’es un beau mec. »

Qu’elle soit sérieuse ou non n’était pas la question, elle te pointait déjà du doigt la fenêtre la plus à droite au troisième étage. C’était visiblement la chambre visée. Mais le troisième étage, sans outils, signifiait que tu allais devoir pénétrer dans la demeure par le rez-de-chaussée et progresser ensuite dans le bâtiment, alors que pouvait il t’attendre dedans ? Elle allait te répondre, bien entendu, non sans te faire attendre pour tester ta patience. Finalement elle prit un air bien plus sérieux avant de t’expliquer de quoi il retourne.

« - Bon, y’a deux problèmes majeurs dans c’t’affaire : Brick et Dhuma. Ces deux trucs là, c’est les deux gugusses qui surveillent la propriété de ta cible. Sont facile à repérer, deux lourdauds armés de masses et cons comme un Murloc. Normalement ils ne devraient pas trop te poser de problèmes mais si jamais ils te voient, hésite pas à courir, c’est des fous furieux. Autrement, tu dois faire attention car en repérant la zone, j’ai vu que la porte de la chambre était un peu spéciale, une fermeture pas conventionnelle et je ne sais pas de quoi il retourne, peut être une porte piégée. En gros, tu prends tout ce qui à de la valeur et tu poses la lettre au bon endroit et tout est bon, fastoche hein ? J’sais pas grand-chose de toi mais si tu fais partie des recrues potentielles c’est que t’es surement un bon. »

Un nouveau sourire qu’elle t’accorde en plus de te souhaiter bonne chance, une véritable petite charmeuse qu’elle était, nul doute qu’elle ne devait pas avoir de problèmes à recueillir des infos avec un tel combo. Elle s’en allait silencieusement, tellement silencieusement que tu n’avais même pas remarqué son départ, trop inspiré par la demeure en question. Tu finis par t’en approcher en prenant garde de ne pas faire de bruit et, arrivé à la grille orientée vers l’est, tu pouvais voir une petite trappe qui donnait probablement dans la cave, un point idéal pour rentrer non ? C’était sans compter la très haute grille hérissée de pointes qui te barrait le passage. En plus de cela passer ici serait naviguer à découvert sur une poignée de mètres, cependant ton agilité suffirait peut être, non ? L’autre alternative est bien plus délicate mais serait moins sportive : Passer par la grille principale et éviter l’angle de vue de Brick qui était à l’entrée et scrutait les environs. Mais tu étais surement plein d’astuces puisqu’après tout, tu étais un voleur.

Qu’allais-tu choisir ? L’escalade à demi suicidaire ou la stratégie ?

[Je te laisse libre d’utiliser n’importe quel stratagème pour t’introduire dans la maison du moment que ça reste cohérent, Note que quoi qu’il arrive, tu débarqueras dans la cave du bâtiment que je te laisse également décrire à ta guise et y ramasser objet de ton choix qui pourrait éventuellement t’être utile pour la suite de ta mission.]

Alors que le voleur attendait toujours une réponse de la part de son informateur, la réplique qui suivit et qui n'était certes pas déplaisante, n'était cependant pas celle escomptée. La jeune cydienne venait de lui tendre deux pièces parce que soit disant elle le trouvait beau. *Sérieusement ??? Madame joue les âmes charitables maintenant ….* Mais malgré ses pensées contradictoire, le grand bruns n'eut aucun mal à accepter l'argent qu'on lui tendait et à le remettre à sa place dans ses poches de pantalons, bien au fond, histoire d'éviter toute chute problématique et tout tintement non-désiré. Car il semblait bien que notre voleur allait devoir faire un peu d'escalade nocturne pour arriver à ses fins.
En attendant, la jeune femme à ses côtés lui pointait maintenant une fenêtre, située au troisième étage de la maison, et devait donc correspondre à la chambre où il était sensé laisser la seconde lettre. *Forcément, ça pouvait pas être au Rez-de-Chaussé, non, ça aurait pas été aussi drôle sinon...* Ces foutus riches se sentaient toujours obligés de se construire des perchoirs pour avoir l'impression de dominer le commun des mortels. Mais si celui-ci pensait être à l’abri enfermé dans son donjon, il se trompait fortement, car rien ne ferait reculer Haniel maintenant qu'il était lancé. Ce dernier se retourna de nouveau vers la Cydienne qui tardait à lui répondre, son sourire laissait penser qu'elle se jouait de lui. Mais la patience est une vertu, et celle du voleur était sans fin. Il s'amusa donc de ce silence et se mit à regarder son informatrice des pieds à la tête, s'attardant sur chacune de ses formes. Non pas qu'il avait l'esprit ailleurs qu'à sa mission, mais il espérait la mettre ainsi mal à l'aise et la forcer à répondre pour le détourner de son examen approfondi de ses courbes. Sa technique ne fut pas vraiment couronnée de succès, mais elle finit tout de même par parler, sans se séparer de son sourire bien que son air affiché cet fois un sérieux inébranlable.

Elle expliqua à son compagnon que deux tas de muscles pour qui le cerveau ne semblait pas être un organe vital gardaient la maison. Ils devaient très certainement effectuer des rondes ou ce genre de choses pensa le voleur. Soit, il était prévenu, il ferait donc en sorte de se rendre invisible dans les ombres de la nuit. Ce qui l'intéressa bien plus, ce fut la suite de son discours. Une porte piégée ? Cet endroit était pire qu'une prison, franchement le propriétaire était un peu paranoïaque sur les bords, c'est pas comme si des assassins essayaient de le tuer chaque nuits... *Enfin je crois...* et de toute façon, c'est pas une porte piégée qui risquait d'arrêter un meurtrier.
Elle adressa un nouveau sourire à son interlocuteur et lui souhaita bonne chance alors qu'Haniel espérait bien que justement, la chance l'accompagnerait cette nuit-là. Le voleur avait un peu l'esprit ailleurs, son regard observant et notant le moindre petit détail de la maison dans laquelle il s'apprêtait à pénétrer. Lorsqu'il se concentra de nouveau sur sa compagne pour la remercier de ces informations précieuses qu'elle venait de lui donner, il aperçue que cette dernière avait déjà disparue. Elle devait être plutôt douée dans son domaine celle-là, et Haniel avait hâte de la revoir pour la remercier... *Et peut-être faire le tour de certains de ses talents cachés...* Mais il n'était pas l'heure de perdre sa concentration, et le voleur oublia bien vite la cydienne, affichant un air concentré, sérieux et impassible alors qu'il s'approchait de la grille qui entourait la maison. Le ciel était clair cette nuit et la clarté lunaire permettait de deviner la silhouette d'un homme dans le jardin, à travers une grille immense qui se terminait en piques acérées. Haniel avait remis son capuchon sur sa tête et s'était assis juste devant les barreaux de fer qui lui coupaient la route. Il avait découvert une petite trappe non loin qui devait très certainement donner dans les sous-sols de la maison, l'endroit idéal pour entrer. Mais il méditait sur la façon de se rendre jusqu'à celle-ci. Soit passer directement par dessus la grille en risquant de perdre sa virilité, puis parcourir rapidement les quelques mètres à découvert qui le séparait de la trappe. Soit, se rendre à l'entrée principale sans risquer de perdre la possibilité d'avoir un jour des descendants, mais se retrouver ensuite avec un problème musclé et armé sur les bras.

Alors qu'il réfléchissait, Haniel fut contraint de s'allonger de tout son long pour passer inaperçu. Dans sa méditation, il n'avait pas vu approcher le second gros bras de la garde qui faisait apparemment des rondes autour de la villa. *Abruti* Cette pensée s'adressait autant à musclor qu'à lui-même. En attendant, ce dernier ne tarda pas à tourner au coin du mur et à disparaître derrière la maison. Si le voleur se dépêchait d'agir, celui-là ne lui poserait donc aucun problème.
Non, Haniel avait décidé que risquer de finir empaler sur cette grille ne l'inspirait pas. Par conséquent, il ramassa une poignée de petits cailloux et se rendit discrètement derrière l'un des piliers de pierres qui soutenait la grille de l'entrée principale. Il pu constater avec joie que cette entrée était beaucoup plus accueillante que la grille. De plus, les pierres du piliers rendrait son escalade plus aisée. Le seul problème, le gorille qui montait la garde était toujours là. Sans bruit Haniel leva le bras, toujours caché par la colonne et lança une des pierres le plus loin possible dans le jardin de la maison. La pierre tomba au sol avec un petit bruit sec qui eu pour résultat de faire tourner la tête au garde, mais contrairement à ce qu'Haniel avait espéré, ce dernier ne bougea pas de son poste et se contenta d'examiner l'endroit de loin. Même si il ne regardait plus dans sa direction, Haniel ne pouvait pas se permettre de passer maintenant, tant que cette bête était à proximité. Il lança donc une deuxième pierre dont la trajectoire restait invisible dans la nuit. Le même petit bruit se répéta. *Aller...Va voir là-bas si j'y suis imbécile* Cette fois-ci le garde finit par aller inspecter l'endroit où la pierre était tomber, laissant à Haniel la liberté d'escalader le portail et de se laisser glisser de l'autre côté avec légèreté, se rattrapant souplement sur ses pieds.

Bien, il était maintenant dans la cage aux Lions. Le garde semblait maintenant inspecter la rue et Haniel profita de cette inattention pour rejoindre rapidement et silencieusement l'ombre rassurante des murs de la maison. Il savait que personne ne pouvait le repérer maintenant si il ne bougeait pas. Il resta donc ainsi immobile pendant un petit moment, et pu voir le second garde revenir de sa ronde et aller voir ce qui avait dérangé son collègue. Les deux gardiens papotèrent un moment puis revinrent se placer devant l'entrée, scrutant la rue noire, sombre, mais surtout vide. Pendant ce temps Haniel s'était déplacé jusqu'aux abords de la trappe par laquelle il souhaitait entrer. Toujours abritait dans l'ombre des murs, il regarda rapidement ce qu'il se passait du côté de l'entrée. Les deux tas de muscles avaient échangé leurs postes respectifs et celui qui surveillait l'entrée avait maintenant commencé son tour de ronde. Il ne tarderait pas à arriver au niveau d'Haniel, qui se roula rapidement en boule, recouvert par son manteau, ce qui donnait l'illusion, de loin qu'il s'agissait d'une simple pierre cachée dans l'ombre. Or, il y avait peu de chances que le garde connaisse par cœur chaque pierre du jardin. Le voleur écouta attentivement les bruits de pas métalliques du gorille et attendit deux minutes après qu'ils se soient éloignés avant de se redresser.
Il se précipita vers la trappe. Cette dernière n'avait qu'une simple barre de fer passée dans ses deux poignées pour empêcher les intrus de l'ouvrir. C'était stupide, mais cela arrangeait notre voleur qui la fit lentement glisser et la posa sur le côté. Il eut un peu plus de mal à ouvrir les portes cependant. Leur poids rendait la chose difficile, mais sa lenteur lui permis d'éviter tout bruit de grincements parasites. Il finit par atterrir enfin à l'intérieur de ce qui devait être la cave, comme il l'avait prévu. Il avait embarqué avec lui la tige métallique qui servait de fermeture, au cas où l'idée de vérifier et de refermer la trappe traversait l'esprit de l'un des deux zigotos. Il y avait très peu de chances que ça arrive, mais on est jamais trop prudent.

Le grand brun referma cependant les deux battants derrière lui après avoir vérifié que les gardes étaient toujours occupés à leurs affaires. Il fit tomber son capuchon et prit enfin le temps d'observer les alentours. Un fin trait de lumière filtrait à travers les interstices de la trappe et on pouvait distinguer des formes se dessinant un peu partout sur les murs de pierre. Une forte odeur de renfermé emplissait le nez de l'intrus. Aucun bruit ne dérangeait le silence ambiant. Une fois ses yeux habitués à l'obscurité, Haniel pu voir qu'un escalier se trouvait droit devant lui, au centre de la pièce rectangulaire. Il se balada quelques instants parmi les nombreuses étagères remplies de vieux trucs poussiéreux et d'outils de jardinage en tout genre. Il enfila une paire de gants de jardin et s'empara d'une paire de ciseaux et d'une petite corde. *On sait jamais, ça peut toujours servir* Il se dirigea ensuite vers les escaliers. Il avait décidé de récupérer tout ce qu'il pouvait dans son sac de voyage maintenant vide mais qu'il avait toujours sur lui, de redescendre à la cave et de l'y laissait avant de s'attaquer à la chambre. Il récupérerait le butin sur le chemin du retour.

Cette petite démonstration de tes talents avait suffit pour te faire pénétrer l’imposante bâtisse mais le pire restait à venir. Tu étais maintenant en plein territoire hostile et c’est avec parcimonie que tu devrais calculer le moindre de tes mouvements. Cette cave par laquelle tu venais d’entrer était une aubaine car les quelques objets que tu avais acquis t’aideraient probablement par la suite. Aucuns biens de valeur n’étaient entreposés ici et c’était un sentiment d’excitation qui t’envahissais à l’idée de te faire un petit pactole, même si la moitié serait retourné à la guilde en guise de paiement que ta victime leur devait. Tu te remettais en route en silence et avec toute la discrétion dont tu pouvais faire preuve pour remonter l’escalier en colimaçon et franchir la porte de bois qui marquait ta sortie de la pièce. De l’autre côté, pas le moindre signe de vie, juste un long couloir décoré richement mais par des objets trop volumineux pour te garantir une aisance au déplacement.

Un grand nombre de portes étaient présentes et tu ne voyais pas d’escalier te permettant d’atteindre le niveau supérieur. La logique voudrait donc que l’une de ces portes abrite le dit escalier seulement voilà, tu n’as eu aucune informations sur la disposition des pièces et vu l’imposante maison, il aurait été difficile de se souvenir de tout. Tu avais donc 5 portes le long du couloir et seulement une d’entre elles donnerait sur l’escalier et l’ascension au premier étage. Tu savais les deux balourds dehors aussi il t’était plus simple de naviguer dans la baraque. En ouvrant une porte au hasard, tu arrives par hasard dans le séjour encore une fois outrageusement décoré de produits de luxe et cette fois tu es heureux de constater la présence de petites babioles de valeur dispersées un peu partout dans la pièce. Après que tu ais ramassé ce qui te semblait le plus important, tu t’apprêtes à ressortir de la pièce lorsque tu entends des bruits de pas dans le couloir. C’est bien les deux guignols qui étaient de retour. Le premier allait en direction de la cinquième porte et tu pouvais apercevoir des marches dans l’angle qui te servait de point d’observation. Le deuxième en revanche arrivait dans ta direction muni de sa lourde masse appuyée sur l’épaule. Par chance tu étais hors de champ de vision et caché au moment ou il pénètre dans la pièce, vérifiant qu’il n’y avait personne et sans se soucier du mobilier qui, de toute évidence ne lui revenait pas de toute manière. Il quitta la pièce pour se diriger vers d’autres, il y avait surement d’autres trésors dans les trois pièces restantes qui te séparaient de l’escalier menant à des trésors peut être encore plus fabuleux. Le souci était de pouvoir comprendre la logique dans les déplacements de ces ahuris. Inutile de chercher, ils n’en avaient aucune.

Maintenant que tu savais que l’escalier était la porte la plus éloignée de celle ou tu étais, tu prenais encore un peu de temps pour réfléchir à la situation.

[Libre à toi de décrire les objets de valeur en question et ensuite de choisir si tu explores les autres salles avant de passer à l’étage du dessus ou si tu comptes les faire en repartant. Si tu choisis de fouiller en premier les trois salles restantes, seule une d’entre elles contient des richesses, une autre est verrouillée (Et crochetable) et l’autre n’est qu’une remise.

Dans l’optique ou tu déciderais de crocheter la serrure, j’effectuerai un jet de dés pour savoir si tu y arrives avec ou sans bruit.]

Le voleur monta furtivement les escaliers qui se trouvaient là et poussa la porte pour l'entrouvrir légèrement. Cette dernière ouvrait sur un couloir plutôt spacieux et un peu trop décoré selon l'avis personnel du grand brun. Après avoir vérifié que l'endroit était vide, Haniel se faufila au milieu des grands vases et miroirs qui gardaient les lieux. Cependant, après une brève reconnaissance, seule cinq portes donnaient sur le couloir et pas le moindre signe d'un escalier. Cela signifiait donc qu'une des portes devait donner sur la cage d'escalier qui lui permettrait de monter aux étages supérieurs. Mais pour savoir de laquelle il s'agirait, il n'y avait pas trente-six solutions, ouvrir chacune des portes restait le plus efficace.
Haniel se dirigea donc vers la première porte à sa droite. Celle-ci ne lui opposa aucune résistance et il pénétra alors dans ce qui devait être un salon. De longs rideaux couraient du sol au plafond de chaque côté de grandes fenêtres de verre qui laissait passer la lumière lunaire, ce qui arrangeait bien notre voleur. *Bien, bien, bien...Voyons un peu toutes ces jolies choses...* Il parcouru la pièce d'un regard d'expert. De nombreuses vitrines exposaient des objets divers et variés, de valeur plus ou moins importante. L'almer se décida donc à attaquer par celle qui offrait des statuettes de cristal représentant les Dieux d'Azthia. Mais avant de mettre ces fragiles objets dans son sac, il découpa dans la doublure au pied des rideaux, de petits carrés d'étoffes dans lesquels il comptait récupérer les statuettes. Car Haniel était un voleur des plus appliqués qui faisait ça pour l'argent, certes, mais aussi pour l'amour de l'art... Et puis à quoi lui servirait des morceaux de cristal informes si elles venaient à se casser. Il récupéra donc les petits Dieux de cristal et les mis précautionneusement dans son sac. Il était sur que ce genre de choses devait avoir une sacré valeur et qu'elle s'arracherait à prix d'or sur le marché noir. Mais il comptait cependant garder celle d'Ilith, il l'aimait bien celle-là...

Le voleur retourna ensuite découper d'autres morceaux d'étoffe en se disant que ça limiterait aussi le bruit des objets s'entrechoquant dans son sac lors de ses déplacements dans la maison. Il en profita aussi pour faire le tour des autres étagères et récupérer quelques petits bibelots de valeur par-ci par-là. Mais il s'immobilisa brusquement en entendant ce qui ressemblait fort à des bruits de pas et qui venaient du couloir. Haniel alla entrouvrir très légèrement la porte du salon et eu la mauvaise surprise de découvrir les deux gorilles du jardin marchant dans le couloir. Si il avait su que ces deux abrutis faisaient aussi des rondes dans la maison, il aurait attendu qu'ils rentrent pour traverser le jardin, ça lui aurait évité bien des peines. L'un des deux disparu par la porte opposée à l'autre bout du couloir et avant qu'elle ne se referme, l'almer avait eu le temps de voir qu'il s'agissait de l'escalier.
Mais il n'avait pas trop le temps d'y penser, il lui fallait maintenant trouver une cachette car le second garde arrivait droit sur lui. Il referma rapidement et discrètement la porte et s'installa dans les replis d'un des rideaux. Une cachette des plus banales, mais qui marchait plutôt bien en général. Et ce fut encore le cas ce soir-là. Le tas de muscle ouvrit la porte du salon, passa un regarde dépourvu d'intelligence sur la pièce et la referma aussitôt. Mais Haniel ne sortit pas tout de suite de sa cachette, il attendit encore un peu, jusqu'à entendre un bruit de porte qui se refermait.

Il se dirigea ensuite à pas de loup dans le couloir de nouveau désert. Il restait encore trois pièces à explorer au rez-de-chaussé, mais l'hypothétique présence du gorille dans l'une d'elle compliquait un peu les choses. Le voleur décida rapidement qu'il valait mieux monter directement dans les étages et visiter les lieux lorsque la voie serait libre. De plus, cela lui permettrait de repérer les lieux pour voir où se trouvait la chambre. Il traversa donc prestement le corridor et alla vérifier que l'autre gorille avait bien disparu de la cage d'escalier.
Il monta les marches deux par deux en silence afin d'arriver directement jusqu'au troisième étage. Il avait décidé qu'il irait d'abord repérer la chambre et le problème que pourrait lui poser la porte qui la fermait. Ensuite, il redescendrait à la cave poser le butin amassé au fur et à mesure de la descente. D'ailleurs, si besoins était, il pourrait peut-être y récupérer d'autres outils qui pourraient lui servir pour l'ouverture de la chambre à couché.
Une fois sur le palier du dernier étage, Haniel jeta un bref coup d'oeil derrière lui, mais les deux imbéciles n'étaient pas réapparus dans les escaliers et il était seul. A moins évidemment, que le second des gardes soit lui aussi monté au troisième étage, ce qui risquait de compliquer un peu la situation. Sur le qui-vive, le voleur ouvrit la porte qui se trouvait devant lui avec une lenteur infinie. Le sang battait à ses tempes, ne sachant pas vraiment ce qu'il allait découvrir derrière. Il colla un oeil à l'ouverture qu'il venait de faire histoire de vérifier si la voie était libre.

Une fois tin butin fourré dans ton sac, non sans précautions, et que tu étais arrivé dans la cage d’escaliers, tu savais que tu étais près de ton objectif principal. Tu avais bien fait de t’attarder sur la serrure pour y repérer que le second garde revenait dans ta direction, il n’avait d’ailleurs qu’a tendre le bras pour ouvrir la porte. Dans la précipitation mais toujours assez discrètement pour ne pas attirer l’attention, tu te dépêchais de redescendre quatre à quatre les marches, te stoppant net dans ta descente car à présent, tu entendais la masse du premier ahuri qui venait du premier étage. Tu étais piégé dans cet escalier, ta seule solution était de te réfugier dans le deuxième niveau. La lourde porte grinça lorsque tu l’ouvris, cette fois et tu ne pus passer à côté du grognement de l’un des hommes qui se hâtait de descendre les marches, imaginant alors un intrus.

Ton adrénaline montait à vitesse grand V, les joies du vol, sans doute ? Ou la peur de te faire mettre en pièce par les deux chiens de garde de ta victime ? Tu te réfugiais in-extremis dans une armoire pourvue de petites ouvertures, l’idéal pour pouvoir espionner sans être vu. La première brute entra dans la pièce, son compagnon arriva quelques secondes après et tout deux commencèrent à discuter en Cydien.

« - Ah, c’toi qu’a fait grincer la porte !
- J’ai cru qu’c’étais toi, moi…
-Tu crois que c’est la jolie donzelle qui repasse me voir ? Tu sais, celle que j’ai rencontrée à la taverne l’aut’ soir ?
- M’étonnerai frérot, à cette heure là si quelqu’un se trouve dans la casbah, c’est surement pas une jolie cydienne sexy. »

Ils avaient beau être de parfaits idiots, tu savais à présent que celui avec la barbe était de loin le moins débile du tas. Son frère en revanche s’était visiblement laissé abuser par les charmes de ton informatrice, il fallait avouer qu’elle avait des arguments très convaincants. Ta cachette te procurait bien des avantages et l’idiotie des deux gorilles venait de supprimer ton seul inconvénient d’une telle cachette. L’un venait de passer devant toi sans même te repérer, qui donc irait fouiller une armoire en même temps ?
Ce que tu découvres dans cette armoire laisse cependant planer un doute, la cydienne t’avais prévenue de la présence des deux gorilles et de ta cible, mais pas de l’éventuelle présence d’une femme. En effet tu étais entouré de robes de très bonne facture, de la haute-couture même. Peut être que l’une d’entre elles pourraient intéresser la guilde, si seulement tu arrivais à te souvenir du prix moyen d’une robe de cette qualité sur le marché noir…

Enfin, tes deux poursuivants s’étant remis à patrouiller, il n’en restait déjà plus qu’un dans la pièce, le plus débile des deux. Le deuxième avait repris la cage d’escalier dans une direction inconnue. La pièce était séparée en deux grosses parties distinctes et le point de passage d’une partie à l’autre était une porte large comme deux, assez large pour faire passer des œuvres d’arts, des meubles ou quelque chose d’autre. Tu avais cependant noté la présence d’un petit coffret visiblement rempli de bijoux si tu pouvais en juger par la petite bague en or qui était restée devant et la petite chaîne qui dépassait sur le côté. Le balourd étant passé de l’autre côté de la pièce, tu disposais d’un temps limité pour agir.

[Quoi que tu décides de faire, je te demande juste de ne pas quitter cet étage pour le moment. Tu es totalement libre sur cet étage, d’amasser ce que tu veux pour ta petite cagnotte, de visiter le deuxième côté de la pièce (En justifiant comment tu passes la surveillance du boulet.) qui se trouve être une chambre, tu pourras y ramasser d'autres richesses avant de repartir en quête.]

Mission annulée suite au départ d'Haniel.

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