Elyncia Nombre de messages : 1055
Âge : 34
Race et âge : Cydienne - 33 ans
Cité : Erathia
Métier : Gladiateur
Feuille de personnage Compétences :
Spécialisation du combat à la lance, Acrobatie, Ambidextrie Compétences bonus :
Spécialisation du combat à la lance (Jinmen); Combat à mains nues Jinmen Réputation :
(10/10)
Sujet: Elyncia, lieuten... euh wait ? Renégate ? Oo [manque le nouveau vava]
Lun 9 Déc - 10:35 Renseignements généraux Nom (facultatif) : FarëaPrénom : ElynciaÂge : 33 ansRace : CydienneLangues: Cydien, JinmenCité d'appartenance: ErathiaMétier: Gladiateur.Position (facultatif): Ex-lieutenant du 5ème bataillon de CydoniaMain dominante : Ambidextre
Possessions Monture: une jolie jument blanche nommée Laedy.Arme: Une lance héritée de son père, nommée SiegëlArmure: Elyncia ne porte plus d’armure, privilégiant son agilité naturelle pour esquiver les assauts de ses adversaires.Roleplay Compétences: Combat à la lance, Accrobatie, Ambidextrie Compétence bonus (si offerte par le métier): Combat à main nues Jinmen, Combat à la lance (style Jinmen).Faiblesses: Elyncia ne connaît pas du tout les rudiments de la magie (toute les maitrise d’éléments, illusion, soin, etc…) et possède un sens de l’orientation déplorable (Survie).But du personnage: Vagabondant à travers Azthia, elle n’a vocation qu’à aider ceux qui lui offre le gîte et le couvert, ou même une certaine somme d’argent tant que le travail qu’on lui propose reste honorable. Elle cherche aussi à retrouver son frère et ses amis proches qui se sont volatilisé suite à sa mutinerie lors de la bataille pour reprendre le Temple.
Description physique Elyncia a bien changé depuis ces 10 dernières années. Son visage fin et parfaitement dessiné de sa jeunesse est désormais marqué par une expression dure, celle qui se forge lorsque nous devons affronter bien des difficultés, accompagné de son lot de rides d’inquiétude qui commencent à apparaître sur son front et aux pattes de ses yeux qui, auparavant emplis de fierté et de détermination, sont devenus ternes et tristes. Néanmoins, ils ont gardé le même vert intense qui, lorsqu’ils croisent votre propre regard, vous aspirent et broie votre esprit. Ses cheveux, toujours aussi long n’ont plus cette couleur qu’elle obtenait avec la teinture qu’elle appliquait. En effet, depuis six ans, la lancière a arrêté de se teindre les cheveux, leur couleur châtain. Si elle parait épuisée par les années de combat et d’errance, la lancière a réussi à garder un corps athlétique et élancée, bien qu’un peu plus musclé, et sa souplesse ferait pâlir certains saltimbanques pourtant rompus à malmener leurs membres pour les rendre plus flexibles. Sa manière de s’habiller a aussi changé. Elle porte désormais de plus en plus d’habits de provenance Jinmen, ayant passé deux ans de sa vie près de Koubaï.Caractère, qualité et défauts: Elyncia n’a pas vraiment changé sur ce point. Elle est toujours cette jeune femme attachée aux principes de gentillesse et de générosité. Elle offre son aide au plus démunis et aux personnes en danger de mort qui ne peuvent se défendre. L’honneur reste aussi une vertu qu’elle oppose fermement – et à coup de lance - à la lâcheté et la bassesse, pourfendant crapules et brutes épaisses croisant malencontreusement son chemin. Mais au fond de son cœur, la lancière se sent perdue, cherchant la raison pour laquelle le monde ne semble pas tourner rond. En effet, sa vie a basculée d’un jour à l’autre, lors de la bataille pour récupérer Tamawa et elle se demande encore si elle aurait pu y changer quelque chose. Ce jour-là, ces certitudes de soldat fidèle et émérite se sont effritées, ne voyant plus qu’en Cydonia le symbole de la traîtrise et de la honte. Il n’est pas rare, les soirs de pleine lune, de la rencontrer sur un toit, observant l’astre de la nuit en pleurant silencieusement ses années qu’elle avait mis au service de sa cité natale ; années dont elle ne gardait qu’un goût de cendre. Abandonnant sa patrie, elle abandonna aussi son Dieu qui l’avait menée, avec fourberie, sur le chemin des larmes et du sang, ce dernier ayant cherché à s’approprier la place d’Azael pour régner en maître dans le royaume des Dieux et donc sur celui des hommes. Zéphyr avait trahit sa confiance, confiance qu’elle n’était plus prête à accorder à une quelconque divinité elle qui était pourtant une fervente croyante. Néanmoins, il y a des jours où la lancière retrouve l’aura radieuse qu’elle inspirait, souriante et insouciante, quand elle se retrouve en présence de ses connaissances de longue date. Dans tous les cas, son intelligence ne lui fait toujours pas défaut. Calme et posée, Elyncia est capable d’analyser rapidement ce qui se passe autour d’elle pour prendre (ou du moins essayer) la meilleure solution possible. Au combat, la guerrière ne paie pas de mine, exhortant une fougue et une détermination d’acier que rien – ou presque – ne saurait rompre. C’est aussi, et sans aucun doute, cette détermination qui la pousse parfois à l’obstination. En effet, Elyncia est particulièrement têtue et il est très difficile, voire impossible, de lui faire admettre quelque chose, même si elle a tords. La seule personne qui pourrait lui faire changer d’avis sans trop de peine est sa fille adoptive, Asuka, qui a su faire naître en elle cet instinct maternel qui la rend douce et protectrice.Biographie: Je m’éveille encore en sursaut, dans un cri d’effroi. Ce cauchemar, il me hante depuis sept ans. Je me lève, transpirante de sueur, cherchant le réconfort de la lune à travers la fenêtre de la petite masure de bois. La bougie, que je laisse allumée la nuit pour éloigner les ténèbres reflète alors mon visage sur la surface froide du verre. Je porte alors une main sur ma joue, tirant légèrement les traits de mon visage à l’expression lugubre, me disant que l’insouciance de ma jeunesse était bien loin. Fille d’officier de l’armée de Cydonia, j’ai mené une vie très correcte. Ma famille était bien loin d’être privilégiée et mon père c’était frayé un chemin à coup d’efforts et de volonté, mais nous n’avons jamais manqué de rien, et encore moins d’amour. Encore aujourd’hui, j’en reste fière. Un père comme lui ne pouvait-être qu’un exemple, et c’est celui que j’avais décidé de suivre. Quand il perdit son bras, je n’avais que 18 ans à peine, sortant tout juste de l’école militaire, élevée par une mère un peu trop protectrice et deux frères complices. Cadette de la famille, on ne pouvait s’attendre à ce que je sois la première à marcher dans les pas de mon père. Et pourtant, c’est moi qui me lança sur ses traces, avec une résolution à faire plier n’importe quel adversaire qui m’empêcherait de continuer à alimenter la fierté de ma famille. Pris sous les ailes d’un Capitaine exemplaire, une grande carrière m’attendait. J’ai connu les plus grandes bataille de ces quinze dernières années : le génocide de Ptot’Tah par Maladie, la bataille des Rois durant laquelle l’un de mes frères est mort, décapité par le Prince d’Erathia, la guerre des Dieux, la reconquête du Temple… Repensant à cette dernière, l’odeur métallique du sang surgissant de mes souvenirs me fit vaciller. Cette odeur, j’y étais pourtant habituée. J’ai eu maintes occasion d’en verser soit sur le champ de bataille, soit durant la traque de ma cousine, cette traitresse qui avait assassiné mon oncle et s’était alliée à ce taré de Wheatley, cet homme mystérieux qui souhaitait devenir un Dieu par le sacrifice et les larmes. C’est après l’avoir éliminé lui et Kaïlla que je fis la rencontre d’Asuka. Ses parents avaient été tués par cette garce de Kaïlla et je décidai alors de la recueillir avec mon partenaire de l’époque, l’élevant comme ma propre fille. C’est aussi à cette époque que commença la guerre des Dieux à l’issue de laquelle mes certitudes commencèrent à s’effondrer. Zéphyr, avait fait de moi sa championne mais ma foi envers lui m’avait aveuglé quant à ses projets. Il ne comptait pas sauver l’humanité mais prendre la place d’Azael dans un océan de larmes et de sang. Je me détournai alors de lui, refusant de combattre un seul jour de plus pour ses vils intentions. Trahie, je le fus encore lors de la bataille pour reprendre le Temple de Tamawa à cette secte de dégénéré qui l’avait pris en une nuit. C’était une tâche qui me tenait à cœur, Asuka commençant à ressentir les prémices du pouvoir de l’Esprit. Je souhaitais la confier à une amie Templière, rencontrée lors de la Bataille des Rois. J’étais certaine qu’Iréa s’occuperait bien de ma fille. Seulement, j’étais bien loin de me douter de ce qui allait se produire. Ayant revu Iréa quelque mois avant la bataille, je m’étais engager à combattre à ses côtés et ceux de ses camarades souhaitant récupérer leur foyer. C’est ainsi que je fis la rencontre de Maître Jacen et d’Evenor. Le premier était un homme sage et suscitant une étrange fascination chez moi. Il semblait être un homme de bien et dégageait une aura apaisante. Nous discutâmes longtemps ensemble et je découvris qu’il partageait mes idéaux, tout comme la plupart des Templier en réalité. Le deuxième en revanche était un véritable crétin, ses propositions lubriques m’horripilant. Mais Iréa et Jacen m’assurèrent qu’il était ainsi, mais qu’on pourrait toujours compter sur lui. Et ils avaient raison car c’est grâce à lui que le Temple a pu survivre suite à l’improbable. Le jour de la bataille, alors que nous parvenions à prendre le dessus sur les troupes de l’Alliance Ecarlate, et alors que nous ignorions tous des projets de Cydonia qui nous avait lancé dans la bataille, Liam Clari assassina froidement ses alliés. Philéa, reine de Muria succomba ainsi que Jacen et l’ordre fut donné d’envahir Tamawa. Je me souviens encore du regard que me jeta le Capitaine Tanurin. Cet homme était comme un père pour moi et il connaissait et partageait mes sentiments. Mais j’entends encore sa voix, nouée par l’émotion et la tristesse, demander à ses soldats d’obtempérer. Il était pieds et poings liés, je le savais. Il pensait simplement à la vie de ses hommes qui auraient été exécuté s’il avait donné d’autres directives. Chaque nuit, je revis cette scène terrifiante. Je pleurs, silencieusement, ressassant l’horrible issue de cette bataille. Beaucoup d’hommes sous mon commandement direct s’insurgèrent sous mon ordre. Je les avais entraînés, formés et pousser à voir plus loin que leur bout de leur nez. Je leur ai inculqué des principes ; mes principe. Mais qu’étions-nous face à la marée de soldats du Joyaux ? Ce fut un véritable massacre. Nombreux fut ceux qui tombèrent ce jour-là, transpercé par les coups de lances fratricides. Rose, une ancienne mercenaire que j’avais autrefois sauvée d’une bande de brigands pris l’un de ses coups à ma place. La vision d’une hampe de lance lui traversant la gorge, la vie s’échappant de son corps dans un râle d’agonie. Et cette odeur ; cette odeur de fer qui vous monte à la tête et vous donnant la nausée. Nous ne survécûmes, moi et quelques-uns de mes hommes, que grâce à l’intervention des Astorgs qui repoussèrent les Cydiens. J’étais alors désemparée. Je connaissais le sort des traitres, félons et autres renégats quand il tombait entre les mains des autorités cydiennes, et il était peu enviable ; c’est le gibet qui m’attendait si je rejoignais ma patrie. Sur le moment, je me trouvai ridicule. Il y a quelques années, j’aurais suivi les ordres… seulement aurais-je vraiment pu suivre ceux-là ? Non. Bien sûr que non. Mon cœur ne cesse de me murmurer que j’ai fait le bon choix. Tout comme le fait de confier Asuka à Iréa. Seulement, se fut le premier d’une longue liste de reproches que m’a faite Zihark, mon fiancé. Après avoir appris ce qu’il s’était passé, il a pris ses distances avec Cydonia et les nouvelles qu’il en eut ne furent pas très bonnes. A vrai dire, elles furent désastreuses. Trois semaines après mon insurrection, une enquête fut ouverte sur mon entourage. Mon frère Adrëan et sa femme Kashya furent mis aux arrêts tandis que mes parents furent exécutés sous prétexte d’avoir fomenté une opération d’assassinat du Consul, ce qui était tout bonnement ridicule. Il était évident que mes parents ne feraient jamais une chose pareille. Mais mon père ne s’était pas fait que des amis et certains nobles de Cydonia souhaitaient se venger d’une humiliation ou de quelque chose du genre. Peu importe qui les a piégé, il y a surement peu de chance que je puisse les retrouver. Mais si l’occasion m’en est donnée, je frapperai vite et fort, n’épargnant aucun de ses lâches. D’après Zihark, Adrëan et Kashya disparurent sans donner aucune trace de vie, ainsi que Jarod, ancien camarade de banc de l’école militaire, et Léane, un ex-assassin assermentée devenu éclaireur pour le compte de l’armée de Cydonia. Je ne sais toujours pas ce qu’il est advenu d’eux aujourd’hui, mais je ne peux croire à leur mort. En attendant, il fallait que je me cache, et j’ai pris la décision de partir pour Koubaï, en territoire Jinmen. Zihark connaissait bien les lieux et donc les nombreuses cachètes. Je pensais pouvoir compter sur lui pour affronter tout cela, mais je n’ai eu le droit qu’à des crises, me reprochant d’avoir été idiote, de ne pas avoir pensé aux conséquences que tout cela avait engendrées. Il ajouta même un jour, maussade, que j’étais responsable de la mort de Rose et de celle de mes parents. Folle de rage, je me souviens lui avoir brisé la mâchoire d’un coup de poing rageur. Le lendemain, il était parti sans bruit, me laissant seule avec mes doutes, mes ressentiments et mes larmes. De nombreuses fois j’ai eu envie de mettre fin à ma vie. Mais la seule pensée d’imaginer le désarroi d’Asuka m’en empêchait. Mais ces pensées n’éloignaient pas la mort indéfiniment. Je n’étais plus qu’une vulgaire mendiante, passant mon temps à vagabonder à la recherche d’un travail, d’un toit, de nourriture. Ce n’est qu’au bout de deux mois que je fis la rencontre d’un vieux maître d’arme. Le vieil homme m’a trouvé dans une rue, tremblante et paralysée par le froid de l’hiver. Il pris soin de moi sous prétexte que je lui rappelai sa fille. Jakiro, car c’est ainsi qu’il se nommait, reconnu en moi la guerrière que j’étais auparavant et joueur, nous nous combattions le soir après de longue séance de musculation et d’étirements visant à retrouver la maitrise de mon corps commençant à s’atrophier à force de ne pas m’entrainer. Puis quand la lune était haute dans le ciel, nous discutions longuement près d’un feu. Cela me permit de renforcer mon Jinmen que j’avais commencé à apprendre avec Zihark et les deux années que je passai à ses côtés furent sans doute les plus belles de ma vie. Je serai sans-doute resté près de ce père de substitution si l’envie de retrouver Asuka n’avait pas été si forte. Mon instinct me disait que j’avais trouvé ce que je cherchais en venant à Koubaï. Mon départ attrista le vieil homme, mais il me laissa suivre mon chemin avec la promesse de nous retrouver un jour. C’est méconnaissable que je retrouvai Tamawa et entamai une vie de mercenaire. Au début, je ne voulais pas trop m’éloigner de la cité neutre pour pouvoir passer du temps avec ma fille qui avait grandie sans moi pendant trop longtemps. C’était une façon de me faire pardonner ses deux longues années d’absence. Puis au fur et à mesure qu’elle grandit, je pu étendre mon champs d’action, escortant parfois des caravanes de marchands jusqu’à Jaffa, les protégeant contre les embuscades de bandits de grand-chemin ou en donnant un coup de main pour monter le camp et la garde. Pourtant, je n’ai toujours pas retrouvé la paix, et je ne la trouverais sans-doute lorsque j’aurai retrouvé mon frère et mes amis avec l’assurance qu’ils soient encore en vie. C’est donc en quête d’informations que je me suis établie à Erathia, attendant la piste qui me mènera à eux. Mon heure de gloire ! Votre prénom(facultatif): ArnaudD'où venez-vous? (facultatif) Je suis de Lyon (enfin pas tout à fait de Lyon mais pas très loin)Âge (facultatif): Bientôt 24 ansAvez-vous lu et approuvé les règles? Franchement, pour avoir fait 4 personnages depuis la saison 1, je pense que je suis rôdé non ? x) Mais bon en relisant le règlement, [Validé]. Sympatoche cette nouvelle règle.Comment avez-vous connu le forum? Il y a bien longtemps, c’est mon ami Google qui m’a présenté Azthia… et on a déjà fait un bon bout de chemin ensemble avant une petite pause.Idées, remarques ou suggestions ? RAS si ce n'est que j'ai choisi de reprendre le personnage d'Elyncia presque tel que je l'ai laissée avec 10 ans de plus. J'ai viré la faveur Divine de Zéphyr et ajouté Combat à la lance (style Jinmen) pour plus de cohérence avec ce qu'a fait Elyn durant 10 ans.