Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
Nombre de messages : 22 Âge : 29 Race et âge : Demi-Elfe Cydienne, 18 ans Cité : Cydonia Métier : Zélote
Feuille de personnage Compétences: Spécialisation: Rapière, Manipulation du Feu, Soin Compétences bonus: Réputation : (1/10)
Sujet:
Dossier de Eona
Mer 7 Mai - 14:13
❝ Ce qui m'appartient... ❞
... en résumé ~
~Rapière en fer blanc: Souvenir de mon père défunt. Je l'utilise rarement en combat puisqu'elle a une valeur sentimentale à mes yeux. ~Armure de Larien: Souvenir de ma mère, je la porte fièrement lorsque j'en ai besoin. Bien que je l'ai modifié de très peu, elle reste importante à mes yeux. ~Manoir Serket: Là où j'ai vécu et où je vis présentement. J'en suis la duchesse étant la seule à qui l'ont pouvait léguer la demeure. ~Garde robe: J'ai beaucoup d'habits diffèrent l'un de l'autre, parfois j'en ai le malheur de ne pas savoir quoi y choisir, mais je finis toujours par trouver vêtements à mon humeur.
❝ Ce que je sais faire... ❞
... et ce que j'ai apprise ~
~Je me spécialise au combat à la rapière, bien que l'on m'a démontré maintes armes, je reste plus adepte de la lame familiale. Ne me demandez pas de me battre à mains nues, je risque de me blesser plus qu'autre chose! ~J'ai eu la chance de développer un certain contrôle sur les flammes lors de mon enfance. Alors que certains croit de ce don une malédiction, ma famille voyait cela comme une bénédiction. Ce fut la seule et unique raison pour laquelle je me rendis au Monastère pour y développer mon contrôle. ~Lors de mes études aux Monastère des zélotes, j'ai appris l'art de soigner les autres. Bien que la souffrance de guérir les autres est forte, cela ne m'empêche pas d'aider du mieux que je peux les blessés.
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Sujet:
Re: Dossier de Eona
Lun 19 Mai - 11:37
Nom : Serket Prénom : Boal Métier : Guide Relation : Oncle Compétences : Maîtrise de la hache, Survie, Pistage
Cydien tout comme son frère, il s'installa a la cité des brumes pour y vivre la tranquillité. Homme de la campagne de naissance, il garde tout de même ses habitudes de bûcheron dans lesquels il a choisi vivre, acceptant parfois d'aider certains a voyager et trouver leurs chemins.
Nom : Prénom : Métier : Relation : Compétences :
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Eona
Nombre de messages : 22 Âge : 29 Race et âge : Demi-Elfe Cydienne, 18 ans Cité : Cydonia Métier : Zélote
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Sujet:
Re: Dossier de Eona
Lun 19 Mai - 15:35
Mon histoire sans fin...
Née en l'an 147, Eona vit le jour dans une famille noble formée par Nilal Serket, un père reconnu pour ses actes de bontés et pour son petit commerce de chasse familial. De là ne viens pas leur noblesse, mais bien de leur ancêtres qui eux, n'avait que faire du travail, ils n'étaient que nobles par pur richesse, alors que la nouvelle génération l'était d'esprit. La mère, Larien Elensar, était une perle rare chez les elfes, elle et Nilal se rencontrèrent lors de festivité et ne se quittèrent plus depuis. Ils eurent trois garçons, le plus vieux Toal suivit des jumeaux Kalev et Julen, tous trois étaient doués pour la chasse et le maniement de la rapière, épée familiale depuis fort longtemps. Lorsque Eona arriva dans cette famille, le père demanda de pouvoir l'élevé comme il avait élevé ses fils, la mère voulue en faire leur princesse et la rendre adepte de la vie sociale, ils eurent une entente de l'élevé comme une Serket, une chasseuse dans la noblesse.
Alors ce fut entre les leçons de chasse et de charisme que la petite fut élevé, bonne élève, elle ne prenait que peu de temps à se souvenir de ces leçons. Son père s'occupait de la chasse, sa mère de la bonne conduite d'une dame et ses frères, du combat à la rapière à l'aide de branche de bois et d'imagination.
Cependant vint ses neuf ans, la petite tombât malade d'une fièvre atroce, tous ignorait la cause de cette soudaine faiblesse, tout comme ils ignoraient qu'en elle se cachait un brasier digne de leurs ancêtres qui furent de grands zélotes. Prise de panique lors de son sommeil, elle sortit de la demeure pour prendre de l'air saine, air chaud et confortable. Elle fermât les yeux un instant, prenant de grande respiration de remarquant point qu'à ses pieds, les herbes sèches prenait flammes et que de son souffle sortait de petites flammèches. Elle se sentit mieux, fit volte-face et ouvrit les yeux pour retourner à son lit, ignorant qu'elle venait de créer du feu, feu qui s'était déjà éteint.
C'est à ses dix ans qu'elle ne prit conscience, par simple adoration pour le foyer, elle passait son temps à se balancer de droite à gauche, sans prendre compte du fait que les flammes suivaient son mouvement. L'histoire de ses ancêtres lui vint en tête, son père n'avait pas le don, ni ses frères. Elle ne voulue pas en parler, par peur que sa famille soit déçu ou jaloux de ne pas être celui qui continuera la lignée des manipulateurs de feux. Se pratiquant en secret à l'aide d'une seau, cela ne prit peu de temps avant qu'elle ne puisse faire brûler l'air qui s'y cachait, sans jamais ne sortir du récipient.
Son secret resta caché jusqu’à quelques jours avant ses douze ans.
«Eona, prépare la table avec ta mère, nous recevons d'importants invités alors il te faudra mettre belle évidemment.», dit le père en cette mâtiné ordinaire. En effet, ils allaient recevoir une autre famille de noble pour parler affaires avec le commerce, une possible alliance de marché s'annonçait où les deux familles en profiteraient.
«Où sont mes frères? Je ne les ai pas vu depuis ce matin.», répondit Eona, craintive que ses frères manquent à l'appel lors de cette visite, après tout, si elle devait être gêné, au moins elle pourraient leur parler à eux.
«Ahh! Ils sont partis chassé le repas... Ne t'inquiète pas, ils seront la à temps.»
Sur ces mots, Eona se mise à ses tâches, montant à l'étage pour s'habiller, la porte retentit alors de trois grand coups. Un peu tôt pour le repas, ses frères n'auraient pas frappé et les invités auraient été bien plus doux sur la porte. Curieuse, la petite vint s'asseoir dans les marches pour observer. Nilal ouvrit la porte grande, comme il le faisait toujours et d'abord surpris des cinq hommes devant lui, il s'empressa de demander leur réunion:
«Bonjour? C'est à quel suj-»
Il n'eu pas le temps de finir sa question, l'un des hommes ne lui avait guère couper la parole, mais la dague transperçant le ventre de son père le mis au silence. Tombant à la renverse, la mère hurla a Eona d'aller se cacher avant de recevoir une flèche dans la nuque. Prise de peur, elle s'accourut à l'étage et se réfugia dans sa cachette, levant une planche du sol, elle pouvait se faufiler entre le plafond du salon et le plancher de sa chambre. Sous elle, à travers le bois, elle pouvait voir les hommes fouillés la maison, alors qu'un autre entra dans sa chambre pour la trouver. Les hurlements de sa mère avait dû alerter ses frères puisque ceux si entrèrent dans la maison chargé de cerfs qui jetèrent au sol, leur armes de chasse n'était guère conçu pour se battre contre épées et haches. Sa famille se mourrait devant ses yeux et rien ne la fit plus souffrir que de devoir retenir ses larmes et ses pleurs, ainsi que sa colère. Lorsque l'homme au dessus d'elle abandonna pour aller fouiller la maison, Eona sortit de sa cachette, pris de passage sa rapière et se positionna au centre de sa chambre, se concentrant sur le sol sous ses pieds, elle concentra un brasier autour d'elle jusqu'à en faire céder le plafond du salon ainsi que le plancher de sa chambre. La descente de la petite se fit dans un torrent de flammes et cendres levant un court nuage de résidus de bois. À la vue de la petite, les hommes soufflèrent un soupir, pendant un instant ils croyaient avoir à faire à plus dangereux qu'une enfant et jamais n'auraient-ils eu autant tords d'en croire sa faiblesse. Elle jeta son regard devenu braise sur l'homme avec l'arc, celle-ci pris flammes instantanément et l'homme dû la lâcher, celui à la dague n'avait guère remarquer se fait puisqu'il s'était déjà élancer sur la petite qui riposta en déviant la dague à l'aide de sa rapière, tournant sur elle-même et transperçant l'homme dans le bas du dos avant de le pousser à l'aide de son pied et de prendre feu. Les quatre hommes toujours vivant se ruèrent sur elle et n'eurent peu de chance, les flammes ainsi que la lame de la petite, dépassait de loin leur talent de combat. Combat qui finit dans les pleurs de la petite pouvant finalement souffrir à haute voix la mort de sa famille. À la vue de son père toujours vivant, adossé sur le cadrage de la porte, elle se précipita vers lui pour commencer à lui faire un bandage.
«Eona... ma fille... ne soit pas... triste... Papa est fier de toi... Tu as le don... C'est merveilleux... Tu ne peux... pas rester ici... tu dois part-»
La petite coupa la parole à son père, noyé dans les larmes et la peur d'être seule. La rage qu'elle éprouvait alors qu'elle demandait l'aide aux divinités qu'elle connaissait, sans recevoir d'aide de ceux-si, elle en abandonna espoir.
«NON! Je ne partirai pas! Je peux au moins vous sauvez père!... Au moins vous...»
Nilal déposa sa main sur la tête de sa fille et la caressa tendrement, elle qui s'était blottit à ses côtés. Le cœur brisé, il reprit parole:
«Va au monastère... Rejoins les zélotes... Ils prendront soin de toi... Feront de toi une bonne personne... comme ton grand-père l'a été...»
Le père souffla un soupir avant de fermer les yeux, sans aucun signes qu'ils ouvriront à nouveau. Eona prise alors les derniers jours avant ses douze ans pour vivre son deuil et à offrir à sa famille un sépulture digne de l'amour qu'elle avait pour eux. Sépulture sans gloire à un dieu, ceux-si l'avait abandonné elle et sa famille en cet enfer d'un jour et jamais elle ne les pardonneraient. Elle déposa sa main sur la tombe de son père une dernière fois avant de partir, donnant promesse de devenir une bonne personne, comme l'était son père. Son arrivé au monastère fut normal, elle se vit assigné un mentor qui ne put lui en apprendre grand, elle en savait déjà assez par elle-même qui les leçons de base lui était inutile.
À ses dix-sept ans, elle retourna à sa demeure, léguée à son nom, pour visiter les tombes de sa famille et leur montré comment elle était devenue. Elle prit quelques jours à faire le ménage de la demeure, maintenant corrompu d'un mauvais souvenir. Elle fit une fouille de la maison, cherchant des souvenirs de sa famille. Elle y trouva l'armure de sa mère, la rapière de son père ainsi que les colliers de ses frères, desquels elle prit les pendentifs pour les mettre sur une seule chaîne. Elle savait qu'elle reviendrait, il s'agissait tout de même de son chez-sois, mais avoir des souvenirs de sa famille près d'elle lui remonta le moral alors qu'elle s'en retournait au monastère pour finaliser sa formation après six ans, durant lesquelles elle apprise l'art de la guérison des ses congénères et ce dans le bus de démontrer qu'elle ne servait pas seulement à la destruction.
Dans le moment présent, venant tout juste de terminé son entrainement, désormais une jeune zélote digne de ce nom, un grand avenir se développait devant ses pieds, il ne restait plus qu'à aller de l'avant et forger ce même avenir par sa propre volonté. [Détails à présiser et suite à écrire.]