Nom : Tawaren
Prénom : Volesprit
Âge : 27 ans
Race : Elfe Silmarien
Cité/groupe d'appartenance : Silmarie
Métier : Guide
Monture/engin : Un cheval à la robe alezan brulé auquel elle n'a pas donné de nom ( elle l'appel "mon vieux" ). Assez jeune, il reste néanmoins docile compensant sa faible vitesse de pointe et son manque d'endurance dont elle n'a cure.
Arme : Un couteau de voyage solide qui ne lui sert quasiment qu'à tailler ses plumes.
Armure : Un capuchon noir pour éviter de trop se faire remarquer la nuit, une tenue légère en tissue et en cuir pour faciliter le déplacement et les chevauchées, des épaulières renforcées pour éviter de se faire égorger ( il y aurait là en effet une véritable épreuve pour celui qui essaierait à passer son bras par dessus celles-ci et placer la lame contre le cou sans qu'elle n'ait le temps de réagir ).
Compétences choisies : Principales : Survie, Charisme, Annihilatrice. Bonus : Connaissance des langues.
Faiblesse : Ne sait pas se battre et encore moins se servir d'une arme. L'agilité lui fait défaut car elle a aussi des problèmes d'équilibres ce qui peut à l'occasion la rendre gracieuse malgré son manque de maintient... à l'occasion...... parfois........... ça finira bien par arriver.................. j'espère...
Main dominante : La droite.
But du personnage : Le savoir absolu... à la limite elle veut bien ignorer un ou deux choses, mais il faudrait voir avec elle.


An 123 : La nuit tombait sur Silmarie. Près de la cascade des anciens des pas se faisaient entendre. Une sentinelle. Marchant tranquillement, elle admirait encore l'endroit pourtant si familier qui chantait inlassablement. Aujourd'hui le chant de la cascade sur la roche semblait plus sourd, plus bruyant, troublant le calme nocturne avec plus de vigueur qu'à l'habitude. En approchant de la cascade, la sentinelle en comprit la raison. Allongé là dans l'herbe, hurlant de toutes les forces de ses petits poumons, un nourrisson pleurait. C'était l'hiver et les nuits très fraiches pouvaient se montrer meurtrières avec les êtres les plus fragiles. La sentinelle prit immédiatement l'enfant dans ses bras et l'enveloppant dans son manteau se pressa de l'emmener au chaud dans la salle de garde.
Après deux semaines de recherche intensive, les sentinelles à la recherche des parents du poupon durent se faire une raison. On fit alors savoir de bouches à oreilles qu'on recherchait des parents d'adoption. Il fallut encore attendre un long mois pour qu'une femme quadragénaire, avec un beau visage maternel, se présente et accepte de se charger de l'enfant.

An 129 : La petite fille avait grandis et sa mère avait fini par la nommer Volesprit. Elle se révéla rapidement mature et devint vite une aide précieuse pour sa mère que le métier de forgeron avait usé. Quand Volesprit se blottissait dans les bras de celle-ci, elle pouvait sentir ses mains calleuses et sa force dans l'étreinte. Cela la rassurait. Le soir sa mère qui avait un belle voix chantait régulièrement des histoires de jeunes aventuriers et du monde vaste et dangereux. Elle chantait aussi en travaillant mais Volesprit ne restait jamais bien longtemps à cause de la chaleur de la forge qu'elle ne pouvait supporter, elle préférait le froid. Sa mère se l'expliquait en se disant que cela devait venir des conditions de sa venue au monde.

An 138 : Volesprit regardait la tombe de sa mère. Des larmes coulaient le long de ses joues sans qu'elle puisse ni même ne veuille les contenir. Le médecin avait tout tenté. Mais il n'y était pas arrivé. Vaincre la mort. La frustration du médecin devant son impuissance et la colère de la jeune fille contre celui-ci les avait amenés à s'en prendre l'un à l'autre :
"Vous êtes un incapable ! Vous n'avez pas été fichu ne serait ce que de la soulager !
_J'ai fais ce que je pus jeune fille ! Et j'ai la net impression que celui qu'il faut blâmer ce n'est pas moi mais toi !
_Moi ?! Vous êtes complètement givré ?! Vous osez reporter votre incompétence sur mon dos ?!
_Parfaitement ! Je vais te dire une chose. Mon pouvoir n'aurait sans doute pas guérit ta mère mais elle l'aurait aidé à surmonter la douleur seulement voilà il se trouve que par négligence je t'ai laissé rester dans mes pattes...
_Il était hors de question que je quitte le chevet de ma mère !
_Malheureusement pour toi petite sotte tu es une Annihilatrice !
La nouvelle la laissa sans voix. Elle passait ses journées à la bibliothèque à lire tous les livres possibles qui lui était permis. Elle savait ce que cela signifiait, et ce qu'elle avait provoqué par la même.
_Et oui, ma petite. Ça ne me fait pas plus plaisir qu'à toi, mais c'est belle et bien toi qui à réduit mon pouvoir au point de le rendre inefficace à la guérison.
Volesprit était à présent horrifié par ce que cela sous entendait. Elle sanglota la tête entre ses mains. Le médecin à présent calmé la regarda tristement.
_Ce n'est pas ton jour de chance petite. J'en suis navré... sincèrement."

An 140 : Le temps est une étrange. C'est un bien que l'on consomme à tout instant sans s'en rendre compte sauf en de rares occasions. Deux années. Ce fut le temps que due consommer Volesprit pour se remettre de la perte de sa mère. Après cela, elle décida de partir. De découvrir le monde que les livres dépeignaient, tout comme les chants de sa mère. Elle quitta son tuteur, un explorateur et cartographe, non sans le remercier de la profusion et la richesse de ses enseignements. Elle allait goûté un peu à la liberté.

An 149 : "Je suis guide messieurs.
_Alors vous nous intéressez."
Durant ses longues années de voyages, Volesprit avait fait l'acquisition d'un cheval, parcourus des milles et des milles, dessiné des cartes à partir de ses propres connaissance, couché sur du papier les descriptions des lieux qu'elle avait parcourus et les histoires les plus intéressantes. Elle possédait des feuilles en vrac dans ses sacs de voyages sur la faune et la flore de tel ou tel endroit. Elle en vendait des copies aux chasseurs et aux fleuristes qui était encore novice. Quand aux cartes, elles commençaient à se faire un nom chez les cartographes qui la sollicitaient parfois pour des échanges d'information. Aujourd'hui encore, elle venait de trouver son gagne pain de la semaine avec ses deux voyageurs. Mais elle était loin d'être satisfaite : elle visait la savoir absolut de ce monde. Un rêve qui, bien que trop ambitieux, la poussait de l'avant et la rendait heureuse.


Mon heure de gloire...


Avez-vous lu et approuvé les règles ? Oui, [Validé By Cassie]
Comment avez-vous connu le forum ? Par un ami, nouveau lui aussi.
Idées, remarques ou suggestions ? Rien, si ce n'est que ça va me prendre des plombes de relire tout ce qui à été fait, alors j'espère que je vais y prendre plaisir malgré les journées que je vais y consacré ( mais vu le forum, ça devrait allez ).

Bienvenue sur Azthia =)

Et bien je n'ai qu'une chose à dire : je n'ai rien vu qui empêche ta validation. Du coup, je te valide avec un rang 1 de réputation.
(Par contre désolée mais je suis crevée par la route donc si j'ai laissé échapper un truc, je te le dirais via MP).

[Ceci a été fait avec l'accord d'Eléa et pour que la vérité soit faite sur moi du moins en partie. J'ai repris la totalité puis je l'ai arrangé. ^^]

Nom : Tawaren
Prénom : Volesprit
Âge : 27 ans
Race : Elfe Silmarien
Cité/groupe d'appartenance : Silmarie
Métier : Politicienne
Position : Ministre de l'information [incluant l'espionnage et contre espionnage] et Diplomate (un temps ambassadrice à Muria et Cydonia). Gardienne des archives de la Bibliothèque de Silmarie.
Monture/engin : Un cheval à la robe alezan brulé auquel elle n'a pas donné de nom ( elle l'appel "mon vieux" ). Assez jeune, il reste néanmoins docile compensant sa faible vitesse de pointe et son manque d'endurance dont elle n'a cure.
Arme : Un couteau de voyage solide qui ne lui sert quasiment qu'à tailler ses plumes.
Armure : Un capuchon noir pour éviter de trop se faire remarquer la nuit, une tenue légère en tissue et en cuir pour faciliter le déplacement et les chevauchées, des épaulières renforcées pour éviter de se faire égorger ( il y aurait là en effet une véritable épreuve pour celui qui essaierait à passer son bras par dessus celles-ci et placer la lame contre le cou sans qu'elle n'ait le temps de réagir ).
Compétences choisies : Principales : Charisme, Connaissance des langues et de l'histoire d'Azthia, Manipulatrice de la Glace. Bonus : Tacticienne
Faiblesse : Ne sait pas se battre et encore moins se servir d'une arme.
Main dominante : La droite.
But du personnage : Le savoir absolu... à la limite elle veut bien ignorer une ou deux choses, mais il faudrait voir avec elle.



An 123 : La nuit tombait sur Silmarie. Près de la cascade des anciens des pas se faisaient entendre. Une sentinelle. Marchant tranquillement, elle admirait encore l'endroit pourtant si familier qui chantait inlassablement. Aujourd'hui le chant de la cascade sur la roche semblait plus sourd, plus bruyant, troublant le calme nocturne avec plus de vigueur qu'à l'habitude. En approchant de la cascade, la sentinelle en comprit la raison. Allongé là dans l'herbe, hurlant de toutes les forces de ses petits poumons, un nourrisson pleurait. C'était l'hiver et les nuits très fraiches pouvaient se montrer meurtrières avec les êtres les plus fragiles. La sentinelle prit immédiatement l'enfant dans ses bras et l'enveloppant dans son manteau se pressa de l'emmener au chaud dans la salle de garde.
Après deux semaines de recherche intensive, les sentinelles à la recherche des parents du poupon durent se faire une raison. On fit alors savoir de bouches à oreilles qu'on recherchait des parents d'adoption. Il fallut encore attendre un long mois pour qu'une femme quadragénaire, avec un beau visage maternel, se présente et accepte de se charger de l'enfant.

An 129 : La petite fille avait grandis et sa mère avait fini par la nommer Volesprit. Elle se révéla rapidement mature et devint vite une aide précieuse pour sa mère que le métier de forgeron avait usé. Quand Volesprit se blottissait dans les bras de celle-ci, elle pouvait sentir ses mains calleuses et sa force dans l'étreinte. Cela la rassurait. Le soir sa mère qui avait un belle voix chantait régulièrement des histoires de jeunes aventuriers et du monde vaste et dangereux. Elle chantait aussi en travaillant mais Volesprit ne restait jamais bien longtemps à cause de la chaleur de la forge qu'elle ne pouvait supporter, elle préférait le froid. Sa mère se l'expliquait en se disant que cela devait venir des conditions de sa venue au monde.

[edit : je n'ai pas fini...]