Nom (facultatif): /
Prénom: Eléa
Âge: 16 ans
Race: Cydienne
Cité/groupe d'appartenance: Muria / Amazone

Métier: Fleuriste / Gladiateur
Position (facultatif): Princesse

Monture/engin: Jument à la robe pêche et à la crinière noir de jais, âgée de six ans à peine, elle est aussi fougeuse que rapide. Sa carrure, plus fine que robuste, lui assure une vitesse certaine mais un manque de "combativité". Cette jument fut offerte à Eléa par une de ses amies. Elle fut nommée Tsuki en souvenir de la pleine lune présente dans le ciel ce jour-là.

Arme: Rapière
Compétences choisies: Manipulation de la nature car fleuriste / Soin / Esprit
Faiblesse: Archer
Main dominante : gauche

But du personnage: Retrouver son père et éventuellement l'éliminer

Nom de votre échoppe: /



Oubliez tout ce que vous savez sur les princesses, Eléa n'est pas de celles-là. Elle n'est pas la frêle jeune fille en détresse attendant son prince charmant, bien loin de là, au contraire, elle serait plutôt du genre à couper son "prince charmant" en rondelles, juste pour le plaisir. Mais ceci n'a rien avoir avec une quelconque description de la demoiselle.

Grande, élancée et mince sont les trois adjectifs qui conviennent le mieux à la princesse. Grande parce qu'elle mesure bien un bon mètre 70, élancée et mince, parce que vous ne trouverez rien en trop chez la jeune fille. Sa fine ossature laisse apparaitre sa musculature, tout aussi fine, mais aussi solide que l'acier, sans doutes faut-il remercier l'entrainement qu'elle a suivit depuis toute petite pour cela. Ses formes féminines, à comprendre, sa poitrine et tout ce qui peut aller avec, sont tout à fait proportionnée et .. mise en valeur par ses choix vestimentaires.
De longs cheveux plus que fins et noir de jais encadrent son visage, sa mère ne cessant de lui répéter qu'elle a les mêmes que son père. Cependant, la jeune fille ne supporte pas de les attacher, contrairement à la plupart des Amazones qui jugent qu'attachés ou coupés, les cheveux ne gênent pas en combat. Non, Eléa tient à ce qu'ils jouent dans les courants d'air, à ce qu'ils soient aussi libre que l'air, aussi tombent-ils au bas de son dos, avec pour unique "bijou" quelques plumes noires qui les parsèment sur le sommet de son crâne.
Eléa ressemblerait presque à une princesse si on parlait de son visage. Fin et mignon, c'est ce que l'on retient le plus souvent de ses traits. Un côté adulte côtoie un éternel sourire enfantin, le tout relevé par de petits yeux en amande presque noir, mais pourtant bleus. Son visage, comme le reste de son corps, est aussi blanc que la neige, comme une pêche à peine tombée de son arbre, faisant bien sûr contraste avec sa chevelure. Ce que l'on retient le plus souvent de la jeune fille est cette fine cicatrice parcourant le haut de son épaule droite, qu'elle laisse apparente. Il s'agit du premier souvenir qu'elle ai eut avec une arme, à savoir une rapière, quant elle avait six ou sept ans.

Question vestimentaire, Eléa est ce que l'on appelle excentrique et peut-être aussi un peu fière de son corps aux proportions presque "trop" sur mesure. Son haut consiste à un débardeur sans bretelles, retenus par de simples lanières de cuir noires, laissant le bas de son ventre visible aux yeux de tous. La couleur noire n'étant pas choisie au hasard, bien évidemment, elle permet de faire ressortir la blancheur de la peau de la jeunette. Ses bras sont également couvert de ce type de lanières de cuir, ainsi que ses chevilles et ses jambes à partir du bas des hanches. Ses poignets quant à eux sont recouverts en plus d'une sorte de mitaines marrons laissant ses mains nues et maintenues par les dites-lanières. Une jupe violette, ceinturée, achève le schéma. Autant dire qu'elle en serait presque aguicheuse, mais son air farouche et ce "pas touche" inscrit sur son visage dissuade n'importe qui autant de la toucher que d'oser la regarder plus que la bienséance ne l'autorise. Le plus dissuadant est sans doutes également la rapière qu'elle attache à la ceinture de sa jupe.
Une fine écharpe de soie noire recouvre son cou toute la journée, mise à part la nuit, certains racontent que c'est pour cacher quelque chose, d'autre pour couvrir un peu son corps, la réalité est tout simplement qu'Eléa aime ce morceau de tissu. Enfin, de fines boucles d'oreilles pendent toujours mollement de ses oreilles. La plupart du temps, elle choisit d'ailleurs des papillons ou des pendants simples mais toujours quelque chose de sobre.
Alors, convaincu qu'elle n'a rien d'une princesse ordinaire ?




Eléa a ce que l'on appelle un caractère bien marqué.

Sans le savoir, elle est un mélange assez homogène de ceux de ses parents mais elle a su y rajouter sa petite touche personnelle au fil des ans. Ainsi, elle est aussi déterminée que sa mère lorsqu'elle a une idée en tête et aussi charismatique qu'elle en ce sens qu'elle n'a pas la langue dans sa poche. Oui, la jeune fille dit ce qu'elle a à dire, même si cela doit faire mal. Cependant, n'allez pas croire qu'elle soit stupide, elle sait également doser ses mots et se retenir de parler quand elle juge que ce n'est pas nécessaire, ou quand l'occasion n'est pas propice à le faire. Mais en général, elle ne parle pas pour ne rien dire et son ton est toujours adapté à la situation. Son grand jeu ? L'ironie qu'elle manie au mieux, aidée de son sourire enfantin. De plus, la jeune fille adore l'humour et aime à se jouer des autres, gentiment. Son charisme est sans doutes né aussi de sa façon de s'habiller et de ne jamais suivre les règles. Eléa est désobéissante, ne vous avez-je pas dit qu'elle avait développé son propre caractère ?
Elle ne supporte pas de suivre une règle lorsqu'elle ne la comprend pas ou la juge inutile. Bien évidemment, elle profite de son statut de princesse pour ne pas accomplir certaines de ses obligations. Cependant, elle est très fidèle aux Amazones, c'est peut-être la seule chose, mises à part ses convictions personnelles, à laquelle elle soit fidèle. Impatiente, la jeune fille tient cela sans le savoir de son père. Ne supportant pas qu'on ne suive pas ce qu'elle dit à la lettre, et qu'on ne comprenne pas tout de suite ce qu'elle veut, il lui arrive de prendre les devants avant même de parler. Pourquoi perdre son temps à expliquer quand on peut agir par soi-même ?

Paradoxalement, Eléa est assez calme, du moins en apparence.
Intelligente sans en être exceptionnelle, elle est toutefois très curieuse et ambitieuse. Elle aime savoir et comprendre ce qui l'entoure ce qui fait d'elle quelqu'un d'assez réfléchi. Cependant, elle déteste l'héritage de ses parents, ou plutôt de son père. Tout ce qu'elle sait de lui est qu'il était Templier, or il se trouve qu'elle a hérité de ses dons, ce qui lui occasionne plus d'un mal de tête !
Eléa reste malgré tout une enfant, dont le plus grand défaut est de faire confiance facilement, ou tout du moins, d'être assez naïve. Il faut comprendre que la trahison ne fait pas partie, ni de sa vie, ni de son passé, chez les Amazones, ça n'existe pas, aussi fait-elle confiance à ses consœurs, mais pas aux inconnus, sauf si ce sont des femmes. Réfléchie et pourtant courageuse, elle aime se battre et démontrer qu'elle est la meilleure par soucis de faire plaisir et de plaire à sa mère. Elle a énormément peur de l'échec et ne supporte d'ailleurs pas d'échouer. La jeune fille est très méticuleuse à défaut d'être adroite, en effet, à chaque fois qu'on lui confie une mission, elle aime se préparer avec attention, obtenir toutes les informations que l'on peut lui fournir avant de foncer tête baissée. Un autre défaut donc, la maladresse, mise à part lorsqu'elle manie sa chère rapière. La douceur n'est pas forcément son fort non plus, maladroite autant dans ses gestes que dans ses mots lorsqu'il s'agit de s'exprimer sur son père, elle a tendance à à frapper avant de parler mais ne vous méprenez pas, elle ne frappe pas forcément physiquement. Le plus grand défaut de la princesse reste sans doutes sa famille, plus précisément son père. Au fil des années s'est développé un manque de présence masculine chez cette enfant et un traumatisme du au mutisme de sa mère sur le sujet ... Ne lui parlez pas de son père, et ne tentez pas d'attaquer sa mère si vous voulez un conseil !
Un autre conseil, faites partie de ses amies plutôt que de ses ennemis, vindicative, la jeune fille n'hésitera pas à user de tout les moyens pour vous atteindre. A savoir qu'elle préfère les attaques vicieuses aux attaques frontales. Faire partie de ses amies est facile pour une femme, plus difficile pour un homme, voir impossible, mais une fois amis, il faudra être loyale, tout comme elle l'est, sinon, vous vous exposez à de graves périls.

Pour finir, je dirais qu'Eléa a suivit une éducation particulière du fait de son rang, même si son caractère est contradictoire la plupart du temps avec sa fonction, elle a su rester une élève assidue jusqu'à il y a peu (crise d'adolescence oblige). Elle a donc un vocabulaire bien précis, un protocole à remplir et un respect sans bornes pour ses sœurs ... en apparence du moins, sauf pour le dernier point.





Votre prénom(facultatif): Garance =)
D'où venez vous? (facultatif) Pâtelin Blésois
Âge (facultatif): 19 ans
Avez-vous lu et approuvé les règles? Signature voui, sinon [Code Ok, validé par Jacen]
Comment avez-vous connu le forum? Va savoir =D
Idées, remarques ou suggestions? Nada !

Permettez-moi de vous conter mon histoire.
Mon nom est Eléa, princesse des Amazones, je suis la fille de la reine Philéa et d'un dénommé Jacen. Est-ce un crime de ne pas avoir de souvenir de son père ? C'est pourtant mon cas. La seule chose qui me revienne à l'esprit en pensant à lui, ce sont sa gentillesse, sa barbe qui me piquait et cette impression de douceur qui l'entourait quand il me prenait dans ses bras ou parlait. Ce ne sont que de vagues souvenirs, peut-être même des tourments de ma mémoire, quoi qu'il en soit, je ne me souviens que de ça. Depuis toute petite, je me suis demandée pourquoi et surtout comment il avait osé nous abandonner ma mère et moi. Mes questions posées à cette dernière n'ont jamais portées leur fruits, elle reste muette et se borne à me dire qu'un jour, je comprendrais. Mais ceci n'est pas grand chose dans une histoire me direz-vous, beaucoup d'enfants grandissent sans pères ... pourtant, ce manque, cette absence paternelle m'obsède, tant et si bien qu'elle a toujours plus ou moins guidée ma vie.
La première chose dont je me souvienne avec précision fut ma rencontre avec Elle. Non, il ne s'agit pas d'une personne, juste de cette rapière, qui, sans que je ne m'en doutes à l'âge de six ans, deviendrait ma meilleure compagne. Je jouait tranquillement dans la pièce lorsque mon regard se porta sur cet étrange objet. Sans comprendre ce qui m'attirait à elle, je la saisissais lorsque, déséquilibrée, elle tomba sur mon épaule et y laissa une longue estafilade. Pleurant, je ne pouvais cependant pas détourner le regard de l'objet qui, je l'appris bien vite, appartenait à ma propre mère. Ses bras chaleureux vinrent consoler l'enfant que j'étais et l'histoire fut vite oubliée. La cicatrice resta néanmoins, l'envie aussi. Ce ne fut qu'à l'aube de mes 14 ans que je pus avoir la rapière en question pour moi seule, lorsque ma mère me l'offrit, mais ceci est une autre histoire dont je n'ai pas envie de parler.

Mes souvenirs vont et viennent sans que je n'arrive parfois à les comprendre.
J'ai grandi dans un univers que certains croient féérique, comme si le mot princesse signifiait opulence et facilité. Le premier est vrai, je l'admets, je n'ai dans ma vie manqué de rien, cependant, facilité ne fait pas partie de mon vocabulaire. Dès que je fus en âge de m'exprimer de façon compréhensible et de comprendre, ma mère commença mon éducation. Le matin, je devais apprendre le protocole, les us et coutumes propres aux Amazones et l'après-midi, je me devais de suivre les enseignements de quelques précepteurs, ce jusqu'à mes 10 ans. Combat, art de tirer à l'arc, histoire, mathématiques, et bien d'autres encore faisaient partie de ma journée sans que rien ne viennent réellement l'ensoleiller. Oui, enfant, je rêvais de liberté, et je ne faisais pas que rêver. Connaissant les lieux comme ma poche, je filais en douce la nuit pour vivre ma vie et ne revenait que tard. Ceci dura le temps que ça dura, à peine 3 mois plus tard, ma mère découvrit mon manège et fit mettre des gardes à ma porte et mes fenêtres. J'appris donc à m'assagir, à suivre ce qu'on me disait et à refouler mes pensées pour éviter les erreurs. J'avais compris que si je faisais ce qu'on me demandait, je serais libre.
La liberté acquise si chèrement au prix de si grands efforts fut vite perdue lorsque je fus inscrite à l'école pour filles. Du moins, du haut de mes 10 ans, je voyais les choses ainsi. N'allez pas croire que je manquais d'amour, mais la liberté m'appelait comme la rapière m'avait envoutée quelques années auparavant. Ma mère m'aimait et m'aime toujours et je n'ai jamais manqué de rien, si ce n'est d'un père, mais reprenons. L'école pour filles fut un changement difficile dans ma vie, moi qui avais toujours profité des avantages d'être la fille de la reine, je me retrouvais au même rang (ou presque) que ces autres jeunes filles, de plus, la vie étant ce qu'elle était, je voyais moins ma mère et ceci me manquait. Heureusement, avant que je ne sombre dans une quelconque mélancolie, mon chemin croisa celui de Maëlys.

J'avais à peine 11 ans lorsque notre amitié fut scellée. Comment ? Je lui offris le plus beau bijou que je possédais, elle m'offrit la plus belle jument qu'elle avait. Tsuki fut son nom. L'amitié d'égale à égale que nous partagions faisait la joie de ma mère et de mes professeurs qui observaient avec bonne humeur mes changements d'attitude. Si j'avais toujours été plus ou moins têtue et désobéissante, je devins en apparence du moins, plus souple et plus réceptive aux ordres et leçons sous son influence. Mes progrès dans toutes les matières me révélèrent intelligente, sans plus, tandis que tous doutaient de mon avenir avant ces preuves. Les années s'écoulèrent ainsi, tranquillement. Je partageais avec Maëlys le manque d'une présence paternelle et nos espoirs se joignaient lorsque nous nous retrouvions les nuits de pleines lunes pour discuter.
Le temps changea, je grandis et atteint les 15 ans sans problèmes. Elève sage et plutôt douée, mise à part pour le maniement de l'arc auquel j'étais peu douée voire dangereuse, je devins une actrice de la vie politique de la citée. Dès lors, mon chemin se sépara de celui de Maëlys et ce, définitivement. Je participais à toutes les réunions, officielles ou officieuses, auxquelles ma mère siégeait. J'appris l'art de la politique, celui de la trahison, de l'ironie, de la force, sans oublier celui de la séduction. Mon style vestimentaire vient peut-être de là après tout !


A l'aube de mes 16 ans, je peux dire que ma vie est déjà bien remplie. Chaque jour, j'apprends un peu plus à devenir princesse, regrettant néanmoins toujours cette enfance naïve et bercée par les rires de Maëlys que je n'ai jamais revu. Malgré mon apparente bienséance, je reste la Eléa que j'étais enfant, désobéissante et espiègle, se demandant toujours qui est son père. Ainsi, je ne suis pas experte en maniement de l'arc comme mes consœurs, je lui préfère la rapidité de ma rapière, je n'ai pas la langue dans ma poche, je dis ce que je pense ... la liste est longue. C'est sans doutes dans le cadre de cette éternelle recherche d'être différente et de me distinguer que je suis devenue fleuriste et gladiateur, et ce, malgré les remontrances de ma mère et son apparente inquiétude. J'ai également pris soin de me démarquer des miennes par d'autres moyens, mais ceci ne fait pas partie de mon histoire. Tout ce qu'il faudrait retenir de ce long résumé est sans doutes le fait que je ne suis pas une princesse comme les autres, ah non, suis-je bête, que je n'ai pas de père et qu'il n'a qu'à bien se tenir le jour où je le retrouverais !

Nom (facultatif): /
Prénom: Jelenna
Âge: 7 ans
Race: Cydienne
Cité/groupe d'appartenance: Muria / Amazone
Métier: aucun
Position (facultatif): (princesse bis)
Monture/engin: aucune
Arme: arc en bois de noyer noir, fin, d'une longueur de 30 centimètres.
Compétences choisies: aucunes
Faiblesse: combat à mains nues
Main dominante: droite
But du personnage: jouer !
Nom de votre échoppe: /

Jelenna est une jeune fille haute comme trois pommes du haut de ses sept ans. Mesurant tout au plus un mètre vingt, la jeunette se plaint toujours que sa sœur est trop grande par rapport à elle. Mais la petite est elle aussi d'une beauté exceptionnelle, son visage encore marqué par l'enfance lui offrant des traits juvéniles et pourtant déjà sérieux. De longs cheveux blonds encadrent son visage fin et poupin. De petits yeux bleus pétillants de malice donne une note de couleur sur la peau pâle de la petite. Tout comme sa son ainée, Jelenna laisse libres ses cheveux, ne supportant pas de les coiffer.
Question vestimentaire, son style est beaucoup plus sobre que celui d'Eléa, âge oblige, mais également parce que sa mère, Philéa, et sa sœur ne la laisseraient jamais se vêtir mal. Ainsi, une robe lui arrivant jusqu'au genoux, la plupart du temps blanche, lui sert de vêtement principal. La-dite robe est maintenue au niveau du coup par une simple attache de soie noire, laissant par là même une de ses frêles épaules nue. Sous la robe se cache un ensemble noir, pantalon et haut la couvrant de la poitrine au nombril en cas de mauvaises rencontres ou d'accident malheureux mettant à mal sa robe.

En général donc, Jelenna fait petite fille sage et douce. Sa peau de porcelaine accentue son côté fragile et poupin.

La petite a un caractère plutôt opposé à celui de sa soeur et de sa mère. Beaucoup disent qu'elle est le portrait craché de sa mère question physique, et de son père question moral. Il est évident que Jelenna se sent quelque peu gênée par cette comparaison, en bonne Amazone, elle préférerait avoir hérité de la force de caractère de sa génitrice. Bref, la question n'est pas là car malgré ses efforts, elle reste plus ou moins la même.

Jelenna est calme et taquine. Elle parle rarement et n'aime que les joutes verbales, aussi, le dialogue avec elle est-il quelque peu délicat. Elle est extrêmement respectueuse de ses ainées, gradées ou non, et des traditions de son peuple. Contrairement à sa sœur, elle est assez peureuse et craint particulièrement les colères de sa mère. Comme tous les enfants, elle aime jouer et faire des bêtises, cependant, elle évite que celles-ci soient trop "signées de sa main" afin de passer à la trappe. A l'opposé de beaucoup de jeunes filles de son âge, Jelenna ne rêve pas de princes charmants et de fées, non, elle rêve tout simplement d'un jour être à la hauteur du trône qui peut-être lui incombera (si Eléa décède par exemple) et de pouvoir ressembler à sa sœur ou leur mère.
Fière, la gamine n'en a pas oublié d'être intelligente. Elle a un bon sens de l'observation et profite de son mutisme pour l'exercer. Timide, elle n'aime pas se mêler aux autres et préfère "être seule que mal accompagnée". En dehors de ça, la princesse est très éveillée pour son jeune âge et aime particulièrement sortir, jouer et rire. Un visage qu'elle ne montre qu'à quelque rare privilégiés ... étant donné qu'elle n'a encore jamais eut d'amis, ils se résument à sa famille.

La seule chose qui perturbe cette enfant équilibrée se résume à sa sœur. Elle ne comprend pas vraiment le comportement de celle-ci, ou au contraire le comprend-t-elle trop, mais ce qu'elle ne supporte pas, c'est d'avoir un père et elle non. Si elle le pouvait, Jelenna offrirait son père à son ainée ...

Jelenna naquit il y a de ça sept ans.
Deuxième fille de la reine, et première - sans qu'elle ne le sache - à naitre parmi les Amazones, elle grandit dans un cadre des plus doux et des plus somptueux. Sur-protégée par son ainée et sa mère, elle n'apprit que peu de choses pendant son enfance. Précoce, elle sut néanmoins tirer à l'arc dès l'âge de cinq ans. Pas comme une professionnelle bien sur, mais comme une apprentie, sûrement ! Fière de son exploit, elle attira plus que jamais l'attention sur elle. Dans un premier temps, elle prit le comportement d'Eléa à son égard comme de la jalousie, puis petit à petit, en étudiant les faits et gestes de celle-ci, elle comprit qu'il s'agissait de maladresse. Une réelle amitié naquit entre les deux jeunes filles, la plus grande entrainant sa cadette dans toutes ses missions, la sur-protégeant d'autant plus que Jelenna se révélait trop douce et trop timide ... et peureuse certes.
Malgré son manque de caractère fort, la douceur de ses traits et ses sourires exclusivement réservés à sa famille ont su calmer à maintes reprises sa demi-sœur. Quant à son côté posé, il est d'une grande aide à sa mère lors des cérémonies officielles. Enfin, quand elle peut y assister car la petite est aussi gardée qu'un château fort et Philéa évite de la montrer ... alors Jelenna profite des missions et de ses sorties avec son ainée ! D'ailleurs, depuis son anniversaire, celle-ci semble ne plus pouvoir se passer de sa cadette.

Bienvenue chez nous!
Que dire de plus, c'est parfait et c'est beau. Si j'étais pas jaloux, je te dirai que c'est parfait!
Mais bon, je suis pas trop pour le passage de découper son père en rondelles....
Tu es validée, et la première... Ça mérite une belle rapière toute neuve!