[F-A] Un visite en ville (libre) (fini)

Sirkaël était arrivé deux jours plus tôt. Il avait, pour la première depuis près de deux ans, revu ses parents et quelques un de ses rares amis ; le repas avec ses parents avaient plaisant bien que tendu, et la rencontre avec ses anciens amis plus que convivial. Il songeait néanmoins avec amertume au nouveaux gouffres qui s'étaient créée entre eux au fils du temps : son métier l'avait conduit certes à trouvé de nouveaux amis et une nouvelle famille, mais au détriments de ceux qui l'avait accompagné par le passé. Il ne passerais plus en ville avant plusieurs mois, et il ne lui restait que deux à faire : acheté des vivres et des vêtements pour son long voyage puis ce rendre chez un armurier histoire de compléter son équipement. Il avait en effet touché une forte somme d'argents, récompense d'avoir arrêter un bandit notoire. Ses pas le conduisirent d'abord sous les étales d'un marchand de fruits. Ce dernier vendait peu de choses qui se conservaient sur le long terme ; après réflexion, Sirkaël lui acheta un grand nombres de fruits secs qu'il pourrait gardé plus longtemps que le reste, ainsi que quelques pommes qui se conserveraient bien. Il fit aussi l'achat de légumes frais qui tiendrait bien quelques jours et qui le changerait de ses habituels rations. Il visita ensuite plusieurs échoppes, achetant d'autres aliments : de la viande séché, au goût pas vraiment fameux mais capable de se conservé sans problème plus d'un mois, des biscuits d'avoines et de froments capable eux aussi de resté comestible pendant un long voyage, deux bouteilles de bon vin et trois outres qu'il rempli avec un vin moins bon mais tout de même comestible, et enfin une bouteille d'un alcool fort elfique semblable au cognac. Il fit après coup l'achat d'une nouvelle casserole en cuivre, de deux jattes en bois polies et de deux verres du même genre, ainsi que de quelques couverts en fers blancs. Un nouveau briquet ainsi que deux nouvelles torches vinrent compléter l'achat. Ayant fait le stock de toute les choses plus ou moins périssables dont il aurait besoin pour son voyage, il se rendit ensuite auprès d'un tailleur. Enfin, tailleur restait un bien grand mot. Il s'agissait en fait d'une échoppe ou se côtoyait création bon marché et friperies récupéré. Si Sirkaël aurait volontiers fait l'achat de vêtements neufs, c'était quelque chose qu'il ne pouvait pas vraiment ce permettre. Il entreprit donc de fouillé dans l'immense fratra que constitué cette petite échoppe. Après quelques minutes, il fini par dégoté un pantalon de lin tout simple, sombre et en bonne état ; il en trouva deux autres, un du même tissu et au contraire claire et un autre en laine, d'un rouge foncé évoquant une certaine noblesse. Il trouva pour chaque pantalon une tunique assorti, avant de s'acheter une cape de laine épaisse et une paire de gants de la même laine. C'est avec un sourire crispé qu'il accueilli le prix que lui proposa l'homme ; si dans d'autres cités négocié était insultant, ici c'était la loi implicite qui régissait tout les menus commerces. En fait, trois choses avaient ici de la valeur : l'ors, les points d'eaux et les informations. Les informations, Sirkaël en avait mais pas du genre à intéressé un marchand de tissu ; les points d'eaux, il en connaissait dans le désert mais ne souhaitait les livrés ; resté l'ors. Après d'après négociations, Sirkaël réussi à obtenir un prix convenable. Sa bourse bien moins lourde, il entreprit de ce rendre chez le dernier marchand qu'il voulait visité : un armurier. Sirkaël avait besoin de nombreuses pièces : un coutelas et une dague (soit une arme à large lame fait pour les combattants sans armure et pour dépecé, et soit une autre capable de ce glissé entre les différentes plaques d'armures d'un combattant), d'un arc (ou d'une arbalète, mais les prix seraient sensiblement différents), d'un carquois de flèches et de, si il lui restait de l'ors, quelques autres pièces d'équipements. A savoir deux coutelas de lancé, une épée courte et un hache. Mais il ne se faisait pas d'illusions : si déjà il pouvait ne serais-ce qu'acheter un arc, il serait content. Ses pas le conduisirent à trois armuriers qu'il avait fréquenté plus jeune: a chaque fois, les prix étaient largement hors de sa porté. Pourtant, nombres d'hommes n'ayant pas de réels situations arboré ici les armes. Le dernier armurier lui indiqua alors une autre échoppe, ou l'on revendait des armes ayant déjà servie. L'idée ne déplut pas à Sirkaël : si il devait y avoir un grand nombres d'armes de mauvaise qualités, quelques unes sortirais bien du lot. Trouvait la place ou ce trouvait la boutique fut difficile, mais il fut par contre fort simple de la trouvais elle même : elle était grande, et débordé d'armes en tour genre. Fouillant pendant une dizaines de minutes, Sirkaël fini par trouvé ce qu'il cherchait : un arc de bonne qualité. A double corde, c'était une arme qui demandait une grande force mais qui permettait par contre de tiré aussi loin qu'un arc long sans en avoir l'encombrement. Sirkaël le compléta par une vingtaines de flèches à pointes classiques, cinq à tête rondes fait pour assommé et enfin cinq autres équipé de petites points barbelé fait pour tué à coup sûr. Sirkaël fit estimé le prix : c'était plus des trois quarts de ce qu'il lui restait en ors. Fouillant encore, il trouva un poignard à manche d'os à très large lame, accompagné d'un simple fourreau de cuir. Il trouva ensuite un stylet à longue lame : mesurant près de quarante centimètres, elle était fine et semblait destiné à tué dans l'ombre, comme un assassin. Sirkaël, à l'insu du marchand occupé à autre chose, la glissa dans sa botte ; il y avait fait il y a longtemps un fourreau, et il semblait destiné à accueillir cette lame. Sirkaël s'enquis alors d'une autre lame, un coutelas bien équilibré fait pour le lancé.
Sirkaël sorti de boutique, armée de pied en cape et la bourse vide. C'est alors que...

[Bonjour! Il faudrait juste que tu édites ton titre pour y écrire [F-A] (fin automne) au début afin que l'on situe la rencontre.
Merci!]

Le temps passe et jamais ne s'arrête.

Le changement de saison s'annonce et bientôt, un blanc manteau recouvrira le monde, le chant joyeux des oiseaux cédera sa place au silence et le monde s'endormira petit à petit. Dans ce décor figé par le temps, le moment est venu de s'éclipser, de laisser la nature reprendre ses droits et le cours des choses se faire.

Désengagé : Sirkaël

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