Un éclair et puis... rien. Elyncia était encore là, vivante alors que l'arme de son adversaire aurait dû lui avoir tranché la tête. Ne comprenant pas ce qu'il se passait, elle laissa son regard fixé sur son adversaire qui recula encore. Mais cette fois, la jeune femme avait pu reconnaitre la membrane énergétique d'un bouclier magique. Profitant alors de la confusion de son adversaire, elle empoigna fermement sa lance et donna un coup en estoc qui neutralisa son agresseur.
C'est alors qu'elle entendit de déclic caractéristique du déclenchement d'une arbalète. Mais contrairement à ce qu'elle pensait, le tir ne lui était pas destiné.
Regardant derrière elle, elle vit un homme éviter de justesse le carreau qui disparut dans l'obscurité. Dans la précipitation et à cause de la violence du combat, ses sens étaient troublés et elle ne put se faire une idée de ce à quoi ressemblait cet homme. Tout ce dont elle pouvait-être certaine, c'était qu'elle lui devait la vie. L'intéressé s'était d'ailleurs mit à courir en direction de l'origine des tirs, surement pour éliminer le fauteur de trouble... et Elyncia ne pouvait que l'en remercier car elle serait bien trop occupée pour le moment à combattre ses propres opposants.

En effet, celui qu'elle avait désarmé avait récupéré son arme l'utilisant maintenant de son autre main, bien décidé à en nourrir le fer de la chaire et du sang de notre héroïne. Cette dernière se redressa d'ailleurs et parvint à se tenir debout dans un équilibre sommaire, elle lança un regard plein de défis à l'homme qui passa sa langue sur sa lèvre supérieure pour la provoquer. Seule une paire de seconde s'était écoulées qu'il se rua sur elle, tentant de la pourfendre. Esquivant ce coup avec maestria, Elyncia lui donna un violent coup de manche dans le nez ce qui ne manqua pas de la rassurer pendant que cet imbécile hurlait de douleur en titubant. Sans hésiter, Elyncia dirigea la hampe vers le pied de sa nouvelle victime, lui tranchant le bas du mollet dans un geste circulaire, ce qui le fit tomber à terre. Puis, après avoir fait tourner sa lance au dessus de sa tête pour avoir une saisie plus proche de sa hampe, elle l'a planta droit dans son cœur, ne lui laissant plus que le choix d'expirer son dernier souffle alors que dans son dos, un troisième cydien s'écroula au sol tandis que sa tête roulait non loin.

Il ne restait plus que Niyam en train de combattre le dernier épéiste qui semblait lui donner du fil à retordre. La jambe droite d'Elyncia plia alors quand elle tenta de se diriger vers eux pour aider son sergent et elle se retrouva alors au sol, impuissante, regardant les épées du bandit et du soldat s'entrechoquer. Niyam était haletant, comme à bout de force mais sa maitrise de l'épée était sans doute meilleure que celle de son adversaire. Mais Niyam se laissa surprendre par une simple botte. Elyncia vit alors son avant bras tomber sur le sol avant que la deuxième lame du meurtrier lui entaille la cuisse, l'envoyant à terre.
Elyncia utilisa alors ses dernière force pour se redresser en position assise, saisissant sa lance tel un javelot puis, alors que l'homme plantait l'une des ses épée dans la poitrine de Niyam, elle la lança en direction de son meurtrier. La hampe s'enfonça alors dans son dos et l'homme s'écroula sur sa victime qui vivait encore... pour le moment.
Sans oublier de se précipiter et d'aggraver sa blessure au tibia, Elyncia se mit à ramper rapidement vers son supérieur tandis que son sauveur sortait du feuillage avoisinant. Lorsqu'elle arriva près de Niyam, celui-ci posa son regard sur elle avec un sourire. Elle ne put alors s'empêcher de voir qu'un filet de sang conséquent coulait au coin de ses lèvres tandis qu'il s'efforçait de cracher ce qu'il avait dans sa bouche.
La belle tendit alors sa main pour le rassurer en la posant sur sa joue en murmurant son nom, mais le digne fils de son capitaine savait ce qui l'attendait. Il ne put alors se retenir de lâcher un rire étouffé avant de dire :

"Ne vous préoccupez pas de moi, Elyncia. Je vais mourir. Mon père aurait été fier de vous s'il avait pu être là. Vous vous êtes battu comme une lionne."

Seulement, Elyncia ne l'écoutait qu'à moitié. Elle tentait de trouver les mots justes qui redonnerai espoir au mourant, tandis que celui-ci posait sa main sur la sienne.

"Foutaise ! Vous devez vivre Niyam! Pensez à votre père!"

"J'aurais tant ai..."

Mais le pauvre sergent n'eut le temps de finir sa phrase que se yeux fixèrent le vide, perdant peu à peu de leur couleur. C'est ainsi que le fils d'un capitaine tomba au combat, fier d'avoir servi son pays, son corps arrosé désormais des larmes de la seule survivante de son groupe, accablée par un chagrin incompréhensible car il s'agissait l'un des rares échanges de paroles qu'ils eurent et pourtant, Elyncia se sentait terriblement proche de lui sans savoir pourquoi. Et c'est pourquoi elle pleura sa mort sous les yeux d'un homme venu l'aider et ce jusqu'à ce qu'elle tombe subitement de fatigue.

*****

Lorsqu'elle reprit connaissance, elle était adossée à un arbre et sa jambe était bandée. Les corps avaient été déplacés et si ce n'était la présence des traces de sang sur le sentier, il n'y avait d'autres traces du massacre si bien qu'elle aurait pu croire avoir rêvé. Seulement, la douleur de ses ecchymoses était bien là et lui apportait le souvenir cinglant des évènements de cette nuit.
L'aube avait presque fini de poindre, baignant d'une douce lumière les deux individus qui se tenaient là. Elyncia remarqua alors qu'il n'y avait plus un seul piaillement d'oiseau dans la nature sauvage, ces derniers ayant migré avant que l'hiver arrive. C'est comme s'ils l'avaient fait pour échapper à la scène tragique qui se déroula sous les branches des arbres qui semblaient étirer leur nœuds comme un humain le ferai pour ses bras au réveil.
Le regard d'Elyncia se posa alors sur l'homme qui lui avait sauvé la vie. Elyncia ne porta que peu d’intérêt pour son armure de cuir bouilli mais plus au visage de son bienfaiteur. Elle estimait que seul connaître le visage d’une personne dont on est le débiteur étant suffisant pour se remémorer son geste et donc le fait de se rappeler qu’elle avait désormais une dette envers lui.
Ses origines almers était plus que remarquable de part sa peau mate. Ses cheveux décolorés tombaient au niveau de ses épaules délimitant l’emplacement d’un visage aux traits fins, bien que ses traits ne soient pas aussi fins que ceux d’un homme cydien. Elyncia put aussi remarqué qu’il était plus grand qu’elle d’une dizaine de centimètres. Et bien que ces yeux soient d’une couleur plus claire que ceux de la jeune femme, on pouvait y voir briller la même impression de bienfaisance.

Mais bien vite, tous ces efforts pour mémoriser le visage de cet homme furent dérangés par de nombreuses questions qu’elle ne pu s’empêcher de vouloir lui poser. Mais avant toute chose, Elyncia n’oublia pas les règles de politesse :
« Euh… Merci…», lança-t-elle alors timidement.
Se sentant désormais mal à l’aise, elle commença à s’agiter cherchant ses affaires de la main en se justifier :

« Je.. je… je suis désolé que vous ayez dû intervenir. Je… pardon. »

Elyncia était maintenant tellement gênée qu’il n’était pas difficile de voir sa peau pâle rosir d’un coup, la couleur de ses joues virant presque à l’écarlate. Elle s’empressa d’ajouter :

« Mmmm-ma mère tiens une auberge à Cydonia… pour m’avoir protégé, elle se fera un plaisir de vous y accueillir gratuitement. Je… »

Elle se souvint alors du visage de Niyam avant de mourir et ne put s’empêcher d’avoir un puissant haut-le-cœur, se retenant de vomir au prix de quelques larmes qui roulèrent sur ses joues. Elle s’en voulait de ne rien avoir pu faire pour le sauver et elle se sentait désormais impuissante. Elle porta alors ses mains à son visage pour le cacher tendit qu’elle tenter de réfréner son chagrin.

C'était un véritable massacre, songea Sirkaël. L'archer, premier combattant dont il avait vérifié la mort, avait reçu son coutelas en pleine gorge : son sang avait rendu la terre poisseuce tant il avait coulé. L'homme qu'il avait tué, Sirkaël le connaisait : il s'agissait bien d'un des bandits qui accompagné le rénégat. Ainsi, il ne s'était pas trompé. Sirkaël avait ensuite été inspecté la ou c'était déroulé l'essentiel de la lutte. L'un des hommes avaient dût être surpris par un premier tir, tandis que les bandits les avaient ensuite chargé. D'abord quatre, qui avaient engagé les guerriers, puis trois qui étaient venu en renfort comme l'indiqué les marques de pas. Si le templier n'était pas intervenu, les Cyndiens auraient été littéralement écrasé. Ceci dit, il n'y avait semblé t'il aucun survivant.
Non.
La fille vivait, Sirkaël le savait ; l'aura qu'elle dégagait été faible, mais bien perceptible. Elle était inconsciente. Une flêche avait transpercé sa jambe, se plantant dans sa cuisse pour ressortir de l'autre coté. Sirkaël brisa la hampe et tira un coup sec la tête de pointe émergant de l'autre coté. Le sang ce mit à coulé abondément. Arrachant un morceau de la tunique de la jeune femme, il lui fit un rapide garot avant de la hissé sur ses épaules. Vu son état, elle surporterais difficilement le voyage : mais le sang aurait tôt fait d'attiré les animaux parmis les plus dangereux qui soit. La déplacé était donc la seule possibilité qui s'offrait à lui. Sifflant sa monture, il la hissa sur le dit cheval avant de placé derrière elle, l'empéchant ainsi de tombé. Guidant sa monture à taton, il fini tant bien que mal par arrivé à un endroit ou il pourrait s'occupé de la jeune fille. Sirkaël étendit une couverture sur le sol, avant d'y enroulé la jeune femme. Il alluma ensuite un feu. Il éloignerait les bêtes sauvages ; les bandits quand à eux ne prendrait pas le risque de quitté leur camp avant l'aube, car un petit groupe était vulnérable face au créature de la forêt. Après avoir vérifié que la jeune femme était bien installé, et malgré le risque que cela comporté de la laissé seul, Sirkaël s'enfonca dans la forêt. Il trouva rapidement ce qu'il cherchait : quelques herbes qui permettrait de faire un cataplasme qui soignerait rapidement la blessure, et une autre qui permettrait d'évité l'infection. Lorsqu'il retrouva la jeune femme, elle dormait à point fermé. Mettant ses talents de guériseur à contribution - si il n'était pas expert dans cette art, il avait suffisament de connaisance pour soigné de nombreuses blessures -, il commença par faire bouillir de l'eau pour y stérélisé des bandages ; il fit aussi chauffé son poignard au feu, pour une utilisation bien moins sympathique... Sirkaël entreprit ensuite de dévétir la jeune fille, ne pouvant que remarquer la beauté de ses courbes... Si il l'avait connu dans d'autres circonstances... Se reconcentrant sur son travail, il nétoya rapidement la blessure. La flêche avait transpercé le muscle, mais n'avait pas causé de blessure plus grave. Il devrait sûrement cautérisé la plaie, puis y appliqué un bandage et un cataplasme. Mais la jeune femme devrait s'en sortir sans handicape durable...


« Euh… Merci…»
Sa voix était douce, songea Sirkaël. Il l'avait observé revenir à elle sans dire un mot, la laissant reprendre pied et analysé la situation. Il lui adressa un signe de tête, puis un sourire bienveillant mais ne dit mot, la laissant continuer.
« Je.. je… je suis désolé que vous ayez dû intervenir. Je… pardon. »
Elle rougit, géner. Sirkaël lui sourit une seconde fois et dit d'une voix douce :
« Vous n'avez pas à vous excuser. Je traquais ses hommes depuis bien des jours, et j'aurais de toute façon fini par les attaquer d'un angle ou d'un autre. C'est moi qui vous remercie : sans vous, ils seraient encore envie. »
La jeune fille ajouta, géner encore une fois :
« Mmmm-ma mère tiens une auberge à Cydonia… pour m’avoir protégé, elle se fera un plaisir de vous y accueillir gratuitement. Je… »
Sa voix mouru tandis que la jeune fille eut un haut de coeur. Sirkaël connaisait bien ce genre de chose : la culpabiliter du survivant, mais aussi le dégout de la bataille et du sang. Elle devait à peine avoir dix huit ans, songea t'il : elle était bien jeune pour voir de tel chose. Malgré tout, il savait que l'âge n'y changait rien : on ne s'habituait jamais vraiment à la mort.
« Vous n'auriez rien pût faire. Ne vous sentez pas coupable : si ses hommes sont mort, c'est par la faute de vos dirigants. Ils n'étaient pas renseigné sur la nature de vos adversaires : ils auraient dût envoyé une force deux à trois fois supérieurs en nombres.»
Au même moment, Sirkaël tendit à la jeune femme un bol remplit d'un liquide ambré.
« Buvez. Cela vous reveillera, empéchera la fièvre de vous gagnez et soignera vos courbatures.»

Elle aurait voulu le croire quand il lui disait qu'elle n'y était pour rien et que la mort de ses camarades n'était causée que par un mauvais jugement de la hiérarchie. Mais elle ne le pouvait. Ce n'était pas la première fois qu'elle voyait la mort et elle avait déjà été témoin de la mort de quelques-uns de ses camarades auparavant. Mais cette fois-ci, c'était différent. Sans doute était-ce parce qu'elle ne pourrait pas les ramener à la maison cette fois-ci...
Elyncia prit le bol que lui tendait l'almer en le remerciant une nouvelle fois. Sans même l'inspecter, elle le porta à sa bouche et laissa couler le liquide et bien qu'il n'ait pas été chauffé, il lui brula la gorge comme s'il s'agissait d'un alcool fort. Elle toussota en se disant que le goût aurait pu être atroce de surcroit mais la mixture avait un arrière-gout de sucre et de miel... du moins c'est ce qu'elle reconnut. Elle continua alors de boire le contenu du bol qu'elle posa une fois fini, essuyant ses yeux qui laissaient encore échapper quelques larmes. Bien que les bandits furent tous morts, la cydienne considérait que cette mission était un échec complet, lui laissant un sentiment cuisant d'amertume. De plus, elle ne saurait expliquer à son capitaine comment son fils est mort. Quant aux autres, elle ne connaissait aucunement leurs proches.
Soudain, elle se demanda où pouvait-être leurs corps :

"Excusez-moi... mais... où sont les corps de mes compagnons ?"

Elle attendit une réponse de l'homme, cherchant sa lance des yeux. Lorsqu'elle ne l'avait pas près d'elle, Elyncia ne se sentait pas à l'aise. Même si elle savait qu'elle était en sécurité, sa lance était quelque chose de précieux pour elle, et elle n'osait imaginer s'en séparer en dehors de la citée. Inquiète, elle se massa l'épaule, cherchant à se rassurer bien qu'elle se doutait que cela ne servirait pas à grand chose tant qu'elle n'aurait pas récupéré son bien.

"Auriez-vous récupéré ma lance ?"

Agitée, elle tenta de se relever mais la douleur l'en empêcha, véhément. La jeune femme ne pourrait sans doute plus rien faire d'elle même avant qu'un prêtre n'ait soigner totalement sa blessure par magie. Impuissante à nouveau, elle frappa son poing contre le sol tout en se mordant les lèvres... elle n'aimait pas cette situation.

[HRP : un peu court mais on entre dans une phase de dialogue donc bon... je pense que c'est normal ^^]

La jeune fille semblait toujours aussi perdu, et Sirkaël savait bien qu'il s'agissait d'une réaction on ne peut plus normal après un tel épisode : ceci s'expliquer simplement par le fait qu'en temps que seul survivante, elle ne pouvait que ce considéré fautive de la mort des autres. Si elle ne passait pas très vite l'éponge, elle pourrais passé des jours et des jours à revivre le combat, se disant que s'il elle avait agit de tel ou tel manière à tel ou tel moment, tout cela aurait pût être évité.
Sirkaël observa avec satisfaction la jeune fille avalé le mélange d'eau ou avait infusé plusieurs plantes, de cognac, de miel, de sucre et d'une autre herbe appelé hasish, connu en petite dose pour ses vertus médécinales... Mais, à haute dose, fort mauvaise pour l'organisme. Sirkaël lu tendit ensuite du pain et de la viande, ainsi que des pommes ceullit deux jours plus tôt :
« Manger, cela vous aidera à reprendre pied.»
La jeune fille dit alors, d'une voix tramblotante :
« Excusez-moi... mais... où sont les corps de mes compagnons ? »
La voix de Sirkaël lui répondit
« Dans une clairière. Ils doivent déjà avoir en parti été dévoré par les bêtes sauvages, ce qui nous serais aussi arrivé si nous étions resté sur les lieux du masacre. Ils auraient sûrement mériter tout les honneurs, mais nous n'avions ni le temps ni la capacité. De plus, ils ont ainsi rejoint le cercle de la vie, ce qui est ce qui donne du sens à toute mort. Ne vous tracassez par pour sa. »
La voix de Sirkaël ce fit plus dure.
« D'autant que nous avons un travail à finir. Ses hommes étaient dirigé par un homme, un zélote ayant trahis ses serments : il est toujours en vie, et j'ai promis de le punir pour ses crimes. »
Si le templier n'en avait rien dit, il semblait évident qu'il partait du principe que la jeune fille se joindrait à la traque.
« Auriez-vous récupéré ma lance ?»
Sirkaël lui indiqua de la tête cette dernière, planté à même le sol à quelques mêtres de la. La voyant tenté de ce lever, il dit :
« Inutile d'assayer avant quelques minutes. Ce que vous avez but devrait combattre la douleur, et faire circuler le sang : normalement, vous devriez être capable de vous battre dans près d'une dizaine de minutes. Bien sur, la blessure aura besoin d'être soigné, mais pour peu que vous ne forciez par trop, cela devrait tenir. J'était parti pour cautérisé la plaine, mais j'ai simplement recoussu et possé un bandage qu'il faudra changé d'ici quelques heures. »
//La même//

Le temps passe et jamais ne s'arrête.

Le changement de saison s'annonce et bientôt, le blanc manteau de l'hiver qui recouvrait ce monde laissera place à l'herbe grasse et aux timides rayons du soleil. Le silence cédera sa place au chant des oiseaux et le monde s'éveillera petit à petit, sortant lentement de son cocon de glace. Dans ce décorque le temps semblait avoir figé, le moment est venu de s'éclipser, de laisser la nature reprendre ses droits et le cours des choses se faire.

[ Désengagés : Sirkäel, Elyncia ]