Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 [D-A] Correspondance inhabituelle, ou les aventures d'un Nua [Pv : Kahau]

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Khalid
Khalid
Masculin Nombre de messages : 19
Âge : 30
Race et âge : Almer, 23 ans
Cité : Ptot Tàh
Métier : Soldat

Feuille de personnage
Compétences: Spécialisation à la lance - Charisme - Monture
Compétences bonus: Tactique
Réputation :
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MessageSujet:
[D-A] Correspondance inhabituelle, ou les aventures d'un Nua [Pv : Kahau]
   [D-A] Correspondance inhabituelle, ou les aventures d'un Nua [Pv : Kahau] EmptyJeu 30 Sep - 13:00

Spoiler:

Un rot sonore s'échappa du gosier de Khalid. L'Almer avait un peu trop bu, et voyait une douzaine de visages à la place de la tête du tavernier. Sa choppe semblait avoir six anses et cent fois plus de bulles pétillaient délicieusement sur le doux brevage Cydien. A Ptot Tàh, il n'y avait qu'un âpre vin qui arrachait la moitié de la gorge en descendant jusqu'à l'estomac. Mais cette subtile liqueur avait un goût de miel raffiné, qui masquait aisément sa forte concentration en alcool. D'après les Cydiens, ce n'était que de la mauvaise piquette d'une misérable taverne située quelque part dans les rares quartiers pauvres, écrasé entre une porcherie qui se prétendait auberge à sa gauche, et quelque chose qui ressemblait vaguement à une forge, mais où l'air glacé avait remplacé la chaleur du foyer, de l'autre côté. L'aubergiste agitait mille mains en face de lui, et s'exprimait dans un language étrange, incompréhensible :

"Z'av...as pay...ière !

Bizarre, parfois sa bouche s'agitait mais le son n'en sortait pas, n'atteignait pas Khalid. Il devait avoir plus bu que raison. Louchant vers sa table, il se surprit à compter les choppes renversées. Dix ! Mais il n'aurait jamais assez pour...

"Beurp...!"

Sa percutante réplique laissa le tavernier bouche bée. L'instant d'après, il lui vomissait dessus. Tiens, depuis quand était-il debout ? Lorsque le contenu de ses intestins fut jeté par dessus bort à peu près en intégralité, il adressa à l'homme furibond en face de lui un sourire d'ivrogne, voulut saisir sa bourse, n'attrapa que le bord de la table. Alors que Bors levait sa large paluche pour appeler Lenny et Allen, un petit nègre bondit de la chaise voisine et tendit une douzaine de pièces au tavernier. Bors l'examina d'un oeil suspicieux, puis empocha la monnaie et fit tout de même signe aux deux videurs. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, Khalid chût sur le trottoir. Lenny et son ami, leur travail achevé, retournèrent à l'intérieur de l'établissement.

La nuit était excessivement fraîche pour un Almer en quête de chaleur, aussi se leva-t'il pour retourner à l'auberge où il s'était provisoirement installé. Mais...était-ce à gauche où à droite ? Un des établissements qui jouxtait la taverne, en tout cas. Khalid se mit en route pour celui de droite, mais le petit bonhomme de tout à l'heure surgit devant lui, le retenant par la manche et tiraillant vers l'autre côté. Agacé, l'homme passablement éméché voulut décrocher la minuscule menotte de son poignet, ne retint qu'à grand peine une nouvelle nausée. Sa tête l'élançait doucereusement, l'empêchant de penser correctement.


"Pas par là, Khalid, c'est la forge désaffectée."

- Té ki toa ??? Buuurp...!"


Rapo le fixa, un air étonné au fond des yeux. Il resta longtemps (un seconde, c'est long, hein ? buuurp...!) sans bouger ni parler, puis rouvrit la bouche :

"Vous aviez l'air bien amoché, mais je n'imaginais pas que c'était à ce point...vous rappelez-vous quelque chose de la soirée ?

- Wouaip, le Nainua, ze m'rappelle qu'tes zun Nain Nua ! Mouahah...burp...! Et zinon, que zai été zauvé pa' un Nabot ki te 'semble 'achement...

- Je vois...si vous ne m'aviez pas payé tant de verres...bah, tant pis, je vous raccompagne, vous êtes incapable de marcher correctement. Allez, relevez-vous ! Je ne suis pas assez fort pour vous soulever.


Tiens, depuis quand était-il assis ? En tout cas il pouvait toujours se relever...non ? R'teur tendait la main. Il la saisit, et s'appuya si fort sur le minuscule Nua que celui-ci s'étala de tout son long. Mais lui était debout !

"Ze maaarche ! Yuouhhh...za...tou'ne..."

Et de retomber par terre, les bras en croix, comme un mort. Ou un ivrogne...


Le lendemain...


Khalid entrouvrit un oeil. La lumière l'aveugla aussitôt. Il geignit, se recroquevillant dans son lit, ramenant son oreiller sur sa tête, espérant que le rayon de lumière filtrant par la fenêtre se dissiperait bientôt.

Puis une douleur insoutenable fit tinter des millions de cloches dans sa pauvre cervelle. Il dût se tenir la tête à deux mains pour ne pas gémir. Vite, de la tisane brûlante ! Khalid se précipita dans les escaliers de l'auberge, manquant tomber de nombreuses fois, mais se rattrapant toujours à la rampe au dernier moment.

Enfin arrivé à la cuisine, il demanda avec toute la patience possible à l'immonde maîtresse de cuisine s'il pouvait avoir du thé chaud. Au terme d'une courte et âpre négociation, il repartit avec un bosse. La louche en bois faisait encore plus mal que prévu, à cause de la gueule de bois...Khalid remonta à sa chambre, prit un Talent, redescendit, le tendit à l'ignoble mégère. Cette dernière sourit et lui servit autant de louches de tisanes qu'il en désirait.

Lorsqu'il s'installa pour boire son thé, un petit Nua s'assit en face de lui avec l'air le plus naturel du monde. Il sourit, ses dents blanches contrastaient avec sa peau noir charbon.


"Remis de votre trop-plein de boisson ?

- T'es qui toi ?

Pfff, vous ne pourriez pas changer de réplique ? C'est moi, R'teur. Rapo R'teur.


Ce nom ne lui dit rien. Il chercha dans sa mémoire qui, tel un mauvais canevas, s'était en grande partie défaite. Finalement, il crut se rappeler un Nua à qui il offrait une douzaine de verres, puis avec qui il discutait...de quoi ? Il ne se rappelait plus.

Je suis désolé pour hier soir, Rapo. Sincèrement.

Le Nua sembla gêné et, l'espace d'un instant, Khalid se demanda ce qu'il foutait : parler à un Nua ! Avoir une discussion avec un esclave !

"Dites moi, Rapo, comment êtes-vous sorti de Ptot Tàh ?"

Le Nua eut un sourire énigmatique. Il se contenta de hausser les épaules. Et un clin d'oeil malicieux enroba le mystère.

"Et...quelle est la situation, là-bas ?

- Guère joyeuse, je le crains. D'après ce que vous m'avez dis hier soir, vous êtes de mon côté, alors je peux tout vous dire...hum...les Nuas se rebellent en masse désormais, et un certain Kahau a prit leur tête. Je le connais de nom, et peut-être ais-je plusieurs fois partagé mon travail avec lui. A part cela, je ne sais pas grand chose, je suis sorti de la cité peu après vous, vous vous rappelez ? Heu...vous êtes malade ?"


Face à l'excès de confiance du Nua, Khalid avait pâli. Et sans doute aussi en mesurant l'impact de ce qu'il avait apprit. S'il rapportait ceci au P'yran...son banissement ne serait plus qu'un souvenir, et il grimperait très vite en grade. Oui, mais pourrait-il porter ce rude coup à un peuple qui avait déjà fort souffert...et à qui il appartenait en partie ? Partagé entre deux ambitions contraires, il s'efforça de trouver un juste milieu, et en trouva un après une longue hésitation.

"Dites moi, Nainua...Rapo, dit-il en détachant bien chaque syllabe, pourriez-vous apporter une missive à cette homme ? Vous semblez apte à entrer et sortir de Ptot Tàh sans être arrêté, et j'aurais besoin de vos services...je vous paierais si nécessaire, mais pourriez-vous m'accorder cette faveur ?

Le Nua n'hésita même pas et acquiesa, soudain lumineux. Toute action susceptible de favoriser la rébellion Nua, il l'accomplirait avec plaisir. Par ailleurs, ils en avaient déjà parlé la veille.

*Mais combien de choses ais-je dis hier ???*

Il écrivit la missive en hâte, et la confia au maigre messager. Ces termes y figuraient, tracés à l'encre noire d'une main fébrile :

Kahau, vous ne me connaissez pas, et je ne vous connais pas. Les noms sont futiles dans notre situation. Ce que vous devez savoir, c'est que je suis de votre côté. Notre époque est trouble, et vous devriez en profiter pour améliorer votre situation. Vous êtes un Nua, et pour cela vous êtes exploités. Cette situation ne peut plus durer. Je peux vous fournir des informations susceptibles de vous aider dans votre tâche, comme les heures de gardes, les relèves, et même quelques arcanes politiques fort basiques. J'ais assisté à beaucoup de chose à mon poste, ces dernières années, et peut-être vous serais-je utile. Cependant, il faut que je vous connaisse d'abord, afin de déterminer si votre cause est aussi juste et noble que vous le prétendez. Lorsque les Nuas seront libres, que ferez-vous ? Désirerez-vous prendre le pouvoir de force, vous retirer sur vos îles paradisiaques ? Ou encore déclarer la guerre aux Almers et les exterminer ? Pire, entreriez-vous en guerre avec les autres nations pour vous venger ? Je ne sais rien de ce qu'il se passe dans les bas-fonds de Ptot Tàh, si les remous ont de l'impact sur les puissants de la Cité. Quel âge avez-vous ? Cela peut paraitre stupide comme question, mais parfois la réponse à cette question en amène beaucoup d'autres à sa suite. Excusez moi si je ne parle pas beaucoup de moi même dans cette missive. Si vous avez une requête particulière, j'y répondrais cependant. Je dois être bref, mon messager s'impatiente, et beaucoup de choses pourraient dépendre de sa bonne volonté. Ne vous inquiétez pas d'où vient ce message, et où il repartira, le messager le saura. Inutile de lui demander comment il fera pour sortir de la Cité, il ne répondrait que par un clin d'oeil. Quant à ses motivations, ce sont les mêmes que les notres. Répondez moi dans les plus brefs délais. J'ais hâte de lire votre réponse.
K.J.


Khalid roula le parchemin, et Rapo sortit une ficelle d'une poche invisible pour l'enrouler autour de la lettre et la maintenir fermée. Puis il lui adressa un salut et s'en alla. L'Almer avait de longs jours pour réfléchir à ce qu'il ferait des informations qu'il tirerait de cette drôle de correspondance. Il décida d'y réfléchir devant une bonne bibine, mais se ravisa. Il n'y aurait pas toujours de mystérieux Nua pour le tirer d'affaire. C'est sur ce genre de pensée qu'il quitta l'auberge, après avoir récupéré Lance et choisit de prendre un peu l'air en faisant une ballade en campagne avec Rouan.
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exKahau
exKahau
Masculin Nombre de messages : 15
Race et âge : Nua 28ans
Cité : Pto Tàh
Métier : Pêcheur

Feuille de personnage
Compétences: Pêche ; Charisme ; Spécialisation Epee longue
Compétences bonus: Grand Force
Réputation :
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MessageSujet:
lettre pour un certain K.J.
   [D-A] Correspondance inhabituelle, ou les aventures d'un Nua [Pv : Kahau] EmptyLun 4 Oct - 6:01


K.J.,

Je fus étonné de voir cet homme au visage familier, un soir, entrer dans mon lotissement misérable et me transmettre votre message, message dès plus surprenant. Je connais cet individu et bien que sa vie est et restera pour moi un mystère je lui porte une certaine confiance. J’ai déjà eu affaire à ses services et je dois reconnaître qu’il a toujours merveilleusement fait son travail et qu’il est aussi très professionnel, il n’a répondu a aucune de mes questions même votre nom intégral ne m’a pas était communiqué. Il m’a juste révéler que son voyage c’était passé sans encombre (sans me dire d’où il venait) puis après un clin d’œil (vous me l’aviez prédit) m’a prié de ne plus lui poser de question et m’a pressé de répondre à votre lettre, je n’ai pas insisté.

vous comprendrez sans doute le fait que je sois resté sceptique après ma lecture. Qui êtes vous donc ? pourquoi donc voulez vous aider un peuple abandonné de tous les autres et asservi par un? êtes vous un Nua ? je ne connais même pas votre véritable nom et vous connaissez le mien…comptiez vous sur la présence de ce messager pour me convaincre ? comment pourrais-je avoir confiance ? et si vous étiez en relation direct avec le gouvernement Almer ? quel est donc ce poste dont vous parlez dans votre lettre ? comme vous dites, on est dans une période de trouble, alors ou puis-je placé la limite de ma confiance…je vous en conjure, démasquez vous, éclairais moi sur vos propre motivation.

vous devez savoir que mes projets, mes agissements, ne concerne pas que moi. Si je me trahis, je trahis mon peuple et la chance que j’essai de créer pour le sortir de sa situation. Je me trahis déjà dans cette lettre en affirmant que « j’agis » mais je ne dirais rien de plus. Si cela ne tenais que à moi je vous aurez tout révélé, Sa seule présence et mon optimisme (je fais confiance trop facilement, c’est le défaut de mon peuple. Cela veut-il dire que nous sommes naifs ? pour cela l’asservissement…)cela aurait suffit à me convaincre. Je suis totalement dévoué à mon peuple c’est pour cela que je n’ai ‘’pas le droit’’ d’avoir confiance en vous. Peut être à ma prochaine lettre si vous me le permettrez.

Je peux tout de même vous éclairez sur ma situation et répondre à quelques unes de vos questions sans risques.

Les bas-fonds sont devenus le repère de brigand, d’assassins…cet endroit est un véritable traquenard pour les étrangers et les gardes restent en retrait et viennent en masse lorsqu’il y a problème (un Nua ne réponds pas à l’appel, découverte d’assassin, d’un esclave qui commencerait à regroupé plusieurs de ses frères sous son commandement…). Je vous dis ça car malgré les conditions de vies dans ce foutoir, le point positif c’est que je suis tranquille pour parler librement.

J’ai 28 ans et comme vous le redoutiez peut être par l’intermédiaire de cette question, mon âge joue sur ma crédibilité et certains, les plus âgés d’entre nous qui ont abandonnés depuis longtemps, me font passer pour un fou, et beaucoup font les sourds d’oreilles quand aux paroles d’un jeune bien trop optimiste à leur goût. (dans notre culture, tu dois être à un certain âge avancé pour pouvoir prétendre gouverner. Je commence à comprendre que cette règle est totalement absurde. )

Si ma cause est aussi noble et juste que je le prétends ? vous savez quand chaque jour vous voyez des navires entiers de Nuas, femmes et enfants compris, accosté et qu’ont observes sans que personne ne bouge les Almers les envoyer dans ce merdier que sont les bas-fonds tellement différent de leurs îles. Foutues dans des lotissements misérables ou les conditions d’hygiènes sont inimaginables. Les plus chanceux sont achetés par des familles Almers et servent de bonniches. Mais d’autres, comme moi, sont listés et tous les jours, à l’aube, doivent se présenter obligatoirement sous peine de châtiments à un quelconque chantier pour travailler toute la journée sous le soleil brûlant du désert. Quand chaque jour vous voyez vos frères mourir et qu’alors, vous passez la nuit à vous persuadez que vous n’auriez rien pu faire pour les aider. Quand on commence à devenir insomniaque, quand chaque soir on se félicite d’être encore vie...vous savez les rebellions dont vous m’avez parlé. Je n’en suis pas l’incitateur. Des Nuas qui perdent la tête et qui, armés de leurs outils, foncent vers les portes du port ou du désert pour tentés de s’échapper. Je fais tout pour les en dissuader, je leur fait part de mon ambition, de mes connaissances, de mes premiers agissements, j’use même parfois de la force pour les faire revenir à la raison. Mais certains ont véritablement perdu la raison et meurs inutilement.

Après ça, comment pourriez vous me croire que si je renversais le gouvernement je n'échangerai pas les rôles ? de sur ce serais tentant. Je ne pourrais le faire, et encore moins déclarer la guerre à d’autre peuple que je ne connais même pas. C’est contraire aux principes de mon peuple. J’ai déjà du mal à convaincre certains Nuas qu’il faudra prendre les armes et se battre. Non, je veux juste revoir mes îles, accompagné de tous ceux de mon peuple asservi.
Le bien, le mal…deux notions impossible à définir. Je suis convaincu que j’agis pour le bien de mon peuple et que je ne supporterais bientôt plus de voir des enfants qui sont encore dans l’âge de l’imagination mourir d’épuisement, de maladies…de coups. Même si pour cela je devrai faire des concessions.

Je vous dresse un topo bien noir de notre situation j’en suis navré. Sûrement que grâce à mes quelques relations que je possède et que j'essaie à tout pris de garder, je suis au courant des faits et des gestes de tous les bas-fonds.

Je vous rassure, ils nous arrivent parfois de rire. Des soirs ou le seigneur à était clément, on arrive à trouver de quoi boire et de quoi fumer. On chante, on danse, certains fabriquent des instruments de musiques avec ce qu’ils trouvent et jouent des mélodies de notre pays.
Je n’ai pas perdu courage et j’espère trouver en vous une source d’information, un allié et aussi une source de moral.

Je suis aussi impatient que vous ne l’étiez avant de recevoir ma lettre.
J’ai foi en vous.
Sincèrement,
K.





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