Nom: Rodin'tor
Prénom: Eybor
Âge: 32 ans
Race: Astorg
Cité/groupe d'appartenance: Storghein
Métier: Druide
Position (facultatif):
Monture/engin: Aucun
Arme: Un bâton de frêne noueux
Armure: Le seul habit d'Eybor est une longue robe de lin verte
Compétences choisies: Manipulation de la nature, Transformation animalière et Survie.
Faiblesses: Charisme et Faveur divine
Main dominante: Droite
But du personnage: Selon Eybor, le plus grand combat qu'on homme puisse mener n'est pas contre les autres, mais contre sois-même, il s'agit de respecter ses principes. Son but peut paraître simpliste mais il est tout ce à quoi s'attache Eybor, respecter son éthique malgré les aléas de la vie.
Nom de votre échoppe: Aucun

Eybor est un homme de grande taille, il est mince et sa musculature est peu développée. Contrairement à la majorité des Astorgs, ses cheveux sont bruns, n'ayant que peu de temps à accorder à sa chevelure il l'a laisse tomber dans son dos. Eybor est une personne qui tient à son hygiène, s'il ne passe que peu de temps à se coiffer, il accorde par contre un grand intérêt à la propreté, c'est aussi la raison de la coupe de sa barbe en bouc car une barbe trop longue est trop complexe à entretenir. Autre caractère qu'il ne partage pas avec les membres de son peuple, la couleur des yeux, les siens sont verts. Son regard est froid et son visage est dur, marqué par les années de solitude et par le combat quotidien qu'il mène face à ceux qui ne respectent pas le lien sacré entre l'homme et les forces de la nature.

Eybor n'est pas très sociable, étant druide il est retiré des affaires du monde, mais même parmi ses semblables il a du mal à se faire une place. Lorsqu'il était jeune, Eybor était très timide ce qui le mettais toujours à l'écart des autres, n'ayant pas été habitué à communiquer avec les autres, il n'a pas non plus appris à faire attention à leurs sentiments. Eybor est toujours très franc et lorsqu'il pense quelque chose, il le dit, même si cela peut aboutir aux remarques les plus acerbes. Ce caractère ayant entraîné bon nombre de dispute, Eybor a dû apprendre à pardonner, ce n'est pas une personne rancunière mais lorsque l'on a son amitié on sait qu'il s'agit d'une amitié durable. Certaines personnes prennent ce trait de caractère comme de la naïveté, mais Eybor croit au pouvoir du pardon car sans celui-ci il serait seul. Eybor est aussi très têtu, lorsqu'il a une idée en tête il est difficile de le convaincre du contraire, il sait cependant reconnaître ses erreurs et lorsqu'un argument de valeur lui est énoncé il ne s'entête pas dans le simple but de sauver un honneur mal placé. Taciturne, Eybor ne parle que lorsqu'il juge la parole nécessaire, préférant les démonstrations courtes aux longues explications, qui, la plupart du temps ne mènent à aucune compréhension des faits. S'il sait être réfléchit, ce n'est pas le genre de personne à attendre trop longtemps avant de prendre une décision, préférant aller à la rencontre des évènements et venir à bout des complications en pleine action.

Eybor est né dans une famille de paysans il a grandi avec son grand frère et sa petite sœur, il n'était pas doué pour les travaux manuels et préférais rester de longues heures à admirer la rivière qui coulais dans la forêt voisine. Eybor n'a jamais été très fort physiquement et les jeux de lutte auxquels s’adonnaient les autres enfants ne l’intéressaient naturellement pas, pour passer les temps où il ne travaillait pas avec son frère et son père il allait dans la forêt et regardait la vie se dérouler sous ses yeux.

C'est lors d'un de ces moments, à l'âge de huit ans, que son pouvoir lui fût révélé, un après midi, alors qu'il contemplait une fleur qu'il avait trouvé jolie, son frère venu l'avertir qu'il était l'heure pour lui de rentrer piétina cette dernière par mégarde. Eybor était triste qu'une si belle fleur qui avait mit tant de temps à pousser puisse être détruite par un instant d'inadvertance lorsqu'il s'approcha de la fleur il se mit à ressentir une bouffée de chaleur puis il se mit à faire des geste qu'il n'aurait su justifier et la fleur repris progressivement vie.

Une fois rentré chez lui Sargon, le grand frère d'Eybor, expliqua ce qu'il avait vu à sa famille qui furent stupéfaits de retrouver dans leur famille quelqu'un capable de maîtriser la nature, et lorsque ses parents lui demandèrent comment il avait réussi une chose pareille il leur expliqua qu'il n'en savait rien, leur décrivit la sensation qu'il avait eu à ce moment là. A partir de ce moment là les parents d'Eybor ne cessèrent de le pousser à essayer de reproduire ce qu'il avait fait, lui disant que son don ne devait pas être négligé et que s'il voulait en faire quelque chose il devait s’entraîner à l'utiliser. Eybor tenta à maintes reprises de perfectionner son don sans jamais arriver à aucun résultat, il n'était plus jamais arrivé à réanimer quoi que ce soit. Mais ce dont était aussi responsable des moqueries de ses camarades qui voyaient en cela des jeux de fillettes. Pendant six ans, ils l'ont harcelé perpétuellement jusqu'au jour où sa sœur vint le défendre, c'était pour lui le comble de la honte il n'était non seulement pas capable de se défendre seul mais il laissait le soin à une fille de se charger de le défendre. La colère monta en lui, contre ceux qui se moquaient de lui, sa sœur qui se mêlait d'histoires qui ne la regardait pas et contre lui même et son incapacité à se défendre. Cette colère de vint de la rage, dirigée vers les autres enfants et au fur et à mesure que la rage montait il voyait les autres enfants avoir de plus en plus peur jusqu'au moment où l'envie de chair fraîche lui montât à la tête et qu'il se rendit compte qu'il était devenu un loup. là un enfant du village cria au loup et les hommes du villages vinrent à la rencontre d'Eybor pour le chasser. Il pris la fuite en direction de la forêt lorsqu'une flèche l'atteint à la patte, il s'écroula et entendit un grand cri, celui de sa sœur qui disait aux hommes d'arrêter.

Eybor fût transporté chez lui par son frère et son père, aucun d'eux n'accepta de lui adresser la parole ni même ne lui jetèrent un coup d'œil. Avec ce qui venait de se produire, plus personne ne viendrait l’embêter, mais personne ne voudrait plus non plus de sa compagnie, les loups étaient très mal vus par les paysans qui y voyaient des décimateurs de bétail. Durant les trois jours qui suivirent personne ne s'adressa plus la parole chez lui, jusqu'à ce que Sargon rompe le silence en venant voir Eybor. Il lui expliqua que c'était lui qui avait tiré la flèche et qu'il en était profondément désolé, que si sa mère sa sœur et son père ne lui parlait plus c'est parce qu’ils ne savaient pas quoi lui dire et non par dédain. Il lui promit son soutient et celui de toute sa famille et jura que malgré ce qui venait de se passer aucun d'eux ne le jugeaient. Lorsque la discutions fût finie l'ambiance dans la famille redevint telle qu'elle était avant cette histoire.

Un mois passa et la blessure d'Eybor fût guérie. La semaine qui suivit fût dure avec les autres habitants du village tous voyaient en lui un monstre, mais aucun n'osaient le lui dire, tout était fait avec des regards, ce fût la semaine la plus longue et la plus dure à vivre de la vie d'Eybor, un matin en se levant, il vit son père en larme contemplant son champ dévasté, le fruit d'une année de labeur réduit à néant par le caprice de villageois peureux. Lors du repas ce matin là personne n'échangea un mot, à la fin quand chacun pris congé, le père d'Eybor l’appela, il luit dit que ça avait été dur pour lui mais qu'il avait dût faire un choix, et celui-ci allait contraindre Eybor à quitter sa famille. Ils avaient déjà perdu une année de récolte et il ne savait pas comment subvenir aux besoins de la famille durant l'année suivante, si Eybor partait il pourrait au moins profiter de la récolte l'année suivante. Cependant il ne s'était pas résolu à le laisser partir à l'aveuglette, il connaissait un cercle de druide qui vivait près de là, ils étaient habitués à fréquenter la magie et ne seraient pas apeurés pas Eybor.

Avant de partir Eybor laissa tout de même un cadeau, il ne savait pas pourquoi, mais tout lui était revenu, il se sentait capable de ranimer la flore dévastée, lorsqu'il se mit au milieu du champ et qu'il entamât son travail toute sa famille fût surprise, mais lorsque les pousses de blé se mirent à reprendre leur forme, les larmes de tristesse laissèrent place aux larmes de joie. Son travail fini, il refusa d'écouter l'appel de son père qui l'invitait à se joindre à l'étreinte que les membres de sa famille avait entamée. Deux sentiments le dominaient à ce moment là, la tristesse de quitter sa famille pour de bon, il n'en voulait pas à son père et comprenait son choix, et un sentiment de liberté, il était libre d'aller où bon lui semblait, de faire ce qu'il voulait, de quitter le sol et s'envoler. Lors des deux premiers bons qui le menèrent à son envol Eybor fermât les yeux, ce n'est que lorsqu'il sentit qu'il volait vraiment qu'il les rouvrit pour se découvrir affublé d'un bec et de serres. La deuxième transformation de sa vie avait été plus heureuse, et ne l'avait pas conduit à la convalescence mais à la voie des airs. En regardant derrière lui il aperçut sa terre natale son père avait semble-t-il tenté de le rattraper avant son envol tandis que les autres étaient restés là à le regarder.

Une promesse avait été faite à son père et il l'a respecterait, il allait rejoindre les druides, aussi parce qu'il n'avait aucune idée d'un autre endroit où aller. Il mit une journée avant de trouver le lieu de résidence des druides, non parce que l'endroit était éloigné mais parce que même sa vision d'aigle ne lui permettais pas de distinguer les habitats druidiques de la nature qui les environnait. Lorsqu'il se posât enfin et qu'il reprît forme humaine, engourdit et affamé par toute une journée de vol, un homme vint à sa rencontre. C'est à ce moment là qu'Eybor prit conscience qu'il était stupide de penser que sa présence serait tolérée par les druides, et que parce qu'il avait des pouvoirs il serait accepté parmi eux. L'homme lui demanda ce qu'il faisait ici et Eybor s’exécuta. A la fin du récit le vieil homme fût pris de fou rire et confirma les craintes d'Eybor, il ajouta qu'Eybor ne savait même pas ce en quoi consistait le druidisme. Cependant, il dit à Eybor qu'il se sentait seul chez lui et qu'il manquait de personnes de son genre dans le village ce qui le rendait morne. C'est à partir de ce moment qu'Eybor commença son apprentissage auprès de Rogthan, il perfectionna sa maîtrise de la magie et apprit s'adapter à différents environnements. Sa mentalité changea aussi beaucoup durant cette phase d'apprentissage, il n'était toujours pas très sociable et ne s'était pas attaché à d'autres personnes que son mentor, mais il avait trouvé son credo, ne pas se laisser déstabiliser par ce qui l'entourait, et continuer d'appliquer ses principes.

Eybor ne retourna voir sa famille qu'une fois, le jour de ses dix-huit ans, pour leur annoncer qu'il avait choisit sa voie et qu'il menait sa vie sereinement.Il continua de mener sa vie dans le village druidique jusqu'à ses trente-deux ans où un évènement vint bouleverser sa vie.

Mon heure de gloire...

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Comment avez-vous connu le forum: En cherchant sur google, je suis tombé sur une classification des RPG par forum et me voilà
Idées, remarques ou suggestions: Rajouter un peu de magie noire, de nécromancie permettrais de créer des personnages plus noirs et intéressants à jouer