Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 [151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini)

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[151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini)
   [151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini) EmptyMer 13 Juil - 18:07

[ Hors-jeu : Si vous désirez accompagner votre lecture d'un fond musical, voici le thème musical que j'ai choisi → cherchez "Thomas J. Bergersen - My Freedom - Two Steps From Hell" sur Youtube ! ]



[151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini) 637398SSur le territoire des Astorgs, la froideur sévère d'un hiver rude laissait progressivement place à un printemps tout aussi enneigé, mais bien plus doux. C'est avec enthousiasme qu'Aldrena profitait du lent retour des températures plus clémentes afin d'augmenter le nombre de ses prestations en tant qu'illusionniste à l'extérieur. Elle adorait exercer son métier en se posant dans un coin de rue plus ou moins fréquenté de Storghein, et improviser un numéro face à un public aux visages toujours renouvelés.

Ce jour là, il ne neigeait pas. Il faisait bon, même si le soleil peinait à dévoiler ses rayons, eux-même masqués par un amas de gros cumulus. Tôt le matin, la rouquine s'était installée dans les quartiers Sud de la capitale, là où elle savait que les passants ne manqueraient pas, de quoi se garantir un public très vite nombreux. Déterminée, elle savait que ce jour-là, son spectacle serait différent des autres. En effet, elle avait longuement réfléchi à une stratégie originale : cette fois-ci, elle comptait ajouter quelque chose de nouveau à sa prestation, quelque chose qu'elle n'avait encore jamais osé mettre en place. Plutôt que, comme à son habitude, se contenter de produire une succession d'illusions à travers des chants et des danses, Aldrena désirait pour une fois s'inspirer des spectacles plus traditionnels, ceux des magiciens au sens strict du terme... sans pour autant tomber dans le stéréotype du lapin qui sort du chapeau. En effet, aujourd'hui, la jouvencelle allait faire intervenir dans son numéro une personne parmi les spectateurs ! Elle n'allait plus être l'unique comédienne sur scène... quoi de plus efficace pour attirer l'attention ?

La journée commença plutôt bien. Les Astorgs, surtout des enfants, s'attroupaient au fur et à mesure à ses côtés, formant un cercle. Ce n'est qu'en fin de matinée, après une ou deux heures de chorégraphie, que la rouquine se décida enfin à s'arrêter dans la banalité de sa prestation pour ajouter enfin la petite nouveauté inattendue. Elle avait attendu qu'un nombre considérable de passants se soient tassés autour d'elle, soit une trentaine environ, avant de se lancer pour de bon. Ainsi, tandis que de nombreux regards examinaient chacun de ses faits et gestes, la demi-sang termina une énième chanson sur une note aiguë, faisant disparaître l'animal sans nom qu'elle venait de créer au milieu d'une explosion de pétales. Lorsque le mirage prit fin et qu'Aldrena reprit la parole, l'assemblée afficha une certaine surprise en se rendant compte qu'elle n'enchaînait pas sur une mélodie suivante, mais s'adressait à eux d'une voix neutre. Souriante, la jeune femme aux cheveux de feu leur parla en tournant lentement sur elle-même, histoire d'observer chacun des minois qui l’entouraient. Elle était satisfaite de voir que chacun semblait boire ses paroles avec émerveillement.


    « Exceptionnellement, je vais faire appel à un second acteur. Je ne requiers aucun professionnel du chant, aucun illusionniste talentueux. Une personne comme les autres me suffit, tant que l'idée de vous sentir observé quelques minutes ne vous dérange pas ! Quelqu'un serait-il intéressé ? »


Certains levaient haut le bras pour exprimer leur désir d'apparaître sur scène à ses côtés, alors que d'autres, au contraire, se montrèrent effrayés à l'idée d'être choisi, et se tassaient dans leur coin dans l'espoir d'échapper au hasard du choix d'Aldrena. Après que son regard eut parcouru l'ensemble du public, les iris verts de celle-ci se posèrent sur un individu discret au deuxième rang. Il s'agissait d'un homme dont la tête dépassait celle des autres, assez costaud et aux longs cheveux d'ébène. Probablement un peu plus jeune qu'elle, il avait tout de même tout l'air d'un être mûr.


    « Vous ! » lâcha t-elle en pointant son index dans sa direction d'un air espiègle.


Aussitôt, toutes les têtes se tournèrent à l'unisson vers le brun. On entendit des soupirs de déception, tout comme des soupirs de soulagement. Ceux qui se trouvaient devant lui se poussèrent afin qu'il puisse passer et s'approcher de la magicienne. Il n'avait pas le choix. La rousse l'encouragea à la rejoindre en arborant son plus beau sourire et en lui tendant la main. Lorsque le désigné se plaça à sa droite, l'illusionniste remarqua la beauté des yeux de glace du jeune homme. Tout le monde retenait son souffle, les yeux pétillants de curiosité. Elle se pencha vers lui et lui souffla quelques mots au creux de l'oreille. À vrai dire, elle lui murmura de ne surtout pas bouger, et qu'il n'avait pas à s'en faire, puisqu'elle se chargeait de tout.

Lentement, la demoiselle se mit à tourner autour de son partenaire. Ses pas s'accéléraient et décollaient du sol à l'instar des mouvements fluides et feutrés d'un chat, si bien que ses gestes ne tardèrent pas à se changer en une nouvelle danse. Sa longue chevelure rayonnante frôlait avec douceur les épaules et le visage de l'élu, ce qui faisait ressortir toute la sensualité d'une complicité improvisée. Bientôt, les mots accompagnèrent les actes : la chanson qu'Aldrena se mit à chanter s'accordait au rythme de ses foulées, c'est-à-dire plutôt rapides et enjouées. Tantôt de simples fredonnements, tantôt de véritables paroles, elle racontait l'histoire d'un idylle presque parfaite, jusqu'à la disparition du fameux prince charmant. Se mêlaient ensuite plusieurs notions tels que l'espoir et l'éternel désir de liberté. Lorsque vint le refrain, la demi-Almer haussa la voix et se stoppa net pour lever les bras au ciel. Soudain, un brusque nuage de fumée sembla s'élever du sol dans son dos, masquant justement le corps de son camarade. Elle exerça de nouvelles pirouettes avant de reprendre un autre couplet, et lorsque la brume artificielle s'estompa, la foule laissa paraître un bruit d'émerveillement : le jeune homme n'était plus là, de quoi s'apparenter avec la signification du chant. Évidemment, il ne s'agissait que d'une simple illusion : par un effet de lumière, la jouvencelle l'avait rendu invisible temporairement aux yeux des spectateurs. Ce que les gens ignoraient, c'était que celui-ci était toujours présent, à la même place.

Ce n'est qu'à la strophe suivante qu'Aldrena fit réapparaître aux yeux de tous le brun aux yeux bleus. Durant encore cinq ou six minutes, la demoiselle fit succéder diverses illusions en rapport avec les paroles de la chanson. Bien sûr, l'homme Astorg figurait au cœur de chacune de ces chimères éphémères. C'est le visage illuminé d'allégresse que la rouquine remarqua qu'à la fin de la prestation, les applaudissements étaient bien plus retentissants qu'habituellement. Ainsi, l'idée d'un second partenaire n'était pas vaine. Elle s'inclina alors devant le public avec satisfaction en prenant la main de celui qu'elle avait désigné, bien que ce dernier s'était seulement contenté de subir l'action de ses nombreux mirages sans même ciller. Ensuite, Aldrena les remercia d'avoir assisté à cet énième numéro et leur précisa que son prochain spectacle ne se déroulerait que le lendemain, en ayant assez fait pour la journée.

Quelques pièces s'ajoutèrent dans le béret qu'elle avait posé à ses côtés, tout le monde ne tarda pas à se disperser au loin, le bruit des discussions des passants s'éleva, et tous reprirent le cours habituel de leur existence. La magicienne, elle, ramassa les deux ou trois babioles qu'elle avait laissé traîner là, et enfila son épais manteau de fourrure afin de cacher sa tenue de scène un peu trop voyante pour une citoyenne banale. Elle se mit à marcher dans la ruelle pavée pour se fondre dans la masse et redevenir une habitante de Storghein ordinaire, comme si de rien n'était. Avant de s'éloigner, elle n'oublia pas de ramasser son chapeau dans le but de compter la somme amassée en ce jour. Étant donné le poids du béret, Aldrena était loin d'être insatisfaite du succès de sa journée...
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Fenriyäm
Fenriyäm
Masculin Nombre de messages : 57
Âge : 29
Race et âge : Astorg & 25 ans
Cité : Storghein
Métier : Soldat

Feuille de personnage
Compétences: Charisme, Spécialisation en une arme(Epée à une main), Connaissance des langues, histoire et religion
Compétences bonus: Tacticien
Réputation :
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   [151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini) EmptyDim 31 Juil - 16:08

Qui a-t-il de plus beau qu’une belle journée pleine de neige et empli de rayons de soleil accompagné par quelques voluptés de vent faisant voleter les cheveux d’un capitaine Astorg venu dans ces rues pour s’acheter une nouvelle armure ? Il est sûrement vrai qu’une journée bien chaude était bien plus belle qu’une journée enneigée, mais qui avait-il de plus beau qu’un capitaine Astorg ? Rien je pense… Néanmoins, ce genre de pensée étant assez déplacé, l’histoire de Fen en est sûrement plus intéressante…

Donc, par cette belle journée ensoleillée au ciel d’un bleu azur pur tâchée par quelques gouttes de nuages gris, le vent caressait les joues de Fen les faisant ainsi rosir et qui faisait fouetter le vent avec sa natte, mais le plus souvent, cette même natte arrivait exactement aux orifices de son nez le faisant constamment éternuer. Bizarrement, il était un Astorg, mais il ne se faisait jamais au froid, chaque année, il essayait de se faire une raison en se jurant à lui-même qu’il n’attraperait pas un rhume, mais résultat, il avait droit à un rhume quatre mois par an. Mais chose encore plus incompréhensible, il adorait la neige. Donc en résumé, il détestait le froid, mais idolâtrait la neige, cherchez l’erreur… Ce qu’il aimait en la neige, c’était sa possibilité de façonnage, un élément qui devenait en quelques coups de mains un véritable matériau pour des constructions impressionnantes telles que les bonhommes de neiges ! Ou même d’arme de destruction massive quand elle prend une forme sphérique et servant ainsi de projectile ! Quelle chose remarquable que la neige, tout ce que l’on pouvait faire avec elle, alors que ce n’était que l’eau congelée… La nature réservera toujours de nombreuses surprises, telles que…

Les pensées de Fen furent soudainement interrompues lorsqu’il sentit quelque chose d’étrangement mou en comparaison de la neige. Baissant son regard d’un bleu métallique, il faillit crier de rage. Oui il faillit, mais sut se contenir car il venait juste de marcher dans ce qu’on appellerait des excréments. D’accord, à ce moment même, l’Astorg n’avait pas ces mots là en bouche, mais il en avait l’idée et cela lui était bien suffisant. Et voilà encore une étrangeté de la nature mélangée au destin ! Quand, au moment où Fen se posait quelques questions existentielles assez érudites, tout de suite la nature et le destin devaient l’empêcher de pouvoir y répondre, et oui certaines questions de la Vie doivent rester indéchiffrables. Malheureusement pour le jeune Fen, la seule « bonne » idée qu’avaient trouvé le destin et la nature pour l’empêcher de trouver les réponses, c’était de le faire marcher dans des déjections animales, avouez que cela est assez cocasse, moins pour le concerné, mais la situation n’en reste pas moins intéressante à discerner, mais cela n’étant pas le sujet, retournons sur les jurons que poussait Fen lors de l’accident.


"-Pourquoi cela devait m’arriver à moi ?!" s’écria l’Astorg avec sa voix cassée par le froid.

Il tenta tant bien que mal de s’essuyer les pieds dans la neige, certes cela partirait, l’odeur un peu moins. Mais étant un guerrier, il s’en accommoderait et il reprit sa route, dans les ruelles sinueuses de Storghein. Aujourd’hui étant le jour de sa permission, il décida d’y aller vraiment à pas lent et à admirer le paysage, à admirer les habitations l’environnant, à jeter quelques coups d’œil curieux aux étals qui offraient un large panel de produits. Allant des simples fleurs aux ventes d’oiseaux de proie, le marché s’étendait sur toute la rue et celle-ci était drôlement grande. S’éloignant du marché, bondé de monde qui s’écrasaient joyeusement, Fen emprunta une petite ruelle qui, à vue d’œil, semblait être malfamée. Les maisons étaient très mal entretenues, les charpentes étaient prêtes à rendre l’âme, les murs s’effilochaient au fil des hivers et désormais, les trous étaient bouchés par ce qui ressemblait, et se sentait, à de la bouse séchée mélangée à de la boue. Autre indice sur la pauvreté des lieux, ses habitants. Toutes les personnes qui se trouvaient dans la ruelle étaient soient des mendiants, soient des voleurs, remarquable facilement avec leurs dents en or n’étant pas de la bonne taille, et surtout avec des enfants, plus maigre que le bras de Fen, cela lui fendait le cœur de voir des enfants mener une vie de pauvres hères, en ne mangeant dans la journée que la moitié de ce que mangeait Fen à son petit déjeuner. Autant dire que l’Astorg ressentait de la pitié mélangée à de la honte. Mais sortant finalement de la ruelle, il reprit le dessus sur ses émotions, et ses yeux ne trahissaient désormais plus qu’un calme dérangeant et non plus des sentiments qui pouvaient le rendre « faible ».

S’emmitouflant dans son large manteau, il resserra aussi le foulard pour faire sortir la bulle d’air froid qui y était coincée. Il cherchait encore où se trouvait l’armurerie, en effet, un soldat lui avait donné l’adresse, mais il ne s’en souvenait plus. Alors il cherchait, espérant trouver par hasard, mais Fen, distrait comme il était, fut vite déconcentré par un chant lointain. Un chant Céleste. C’est tout ce qui pouvait représenter la voix qui chantait. Il ne comprenait pas les paroles étant trop loin, mais seul le timbre et la douceur de la voix purent convaincre Fen de la pureté de la personne porteuse de cette voix enchanteresse. Il se mit soudainement à accélérer le pas pour rejoindre le délicieux chant qui l’«appelait ». Tournant au coin de la rue, il remarqua un attroupement à l’endroit même d’où provenait le chant, et de suite il comprit.
La voix angélique venait en fait de l’estrade qui dominait toute la foule, avec pour unique personne une jeune femme, plutôt jolie à en croire ses yeux, malgré la distance. S’approchant, il entreprit de se rendre au milieu des spectateurs pour mieux profiter de la vue… de l’estrade, et oui, le jeune Astorg étant quelqu’un de très respectueux, il n’oserait même pas jeter quelques coups d’œil sur une magnifique jeune femme, oh non ! pas lui. En tout cas, Fen était transporté par la voix, tout comme il était transporté par le corps, elle était une magnifique jeune femme aux magnifiques yeux émeraudes qui scintillaient et avec une chevelure auburn qui n’en finissait pas de descendre… Loin de baver pour autant, Fen fut attentif et écouta jusqu’au bout, heureux comme tout d’écouter une voix aussi parfaite ! Mais il le fut beaucoup moins lorsqu’il fut choisi pour monter sur l’estrade, mais il ne le montra, une juste neutralité se lisait sur son visage, mais en réalité, il était anxieux et assez craintif à l’idée de devoir faire quelque chose devant tant de monde. Néanmoins, il fut vite rassuré lorsqu’il comprit qu’il ne ferait absolument rien lors de l’intervention, mis à part peut-être de feindre la surprise lorsqu’il réapparut devant tout le monde.

Puis, il retourna à sa place et la représentation s’acheva, quelques piécettes furent données à l’artiste, et puis toute la foule se disloqua, les gens retournant à leurs occupations. Fen, qui voulait en apprendre un peu plus sur la jeune femme, il lui courut après et quand il la vit, il accéléra de nouveau. Puis juste derrière elle, il s’éclaircit la gorge et il lui tapota l’épaule. Voulant faire bonne impression, il bomba le torse de manière arrogante, malheureusement pour lui, la course lui avait enflammé les joues ce qui lui donnait l’air de ressembler à un ivrogne se réchauffant avec quelques boissons énergisantes et, surtout, enivrantes.


[hrp: Coucou Al! Content de te revoir, alors comme tu es revenue, j'ai décidé de poster ce rp qui attendait depuis longtemps^^, alors j'espère qu'il te plairas, tout comme j'espère qu'il plaira aux autres, et puis si ça te plais pas Al; bah tant pis, ça t'apprendra de rp avec moi xD /hrp]
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Méchant, cruel...
MJ
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   [151-DP] Quand l'émotion se mêle à l'illusion. [PV Fenriyäm] (fini) EmptyLun 1 Aoû - 8:20

Le temps passe et jamais ne s'arrête.

Le changement de saison s'annonce et bientôt, le blanc manteau de l'hiver qui recouvrait ce monde laissera place à l'herbe grasse et aux timides rayons du soleil. Le silence cédera sa place au chant des oiseaux et le monde s'éveillera petit à petit, sortant lentement de son cocon de glace. Dans ce décor que le temps semblait avoir figé, le moment est venu de s'éclipser, de laisser la nature reprendre ses droits et le cours des choses se faire.


[ Désengagés : Aldrena, Fenriyam ]
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