Nom (facultatif): Brume
Prénom: Peter
Âge: 25 ans
Race: Cydienne
Langue: le cydien
Cité/groupe d'appartenance: Cydonia
Métier: Soldat
Position (facultatif): Capitaine de la garde.
Monture/engin: Un belle jument noir et tacheté de blanc qu'il utilise pour les sorties hors de Cydonia ou pour les urgences.
Arme: Épée et bouclier.
Armure: Un solide plastron protégeant dos et ventre uniquement, une paire de gantelets et une jambière. L'armure est légère permettant les course rapide et les mouvements larges. C'est qui veut dire qu'elle dévie les flèches perdues, mais pas ceux tirés à bout portant. Le bouclier sert principalement à ça, sinon pendant les combats à dévier les coups les plus massifs.
Compétences choisies: Catalyseur, spécialisé dans le maniement de l'épée, ambidextrie, bonus: tacticien.
Faiblesse: Pistage, larcin, torture.
Main dominante: Ambidextre
But du personnage: Protéger sa ville mieux que ne l'ont fait ses doyens.
Description physique:
Blond comme un champs de céréale en milieu d'année, Peter Brume porte mi-longs sa chevelure, laissant au- dessus de la nuque le surplus. un fin pelage jaune sombre contourne l'ensemble de sa mâchoire, rejoignant la barbichette dans un tracé parfait. Il ne se rase évidemment pas tout seul, ses talents avec les lames s'arrête à la tuerie. Son visage est d'une beauté modeste, atténuée principalement par son regard sévère et sa cicatrice au-dessus de l’œil, barrant une partie du front.
Son corps est une carrure impressionnante. Ses muscles se bandent à chacun de ses mouvements, son buste cachant un poitrail et un abdominal des plus solides. Ses jambes sont entraînées à la course et l'endurance, acquérant des mollets puissantes et musclés.
Hors ses heures de garde, Peter est vêtu d'une simple chemise identique au peuple et d'un simple pantalon les temps cléments; un long manteau noir en surplus et de solides bottes les autres jours. Ses cheveux sont alors attachés en queue de cheval, bien tirés en arrière, son visage se fait moins soucieux et plus enclin à la plaisanterie et aux plaisirs simples de la vie.
Caractère, qualités et défauts:
Peter est un homme qui se veut juste et droit. Sa franchise et son sens de l'honneur n'ont pas d'égaux; et pourtant, il sait être souple quand il le faut car il appréhende assez facilement ce qu'il en coute de compter sur des valeurs sans réelles fondements, sinon éthiques. Mais il a quand même en lui une fierté non dissimulée qui l'a poussé à devenir le capitaine qu'il est aujourd'hui. Il sait au fond de lui que la guerre remportée contre les Astorgs n'étaient pas dû à leur force propre mais à la chance pure, il n'y voit qu'une humiliation de plus infligée par le peuple qu'il considère comme ennemi depuis sa plus tendre enfance. Son désir avant tout est porté vers la protection et l'élévation du niveau de vie de sa cité, il aime son peuple plus que tout et est capable de sacrifier ce qu'il a de plus chère pour sa paix et sa prospérité. Le devoir avant tout, c'est sa devise et son mode de vie. Il ne sait pas qu'il est catalyseur, mais il remarque toujours qu'à un moment des combats, ses hommes deviennent plus affutés, plus courageux et plus forts. Leurs capacités respectives augmentent en intensité et en précision, leurs qualités deviennent des armes redoutables lorsque tout semble perdu. Il ne pense pas que ce soit par la magie que l'on arrive à cet état de fait, il l'ignore plus précisément, mais uniquement grâce à sa capacité à diriger des hommes, à les mener jusqu'au bout de leurs missions et à les envoyer au combat bien préparé. Il n'est pas idiot et croit que la meilleur manière d'être utile en ce monde est de se rendre compte de ses facultés, la froide lucidité, puis de les exploiter; sa faculté première étant de diriger et d'organiser au mieux la défense de son peuple.
Biographie:
Né dans une famille commerçante de Cydonia, Peter Brume a très vite démontré ses capacités de guerrier lors d'une attaque de pirate sur le bateau de son père alors qu'il n'avait que cinq ans. Rien de bien méchant pour tout dire, son père l'a enfermé dans sa cabine sans prendre le temps de fermer à clef, tout en lui donnant sa meilleur dague comme moyen de défense, puis il se précipita au plus gros des combats. Les pirates n'étaient pas très entraînés, ils finirent par se rendre assez rapidement. Peter n'entendant plus rien de ce qu'il se passait dehors, sorti de sa cachette afin de voir les dégâts; il avait peur pour son père aimant. Sans vraiment savoir où il allait, il prit le chemin de la sortie mais déboucha sur une estrade des plus hautes menant à l'extérieur où il pouvait tout voir, et il vit. Son père y était souvent posté lors des soirs de tempête pour donner ses ordres ou par temps clair, pour lire ses cartes. Ce qu'il vit et le pétrifia fut le capitaine des pirates détachant ses liens sans se faire remarquer juste en dessous du jeune garçon, puis se saisit d'une lame courte des mains d'un cadavre appartenant à sa petite troupe près de lui. Il ne fit pas un pas vers le père de Peter que le jeune enfant lui était tombé dessus avec force et cris. Le pirate n'eut le temps que de gigoter de droite à gauche avant que le petit garçon ne lui plante à plusieurs reprises sa dague dans le cou. Ils tombèrent lourdement, mais Peter continuait de le frapper encore et encore, jusqu'au moment où les hommes le tirèrent en arrière pour le calmer. Ses cris et ses larmes ne s'arrêtèrent qu'une heure plus tard, après que son père lui eut assuré à maintes et maintes reprises qu'il allait bien, que le pirate était mort.
Après cet épisode, Peter n'accompagna plus son père, à son grand soulagement. Il se maudissait tous les jours de ne pas braver l'interdiction de son père au moins pour lui prouver qu'il n'avait pas peur, pur mensonge de sa part. Il passait donc ses journées avec sa mère, administrant le magasin familial. Elle vit très vite qu'il n'était pas intéressé par ce genre de travail, alors elle décida de l'instruire: l'écriture, la lecture, les mathématiques et l'histoire. Ce qu'il apprit de cette dernière matière le stupéfia au plus point. Son cœur se serrait à chaque fois qu'il repensait à ce qu'avait été sa cité et les troubles qu'ont infestés les Astorgs à sa terre natale. Il ne jugea jamais les Zélotes, trouvant que leurs actes devaient être dictés par quelque chose de supérieur. Peter a une haute estime de la magie et des magiciens, bien qu'il ne veuille jamais la pratiquer. Sans rien dire à personne, il s'entraîna à l'épée à l'écart de tous, tous les jours après les cours de sa mère lorsqu'il eut dix ans. Ses muscles se développèrent, ses facultés s'accrurent. Cependant, il n'en restait pas amateur et impuissant face à un véritable adversaire, il se fit la promesse de s'engager comme soldat lors de ses 18 ans. Entre temps, il eut une petite sœur Rinalda qui avait les mêmes cheveux blonds que lui, contrairement à ses deux parents.
Il eut 18 ans, sa petite sœur 8 ans, lorsqu'il s'engagea. Ses parents ne donnèrent pas leur accord au début, mais ils savaient que son caractère n'était plus le même, sa soumission avait perdu de sa substance en même temps qu'il avait grandis. Le fait d'avoir un autre enfant à qui transmettre l'héritage les consolèrent assez pour ne pas faire de vague quand il claqua la porte de chez lui pour la dernière fois. Sa vie de simple soldat fut très dure, les maltraitances étaient fréquents sous prétexte de vouloir égaler les Astorg en rigueur. Il se rebella à plusieurs reprises, se fit lyncher autant de fois par ses supérieurs, notamment le capitaine de la garde à cette époque pour qui il eut une haine féroce. Son monde s'écroulait sous lui en repensant à tout ce qu'il perdu pour une telle vie. Au bout de deux ans, il était assez endurcit pour lui- même coller quelques peignes aux nouveaux venus, il en perdu en humanité depuis le temps. Les soldats de sa génération se regroupèrent autour de lui, ils sentaient qu'il leur donnait une force supplémentaire.
Une mission leur fut confié à titre de test, ils devaient accompagner un carriole de modestes marchands jusqu'à un hameau non loin de la cité. Ils le firent avec plaisir, pensant tomber sur des pillards de la pire espèce. Que néni, il n'y avait pas un rat. Les deux missions suivantes furent aussi calmes; leur attention se relâcha à la quatrième mission, l'attaque les prit à dépourvu. Depuis longtemps, les bandits de grands chemins investissaient uniquement, comme le précise leur nom, les grands chemins. Cependant, il arrivait que plusieurs bandes en même temps attaquaient la même victime, faisant une pagaille monstre. Étant peu nombreux, les pilleurs s'attaquant à Peter et ses hommes changèrent de territoire pour les petits chemins vers les hameaux. Plusieurs d'entre les soldats moururent rapidement, ce qui laissa le reste en sous nombre. Quelque chose réchauffa la poitrine de Peter, une aura se dégageait de lui sans que personne n'en sache rien et en un rien de temps, les forces se bouleversèrent. Les archers ennemis ne touchaient plus les archers cydoniens, ils devinaient la trajectoire des flèches comme s'ils avaient été les tireurs eux-même. Celui qui fit le plus de mort fut un manieur de masse, il avait une carrure sans égale; dès les premiers instants, il fonça sur le tas de bandits et n'en ressorti que ruisselant de sang, le sien à petites doses et celui des autres, en bien grande quantité. Des os étaient même rependus par terre, réduits en miettes par son arme. La douleur s'était comme atrophiée durant la bataille, lui donnant le courage de continuer à frapper de plus en plus fort, faisant tourner sa masse d'un adversaire à l'autre avec beaucoup d’aisance. Ce combat restera gravé dans la mémoire de tous comme étant la première victoire et la plus grande épopée de la petite troupe.
Au cours des quelques mois qui suivirent, tous les soldats de la promotion de Peter étaient morts à part le manieur de la masse d'arme. Il s'appelait Dokan et ne lâchait pas son compagnon d'une semelle. Leur amitié naquit en même temps que la disparition de leurs camarades les atteignait. Mais loin d'en être réduit à l'état de chagrin, Peter observa un phénomène déjà décrit auparavant: les bandits affluaient de plus en plus vers les hameaux sans vraiment les attaquer. Ce sont plutôt les chemins les menant qui représentaient leurs cibles et le fait d'envoyer quelques soldats protéger une telle parcelle du territoire était pour le jeune homme pure folie, ses amis en sont morts. Il se décida à aller voir le capitaine de la garde, il ne lui avait plus jamais parlé depuis sa première mission.
Tous les soldats intérieurs de la ville avaient l'habitude de dire que leur capitaine était un grand homme. Quand il fit entrer Peter dans son cabinet de travail, ce fut une révélation pour lui: en effet, plus grand en cette ville n'existe pas, c'est bien l'homme le plus imposant qu'il ait jamais vu. Le jeune soldat n'a pas vraiment eut de contact avec lui, mais à plusieurs reprises, son supérieur a donné des ordres lui concernant dont la grande majorité concernaient des punitions des plus abjectes, il s'appelait Haymar. Quand Peter lui exposa la situation, le capitaine lui assura qu'il n'était plus la peine de s’inquiéter, puisque la politique de rigueur qu'ils avaient contre leur ennemi depuis l'affrontement contre les Astorg allaient peut- être entrer en vigueur contre les autres hameaux, il allait y avoir beaucoup moins d'échange par la terre. Le simple soldat en fut choqué, il ne voyait en cette réforme qu'une tentative d'étouffer l'économie de la cité déjà gravement atteinte. Le cœur serré, il proposa durant une heure une stratégie pour maîtriser les attaques, tout en garantissant la sécurité de la cité. Cydonia n'avait pas beaucoup d'hommes dans son armée, mais assez pour ce genre d'opération et il prévoyait d'en engager plus pour mener à bien son plan. Le capitaine écouta en silence, puis quand Peter eut fini, un autre moment de silence passa. Sa tête bougea légèrement de haut en bas en regardant les cartes posées sur sa table ainsi que les disposition prises par son soldat, l'index replié sous la lèvre inférieur, puis donna son aval.
En un an, les attaques diminuèrent considérablement. Bien sûr, on ne peut empêcher les meilleurs guerriers de la pire espèce de vaincre les quelques soldats mal entraînés, mais les pertes que ces défaites occasionnaient à l’adversaire repoussaient les nouvelles attaques de quelques semaines, voir des mois. Peter n’acquit aucun prestige auprès du peuple, personne ne savait qu'il était derrière toutes les manœuvres de l'année; pas les soldats, bien évidemment, qui recevaient les ordres de lui- même en tant qu'assistant du capitaine, et les quelques politiciens proches de Haymar. Ce dernier lui confia toutes les affaires concernant la défense des commerçants ambulants vers les petites villes. C'est donc tout naturellement que Peter se présenta au poste de capitaine et fut accepté le jour même grâce à l'appui de membres de l'assemblée proches de l'ancien capitaine de la garde lorsqu'on sut sa mort au cours d'une attaque de pirate sur l'un des bateaux commerçants de la cité. D'après les rumeurs, les pirates seraient astorgs, une raison de plus pour que les soldats, notamment Peter, haïssent leur cité tant redoutée.
Aujourd'hui, il est le plus jeune soldat à atteindre ce poste et compte en être digne en devenant un rempart de plus contre ce qu'il craint se préparant de tous les côtés à l'encontre de sa chère cité.
Mon heure de gloire...Votre prénom(facultatif):Pas envie...*fait la moue*D'où venez vous? (facultatif)France!Âge (facultatif):18 ansAvez-vous lu et approuvé les règles? [Validé by Eléa ^^ ]Comment avez-vous connu le forum? Par un top-siteIdées, remarques ou suggestions?Tout va bien, tout va très bien... 
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