Nom (facultatif): Hedeïn
Prénom: Livena
Âge: 10 ans et demi
Race: Elfe
Langue: Sa langue natale est l’elfique mais elle l’oublie beaucoup en apprenant le cydien
Cité/groupe d'appartenance: Muria
Métier: Serveuse dans le bar Bu et apprentie élémentaire d’Eléa.
Position (facultatif): ///
Monture/engin: La marche à pied, c’est bon pour la santé !
Arme: Un petit arc et des flèches.
Armure: Une armure ? Elle ? Vous l’avez bien regardée ? Cette petite ne ferait pas de mal à une mouche ! x3 Enfin, même quand elle assume son rôle d’apprentie sentinelle, elle est vêtue de ses habits habituels.
Compétences choisies:Couture, archère et manipulation de la glace.
Faiblesse: Combat à mains nues, survie, fouille.
Main dominante : Droite.
But du personnage: Trouver son équilibre, et vivre comme elle l’entend, ce qui n’est pas aussi simple !
Nom de votre échoppe: ///



Histoire officielle :
Livena Hedeïn est née à Silmarie dans une famille de paysans. Son père est mort quand elle était petite, sa mère était cuisinière et gérait un petit tailleur de la ville. Peu avant ses 9 ans, sa mère a signalé sa disparition, mais on suppose que la petite s’est enfuie. Point.

Histoire plus ou moins complète farcie aux commentaires de l’intéressée et du PNJ critique.

De quoi, moi ? Je née à Silmarie, tiens ! Vous savez pas ce que c’est Silmarie ? Ben c’est la cité des elfes, enfin !! Vous voyez pas où elle se trouve ? Euh… c’est simple ! Silmarie se trouve quelque part entre la forêt, le désert, les montagnes et l’océan ! Vous voyez toujours pas ? Désolée, mais j’en sais pas plus ! (C’était bien la peine de faire tout un discours…)
Donc, après cette petite leçon de géographie qui ne vous en pas plus appris à vous qu’à moi (Je confirme !!), passons aux choses sérieuses… Je suis donc née à Silmarie parmi les premières jonquilles et les primevères, en compagnie des bourgeons qui comment à s’ouvrir, bercée par le chant des oiseaux… (Le mot printemps, ça marche aussi ! « Tais-toi, tu vois pas que j’étale mon âme de poète, là ?! »).
Ma maman elle était très gentille, elle faisait toujours attention à moi ; quelques fois, quand j’avais du temps devant moi, j’allais l’aider à sa boutique : ma maman c’était la meilleure tailleuse et la meilleure cuisinière du monde !! (T’abuses pas un peu, là ?) C’est elle qui confectionnait tous les habits de la famille et qui préparait nos repas matin, midi et soir. Ma maman, elle était très belle et très douce, mais je me souviens plus trop de son prénom parce que tout le monde lui donnait plein de surnoms bizarres et personne l’appelait jamais par son vrai nom. Ma maman, elle était toujours contente, sauf quand on faisait des bêtises ma sœur et moi, là il fallait pas trop rester dans le coin… (En gros, fallait jamais être dans la même pièce que vous trois.) et puis elle voulait jamais nous parler de papa. Mon papa, je l’ai pas beaucoup connu, j’étais petite quand il a disparu… enfin tout le monde disait qu’il avait disparu, mais moi je savais que c’était pas ça, je suis pas idiote, hein ! (AH BON ?! « Il commence à me gonfler sérieusement, le PNJ… ») Un jour, j’ai posé la question à ma maman, et elle m’a juste répondu qu’un jour des types bizarres étaient venus lui rapporter la mort de papa et qu’elle avait beaucoup pleuré ce jour-là. Moi je les aimais pas ces types, ils me faisaient peur, mais Maman disait qu’ils n’étaient pas méchants, alors ils n’étaient pas méchants puisque Maman elle a toujours raison. Ma grande sœur, elle était née trois ans avant moi, et des fois elle me soulait vraiment beaucoup (Donne-moi son adresse, que je lui envoie des fleurs. « Grr… »), mais elle était gentille ma grande sœur. Enfin, à quelques exceptions près…
Ma maman et ma grande sœur, je les aimais beaucoup, mais quand Maman a ramené à la maison un homme grand et costaud, encore plus louche que ceux qui l’avaient informée de la mort de Papa, tout a changé… je devais avoir 7 ou 8 ans, et le gros type pas beau il est resté longtemps, très longtemps… assez longtemps pur que ma sœur et moi on comprenne qu’il ne partirait jamais. Puis un jour, ma sœur elle m’a dit que le gros méchant pas beau un jour, elle l’avait surpris en train de voler les tissus de maman, et qu’il lui avait fait mal, très mal, et qu’il lui avait dit qu’il lui ferait encore plus mal si elle le répétait à maman… (Et toi, comme une gourde, t’as fermé ta boîte à camembert. « Pitié, dites-moi que quelqu’un a un gourdin. »)
C’est la partie où je suis le moins fière de moi, parce que j’avais tellement peur de cet homme qu’une nuit, je me suis glissée hors de la maison et je suis partie du village, me retournant à chaque petit bruit… un trajet long qui fichait les chocottes, et je sais plus quand, mais je me suis faite attraper par des Amazones, (C’était en printemps 154, ma p’tite. Mémoire oblige ! //GOURDIN//) j’avais très très peur… Mais elles étaient gentilles en fait, les Amazones, et maintenant je vis en sécurité avec elles, je vais à l’école comme avant, mais je m’ennuie moins, et puis y a Jelenna, elle est gentille Jelenna ! Y a Flowène aussi, la patronne du bar dans lequel je travaille parfois, et puis y aussi Kiera, la femme qui dirigeait la patrouille qui m’a amenée à Muria. Elle m’a recueillie et qui m’apprend à vivre à la cité. Elle, elle est encore plus gentille que toutes les autres, mais des fois je me demande comment vont ma maman et ma grande sœur…

Mémoire

« Dis, Maman, pourquoi les étoiles on les voit que la nuit ??
-Eh bien Livena, pourquoi le soleil ne brille-t-il pas la nuit ? »
Comme souvent, sa maman répondait aux questions de Livena par une autre question.
« Ben parce que sinon il ferait pas nuit ! C’est bête comme question !
-Que veux-tu dire par « Il ne ferait pas nuit », ma chérie ?
-Si le soleil brillait la nuit, il y aurait de la lumière comme en plein jour, et il ferait plus noir !
-Donc pour toi, il doit faire noir pour que ce soit la nuit ?
-Je ne sais pas. Je pense. Pas toi ?
-Non, Livena. Pour moi, la nuit est l’instant où l’ombre est aussi lumineuse que le soleil. C’est la face cachée du monde, celle qui vit dans le silence, la fraîcheur et le mystère…
-C’est surtout le moment quand les chouettes font leur repas et quand les imprudents passent de vie à trépas en moins de 5 secondes. »
A 5 ans, Livena parlait de ce qui l’effrayait sans tiquer. Malgré son air confiant, elle redoutait de se retrouver face à face avec un bandit et la moindre plume de hibou la faisait hurler comme une détraquée. Et cela, sa mère le savait.
« C’est qu’il y a nuit et nuit, Livena. L’obscurité ne fait peur qu’à ceux qui attendent le jour pour voir. Ma nuit à moi est paisible, douce, baignée de la lumière du ciel. Les étoiles sont toujours là, mais la nuit, elles font partie de nous.
-Je ne comprends toujours pas. Les étoiles brilleraient juste pour toi ?
Sa mère eut un petit rire discret que la brise printanière emporta au loin.
-Pourquoi pas, ma chérie. Si l’ombre ne te fais pas peur, si tu crois en toi que chaque étoile est là pour éclairer ton chemin, alors peut-être qu’un jour tu seras capable de passer la nuit dans une forêt peuplée de chouettes sans qu’aucun souffle de peur n’étreigne ton cœur.
« Ca, ça m’étonnerait beaucoup, Maman, songea la petite. Mais si tu dis qu’un jour je pourrais, alors je le pourrais. »

********************
« Liv’, allume la lumière.
-T’as pas dit le mot magique.
-S’il te plaît.
-S’il te plaît quoi ?
-Arrête tes gamineries Liv’, et fais-moi le plaisir de craquer une allumette.
-Pourquoi ?
-Pour qu’on ait de la lumière, pardi !
-Moi j’y vois très bien.
- C’est faux, on y voit autant que dans un gouffre sans fin.
-J’y vois, je te dis. Je te vois même en train de prendre ta pantoufle pour me la lancer dessus.
-Les personnes normales ne voient pas dans le noir.
-Je savais que je n’étais pas normale.
-T’as raison, t’es nyctalope.
-Hein ? Mais ça veut dire quoi, ça ?
-Ca veut dire que tu vois dans le noir comme une chouette.
- …
-Bon, ça viens cette lampe ?!
-C’est tard. Pourquoi t’as besoin de lumière ?
-Ca te regarde pas !!
-Dans ce cas bonne nuit.
-Tu ne lâches jamais le morceau, hein ?! J’ai besoin de lumière pour faire mes devoirs.
-Pour quand ?
-Demain. Maintenant tu vas m’allumer cette foutue bougie !
-Non.
-Et pourquoi ?
-Pas envie. J’ai pas aimé la comparaison avec les chouettes.
Soupir.
-Oh allez sœurette, tu sais que je plaisantais !
- … on y voit quand même. Y a un rayon de lune qui filtre à travers les volets. Je pourrais ouvrir la fenêtre…
-Arrête, tu vas nous faire geler !!
-On n’est pas en plein hiver, quand même. Mais bon. Allume la lumière si ça te chante, moi je monte sur la terrasse.
-Ne me dis pas que tu vas encore dormir à la belle étoile.
-Je vais encore dormir à la belle étoile.
-Tu le fais exprès.
-Possible. J’aime t’enquiquiner. On va faire un marché. Je t’allume cette bougie en gardant la fenêtre fermée sans rien dire à propos de tes devoirs oubliés par inadvertance, et en échange tu ne dis pas à Maman que je suis partie me balader sur les toits cette nuit.
-Quand est-ce que tu t’es baladée sur les toits ?
-Dans quelques minutes.
-… Ca marche.
-Pense à faire tes devoirs, la prochaine fois.
-Je te rappelle que c’est moi, la grande sœur bienveillante. Ne rentre pas trop tard. »

********************
Trois corvée d’eau dans la même journée, c’étai un peu fort quand même. Et puis le ruisseau où elle allait cherche l’eau, c’était pas à côté. Sans parler qu’en plein milieu de l’après midi, elle avait un peu autre chose à faire, par exemple aller jouer avec ses amis, aider sa mère à la boutique, et au pire (J’ai bien dit au PIRE !!), faire la cuisine.
…
Oui, bon, peut-être pas la cuisine, fallait pas trop pousser non plus.
Mais bon, il faisait chaud, et puis comme ça elle pouvait se tremper les pieds dans l’eau.
… se tremper les pieds dans l’eau qu’elle allait boire ?!
La chaleur tapait trop fort, c’était la seule explication.
N’empêche qu’elle en avait vraiment envie. Elle adorait l’eau.
Léger détail, elle ne savait pas nager.
Et flûte.
Elle se pencha avec son seau, faillit tomber, se rattrapa à une pierre qui lui entailla la main. Elle retint un juron, acheva sa corvée, puis porta sa paume blessée à la bouche pour essayer de stopper l’écoulement du sang. Peine perdue.
« Pourquoi est-ce que je fais ça, déjà ? Soupira Livena. »
L’image des plantes que sa famille cultivait dans leur jardin s’imposa à elle, et elle soupira encore.
« Ah ! oui : parce que ma chère et tendre aînée m’a donné sa part de salade de fraises en échange. »
Des fois, ses marchés avec sa sœur la gonflaient. Elle avait d’ailleurs l’impression de plus y perdre qu’y gagner !
Elle ramena son seau, prit garde à ne pas se faire voir par sa mère ou sa sœur, puis courut à la rivière qui était nettement plus près de la maison. Là, elle s’assit sur un petit pont sans barrière, jambes dans le vide, le bout de ses orteils effleurant la surface lisse de l’eau. Elle respira profondément, sourit quand un rayon de soleil vint se poser sur son visage, puis sursauta légèrement en sentant une boule de poils se frotter contre son bras. Elle éclata d’un rire frais et prit Mélo sur ses genoux. Qu’importe les corvées qu’elle essuyait, qu’importe que sa sœur l’utilise pour ne pas les faire, qu’importe que les autres enfants s’amusaient tous ensemble dans la rue d’à côté, qu’importe que sa main l’élançait de douleur, elle avait 7 ans, ou presque, et elle était formidablement heureuse.
Elle secoua les jambes pour déloger sa mignonne petite chatte de compagnie, puis plongea dans la rivière, au grand dam de Mélo, qui poussa un miaulement faussement outragé. Elle grimaça quand la douleur à sa main la tira de sa courte torpeur, puis laissa le courant tranquille de la rivière emporter le sang avec lui. Le soleil l’éblouissait, ses vêtements gorgés d’eau l’alourdissaient, et bien qu’elle ait pied, elle n’était pas très bonne nageuse et se résigna à sortir de la rivière.
Quand elle remonta la rue qui la conduisait chez elle en saluant gaiement les rares habitants qu’elle connaissait, trempée jusqu’aux os, ses lèvres virant à un léger bleu, ses vêtements et ses cheveux dégoulinants, laissant derrière elle de petites flaques claires à l’endroit exact où elle avait posés les pieds, elle ignorait encore que cette trempette serait la dernière qu’elle pourrait accomplir en toute sérénité.
Mais elle allait bientôt le savoir.

********************
Livena attrapa une corde qui se balançait doucement dans le vent, se balança jusqu’à la terrasse voisine, saisit le rebord d’une fenêtre, coinça ses orteils dans une planche mal jointes, se hissa sur le toit, sauta sans bruit sur le suivant, grimpa sur un mur aux pierres glissantes, repoussa, accrochée à une prise infime, une mèche de ses cheveux caramels qui lui tombait devant le visage, continua à monter, puis parvenue au sommet d’une petite tour de guet, soupira. Elle avait un peu plus de 8 ans, une mère aimante, une sœur casse-pieds, une chatonne toute mignonette, et une furieuse envie de se jeter du haut de cette tour. Sans doute cela était une mauvaise idée, car elle n’était pas si haute que ça, elle pouvait très bien s’en tirer avec deux ou trois jambes cassées. Et là, elle aurait vraiment de quoi avoir envie de se jeter du haut d’une tour.
Une légère brise d’été vint caresser sa joue, et l’espace d’un instant, elle se surprit à sourire à la lune.
Un instant.
Toutes ses pensées noires inondèrent son esprit, et si elle n’avait pas été pieds nus elle aurait donné un coup rageur dans le mur de pierre.
Elle haïssait cet homme laid, grincheux et puant.
Elle haïssait cet homme, qui depuis sa soudaine apparition, avait tout chamboulé dans sa vie.
Elle haïssait cet homme, qui avait rendu sa mère encore plus malheureuse que lors de la mort de son mari, qui lui avait ôté sa gaieté de la nuit.
Elle haïssait cet homme, qui lui donnait sans cesse de corvées de plus en plus éreintantes, à lesquelles elle ne pouvait pas échapper.
Elle haïssait ses rares moments libres qu’elle passait dans la rivière de son enfance, sans jamais pouvoir trouver la même tranquillité.
Elle haïssait les bleus qui couvraient les avant-bras de sa mère, qui, depuis bientôt un an, lui adressait rarement la parole.
Elle haïssait les fraises, ces fraises que sa sœur lui avait promises et auxquelles ni elle ni Livena n’avaient pu toucher.
Elle haïssait même ses nouveaux vêtements, qu’elle avait confectionnés elle-même au bord du ruisseau, entourée de quelques-uns de ses amis qui lui insufflaient la force dont elle avait besoin pour retourner chez sa mère. A la maison. Non, à la maison, ce n’était plus “ chez elle”. C’était “chez lui”.
Elle caressa d’une main distraite le point de couture raté au niveau des poches de sa tunique. C’était la première fois qu’elle ratait un travail de couture, mais étrangement elle n’était pas en colère. Elle aurait dû, pourtant, car la cause de ce raté était la même qui l’avait poussé à quitter son lit aussi tard le soir, la même qui lui ôtait sa joie de vivre chaque matin, la même qui lui avait donné envie de se jeter du haut de cette tour. Mais non, elle le prenait au contraire comme un cap à passer. Etrange.
Elle grimaça ; elle ne voulait pas y retourner, dans cette maison qui n’était plus la sienne, où chaque minute qu’elle vivait était plus douloureuse que la précédente.
Elle s’assit sur la petite marge du mur, jambes délaissées dans le vide qui s’ouvrait devant elle, les cheveux dans le vent. Quand les premières lueurs du soleil levant apparurent au loin, elle se leva à regret, avisa une bâche tendue entre deux poutres à 10 mètres au-dessous d’elle, pris appui sur la pierre lisse et froide puis sauta.
« Maman, murmura-t-elle, pourquoi tu as oublié la lumière des étoiles ? »

Mon heure de gloire...

Votre prénom (facultatif): ///
]D'où venez vous? (facultatif) ///
Âge (facultatif): Presque 13 ans.
Avez-vous lu et approuvé les règles? Yes man ! [Validé par Joris]
Comment avez-vous connu le forum ? Annabeth, tu nous fais crouler sous les pubs ! xP
Idées, remarques ou suggestions ? Ce forum est un petit peu compliqué, mais les membres sont super sympas ! En tout : génialissime !!!!

Allez, c'est parti pour le lecture de ta fiche =)

- dans ton profil, tu as marqué que tu avais la compétence couture or dans ta fiche, tu parles de la compétence cuisine, pense à éditer en conséquence

- pour le métier, je pense que le plus simple serait de ne choisir qu'un seul métier pour pouvoir t'occuper ensuite du bar alors je te propose 2 solutions au choix :
-> soit tu décides d'être apprentie Sentinelle auquel cas je pourrais quand même t'apprendre à maitriser la glace sans pour autant que tu deviennes élémentaire
-> soit tu décides d'être apprentie élémentaire auquel cas Flowène pourra t'apprendre à maitriser un arc sans pour autant que tu deviennes Sentinelle
Ca te permettras d'apprendre l'une et l'autre des compétences sans t'encombrer au niveau RP et sans encombrer la journée de ton personnage ! Comme ça, tu es apprentie pour avoir un métier et en même temps, tu peux bosser au Bar bu

- pour les faiblesses, il faut que tu choisisses des compétences dans la liste des compétences

- Salamandre IV ? XD Va falloir éditer ça ma belle, prends un exemple de la chronologie pour les noms, ça te permettra d'être plus cohérente (Genre Nessa, ça lui fera les pieds XD)

Je suis un peu crevée mais je pense que le reste cha va, en tout cas ce soir, je n'ai rien vu qui m'empêche de te valider xD
Dès que tu auras corrigé ces détails, normalement, ça devrait être bon

Voilà, je pense avoir fait tout ce que tu m'as demandé. C'ets bête, je le savais en plus, mais j'avais oublié de modifier ^^'.

Dernier détail, dans ton profil, il faut marquer pour le métier uniquement apprentie élémentaire, je noterai que tu es apprentie au Bar bu dans ton statut

Dès que c'est fait, je te valide ^^

OK.

Et bien validée

Amuse-toi bien parmi nous ! Pense à faire ton dossier =)
(Je te mets le statut en rentrant ^^)