Alors que Jehan se baladait dans les rues de Cydonia, à la recherche d'un forgeron, (il avait été obligé de faire le voyage d' Erathia à Cydonia, étant donné que les armes, et donc les armuriers , étaient interdits dans la ville "lumineuse"), par un matin d'été, alors qu' une bise frâiche venant du port balayait les rues, une bande de trois tire-laine sortit des ombres;
"Que vois-je?" dis l-un des trois,un jeune homme de taille moyenne, un mètre soixante-dix environs,cheveux roux,nez camus,une peau blanche, habillé d'une tenue de laine noire identique à celles des deux autres malandrins, deux adolescents roux aussi,peut-être des frères du premier. "Un homme qui se balade tous seul dans les ruelles. Êtes-vous perdus monseigneur?
-Je ne pense pas." répondit Jehan."Quoique peut être pourriez-vous m'indiquer le quartier du forgeron",Jehan savait que c'était un piège pour lui soutirait tout son argent mais il leur laissait une chance de ne pas le faire, bien que son loup rodait dans les bois en dehors de la ville, il se savait capable de décochait une flèche avant qu'ils aient pu faire ne serait-ce qu'un geste en direction de sa bourse.
"Ah,cela va vu coûter,disons votre bourse",dit le plus âgé des trois,en tirant un surin de sa ceinture.
"Je te déconseille de faire cela,petit",répondit Jehan en prenant son arc et une flèche.
Mais le jeune voleur ignora cet avertissement et avança vers le chasseur,qui d'un geste souple et rapide,encocha la flèche, visa le pied du bandit,et tira. Le détrousseur tomba par terre dans une hurlement de douleur,et se mit à sangloter en voyant la flèche plantait dans son pied.
"Je t'avais avertit,jeune idiot,puis vous ne m'avez toujours pas dit où était le forgeron."
Un des plus jeunes, d'une voix effrayée,lui signala la présence d'un forgeron à deux rue d'ici sur la gauche.
Jehan les planta tout trois là,et parti en direction de l'échoppe de l'artisan.

Cinq minutes plus tard,Jehan entra enfin dans la forge:
"Y'a quelqu'un?" cria t-il en ne voyant personne dans la pièce. A ces mots, un homme d'une quarantaine d'années à la calvitie naissante,noirci par la suie,et suant à grosses gouttes sous son tablier de forgeron qu'il portait à même le torse, passa une porte au fond du magasin.
"'Scusez-moi m'sieur,j'tais à l'atelier derrière. Vous faut quoi?
-Ce n'est rien,je cherche une épée.
-Quel genre d'épée?
-Euh ... Je dois avouer que je n'y connais pas grand chose dans ce domaine.
-Habitué à l'arc,hein?" Puis sans attendre la réponse:"Pour un gars comme vous,il faut une épée comme ça,longue,mais légère,peut être maniée à une ou deux mains. Ça vous dit,elle coute que cent Talens et le fourreau est fournit avec.
-Très bien je la prend,plus dix pierres à aiguiser.
-Cinq Talens la pierre.
-Très bien." Jehan sortit cent-soixante Talens de sa bourse: "Tenez, monsieur, et les dix Talens qui reste,c'est pour vous.
-Aimable à vous.Pensez à moi si il vous faut autre chose.
-Merci.Je n'y manquerais pas;"
A ces mots,Jehan sortit de la forge,l'épée à la main,et prit le chemin de retour vers la sortit de la ville, et vers son auberge à Erathia ,l'auberge du "Crabe casqué" des Quartier des Habitations.