Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]

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Ertius
Ertius
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[FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyJeu 21 Juin - 11:56

Cette fois ci j’irais jusqu’au bout. De ma mère j’avais obtenue sa description et le jour de son départ, des habitants de Storgheim je n’avais pu obtenir sa direction lors de son départ. Obtenir ces informations n’avait pas été facile aucun habitant ne voulait me fournir de réponses correctes ca je n’étais que le Bâtard Brun et m’aider était pour eux un déshonneur. Pour obtenir des informations je devais donc les forcer à me donner une réponse sincère. Pour cela j’avais deux solutions, me faire passer pour un autre en cachant mes cheveux et en modifiant légèrement ma voix ou encore me battre avec la personne concernée et l’obliger à me répondre suite à ma victoire sous peine de doublement le déshonorer en racontant dans toute la ville qu’un brun l’avait battu et qu’il ne tenait pas sa parole. Une fois ces informations obtenues j’avais décidé de ne pas partir immédiatement à sa recherche et de rester encore quelques temps dans la cité, cela faisait maintenant plusieurs mois maintenant que j’avais sa destination et je me devais de tenir la promesse que j’avais faite à ma mère.
Nous étions à la fin de l’été et c’était un des meilleurs moments pour voyager, l’accablante chaleur ne serait bientôt plus qu’un souvenir et le froid hivernal n’arriverait que dans plusieurs mois. Je pris donc Fourreau avec moi et nous quittâmes la cité dans l’après-midi, je fus déçu de ne pas voir des foules en liesse saluer mon départ espérant ne jamais me revoir mais la vie est faite de surprises et de déception.
Afin d’éviter tout retard dans ma quête j’avais enfilé un heaume ne dévoilant que mes yeux pour éviter tout les problèmes liés à la couleur de mes cheveux. Le voyage fut monotone et ennuyeux, peu de monde sur la route et rien de bien excitant ne c’est produit, pas de brigands et aucun animal sauvage. Bref je pourrais parler de la variété de paysages, de la beauté des endroits que je traverse pour atteindre mon objectif mais disons que les fleurs, les animaux et tout ces trucs si sa ce ne mange pas et que cela ne me sert pas j’en ais rien à faire. Après quelques heures de chevauchés je suis enfin arrivé à ma destination la ville de Kaladz. D’après les renseignements que j’avais glané mon père en avait prit la direction après être partis de notre foyer. Il me restait à trouver une personne se souvenant des événements datant d’une quinzaine d’années, les aubergistes devaient pouvoir me renseigner sur le nom d’une personne capable de cet exploit. Kaladz était une ville faite de pierre et de bois, d’important remparts faisant le tour de la cité afin de la protéger des envahisseurs et les maisons étaient pour la plupart bâtis sur le même modèle, un toit recouvert d’ardoise, une charpente en bois d’une certaines épaisseur renforcé par des plaques de métal, un rez-de chaussé sans aucune fenêtre et des fenêtres pouvant être prise pour des meurtrières aux étages . Cette ville n’était rien de plus qu’un poste avancé des Astorgs permettant de voir et de connaitre l’ennemi qui venait à ses portes. Bien sûr le commerce et les gens avaient gâché la beauté brute de cette ville en venant s’installer et fonder des commerces plus ou moins utiles mais la vie était ainsi faite. En y installant des familles la ville a perdu de son côté utile, certes les remparts étaient un frein à la progression des adversaires mais les maisons n’étaient plus des abris pour les personnes présentent à l’intérieur. Comme dans tous les endroits que je visite, j’ai immédiatement repéré une porte de sortie si jamais les choses se gâtent et le meilleur moyen de détruire ou d’envahir la place, les remparts poseraient des problèmes mais il ne serait pas insurmontable au vue de la faible garnison sur place. Pour la suite je devais trouver une auberge et me renseigner, la première fut directement éliminé outre les rires gras de ses clients le nom était tout aussi ridicule que sa façade, comme une personne saine d’esprit pouvait mettre en avant son commerce avec une couleur aussi criarde, certes le jaune attire naturellement le regard mais une partie de la façade aurait simplement suffit. Et parlons du nom, Le canard rie jaune, un jeu de mot tout bonnement catastrophique qui frise l’aliénation mentale. La seconde auberge avait déjà plu de chance de pouvoir m’aider, je confis donc mon cheval à un jeune garçon au visage remplit de tache de rousseur comme de mouches sur un cadavre. Apparemment mon allure lui fit peur car il eu un geste de recul instinctif lorsque je descendis de mon cheval, il faut dire qu’une personne portant un casque et dont on ne peut voir que des yeux froid n’est pas vraiment fait pour rassurer surtout si en plus il porte des armes. Après avoir donné une piécette d’argent au jeune palefrenier, je suis directement entré dans l’auberge afin de parler au tenancier. Comme partout où j’allais mon entré se fit sur un silence, habituellement c’était à cause de me cheveux ici à cause de mon casque qui masquait mon visage. Une fois au comptoir l’aubergiste pris directement la parole :

« Je ne veux pas d’ennui, dit-il. Sa aussi j’y étais habitué.
- Vous n’en n’aurez pas, je ne suis pas venu ici pour cela. Je cherche un homme capable de me renseigner.
- Alors vous êtes au bon endroit que puis-je pour vous ?
- Connaisseriez-vous quelqu’un pouvant me renseigner sur une personne qui est venue dans cette ville il y a une quinzaine d’année ?
- 15 ans ? Cela fait un sacré bout de temps. La seule personne que je vois qui pourrait vous renseigner se nomme Ordray, c’est un ancien garde qui a une très grande mémoire des gens. Si lui ne peut pas vous renseigner je ne vois personne d’autre pour le faire.
- Et où puis-je le trouver ?
- Je vous conseille de l’attendre ici, il devrait passer dans une heure ou deux afin de faire son inspection, les veilles habitudes ont la dent dure.
- Vous avez quoi à manger ?
- Aujourd’hui nous avons du cochon grillé au miel avec son jus et des pommes de terre aux herbes. Cela servit avec de l’hydromel ou de la bière. Nous avons aussi des carottes, des lentilles et du lard fumé mélangé dans une casserole afin d’agrémenter leurs saveurs que nous appelons un Fretat.
- Servez-moi deux tranches de cochon grillé avec une assiette de Fretat. Je serais dans le box du fond. Dirigez votre ami vers moi quand il arrive.
- Pas de problème monsieur. »
Monsieur … Bien une de rare fois où l’on m’appel comme cela. Ma commande étant passée je pus directement aller m’asseoir dans le box le plus éloigné de l’entrée et le plus sombre. Il ne me restait plus qu’a attendre mon repas et l’arrivée du garde dénommé Ordray.


Dernière édition par Ertius le Dim 22 Juil - 8:49, édité 1 fois
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Ertius
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyVen 22 Juin - 6:09

Après avoir mangé, la personne que je devais attendre n’était toujours pas arrivée. Je fis donc des croquis de personnes présentent dans la salle, cela m’occupais les mains et l’esprit. Alors que je finissais celui d’une serveuse, un homme qui avait parlé avec l’aubergiste pris la direction de ma table. Je pris donc la précaution de rentrer la tête plus en avant dans ma capuche et l’obscurité.
Le vieil homme se présenta comme étant Ordray, ancien garde de on état. Il parla comme seule une personne en fin de vie peu le faire, du temps, des saisons, de ses petits tracas, de son ancienne vie …. Sa bouche vomissait des paroles et un simple hochement de tête lui suffisait pour repartir de plus belle. Après un long monologue, et deux bières qu’il avait commandées à mes frais, il daigna enfin me demander la raison de ma venue et pourquoi je m’intéressais à lui. Après lui avoir expliqué que je recherchais une personne qui était passé il y avait de cela une quinzaine d’année il ne me laissa même pas le temps de donner la description de mon père qu’il recommença à parler de ce qui c’était produit à cette période, la mauvaise récolte, la rudesse de l’hiver, les attaques des loups sur les voyageurs … Ce vieux commençait rapidement à m’énerver avec ses anecdotes mais il devait être le seul à pouvoir me renseigner je devais donc garder ma patience. Une fois le résumé de l’année finit je pus enfin lui décrire mon père, fort heureusement pour moi il avait un signe très distinctif qui permettait de faciliter son souvenir. Le vieux garde m’assura se souvenir d’un personne avec le même signe qui était passé durant la période dont je parlais, il était sûr que cette même personne avait pris la direction de Dakata. Il me recommanda d’aller aussi au Canard rie jaune car c’était à cet endroit que la personne que je cherchais avait séjournée durant les quelques jours qu’il avait passé dans la ville. Je pris donc congé auprès du vieux en lui laissant de quoi s’abreuver et manger pour ce soir. Après avoir remis mon casque, je demandai une chambre à l’aubergiste et je lui dis de me préparer un solide petit déjeune pour le lendemain car je passerais la nuit sur place et je partirais à l’aurore. Une fois la réservation faite et un tour dans les étables de l’établissement fait pour vérifier l’état de la stalle et de Fourreau je pris la direction de la seconde auberge. Les rires gras étaient toujours présents et en plus forte quantité, une fois la porte franchie je découvris une belle bande d’alcooliques en train de parier sur une bagarre, je savais déjà comment cela allais se finir et le patron semblais du même avis que moi devant son air paniqué. Les serveuses étaient déjà dans la cuisine à l’abri des poivrots et l’aubergiste essayait d’accéder au combat afin d’y mettre fin. J’avais besoin de me défouler après avoir supporté les histoires du vieux et si le combat ne s’arrêtait pas je ne pourrais pas questionner le gros aubergiste. Ce fut simple et rapide, il n’y avait que d’honnête travailleur dans l’attroupement mon amure servit de bélier afin d’accéder au premier rang. Une fois sur place je dis un
« STOP » autoritaire le combat cessa quelques instant puis l’un des deux protagonistes rigola et recommença à se battre, le second fit de même afin de ne pas perdre. Ayant essayé la méthode douce, il ne restait plus que l’autre méthode. Le premier coup frappa la mâchoire du comique et des dents volèrent, le second fut pour son adversaire en plein dans le plexus solaire, sa respiration coupé il s’écroula comme un pantin désarticulé sur le sol. Le comique voyant ses dents par terre se retourna vers moi le regard emplit de haine en brandissant ses poings, même sans mon armure il n’aurait eu aucune chance mais là le fait que j’avais en plus mes gantelets renforcé ne pouvait être qu’un désavantage de plus pour lui. Tout en esquivant son poing je lui décrochai un crochet dans sa tempe, le choc lui fit perdre connaissance et un filet de sang coula sur le sol. Avant que quiconque ne puisse réagir je me tournai vers l’obèse et lui demandai :
« C’est toi qui tenait l’auberge il y a 15 ans ?
- N nn nn non.
- Bien. »
Ecartant la foule je pris la direction de la sortie, une fois sur le pas de la porte, l’homme dont j’avais coupé le souffle m’apostropha :
«Hé bâtard ! Tu crois pouvoir partir comme cela ?
Tout en me retournant je dégainai mon épée en le regardant, voyant la foule s’écarter de lui il lança d’un air minable :
Euh pardon monsieur, bonne soirée.»
Une fois sorti je pris la direction de l’auberge qui m’accueillait pour la nuit. La chambre que j’avais était satisfaisante, un lit assez grand pour que je puisse m’y tenir droit sans avoir les pieds hors de celui-ci, une fenêtre donnant sur l’entre de l’auberge permettant de surveiller les allés et venus des clients, un miroir avec une lame afin de pouvoir se raser et une baignoire en cuivre était dans la pièce. Le lit était assez éloigné de la porte et de la fenêtre pour prévenir toute intrusion non désiré. Dès mon réveil je partirais pour rejoindre la seconde cité, Dataka, et obtenir plus de renseignement sur le parcours de mon père et l’endroit qu’il a suivit après être passé dan cette ville.
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Ertius
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyLun 25 Juin - 5:24

Une fois le petit déjeuné avalé, je pris Fourreau dans l’écurie et je sortis de la ville. Le voyage serait tout aussi passionnant que celui du premier jour, certes j’allais traverser une rivière et un foret mais mis à part voir de l’eau, des arbres et peu être même des animaux ce voyage n’aurait rien de différent. Pour passer le temps lors des voyages je dessinais ou j’écrivais des poèmes mais comme ils finissaient tous au feu sans que personne ne les lise jamais cela ne servait qu’à passer le temps. La seule personne à jamais avoir vu un de mes poèmes ou un de mes dessins c’est ma mère mais son avis sur la question était forcement subjectif et je ne voulais absolument pas en faire un mode de vie. De toute façon qui aurait acheté des poèmes ou des croquis à un sale bâtard de brun, personne. Traverser la rivière fut un peu plus long à cause d’un paysan qui avait rompu l’une des roues de sa charrette, des gardes étaient présent sur place pour éviter tout débordement mais au lieu d’aider ce paysan à remplacer sa roue ces abrutis ne faisaient que gérer la circulation en paradant dans leurs uniformes, j’aurais bien coupé leurs têtes pour rigoler un peu mais j’aurais du aussi m’occuper de tous les témoins et cela aurait considérablement augmenté mon temps de voyage. Le paysan jurait comme un charretier maudissant sa malchance pour ce coup du destin, pour ma part j’y voyais une négligence de sa part. Une fois toute cette agitation dépassée la route était plus dégagée et je pus donc avancer légèrement plus vite. La forêt allez me réserver une bonne surprise. Une fois arrivé à environ la moitié du trajet qui me reliait à ma destination, un loup gronda dans les fourrés au bord du chemin. Stoppant Fourreau je mis un pied à terre en attendant son attaque, je savais déjà ce que j’aurais en face de moi, soit un jeune loup blessé qui avait été chassé de sa meute après avoir perdu pour le contrôle de celle-ci soit sont contraire un vieux loup ayant perdu le contrôle de sa meute. Une meute entière n’aurait pas annoncé sa présence en grondant et n’aurait pas eu à chasser l’homme, le plus dangereux des prédateurs, pour se nourrir. A peine sorti de sa cachette je pus voir que j’avais eu raison et que c’était un jeune loup blessé et famélique qui était en face de moi, le combat allé être d’autant plu facile qu’il n’avait que peu d’expérience. Il aurait attendu un autre voyageur il aurait pu le manger mais même dans le cas peu probable ou il me tuerait il ne pourra pas me manger avec mon armure. Son attaque fut facilement devinable, les muscles de ses pattes arrière se bandèrent et il me bondit dessus. Je compris pourquoi le chef de meute l’avait vaincu, il ne réfléchissait pas avant d’attaquer et ne devait que foncer tête baissé. Un pas sur le côté me permis d’éviter son attaque et cela me permis aussi de dégainer mon épée. Mon arme sortie il ne survivrait pas à sa prochaine attaque. Sa seconde attaque fut identique à la première mais cette fois ci en même temps que je l’évitais mon arme l’éventra. D’un certains point de vue sa mort se fit sans beaucoup d’agonie, pour d’autre j’aurai pu le laisser en vie voir même le nourrir mais voir son cadavre encore chaud me donna une idée. Après avoir trainée sa carcasse hors du chemin et sifflé Foureau pour qu’il se rapproche de moi j’entrepris de dépecer la peau du loup, elle me permettrait de faire une cape que je pourrai offrir à ma mère en guise de cadeau de retour. Une fois la peau enlevé et nettoyé sommairement je la mis dans ma sacoche afin de la montrer à un couturier une fois que je serais à Dakata. Ses muscles et sa chair à vif représentait un spectacle bien trop désolant pour quiconque trouverais l’animal, je pris une bonne partie de sa viande et une fois celle-ci correctement enveloppé dans du papier je transportai la carcasse bien plus en avant dans la forêt pour que les restes puissent nourrir le prochain prédateur qui la trouverais. Après avoir nettoyé mes mains avec l’eau de ma gourde je repris le chemin en direction de la ville. Quelques temps plus tard et sans autres incidents Dakata fut en vue. C’était une ville de bois, les maisons étaient faites de bois et de quelques pierres pou la base mais la ville donnaient avant tout une impression de bois. L’enceinte de la ville était entourée par une palissade de bois, certes à la décrire comme cela on pourrait croire qu’elle ne représente que peu de d’intérêt mais la voir donne une toute autre impression. Pour commencer ce sont de troncs d’arbres empilés les un sur les autres qui constituent la base de cette protection, par-dessus du cuir est entreposé avec un traitement spécial afin de pouvoir résister au feu en cas d’incendie et sur le tour de garde des tonneaux, surement remplis par de l’eau de pluie, sont entreposés tous les vingt mètres. Toutes les maisons sont quand à elles espacées afin d’éviter toute propagation d’incendie et cela permet d’une part d’avoir de grandes avenues et d’autres part de pouvoir installer de petit commerce de rue sans pour autant gêner la circulation. Et à de nombreuses intersections de grosses cuves d’eau sont remplies avec l’inscription eau non potable marqué sur chacune d’elle. Malgré cela il y avait quand même quelques points faibles dans leur stratégie comme le fait qu’un espion, ou plusieurs, pouvaient venir et mettre de l’huile dans les tonneaux ou d’autres produits inflammables qui ne se distinguent pas de l’eau. Mais je n’étais pas ici pour conquérir la ville mais obtenir des renseignements alors comme lors de mon arrivé à Kaladz je me suis mis à la recherche d’une auberge et d’une taverne afin de rencontrer les gens du pays.
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyVen 29 Juin - 10:54

La première auberge de la ville n’était pas dure à trouver, celle-ci se trouvait en face de la porte principale, tous les voyageurs arrivant dans la ville ne pouvait que voir en premier lieu cette imposante bâtisse. Bâtis sur trois étages cela devait être l’un des plus grands bâtiments de Dakata, tout avait été construit de façons à rendre l’édifice agréable à regarder. L’entrée était une magnifique porte en chêne à double battant encadré par deux grandes fenêtres faisant toute la longueur de la façade de façons à voir les personnes présentent et d’inviter l’œil à vouloir voir ce qui se passait dans cette pièce. Certes les habitants ne devaient plus faire attention à cette auberge mais pour toute personne venant de l’extérieur cet endroit était une invitation à la découverte. Le premier étage était avancé par rapport à la rue cela permettais aux clients de pouvoir sortir en toute tranquillité pour prendre l’air sans pour autant se mouiller si il pleuvait. Su la façade des deux étages, les poutres avaient été laissé apparentes ce qui rajoutais encore plus un côté rustique et authentique à cette auberge. Ne voyant aucun endroit ou pouvoir laisser mon cheval je descendis près de la porte et tout en le regardant dans les yeux je lui dis de mordre toutes personnes voulant le toucher, cela peut paraitre stupide mais je savais qu’il me comprenait. Une fois dans l’auberge je fus immédiatement accueillit par l’aubergiste :
«  Bonjour mon cher monsieur, bienvenue dans l’auberge des Choras tenue avec propreté et sérieux depuis cinq générations. Nous avons de nombreuses chambres à disposition plus belles les unes que les autres. Nous pouvons aussi vous indiquer tous les magasins qui pourraient vous être utile dans notre belle cité et pour les plus joueurs nous avons une salle à l’arrière permettant de doubler vos gains en une soirée si vous êtes chanceux. Que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour … J’aimerais des renseignements sur une personne qui est passé il y a une quinzaine d’années savez vous qui pourrait me renseigner ?
- Je devrais pouvoir le faire monsieur j’étais certes jeune à cette époque mais je me souviens parfaitement des gens que j’ai croisé cela me permet d’éviter de recevoir les indésirables dans notre magnifique auberge. Puis-je vous proposer de vous restaurer ici puis je vous dirais ce que vous souhaitez savoir. Aujourd’hui nous avons au menu un velouté d’asperge, suivi d’un bœuf mariné dans du vin avec des échalotes accompagné de son lit de légume, ensuite nous vous proposerons du fromage de pays et pour finir une tartelette de framboise accompagné d’une mousse légère de melon.
- Cela m’a l’air parfait, par conte mon cheval attend dehors, avez-vous une écurie ?
- Bien sur nous avons une grande écurie avec de nombreux garçons qui s’en occupent, les stalles sont grandes, elles sont aérés et nettoyés tous les jours afin de proposer le meilleur service à nos clients. Mon fils va s’occuper de votre cheval, quand à moi je vais vous accompagnez à votre table, veuillez me suivre.
- Je vais d’abord accompagner votre fils sinon mon cheval lui mangera les doigts, pour ce qui est de la table j’aimerais avoir une salle privée si vous en avez une.
- Mais certainement monseigneur. Je vais vous la préparer tout de suite, votre entrée vous attendra.
- Je ne suis pas un seigneur.
- Mais certainement, veuillez m’excusez monseigneur. »
Grommelant je sortis de l’auberge pendant que le fils du tenancier me suivait. Une femme proche de mon cheval semblait complètement hystérique et prenant les passants à témoins. Elle me cria dessus que mon cheval était un véritable danger, son fil avait voulu le caresser et celui-ci avait essayé de le mordre, fort heureusement son fils avait été assez agile pour éviter la morsure mais cela restait tout de même choquant. Elle me demanda de m’excuser après d’elle et de son fils. La regardant droit dans les yeux je lui dis si son fils ne voulait pas se faire mordre par les animaux il n’avait qu’a pas essayer de les toucher, de plus mon cheval était un cheval de guerre il avait donc de la chance qu’il n’ait pas voulu en finir avec son rejeton. Outrée, celle si releva la tête d’un air hautain et me dis que cela ne se passerai pas ainsi puis elle entreprit de rejoindre son domicile. Emmenant mon cheval à l’écurie, qui se trouvait un peu plu loin dan la rue, je pris mes sacoches et donnai une pièce d’argent au garçon d’écurie pour qu’il s’occupe bien de mon cheval et je lui dis de faire attention car il était très joueur. Une fois de retour à l’auberge, le patron me conduit vers ma salle privée et après m’avoir souhaité un bon appétit il me laissa en compagnie d’une charmante serveuse.
«Mademoiselle, vous pouvez me laisser merci.
- Mais seigneur, mon patron m’a demandé de vous servir durant votre repas et votre séjour du mieux que possible.
- Mademoiselle, la seule façon pour que vous restiez serait de dîner avec moi mais je sais déjà que vous ne pouvez et ne voulez le faire. De plus quoi qu’en dise votre patron je ne suis pas un seigneur, si vous voulez me donner un titre appelez moi monsieur sinon appelez moi Ertius.
- Mais seigneur je ne peux pas, je dois vous servir.
- …. Vous me parliez ? Je vous ais dit de m’appeler Ertius ou monsieur pas seigneur, je ne suis le seigneur de personne. De plus je sais très bien m’occuper de moi tout seul et si vous restez je ne mangerais pas. Vous pouvez donc sortir s’il vous plait, fermer la porte derrière vous et frapper avant d’entrer je vous en serais reconnaissant merci.
- Bien monsieur. »
Une fois qu’elle fut sortie je pus enfin enlever mon casque et commencer à manger.
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Ertius
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyMer 11 Juil - 10:04

Le repas avait été plus ou moins agité, entre les entrées de la serveuse et le passage du gérant pour savoir si tout ce passait bien et ses fameux mon seigneur cela fut plutôt long. Une fois le repas fini et que la serveuse avait débarrassé le repas je lui ai demandé de revenir pour parler.
« Merci du service. Maintenant j'aimerais savoir quel est ton prénom ?
- Je me nomme Morga monsieur.
- Bien Morga, tu m’appellera donc Ertius ou Monsieur Staron mais je préférerais Ertius. Pourrait tu me renseigner, je cherche une couturière, qui pourrait me faire une cape avec une fourrure de loup et un forgeron capable de réparer un lame d'acier.
- Oui pour la cape, Birg est une très bonne couturière je ferais moi même appel à elle si j'en avais les moyens. Sinon pour le forgeron allez voir Stido, il s'occupe des armes des gardes et tout le monde en dit grand bien et comme cela est toujours le cas sa réputation va de paire avec ses prix.
- Merci beaucoup Morga. Peut -tu appeler ton patron ?
- Oui monsieur …. Ertius.
- Parfait ! » Dis-je avec un grand sourire.
Une fois Morga sortie je pris soin d'aller sur le canapé présent dans la pièce afin d'attendre l'arrivé de Choras. A peine entré qu'il se lança dans une discussion :

« Bonjour monseigneur, j'espère que le repas était bon je vous ais servis les meilleurs parts. Ce n'est pas tous les jours que nous avons un grand seigneur qui vient dans notre modeste auberge.
- Je ne suis pas un seigneur.
- Oui bien sûr, je comprend monseigneur. Vous voyagez incognito d'où le casque que vous portez tous le temps. Et le faite que vous souhaitez même le garder lors de vos repas et que vous faites sortir la serveuse signifie que vous devez être connu.
- Parlons de ce que je cherche il y a 15 ans.
- Bien sûr monseigneur, bien sûr. Que souhaitez vous savoir ?
- Je cherche à retrouver un homme qui est passé il y a 15 ans dans cette ville. Il était grand, plus que moi, avoisinant les 2 mètres. Blond et sur la partie droite de son visage une large balafre partait de son front jusqu'à son cou.
- Je vois de qui vous parlez monseigneur …. Cet homme à fait parler de lui à cette période, il a logé chez moi durant un temps puis un jour une bagarre à éclaté entre lui et un groupe de Cydiens. Cet homme que vous recherchez a tué quatre de ces cinq opposants mais à la fin la garde est arrivé et il a fini capturé. Comme vous le savez sans doute, nous avons une entente avec les amazones de Muria et il a donc été demandé à celles-ci de prendre ce prisonnier afin de le soumettre. Pour la suite il faudrait voir directement avec elles mais vu que vous êtes un homme cela va être dur, elles ont accepté de le prendre suivant le pacte et le fait qu'il aurait pu blesser une femme. Sinon vous pourriez allez voir directement le juge afin de connaître le nombre d'année qu'il a du faire pour ces crimes.
- Merci. Je vais sortir quand je reviendrais je voudrais voir Morga.
- Certainement monseigneur. »
Une fois que cet homme cérémonieux au possible m'avait laissé à sa porte avec de nombreuses paroles de chance et de prospérité je pris la direction de la forge de maitre Stido afin de faire réparer ma dague. Une fois ce petit homme imbu de lui même rencontré et donné ma dague à faire réparé je pris le chemin de la boutique de dame Birg. Une fois à l'intérieur je du attendre car une dame voulait absolument se faire faire une robe correcte. Une fois que dame Birg eu les mensurations "exactes" de la cliente celle-ci pu partir en toute tranquillité et on pu s'occuper de moi :
« Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour Dame Birg, on m'a dit que vous étiez la meilleure couturière de la ville. J'ai une peau de loup avec moi et j'aimerais savoir si vous pourriez en faire une cape. La personne à laquelle je destine cette cape fait 1mètre 74 et elle est plus fine que moi. Pour tout dire c'est ma mère et je veux lui faire un cadeau.
- Bien sur, pourriez vous me montrer la peau ? C'est une occasion spéciale ?
Tout en tendant la peau de la bête je lui répondis :
- Aucune occasion spéciale, je veux lui faire plaisir et l'hiver arrive plus vite que l'on ne le pense.
- Vous voulez rajouter quelque chose ? La peau risque d'être un peu courte et je vais rajouter une doublure afin de faire une véritable cape.
- Aucun rajout spécial, une cape chaude et belle. Par contre je vous demanderez un autre service.
- Bien sur quel est-il ? »

Une fois de retour à l'auberge, je cherchai Morga des yeux, elle était avec un groupe de soudards qui parlaient fort et semblaient ivres plus que de raison. Morga semblait en discussion avec l'un d'eux en particulier. Alors que je pensais qu'il ne lui voulais pas grand chose j'entendis Morga pousser un petit cri de douleur. M'approchant de ce groupe je pris la parole :
« Eh les alcooliques laissez la en paix.
- Tu veux quoi toi ferme la ce n'est pas ton affaire.
- Si cela l'est, vous êtes des abrutis. Et en plus vous vous en prenez à une femme.
- Et alors gros malin tu as peut être une jolie armure mais nous sommes bien plus nombreux et nous ne faisons rien de mal, n'est ce pas Morga ?
- Oui monsieur, cela n'est rien. Ce sont des braves gens, ils ont juste bus plus qu'ils n'auraient dû. Normalement ils ne font jamais de choses comme cela.
- Des braves gens hein …. je vois juste ici de gros porcs qui ne supportent pas l'alcool. Pour commencer toi lâche la. Et ensuite si vous voulez passer une soirée tranquille ne venez pas me chercher des crosses. En plus vous semblez aveugles j'ai une épée et vous n'avez que vos poings pour vous battre.
L'idiot du village lâcha donc sans faire d'histoire le bras de Morga.
- Merci monsieur. Mais ils ne m'auraient pas fait de mal de toute façons.
- Je préfère que cela se soit passé comme cela. Sinon Morga, vous pourriez rendre visite à Birg dans quelques heures, elle devrait avoir besoin de certaines informations. Je vous donnerais une lettre contenant toutes les informations dont elle aura besoin.
- Sans problème, monsieur.
- Et pourriez vous me conduire à ma chambre, je souhaite coucher sur le papier certaines informations.
- Bien sur monsieur. »
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Ertius
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyVen 13 Juil - 12:19

Une fois dans ma chambre je pris un des mes parchemins de vélin et j'écrivis une lettre à donner à Birg. Une fois celle ci écrite, je pris des notes sur mon voyage, elle furent rapide car je n'y inscrit que les informations importante que j'avais récolté comme le fait qu'il soit passé par Kaladz pour ensuite aller à Dataka ou encore le fait qu'il a été soumis par les amazones. Je devais aussi aller voir le juge afin de savoir si mon paternel était sorti de la ville des amazones ou si il purgeais encore sa peine. Une fois la lettre donnée à Morga je pris la direction du bureau du juge afin de savoir. Le bureau du juge est une grande bâtisse faite de bois et de pierre taillé. Elle servait aussi de salle de tribunal et aujourd'hui une affaire était en train d'être jugée. Apparemment un problème de vache et de champs …. bref une histoire passionnante et fort intéressante. Autant dire que comme je n'avais rien à faire je me devais de rester écouter cette histoire dramatique et avec un suspense énorme. Au final la personne à qui on avait causé du tord pu obtenir réparation j'aurais pu retenir cette histoire passionnante mais il suffit d'aller dans quelques tribunaux campagnards pour retrouver cette épineuse affaire. Le juge était un vieil homme fort sympathique, ses jugement étaient équitables et il dissociait son métier de sa vie hors du tribunal. Il me parla de l'histoire de mon père, finalement celui-ci n'était pas un mauvais homme les sales cydiens étaient nombreux, trop alcoolisés et devenu dangereux pour les clients de l'auberge en réalité ces abrutis n'avaient fait que chercher mon père qui n'avait fait que se défendre mais comme il y avait eu un survivant l'affaire n'avait pas pu être oublié par tous. Mon père avait donc reçus une condamnation d'une douzaine d'année, il devait donc être sorti de la capitale des amazones depuis déjà quelques années et comme il n'était pas revenu il devait être quelque part dans le monde.
Je savais donc maintenant que mon père était libre depuis quelques temps déjà et pourtant il n’était pas revenu vivre avec ma mère. Je devais donc trouver une personne qui pourrait me renseigner, cela n’allais pas être une chose facile car il pouvait être n’importe où, sauf chez les cydiens. Je savais déjà qu’il n’était pas dans les environs de … car le vieux n’avait pas fait mention d’un homme lui ressemblant, il avait seulement parlé de ses souvenirs. Je pris donc la direction du marché afin de savoir si un homme semblable à mon père avait été vu dans le coin. Aucun marchand que j’interrogeais n’avait vu de personne tel que je la décrivais, je pensais alors retourner à l’auberge quand j’entendis un marchand itinérant ventant les mérites de ses produits. Une fois ces boniments proclamés et la foule appâtée il ne lui restait plus qu’a laisser la crédulité des gens faire le travail. Une fois la majeure partie des badauds partis avec leurs achats " inestimables " je pus poser ma question au marchand. Celui-ci, non sans continuer à me vanter la qualité de ses articles me fis comprendre que cette information avait, tout comme ses marchandises, un prix et que celui-ci serait parfaitement raisonnable pour une personne tel que moi. Je compris que comme pour ses affaires il allait essayer de me vendre de l’air afin que je puisse respirer, les informations que j’obtiendrais seraient alors surement fausses. Alors que je partais dégoûter qu’un homme tel que lui puisse exister, un homme m’attrapa le bras. Il était sec et portait un vêtement de paysan, il me dis :

« ‘scusez-moi, m’sieur mais j’ai entendu c’que vous disiez au marchand et j’crois j’peut vous aider.
- Qui es-tu l’ami ?
- Je suis Crogh, paysan d’mon état et je ne suis à Dakata qu’pour aujourd’hui j’pense que la personne qu’vous cherchez habite pas loin de Durandil car j’l’ai y a de c’la pas longtemps vu.
- Bien … mais que fait tu ici ?
- Ba c’est qu’c’est l’anniversaire d’ma femme et j’voulais lui faire un cadeau, une belle écharpe. Mais les prix qu’sont fait par Brig sont bien trop au-d’ssus mes moyens alors j’suis allé au marché voir les prix des autres mais c’tout moche c’qui font et c’là que je vous ai rencontré.
- Allons chez dame Brig je vais vous acheter l’écharpe qui vous fait plaisir pour votre femme.
- C’bin vrai ? Z’êtes un chic type m’sieur. »
Une fois chez la couturière j’appris que Morga était venu et qu’elle avait bien apporté les informations que je voulais, par contre le cadeau que je lui avais fait semblait autant l’avoir ravi que l’avoir mis en colère. Crogh choisit une écharpe bleu nuit pour sa femme car « C’est qu’elle aime bien l’eau ma femme ». Une fois l’écharpe achetée et Birg prévenue que je passerais prendre la cape dans deux, trois jours, il me proposa de voyager avec lui le lendemain matin jusqu'à Durandil, « V’pourrez dormir dans ma charrette y’a de la paille et j’ai une couverture ». J’acceptai donc son offre, le voyage serait bien plus long mais je ne verrai sans doute pas le temps passer. Le soleil commençait à se coucher, je pris donc congé de Crogh et je retournai chez le forgeron afin de lui dire que je passerais récupérer ma dague dans deux, trois jours au maximum puis je pris le chemin de l’écurie de l’auberge des Choras. Une fois dans celle-ci et après avoir salué la personne présente à l’entrée, je me mis dans la stalle de Fourreau et j’entrepris d’enlever mon armure et de mettre des habits. Une fois changé, je mis mes affaires dans un sac en toile de jute et je sortis de l’écurie en passant par la porte de derrière afin d’éviter que quelqu’un puisse faire le rapprochement. Une fois devant l’auberge, il ne me restait qu’à choisir qui j’allais être. Je me voutai et pris la direction des chambres, le patron m’arrêta et me demanda ce que je venais faire ici. En changeant le timbre de ma voix je lui répondis que je n’étais qu’un simple livreur et qu’Ertius m’avez demandé de lui apporter certaines affaires. Il voulait vérifier les affaires que j’avais dans mon sac mais je lui dis qu’Ertius m’avait interdit de l’ouvrir pour quiconque et qu’il le saurait si jamais il avait été ouvert. Je pus donc aller dans ma chambre en passant devant Morga sans qu’elle me reconnaisse. Une fois dans celle-ci je pus fermer la porte et me changer. Je ne mangerais pas ce soir là mais au moins j’avais évité Morga.
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Ertius
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Re: [FE - Oneshot] A la recherche d'un père [Terminé]
   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyLun 16 Juil - 10:24

Un peu avant l’aube, lorsque la pénombre de la nuit commence à s’éclaircir, un bruit me réveilla. Je ne réussis pas à déterminer la provenance de ce bruit mais je devais profiter de ce temps de gagner pour m’occuper de ma toilette, après avoir taillé ma barbe et vérifié la longueur de mes cheveux j’entrepris de me vêtir de mon armure. Une fois celle-ci revêtue, je descendis dans les cuisines afin de voir si je pourrais prendre un petit déjeuner. Les cuisinières étaient déjà entrain de s’occuper du repas, le pain était en train de doré dans le four, la confiture, le miel et le lait étaient prêt et le beurre se faisait battre. La matrone ne remarqua et me gronda car je n’avais pas mangé la veille, ne voulant pas me mettre à dos cette femme qui était la réelle gérant de cette auberge, car tout le monde sait que les femmes détiennent le véritable pouvoir, je lui dis qu’en réalité l repas du midi avait été tellement succulent que j’avais eu peur que celui du soir soit aussi bon ce qui m’aurait forcé à rester manger ici pou toujours, elle me traita de vil flatteur mais cela n’empêcha pas de rougir sous le compliment. Alors qu’une serveuse m’apporta une miche de pain sortie du four avec du beurre et de la confiture elle m’informa que Morga m’avait cherchée et attendue hier soir et qu’elle voulait à la fois m’embrasser et me tuer. Elle l’avait entendue dire certaines phrases qui la rendaient perplexe tel que « Il est tellement gentil … » ou « Je vais le tuer ce sale cachotier ». Les cuisinières, les oreilles aux aguets voulurent elles aussi savoir ce que j’avais fait, je leurs répondis qu’elles n’avaient qu’à demander à Morga. Alors que je commençais à manger, la matrone me demanda pourquoi je n’enlevais pas mon casque pour manger à l’aise, je lui répondis que j’étais bien trop moche pour oser montrer mon visage à de si jolies femmes tout en éclatant de rire. Ce qui les fis rires à leurs tours et elles ne me posèrent plus la question. Une fois le repas fini et les parts supplémentaires refusées, je dis à la matrone que j’allais être absent entre deux et trois jours, que j’avais laissé dans ma chambre de quoi payer pour le séjour au cas où je ne repasserais pas et que si possible j’aimerais bien garder la chambre que j’avais à mon retour. Une fois ces dames saluées je pris la direction de l’écurie afin de prendre mon cheval. Dès que Fourreau fut scellé je rejoignis Crogh à la porte Ouest, il me salua et je lui dis que j’allais directement profiter de sa paille et de sa couverture afin de continuer ma nuit. Une fois installé, Crogh pris le chemin de Durandil.

Crogh me réveilla alors que le soleil était à son zénith, mon armure ne m’avait pas trop dérangée durant mon sommeil et j’entrepris donc de me mettre à côté de lui afin de partager son repas. Une fois celui-ci terminé, Crogh entrepris de rattraper tous le temps qu’il avait passé silencieux et il me raconta sa vie :

« Vous savez m’sieur, j’suis ben content d’être allez à Dakata car au d’part j’voulais allez à ??? mais c’est une grande ville et j’m’y serais perdu ou j’me serais fait volé ma bourse ou pire encore tué pour mes pièces. Et puis, c’est qu’ma femme elle a une amie qui arrête pas d’lui parler d’ses gants qui viennent de Birg, « Mes gants ils me tiennent chaud l’hiver, mes gants ils ressemblent pas à tes grosses moufles, mes gants c’est une grande couturière qui les a faites … ». Ma femme elle en avait marre et elle m’a dit, comme j’vous dis, « Si pour notre anniversaire de mariage j’ai pas quelque chose qui vient de Birg, j’te quitte Crogh. » C’et qu’elle a du caractère ma femme vous savez. Faut dire qu’elle a du élever cinq enfants aussi ma femme, c’était pas tous les jours faciles. D’abord y’a l’ainée qui a dix-huit ans qu’est bien trop coquette même si plusieurs p’tits gars qu’sont fous d’elle mais c’pas bon non plus si vous voulez mon avis, ensuite l’second du haut d’ses dix-sept ans l’est fort comme un bœuf je pense que cela sera à lui que j’céderais mon terrain, ensuite les jumeaux plus espiègle l’un que l’autre si vous v’lez mon avis ils vont finir saltimbanques et la petite dernière qui va avoir ses quinze ans dans quelques mois est en plein dans l’âge ingrat et n’arrête pas de se chercher avec ma femme. Et vous m’sieur savez des enfants ?
- Non.
- Savez avec ma femme on les a eux tôt nos marmots et puis les enfants c’t’une vrai source de joie, c’ben vrai que c’difficile certaines fois mais au final les enfants c’merveilleux. Par exemple au d’part on voulez qu’deux ou trois enfants mais c’tait une telle joie de s’occuper d’eux que l’on n a eu plus. L’plus dur c’est quand sont tout p’tits et qu’ils nous réveillent la nuit. Et qu’un l’un se met à pleurer les plus vieux qu’sont réveillés veulent jouer et plus dormir. Mais c’fut une bonne chose.
- Crogh …
- Oui m’sieur ?
- Je vais partir maintenant, j’aimerais trouver la personne que je cherche avant la nuit.
- Bien sur m’sieur, pas de problème. Aur’voir !
- A bientôt et salue bien ta femme et ta famille.
- Oui, encore merci m’sieur. »
Bordel cet homme parlait beaucoup trop, si je n’étais pas rapidement parti j’aurais fini par le tuer. Comme j’avais fait un peu plu de la moitié du chemin et que Fourreau était parfaitement reposé, je partis au petit galop afin d’arriver au plu vite à Durandil. Cette ville ressemblait à Dakata en termes d’architecture mais les rues étaient bien plus étroites. Nous étions en fin d’après midi et les alcooliques avaient fini leur journée ou étaient en trains d’essayer de décuver rapidement pour repartir de plus belle. Il me fallait trouver une auberge et des renseignements, et si je trouvais la première je devais les seconds. L’auberge du Cochon Grillé semblait une tenir plus de l’auberge que de la taverne ce qui me convenait parfaitement. Une fois mon cheval posé dans l’écurie, je pris une chambre auprès du patron et je pus lui poser ma question. Heureusement pour moi il savait où mon père habitait, dans une maison, tenant plus de la cabane qu’autre chose, près des remparts Sud. Une fois mon hôte remercié je pris mon repas et montai me coucher directement.
Une fois minuit passé je sortis discretement de ma chambre et je me rendis directement à l'endroit que m'avait indiqué l'aubergiste. Une fois devant la porte et après avoir frappé à celle-ci j'attendis qu'elle s'ouvre.
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   [FE - Oneshot]  A la recherche d'un père [Terminé] EmptyDim 22 Juil - 8:49

Mon père ouvra la porte et commença à parler :
« Quoi ? Pourquoi tu viens aussi tard chez moi ? Tu veux quoi ?
- Vous êtes monsieur Staron ?
- Ouai et toi t’est qui ?
- Cela n’a aucune importance, je suis ici à la demande de votre femme qui m’a engagée afin de vous retrouver et de savoir pourquoi vous l’avez quittée. Je sais déjà que vous avez été un soumis durant une certaine période après avoir défendu des villageois contre des cydiens mais je veux encore connaître la raison pour laquelle vous n’êtes pas rentré chez vous après votre peine.
- Tu parle j'ai surtout tué les cydiens car ils parlaient trop fort et que je ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Après pourquoi je ne suis pas retourné chez moi il y a deux raisons l'une est la même raison pour laquel je suis parti j'avais un fils brun, un sale bâtard si tu veux mon avis et puis je ne pouvais pas revenir auprès de ma femme car je ne sait pas ce que j'aurais pu lui dire.
- Donc c'est à cause de votre fils que vous êtes partis et que vous n'êtes pas rentré c'est cela.
- Oui parfaitement.
- Merci de cette réponse je vous souhaite donc une bonne fin de nuit.
- Ouai tu aurait pu attendre le matin sale connard.
- Une dernière chose, je suis votre fils. »
Et devant son air ébahis, et dégouté, je mis mon épée dans sa gorge, il tenta vainement d’arrêter l'hémorragie en mettant les mains sur la blessure mais il ne fit que tituber jusqu'à son lit et s'écroula dessus. Une bonne chose de faite il me restait à voir si il avait chez lui quelque chose intéressant, après avoir fouiller sa cabane je mis sur la table mes trouvailles, quelques pièces qui ne représentaient même pas le dixième de ce que j'avais sur moi, des victuailles qui ne me serviraient pas, une dague rouillé et pour finir une épée courte qui aurait pu être intéressante si le simple fait de l'ouvrir ne l'avait pas fait se réduire en copeaux de fer. Je ne pris donc rien il ne me restait qu'a faire passer se meurtre pour un accident afin de ne pas passer plus de temps ici que nécessaire. Une fois une bonne dose d'huile mise sur le sol et dans le lit sur le corps de mon père je pris la bougie qu'il avait allumé, je fis un trou dans celle ci afin d'y glisser un bout de ficelle imbibé d'huile qui était relié jusqu'au sol afin qu'une fois le temps écoulé sa misérable cabane prenne feu. La bougie mettrait environ trois heure pour arriver à hauteur de la ficelle dès que celle-ci s'enflammerait il faudrait encore deux ou trois minutes avant que la cabane prenne feu, avec la dose d'huile que j'avais mis sur le sol il y avait peu de chance pour que les flammes envahissent aussi les autres maisons alentour mais je serait depuis longtemps rentré dans l'auberge. En partant je jetai un dernier regard à mon père et je lui dit « Un enterrement digne d'un roi, ordure. »
Une fois de retour à l'auberge et après avoir évité de me faire repérer par l'aubergiste je pus dormir tranquillement jusqu'au matin.
Dès le matin arrivé je pris la direction de la cabane de mon père afin de le rencontrer et de lui poser quelques question. Une fois sur place je découvris des gardes qui étaient autour d'une cabane en ruine, après mettre approché de l'un d'eux je lui demandai ce qui c'était passé, il m'informa que l'occupant avait fait tombé de l'huile et que sa bougie qui était restée allumé avait enflammé sa maison, ils pensaient qu'il n'avait pas eu le temps de souffrir avec l'huile car mourir brûler vif était une mort douloureuse. Malheureusement pour moi je ne pourrais jamais donc obtenir les informations que j'étais venu chercher, une fois le garde remercier je repris la route pour Dakata.
Une fois Dakata rejoins je pris un repas tardif à l'auberge des Choras, je pensais que tout allez bien se dérouler lorsque je vis Morga arriver, elle ne devait pas me voir car cela allait créer une scène je pris donc immédiatement la direction du salon privé que m'avait gardé l'aubergiste afin de l'éviter malheureusement elle du me voir car à peine eu-je le temps de refermer la porte derrière moi et de m'installer dans l'un des fauteuils qu'elle entra dans la pièce en furie.
«  Pourquoi vous avez fait ça ?
- C'est un cadeau je pensais vous faire plaisir vous en parliez et vous m'avez aidé je vous l'ai donc offert.
- Un cadeau, tous le monde va y voir la marque d'un service rendu !
- C'est exactement le cas vous m'avez aidé et je vais ai donc offert ce cadeau.
- Mais ils ne vont pas penser à ce genre de service là mais plutôt à un autre qui se passe généralement dans la chambre.
- Je vois votre problème mais vous savez que ce n'est pas le cas alors pourquoi se soucier des autres ? Et puis le cadeau vous plait non ?
- Oui il me plait mais …
- Il n'y a pas de mais c'est un cadeau vous avez passé commande il sera bientôt prêt et vous pourrez bientôt l'utiliser.
- Merci. D'ailleurs Birg m'a dit de vous dire que votre commande était prête. Et encore merci pour cette robe.
- De rien maintenant j'aimerais bien manger.
- Oui, pardon. »
Une fois le repas fini et Morga loin de moi, je pus aller directement chez dame Birg afin de récupérer la cape que je lui avait commandée. Elle m'informa qu'elle lui restait un peu de la peau de la bête mais je lui dit que cela m'importais peu et qu'elle pouvait en faire ce qu'elle voulait. Une fois payé la robe et la cape je pris la direction de la forge de maître Stido afin de savoir ou en était la réparation de ma dague que je lui avait confié. Un compagnon de celui-ci m'informa que son maître était partis mais que la lame de ma dague était prête et qu'il pouvait se charger lui même de l'accorder avec le pommeau de ma dague. Je lui dis qu'il pouvait le faire sans problème et j'attendis donc en dehors de la forge le temps qu'il finisse son travail. Une fois son travail fini il me dit qu'il faudrait attendre le retour de Stido afin de payer, il me proposa d'attendre dans une taverne à quelques mètres de la forge et qu'il enverrait un apprentis me prévenir dès son retour. Bien que l'après midi tournait vers le soir la taverne n'était pas trop remplis je pus donc m'installer au comptoir et commander une boisson afin d'attendre l'arriver du forgeron. Après deux ou trois verres un apprentis me dit que Stido était rentré et que je pouvais venir récupérer ma dague. Après avoir encore vanté ses mérites et son talent il consentit enfin à me rendre ma dague. Ayant récupérer tout ce que j'avais à récupérer dans cette ville je n'avais plus qu'a rentrer chez moi.


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