[Oulah, ça me prend de court et ceci sera mon premier poste depuis ce qui me paraît une éternité (soit environ un mois), indulgence por favor !
P-S : je commence cette QA par une sorte d'introduction en [quote] : ce n'est aucunement une citation, ce procédé est uniquement afin de différencier cette partie du texte du reste ^^']

Citation :

La première chose qui avait frappé mes yeux, à peine eussions-nous atteint l'entrée de ce pays comme venant d'un autre monde, était la pureté de son herbe, la danse de ses blés, de ses champs et à propos, des chants de ce paysage dont les couleurs dominantes imposaient une aura seigneuriale autour de la contrée jinmenne qui se déployait sur des lieux devant nous. Nul peintre n'aurait su dessiner meilleur tableau et nul poète n'aurait pu chanter de louanges suffisamment splendides pour faire perdre ne serait-ce qu'un centième de l'éclat de cet espace divin et doré. Qu'un phénix, magnifique oiseau des histoires anciennes, transperce les yeux de ses ailes enflammées ne m'aurait étonné que de moitié après avoir admiré telle majesté en ce lieu enchanté. Si bien qu'en me remémorant cette beauté, en tentant ainsi de la décrire dans mon esprit, le plus fidèlement possible, je ne puis qu'en faire le blâme en comparaison à ce qu'il en est vraiment. Sans doute devrais-je alors laisser le rôle de la description aux yeux des visiteurs, et conter ce qui peut l'être sans affront.

Ainsi, nous avions enfin atteint les premières bâtisses de Koubaï après de longs jours de marche. J'étais naturellement accompagné d'Heifara et de Soburin, mes deux amis et tant appréciés compagnons de voyage, sans qui j'aurais sans doute péri par manque de volonté durant ce voyage, ô plus qu'éreintant. La présence de Soburin, réconfortante, complice, fraternelle, et celle d'Heifara, chaleureuse, apaisante et réparatrice, toutes deux essentielles pour me lever du bon pied et appliquer un baume sur des plaies sentimentales autrefois trop insoutenables.

La nature, sans conteste, était omniprésente dans la cité, à mon plus grand plaisir. Je me comparais d'ailleurs souvent à une plante chlorophyllienne s'épanouissant et se nourrissant au Soleil, source première de mon énergie et de ma gaieté. Un coup de blues quand d'anciens fantômes revenaient me hanter sournoisement ? Un rayon de Soleil et les ténèbres s'écartaient. Métaphore à l'origine de l'énième surnom que j'avais donné à Heifara, à savoir, "Rayon de Soleil". Un classique, mais pour un adorateur et utilisateur de la nature, le sens n'étais pas moindre. D'ailleurs, celle-ci semblait apprécié autant que moi la présence de toute cette verdure, de ces animaux dont elle ne connaissait pas toujours le nom, et ne parlons pas de Soburin qui déjà fixait d'un oeil affamé un groupe de poules aux yeux vides d'intelligence et de tout soupçon.

- Contrôle-toi champion, dois-je te rappeler l'embarras dans lequel nous serions si nous venions à rencontrer des problèmes ici, alors qu'une noble samouraï nous héberge sous son propre toit ? Sans parler de l'effort qu'a dû fournir Dame Sora pour ce faire.

À l'annonce de ce nom, Soburin courba l'échine et alla se mettre en boule d'un air boudeur contre le mur d'une maison voisine. C'est vrai que toutes les qualités qu'on pouvait trouver à Sora n'effaçait pas cette sensation d'emprise qu'elle dégageait, son existence même semblait sentir l'importance, et je sentais que son rôle dans l'histoire future des différents peuples ne saurait tarder. On parle de guerres, de sang, de vengeance, mais ne délaissons pas l'histoire. C'est ce que Sora m'avait inspiré, et je m'efforçais de croire en ces mots, car mon espoir de voir une fin pacifique à ce chaos s'amplifiait alors.

D'ailleurs, la voilà qui revenait de sa collecte d'informations, à priori peu fructueuse vu l'allure de son pas.
Rien... Pas de temps à nous consacrer ? Un hurlement. Je n'avais pas bien compris la suite d'événements qui s'étaient produit en l'espace des dix dernières secondes, mais à présent Sora s'était retirée, et nous n'étions plus que trois compagnons de voyage égarés au milieu d'une ville que nous ne connaissions pas, dans un pays dont les coutumes peu tolérantes nous étaient majoritairement inconnues, bousculés par une foule affolée dont la provenance demeurait un mystère.

Je m'étais mis à courir dans le sens opposé au mouvement, sans réfléchir, en prenant soin d'agripper fermement Heifara afin de ne pas la perdre dans la masse, Soburin s'occupant de nous frayer un passage parmi les silhouettes difformes qui nous dépassaient.
Difformes...? Je comprenais maintenant. L'air qui séchait la gorge, les plantes qui hurlaient de déshydratation, les ombres de ces gens qui ondulaient comme dans une danse infernale : mirage. Les rayons solaires pénétraient l'air de plus en plus brulant à mesure que l'on se rapprochait du sol et avait donné lieu, suite à ce changement de milieu, à un mirage supérieur, une sorte de reflet inversé dans le ciel de la cité et notamment de l'astre solaire, faisant croire alors en la présence d'un second Soleil à une distance relativement faible des dalles pavant les ruelles. Sans nul doute Sora avait-elle compris le phénomène puisqu'elle avait parlé de "faire bronzette", mais de toute évidence ce n'était pas le cas de la plupart des habitants, qui pensaient faire face à un incendie céleste.

- La colère des Dieux est telle que leur royaume brûle de rage, s'écria un vieux borgne dont les bouteilles vides à ses pieds témoignaient de son état d'ébriété.

Je me tournai vers Heifara. À la vue de ses yeux effrayés, la jeune Nua ne devait pas comprendre la situation mieux que les autres, ce qui était plutôt compréhensible en fait puisque j'étais loin d'avoir achevé l'éducation intellectuelle de ma charmante protégée. Après lui avoir expliqué brièvement ce qu'était un mirage, je m'enquis :

- Que devons-nous faire selon toi ? Nous devons accomplir notre objectif, mais comment soutirer une quelconque information dans un tel chaos ?

Ses yeux pétillaient à présent, elle appréciait généralement que je lui fasse confiance, et j'appréciais en retour ses conseils parfois plus que bénéfiques.

[H-RP : Voilà pour ce premier poste donc, si il y a un soucis, prière de me MP au plus vite, je précise que je ne suis pas disponible la semaine, donc mon prochain poste sera le week-end prochain si tout va bien ]

Visiblement, la question d'Heifara était absurde, Kanjou se mettant à sourire. Toutefois, le fait de le voir décontracté et souriant dans cette ambiance chaotique fit comprendre à la jeune Nua que Kanjou savait précisément ce qu'il se passait et que se phénomène n'était manifestement point dangereux.

- "Non, je ne peux rien faire, ou du moins j'ignore comment faire quelque chose. Mes connaissances dans le domaine sont modestes, car je suis loin d'être érudit. Voyons s'il n'y a pas quelqu'un dans les para-..."

Il fut interrompu par un jeune garçon qui le bouscula en renversant sa cruche. Heifara avait juste eut le temps de le voir venir sans pouvoir avertir l'elfe. Le gamin pleurait à chaude larmes, comme si la cruche qu'il venait de renverser renfermait l'eau la plus précieuse qui soit. Ou peut être était se l'objet lui même qui était si précieux?

Heifara s'approcha avec Kanjou, mais le gamin ne sembla voir que l'elfe. Elle avait déjà remarquée que Kanjou imposait le respect chez les Jinmens. Mais visiblement, il était lui même très surpris de ses réactions, notamment celle du garçon qui s'était carrément jeté à ses pieds, pour ainsi dire terrorisé. Peut être craignait t'il d'être puni par l'elfe? Instinctivement, alors qu'il commençait enfin à s'expliquer, Heifara approcha le garçon pour le rassurer, posant une main amicale sur son épaule.

- "Heifara, dis-moi : si je te dis qu'il y a une personne à sauver là, maintenant que me réponds-tu ? Devrait-on aider ce jeune garçon au détriment de notre mission ? C'est la seule personne qui ne soit pas en train de hurler de frayeur. Qu'en dis-tu ?"

- "On y va, bien sûr!" La réponse était si évidente pour Heifara qu'elle avait répondue sans hésiter une seconde! Leur mission n'avait absolument rien de vital, Sora comprendrait bien qu'ils aient échoués pour apporter de l'aide à une personne blessée ou malade.

Elle fit signe au garçon de les guider, le couple de guérisseurs le suivant alors pour voir dans quel état se trouvait cette femme. Heifara espérait juste que son mal ne soit pas si sérieux que cela : même si elle était actuellement au mieux de sa forme, elle ne pourrait rien faire pour quelqu'un d'agonisant...

Lee ne remarqua la jeune fille aux cheveux de feu que lorsque l’elfe se tourna vers elle. Et il la trouva vraiment très très jolie. Mais il détourna aussi les yeux de peur de l’avoir offensé. Avec ses mèches rousses qui tombaient sur ses épaules, il lui été impossible de savoir si elle aussi était une elfe ou non. Elle avait bien sûr quelque chose de moins « aérien » que son compagnon mais elle en restait très gracieuse. Ca et se couleur de cheveux si particulière mettait suffisamment le doute dans le cerveau du garçon pour qu’il soit prudent. La vie d’Azula en dépendait.

Ce fut la jeune fille qui le fit relever la tête, lui offrant un sourire sincère qui le rassura au plus profond de son être. Sentiment qui grandit encore lorsqu’elle lui fit signe de leur montrer le chemin. L’espoir ! Ce que c’était agréable ! Pour la première fois depuis qu’Azula était tombée malade, il avait l’impression que tout irait bien.

Se relevant à la vitesse de la lumière, il ramassa l’outre qui gisait sur le sol, saisit la main de la jeune femme (jamais il n’aurait osé ne serait-ce que frôler le seigneur elfe) et l’entraîna à sa suite à travers la foule affolée. Ils arrivèrent bientôt devant une immense bâtisse à l’orée de la ville, surplombant des champs à perte de vue. Une forte odeur de céréale et de chevaux flottait dans l’air. Lee adorait cette odeur si particulière qui provenait des écuries. Elle lui rappelait toutes ses rencontres avec la belle Azula.

Alors qu’on aurait pu s’attendre à rencontrer moins de gens ici qu’en centre-ville, la foule y était encore plus compacte et affolée. Se pressant vers l’intérieur du bâtiment avec ferveur. Lee eut à peine besoin de jouer des coudes car dès que les habitants se rendaient compte de la présence d’un elfe dans leur petit groupe, ils s’éloignaient respectueusement pour les laisser passer, parfois même en s’inclinant avec respect.

Ils arrivèrent enfin dans l’œil du cyclone sans trop savoir comment et Lee se précipita vers un homme d’âge mûr qui semblait faire les cents pas. Derrière lui, trois personnes étaient penchées sur le corps brûlant de ce qui aurait dû être une magnifique jument mais qui à présent semblait plus mort que vif. La dite jument était visiblement habitée par une vie beaucoup plus frêle que la sienne à en croire son ventre étonnement rond.

Lee semblait donner des explications à toute allure à l’homme qui devait être le propriétaire de la jument. Celui-ci commença par se fâcher et on sentit le désespoir dans sa voix quand il cria vers le ciel. Puis ce fut l’espoir qui traversa ses pupilles d’un bleu outremer d’une extrême profondeur quand son regard se posa vers les deux personnes que Lee avait amené avec lui. Oui, seules ces personnes pourraient sauver Azula des Trois Tempêtes, la plus belle et puissante jument de tout Koubaï, mère des plus beaux étalons d’Oyashima. Elle et le petit qu’elle attendait sous peu.

Il fit quelques pas vers les étrangers et s’inclina avec respect devant eux.

« Le jeune Lee m’a dit que vous étiez près à nous aider. J’espère que vous réussirez à sauver Azula des Trois Tempêtes et son petit avant que… »

Mais sa voix se brisa sur la fin de sa phrase. Il ne pouvait pas prononcer tout haut ce qui risquait d’arriver. Perdre Azula était au-dessus de ses forces.

[Wow j'ai pris beaucoup de retard désolé ]

Heifara était concentrée sur la jument, essayant probablement de diagnostiquer d'où provenait ses maux, mais j'étais confiant. Depuis que j'avais rencontré Heifara, nombreuses furent les personnes que nous avons aidées, mais très peu ne purent être soignées pour cause de blessures trop graves. Ainsi, j'étais persuadé que si quelqu'un pouvait soigner Azula, c'était Heifara.

Pourtant, lorsqu'elle releva la tête, ce fut une mine inquiète que je vis. La jument devait être dans un vraiment très sale état pour qu'Heifara doute de ses capacités. Le pauvre Lee semblait tellement effrayé à l'idée que la jument décède, il retenait ses larmes à grand peine. Cette vision m'émut, car je me souvins de la mort de Soburin I, ce fut l'un des pires moments de ma vie, bien que ce ne soit "qu'un animal" comme diraient certains. Il fallait faire quelque chose pour sauver Azula. Je lançai une ultime interrogation du regard à Heifara, qui secoua la tête d'un air désolé, et alors qu'elle ouvrit la bouche pour annoncer l'impossibilité de sauver Azula à long terme, le propriétaire de la jument prit la parole afin d'expliquer la situation.

Ainsi, l'eau qui avait été renversée lors de ma collision avec Lee était d'une telle importance dans notre affaire ! Cela signifiait en quelques sortes que si nous n'avions pas été là Heifara et moi, alors Lee n'aurait pas renversé l'eau et Azula irait peut-être déjà mieux à l'heure actuelle. Je m'en sentais d'autant plus responsable et je compris qu'Heifara avait pensé à la même chose que moi.

- Puisque la situation l'exige, et si cela ne vous dérange pas, nous aimerions nous rendre nous-mêmes chez cette fameuse Harashi. Pouvez-vous nous indiquer où la trouver ? fis-je en me levant.

Je marchai d'un pas résolu en direction de la porte, et après avoir écouté attentivement les directives du vieil homme, je m'adressai à Heifara tout en ébouriffant les cheveux du jeune Lee pour lui remonter le moral :

- Allons-y à présent, nous avons une jument et son petit à sauver !

[Voilà, c'est court désolé, mais je pense que tous mes postes futures le seront autant vu mon temps libre et le retard que j'ai pris un peu partout :S]

Heifara avait refusé de nous accompagner, témoignant d'un certain bon sens, car la jument ne pouvait être laissée seule avec son propriétaire si les choses venaient à empirer subitement. Il fut convenu que le jeune Lee me conduirait à cette fameuse Dame Harashi, marchande d'eau bénite ou je ne savais quel autre onguent. Celui-ci s'était déjà posté près de la porte, attendant mon signal, que je lui donnai d'un hochement de tête.

Nous prîmes d'abord la grand' route que nous avions parcourue plus tôt, mais en sens inverse cette fois, jusqu'à ce que le jeune garçon s'arrêta quelques secondes, en pleine réflexion. Vu l'importance étonnante que les gens de ce pays m'accordait, je me doutais, en suivant son regard, qu'il se demandait si un raccourci quelque peu boueux me convenait. Ne le laissant pas formuler sa question, je pris les devants et martelai la boue de mes chausses, non sans laisser quelques "sprotch" sur mon passage. Lee s'élança alors, lui, à une allure bien différente : le voilà qui courait tel un fauve, ne s'arrêtant plus. Et puisqu'il devait me montrer le chemin, je fus enjoint à le suivre de la sorte.

Nous nous arrêtâmes de courir seulement lorsque nous aperçûmes la place où les derniers marchands remballaient leurs effets, certains paisiblement, apparemment peu inquiets du phénomène qui déchirait le ciel, d'autres de façon beaucoup plus pressée, et peut-être même trop puisque, dans un fracas de métal, j'aperçus un gros bonhomme au visage rond et crispé lever les bras au ciel tout en exprimant son désarroi, ou plutôt sa colère.
Dame Harashi n'était déjà plus là, je le compris bien avant que le jeune Lee éclate en sanglots. Cependant, alors que ses yeux remplis d'espoir se rivaient sur moi, je les vis s'agrandir au point de devenir gros comme des poings, et, montant sur une caisse, il s'écria alors :

- C’est elle là-bas ! La vieille dame avec le châle vert et le chapeau orange !

Je fis volte-face et scrutai attentivement la foule qui se présentait à moi. Une vieille femme accompagnée de son mari bousculaient les personnes se tenant alentours pour se frayer un passage... une femme d'une quarantaine d'années qui hurlait tout en renversant son panier de course en de grands gestes de bras... un châle.. un châle vert et un chapeau orange ! C'était sûrement elle ! Un coup d'oeil vers Lee pour confirmer l'hypothèse.. mais il n'était déjà plus là ! Je le vis courir en direction de la foule, probablement s'était-il précipité sans demander son reste une fois l'indication donnée. Le laissant vagabonder entre les fuyards, je suivais calmement Dame Harashi des yeux, tout en contournant la foule en passant par-dessus murets et vantaux. Le jeune Lee n'était plus très loin d'elle, mais il semblait s'être perdu au milieu de cette masse et de tout ce brouhaha assourdissant. La vieille femme s'arrêta un instant, semblant chercher quelque chose dans sa veste, aussi en profitai-je pour m'avancer dans la foule, en direction du garçon paniqué. Une main réconfortante sur son épaule fit réapparaître de l'éclat sur ses lèvres et d'un mouvement de tête je l'intimai à me suivre de près, me dirigeant moi-même là où se trouvait Dame Harashi, qui fouillait encore ses poches. Je vis un objet briller sur le sol, et en un geste vif je m'emparai de la bague qui semblait être faite d'or, sertie de diamant. Arrivant enfin au niveau de la vieille marchande, j'exerçai une faible pression sur son bras, tout en lui tendant le bijou :

- Serait-ce ceci que vous cherchez, Dame ? Son regard se porta sur la bague et un soupir de soulagement répondit à ma question. Il se trouve que nous vous cherchions, nous, achevai-je en poussant doucement Lee devant moi. Nous avons besoin de ce.. breuvage que vous aviez donné à ce jeune homme plus tôt dans la journée. Le malheureux en a renversé la quasi-totalité et son amie équestre jongle entre la vie et la mort à l'heure qu'il est, un poulain dans le ventre de surcroit.

Le jeune Lee l'intimait déjà à le suivre en se postant à l'écart de la foule, près de la grand' route menant à l'écurie. Ses yeux ne cessaient de verser des larmes, de joie ou non, on ne pouvait le dire. Dame Harashi m'inspecta d'abord, son regard se teintant soudain de surprise, puis elle fixa la bague que je lui tendais toujours, et finalement, tout en hochant la tête comme pour elle-même, prit l'objet, tandis que son visage se déridait, et se tourna vers Lee d'un air entendu.