(désolé pour le cours texte ^^')

Je ne dort pas... Je ne dort jamais. Je peut sentir le tonnerre approcher, ce vent si glaciale qui glisse entre les planches de boit , elle me chatouille la peau frénétiquement. Comment est-je pu me retrouver dans cette endroit ignoble? Sans doute a cause de mon indiscrétion, ses satanée Cydiens m'on enfermée dans cette vieille cabane. Pour cause? Un minuscule rituel...Sur un enfant. Je ne voulais pas lui faire de mal, j'ai aucune raison d’ailleurs! Les Cydiens son si pleurnichard. Depuis des jours et des nuits ,je tente de me sortir de ce trou, mais cette bicoque merdique est fondée dans le sol et ils
ont verrouillés la porte.

Ce trou résiste a mes coup d'outils fracassé contre le mur, même mon arme ne suffis pas et pas la peine de creuser merci. Dans quelle merdier je me suis mise? Dans un fracas j'entend le tonnerre gronder , une faim inévitable s'empare de moi. L’odeur des racines me remonte au nez, même des racines dégoûtante me fait saliver. J'entend des pas approcher, la pluie s'écoule de toute ses force sur les murs et le toit. Sans réfléchir je quitte le tabouret ou j'étais assise et me hisse le long d'une poutre ou je pris place sous le plafond. Mon arme dans le dos j'attendais avec impatience la venu de ma victime, ou pas.

De toute façons mes hommes son sans aucune doute a ma recherche. Ils ne devraient pas tarder. Mon plan dois fonctionner, Cimber n'est pas loin je le sent.

Un homme s'approche, il ne semble pas avoir remarqué ma présence. Malgré le fait que je suis au dessus de lui. Il pris mon tabouret, s'y assoie et en quelques secondes il sommeille déjà. J'hésite, peut-être que ...je ne dois pas le déranger. Il ne ressemble pas a l'un de mes agresseurs ce n'est pas juste pour lui. Je descendis tranquillement et l'analysa. Un Almer... um. Je pris mon Siangham et glisse la lame sous sa gorge.

-TOI! Debout. Tu a de la nourriture? J'ai une faim de loup.

Haniel somnolait tranquillement sur son tabouret, les bras croisés sur son torse nu. Le bruit de la pluie et du tonnerre couvrait tout les autres bruits environnant. C'est pour cela qu'il ne se rendit pas tout de suite compte qu'il n'était pas seul dans cette cabane perdue au milieu des champs Cydiens. Mais le contact froid d'une lame posée sur son cou le fit trésaillir et il ouvrit brusquement les yeux.
En face de lui se trouvait une elfe. Si notre voleur n'avait que peu d'affection pour les gens qui lui brandissaient des couteaux sous la gorge, il en avait encore moins pour ceux appartenant à la race des elfes. Alors que dire d'une elfe qui lui brandissait un couteau sous la gorge... Disons que pour une première impression elle n'avait pas fait fort.

Haniel la détaillait discrètement pendant que celle-ci cherchait à affirmer sa supériorité en lui donnant des ordres. * Décidément... Les femmes et leur complexe d'infériorité....* Et d'ailleurs, même si il avait eu de la nourriture sur lui, il ne l'aurait pas partagée avec une elfe, mais de toute façon, il n'en avait pas donc la question ne se posait pas. Il se maudissait d'avoir enlevé son manteau où sa dague était toujours cachée dans la manche droite.
Mais aussi, pourquoi est-ce qu'il avait l'impression que toutes les femmes qu'il croisait ses derniers temps avaient tendance à le menacer ? Car ce n'était pas la première fois que cela se passait ainsi, et la dernière fois n'avait pas été une partie de plaisir pour notre pauvre voleur...quoique....

En attendant de trancher pour savoir si la malchance féminine le poursuivait ou si il tombait simplement toujours sur des folles, notre voleur fronça les sourcils en regardant la jeune elfe dans les yeux. Il leva une main et repoussa la lame qui l'empêchait de bouger afin de se redresser puis de se lever. Il s'en alla sans un mot vers son manteau et le remis sur son dos. Ben oui, il avait un minimum de pudeur et de politesse lui... Il se retourna vers l'elfe et décida de jouer la prudence. Car si ils devaient cohabiter ensemble pendant tout le temps que durerait l'orage, mieux valait éviter de s'entre-tuer. La politesse, aussi fausse soit-elle était donc de mise.

-Bonjour... Pour vous répondre, je n'ai rien de comestible sur moi, vous m'en voyez désolé... Je me demande si vous accostez toutes les personnes que vous rencontrez de la sorte, mais sachez que ce n'est pas vraiment le meilleur moyen de faire connaissance. Mais en bon gentleman que je suis, je vous pardonne et vous laisse le seul siège ici présent...

Oui, poli, mais pas trop non plus. Il lui faisait simplement savoir qu'il n'avait guère apprécier sa façon de troubler son sommeil. L'Almer s'assit parterre en tailleur et chercha à s'adosser confortablement contre les outils posés sur le mur. Il ne prêtait plus aucune attention à l'elfe, mais continuait à la surveiller discrètement de coin de l'oeil. Sait-on jamais qu'elle soit habitée d'une quelconque forme de folie meurtrière, mieux valait rester prudent. Mais à présent il se trouvait entre elle est la porte, alors quitte à être trempé, si elle tentait quoique ce soit, il n'aurait qu'à prendre la poudre d'escampette.
Il se tourna finalement vers elle, décidé à oublier ses préjugés sur ces idiots aux oreilles pointues et à faire la conversation.

-Et comment se fait-il que vous vous soyez retrouvée enfermé dans un endroit pareil d'ailleurs?

Car il semblait plus qu'évident que l'elfe avait été là dès le départ, car si quelqu'un avait ouvert la porte après lui, le voleur s'en serait rendu compte. Hors, c'est lui qui avait détruit la fermeture de la porte. Donc quelqu'un avait dû intentionnellement l'enfermer là... A moins qu'elle ai été assez stupide pour se faire prendre au piège par hasard...

Je l'analyse un peu. Je n'ai pas réalisée du haut de la poutre qu'il est , en fait, torse nu. Le grondement incessant du tonnerre, fouette de plus en plus fort prêt de la cabane. L'homme sursaute après le contacte de ma lame sur son coup vulnérable. Pas assez finalement puisqu'il ce lève nonchalamment et pousse ma lame comme une vulgaire paille. Les hommes sont-il a ce poins imbu de leurs personnes? Je le laisse prendre son manteau, pourquoi lui en empêcherais-je ? Je lui laisse le plaisir de profiter de sa supériorité... Pour l'instant. Il me dévisage de la tête aux pieds avec parfois quelques brefs relèvement de sourcil. Cela ne peut signifier qu'une chose... Il est prudent et il n'aime pas les Elfes. Pourquoi? Simplement parce qu'il fixais mes oreilles il y a dix minutes, j'ai toujours eu un don pour la déduction. Au moins je peux me dire que nous partageons un poins commun, je déteste ma propre race aussi. Rien de plus compliqué quand on déteste tout le monde. Il me radote des mots en l'air , qu'a mon avis, il n'a aucune envi de dire. Pour finir en beauté, il me désigne le fameux et splendide tabouret. J'ai presque gloussé, je me fiche royalement de sa personne, si il avait préféré ce faire réveiller a coup de pelle je n'aurait pas demander mieux! De plus si il croit que je vais accepter sa marque de politesse hypocrite, peut-être qu'il ne l'ai pas... Mais il est difficile pour moi de faire confiance a des gens qui me libère de tout sorte de situation. Lorsque cela arrive, ils veulent des récompenses ou bien mon corps parfois , les hommes sont crétins. Mais celui devant moi...m'intrigue.

Il est assis et ne me prête aucune attention et moi de même. J'ai du il y a longtemps partir, mais me tremper? Cela ne me dérange guerre, par contre je préfère attendre que mes hommes me trouve. Pour simplement constater leurs efficacités. Je dépose mes armes sur le sol pour le rassurer un peu, et Je m’assoie en face de lui a quelques décimètre, l'endroit ou il y a de la paille. Il me dévisage encore mais je reste calme et attend. Il me pose une seconde question que je ne répondis pas. Il veux quoi? Que je lui dise qu'un enfant voulais vénérer la déesse Vitany? Un rejeton Cydien en plus, si il croyait pouvoir vénérer une déesse Elfe. Alors je l'ai juste agacée un petit peu, histoire de m'amuser le temps que mes hommes magasine un peu au village. Au début je lui ai demander de tuer un cerf, je croyais qu'il allait s'enfuir en courant, mais non, il a apporter sa carcasse. Je lui ai alors dit de prendre son coeur et de le manger. Je n'ai jamais vue un gamin aussi déterminé, il l'a mangé. Des Cydiens sont venus le chercher lorsqu'il vomissait tout le sang qu'il avait ingurgité. Enfin, ils croyaient que je l'avais blesser a l'arme blanche. Ils sont idiots. L'enfants ,toute foi, niait ma faute alors ils m'on condamné au bûcher en me traitant de sorcière noir démoniaque et je ne sais quoi d'autre. Tout cela pour quoi? Une rigolade avec un gamin. Bon ce gamin est vraiment stupide, jamais je l'aurais laissé manger un coeur de cerf, mais sans dire un mot il précipita le muscle dans sa bouche... Il était en feu ce garçon. Je l'aurais soigné si ses Cydiens n'était pas arrivé. Mais ce qui est fait... est fait. Vivons la vie pleinement et de toute façon aucun fermier serais capable de m’attacher a un bûcher sans me défendre.

- Écouter ... Monsieur, pourquoi s’efforcer de poser une question a une race envers qui vous avez du dédain? Heureusement nous avons ce poins en commun. Pour ce qui est de mon emprisonnement. dis-je en gloussant, je peux me permettre de vous demander qu'elle métier vous exercez?

Le voleur était toujours en tailleur, mais l'elfe était venue s'installer juste en face de lui si bien qu'il ne pouvait plus ignorer sa présence. La réponse à sa question ne se fit pas trop attendre, mais en réalité, la jeune femme n'avait absolument pas répondu à la question posée précédemment par l'Almer. Non, elle s'était contentée de souligner le dédain apparent d'Haniel pour la race des elfes et de préciser, si il avait bien tout compris, qu'elle-même détestait les elfes. Vivre en se détestant soi-même, ça ne devait pas être franchement pratique, mais au moins, elle remontait un peu dans l'estime du voleur.
Quand à la question sur son métier, * Mêle toi de tes oignons* fut la première pensée du grand brun qui se raidit légèrement soudain sur ses gardes. C'était bien la première fois qu'on lui posait la question. Il faut dire que normalement il ne discutait pas franchement avec ses "amis" qu'il préférait dépouiller discrètement avant de disparaître de leur vue. Sauf que là, ils étaient coincés pour un moment, et de toutes façon, à part des armes l'elfe ne semblait rien posséder de valeur sur elle. Et il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même d'avoir voulu innocemment engager la conversation. Il aurait du savoir que ces créatures avaient toujours l'esprit fourbe et étaient douées pour poser les mauvaises questions. Mais qu'à cela ne tienne, Haniel lui, était voleur mais aussi menteur professionnel. Il se détendit donc de nouveau avant de répondre.

-J'essayais simplement d'engager la conversation poliment car il semble que nous soyons forcés de rester ici encore un petit moment, vu l'orage qui fait rage dehors. Hors, pardonnez moi, mais il n'y a pas grand chose d'autre à faire ici!

En temps normal, Haniel aurait très bien pu penser à autre chose pour s'occuper à deux Mais là, il s'agissait d'une elfe, et il s'interdisait depuis toujours tout contact avec cette sous-race.

-Quant à mon métier, je ne suis qu'un simple tanneur d'Erathia venu rendre visite à un confrère cydonien. Et comme je ne connais pas du tout la région, j'avais pensé visiter un peu les alentours et je me suis finalement retrouvé pris au piège par la pluie, ce qui m'a valu cette magnifique rencontre.

Le voleur venait de débiter ce tissu de mensonges d'un ton absolument neutre, mais il avait cependant insisté sur le mot 'magnifique', d'un air quelque peu moqueur. Oui, il est de source connue que les elfes ont tendance à se croire les êtres les plus beaux de ce bas monde. Et il est vrai que le spécimen se trouvant en face de lui n'était certainement pas le plus moche.
Mais maintenant qu'il avait répondu aux questions qui lui étaient posées, il s'estimait en droit d'avoir une réponse digne de ses propres questions.

-Bien, maintenant aurais-je l'honneur de savoir à qui j'ai affaire? Et le motif de votre présence en ces lieux un peu hostiles aux jeunes demoiselles en détresse?

Il ne la traitait pas vraiment de jeune demoiselle en détresse, cela va de soi, après tout, les armes qu'elle avait déposées un peu plus loin lui laissaient aisément comprendre qu'elle savait se défendre. Mieux valait donc jouer la carte de la diplomatie.
De petits picotements se firent sentir dans les jambes du voleur qui fut bientôt contraint de changer de position. Il allongea donc ses jambes qui, vu l'étroitesse de l'endroit, se retrouvèrent presque sur les genoux de l'elfe qui lui faisait toujours face. Décidément, cet endroit était bien le moins pratique du monde pour faire la conversation à quelqu'un. Et en plus de ça, il était absolument inconfortable. Il jeta un bref coup d'oeil à sa chemise qui continuait de pendre lamentablement non loin d'eux sur un manche de pelle, et qui continuait de s'égoutter lentement sur le sol. Sol qui absorbait rapidement chaque goutte qui lui parvenait si bien que de la boue commençait à s'y former. Haniel reporta finalement son regard sur la jeune elfe, attendant une réponse plus conséquente cette fois.

Le voleur était toujours assis face à la jeune femme et attendait sa réponse qui tardait tout de même à venir. Il écoutait distraitement la pluie tomber sur le toit de la cabane où ils se trouvaient. Aucun signe d'affaiblissement en vue. Mais enfin, la voix de l'elfe vint de nouveau rompre le silence qui s'était installé entre eux. Une réponse pas extrêmement satisfaisante, mais il y avait du progrès tout de même.
Ainsi, il apprit qu'elle s'appelait Lunaya et n'avait pas de nom de famille. * Les elfes ont toujours été des êtres singuliers de toute façon*. Elle avait été, selon ses dires, prise au piège ici à cause d'un enfant... Haniel retint un fou-rire qui se traduisit par un simple sourire, un peu moqueur il faut l'avouer. Ainsi, celle qui venait de le menacer avec son couteau d'un air féroce s'était laissée attraper par un enfant! Voilà qui avait de quoi faire rire. Le grand brun ne savait pas exactement comment cela avait pu se passer, mais la façon dont il se l'imaginait, était plus que comique.

Une grande prêtresse elfe, ou quoi que ce soit d'autre d'ailleurs, rencontrant sur le chemin un bambin entrain de pleurer. Son instinct maternelle se réveillant soudain, la voilà qui s'inquiète de la raison des pleurs du pauvre enfant. Ce dernier lui montre la cabane et lui dit qu'un méchant Cydien y a cacher son doudou dedans mais qu'il n'ose pas y aller pour le récupérer. Et la gentille elfe décidant héroïquement de lui venir en aide. Oui mais voilà, le gamin avait enfaite fait le pari avec ses amis d'y enfermer la première personne qu'il croiserait. Pari tenu, pari réussi.
Oui, le voleur avait de l'imagination, après tout, un brigand sans imagination aurait bien du mal à piéger ses proies. Il faut être inventif, c'est sur l'imagination que repose toute la réussite d'un voleur. Et certes, il y avait de fortes chances pour que l'elfe ne se soit pas retrouvé là de cette manière. Mais puisqu'elle ne voulait en dire plus, Haniel avait bien le droit de se représenter la scène comme il lui plaisait. Alors qu'il s'apprêtait à répondre à la jeune elfe, un étrange craquement relativement fort se fit entendre au dehors.

Lunaya avait elle aussi entendu puisqu'elle lui demanda confirmation. Oui, il avait lui aussi entendu et à moins que la jeune femme ait de la visite, il ne pouvait s'agir que d'étrangers. Quant à savoir si il s'agissait de personne bien intentionnées ou non, c'était impossible. Après tout, il pouvait peut-être s'agir de simples voyageurs venus, eux aussi, se mettre à l'abris de la pluie. Il n'y avait aucun mal à cela.
Mais Haniel préféra cependant se remettre debout, sur ses gardes. Il passa chacune de ses mains dans la manche opposée de son manteau de sorte qu'on ne pouvait plus les voir.
En réalité, il ne faisait que récupérer sa dague cachée là. On n'est jamais trop prudent.

-J'ai entendu oui...Vous attendez du monde?

Oui, après tout, avant de faire quoi que ce soit de stupide, autant se mettre au courant de la situation. Si la jeune elfe était enfermée là depuis plusieurs jours, il y avait de forte chance pour que quelqu'un se soit mis à s'inquiéter et à la rechercher. A moins évidemment qu'elle n'ai pas d'amis... Un nouveau sourire étira les lèvres du voleur qui fit signe à l'elfe de se mettre debout.
Quelques craquements, moins fort cette fois se firent entendre, comme si quelqu'un faisait le tour de la cabane en marchant, et si son ouïe n'était pas faussée par l'écho de la pluie, il y avait de fortes chances que la personne en question apparaisse bientôt dans l'embrasure de la porte.

L'homme me demande méfiant, si j'attendais quelqu'un. Je ne suis pas l'être la plus bavarde, mais tout de même ... Je ne crois pas que, laisser quelqu'un dans l'ignorance sera juste. Cependant, je ne reconnaissais pas la méthode qu'employaient mes hommes. Avant de me rejoindre ils auraient, sans doute, envoyé un corbeau ou je ne sais quoi d'autre. Disons simplement que les disciples de Vitany, comme je le suis, son tabou et détester. Ses Cydien veulent peut-être en finir avec moi pour de bon? Maintenant qu'ils me croient faible?

- Mes hommes, dis-je durement, mais ce ne sont pas eux j'en suis certaine.

L'homme déjà sur pied fixait la porte et me fit signe. je redresse la tête et me lève finalement. Je dirige doucement mes pieds vers la droite pour toucher mon Siangham, grâce à un léger coup de pied, le propulse légèrement en hauteur pour l'attraper et vise la porte. Mon bâton légèrement abîmé ne pourra être utile que quelques minutes, heureusement que mon arc et mes flèches son à mon porter. Mon arme rivée vers la porte j'attends impatiemment ce qui se produira. Je ne m'y attendais pas, le petit garçon la bouche et sa chemise encore couverte de sang se dresse devant nous, de plus il est tout trempé a cause du temps maussade qui gronde à l'extérieur. Mais que fait-il ici ce gamin? Je rêve? Il a l'air démenti, un possédé. Va-t-il me laisser tranquille? Je baisse mon arme furieuse et fixe le garçon durement.

-Dégage gamin! Il faut être crétin pour obéir à des âneries plutôt que retourner sagement chez soi Va-t'en

Ce n'est peut-être pas juste de demander à un garçon de repartir avec le temps qu'il fait. Mais bon, je m'en fiche royalement. C'est alors que le garçon boudeur s’avance et hurle:

- amène-moi avec toi Dame obsidienne! Ou je vais dire à tout le monde qui tu es vraiment.

Eh merde. Les jeux de l'incognito sont terminés, l'empaleur, s'il a un minimum de culture, doit savoir que je dirige l'ordre Obsidien et que je suis rechercher des Astorgs. C'est génial. Si par chance il ne sais pas qui je suis et tout l'or que je lui apporterais , je devrais bien m'en sortir. Je dois m'occuper de ce garçon, je ne vais pas le tuer bien sur ... Mais il faut trouver quelques choses.

[ Lunaya nous ayant quitté, le topic est terminé, merci d'en prendre note dans ton/vos dossier(s). ]