Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-35%
Le deal à ne pas rater :
Philips Hue Kit de démarrage : 3 Ampoules Hue E27 White + Pont de ...
64.99 € 99.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Jibba Freyr, Guide physique et spirituel.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

Jibba
Jibba
Nombre de messages : 2

Feuille de personnage
Compétences:
Compétences bonus:
Réputation :
Jibba Freyr, Guide physique et spirituel. Left_bar_bleue1/10Jibba Freyr, Guide physique et spirituel. Empty_bar_bleue  (1/10)

Jibba Freyr, Guide physique et spirituel. Empty
MessageSujet:
Jibba Freyr, Guide physique et spirituel.
   Jibba Freyr, Guide physique et spirituel. EmptyLun 3 Mar - 15:12


Renseignements généraux
Nom (facultatif) : Freyr
Prénom : Jibba
Âge : 23 ans
Race : Elfe
Langues: Elfique, Cydien, Aastorg, Bases de Nua et de langue Almer, langue Jinmen complètement inconnue. (Cette compréhension massive de langue vient du fait qu'elle les aient appris auprès de voyageur comprenant l'importance de comprendre toute personne qui viendrait à sa rencontre en sa qualité de chamane ou de guide.)
Cité d'appartenance: Silmarie, néanmoins Jibba ne reste que très peu dans la cité qui l'a vue naître.
Métier:Chamane & Guide (Vagabonde)
Position (facultatif): Aucune position particulière
Main dominante: Gauchère



Possessions
Monture ou engin : /
Arme: Bâton Chamanique rituel (cf avatar)
Armure: Un vêtement en tissu noir descendant d'un épaule de Jibba jusqu'au bas des chevilles, resserré à la taille par un rectangle de tissu rouge/ocre sombre présentant une bande blanche. Ce à quoi ce superpose sur les épaules de la jeune femme, un large et vieux châle de tissu rouge sombre et un besace en cuir portée en bandoulière serrée au corps, pour être pratique et ne pas gêner les mouvements. La pièce la plus intrigante de cet ensemble étant peut être le chapeau en fourrure de chèvre auquel elle à sertie deux branches brûlées aux pointes.  
Roleplay
Compétences: Survie, Rituel
Compétence bonus (si offerte par le métier): /
Faiblesses: N'a aucune chance de battre qui que ce soit en combat de front.
But du personnage:A terme le rêve de Jibba serait de purger Azthia de tout esprit malsain pour que règne sur le continent une longue harmonie entre les peuples. Mais ce but semble bien loin...  

Description physique
Si elle a visiblement héritée de la beauté des Elfes de Silmarie, n'en reste pas moins chétive par rapport à la moyenne de sa race, atteignant avec difficulté le mètre 65, les cheveux longs de couleur brun-noir, la peau blanche et les yeux onyx lui donnent une apparence est fort avenante, voir même attirante. Néanmoins le chapeau de fourrure de chèvre rappelle assez vite qu'elle n'est pas vraiment une elfe noble et discutant facilement comme on en voit tant.
Et si cela n'était pas assez le corps de cette elfe apparaît être bien frêle, et pour cause elle ne se nourrit jamais de viande trouvant plus facile l'accès aux baies et fruits et en particulier car elle ne peux pas se résoudre à chasser des êtres avec lesquels elle entretien une connexion.
Même son chapeau de fourrure de chèvre n'est en réalité qu'un morceau de tonsure de chèvre et non un découpage dermique comme pour tant de peaux.



Caractère, qualité et défauts:
Bien souvent calme et solitaire, elle aime tout de même à discuter avec les voyageurs qu'elle accompagne. Jibba est au final très simple, elle prône la joie d'être en vie et saint d'esprit, elle est en général heureuse et calme. Elle n'est pas une fille facile à vexer et respire encore la jeunesse même après tant d'années seule.
Mais aussi joyeuse soit elle son sérieux revient très vite en présence du malin, de mauvais esprits, ou de voyageurs cherchant conseils. Elle accomplit sont  travail de chaman avec ferveur.
Méfiante et intelligente, elle sondera bien souvent les intentions de ses clients, et avant même qu'un client mal intentionné est compris qu'il était percé à jour, elle aura disparut, l'abandonnant dans les bois ou le guidant vers la mauvaise cité la plus proche.
Malheureusement elle part tout de même de l'idée que les gens sont bons par nature et bien souvent elle à été trahie par des gens qu'elle côtoyait depuis des années.
Elle à également le défaut de ne pas avoir assez peur de ceux qui lui veule du mal si bien qu'elle s'est parfois approchée bien prêt d'Erathia pour une Elfe.



Biographie:
Jibba est née d'une union entre une Elfe des bois et un Elfe de Silmarie, toute petite elle eu la plus heureuse des vies ses parents lui accordait tout ce dont avait besoin une toute petite fille, un foyer, de l'amour, de l'aide dans des moments durs. Elle se destinait alors à devenir une noble Elfe de la cité et à se distinguer auprès des plus grands en politique ou en religion.

Jusqu'à ses quatorze ans elle vécue heureuse, suivit le cursus scolaire Politique Elfique normal dans la cité de Silmarie. Entourée de ses amis, elle se sentait plutôt bien. Puis se passa ce qui se passa, la famille de Jibba commençait à avoir du mal à payer l'éducation de la jeune Elfe, du fait de l'incapacité de son père à marcher ce causé par une jambe cassée dans un bête accident d'escalier cette dernière prit donc un travail pour aider et sur la moitié de son temps d'éducation travaillait en tant que serveuse dans un de ces restaurants fins et raffinés si réputés de la cité Elfique. Ce travail l'éloignait peu à peu des autres, elle n'avait plus de temps à leur consacrer si bien qu'au bout d'une petite années tout ses amis n'étaient plus que des connaissances sauf Tessimi qui était lui alors dans les mêmes difficultés que Jibba. Puis alors qu'on se demandait quand son père guérirait on appris qu'en réalité les nerfs de la jambe droite du père de Jibba avaient été sectionnés.
Son père ne remarcherait plus.

Il lui devint bientôt impossible de payer ses études en politique sa mère ne pouvant l'aider plus à supporter le prix de telles études en plus d'un homme de qui il fallait prendre soin. Jibba sortit des études de politique pour se consacrer à son travail de serveuse que Tessimi lui avait fait obtenir, pour au moins pouvoir vivre.

Elle vécu la des années tant ennuyeuses, que dures à supporter. Que ce soit pour le manques de fonds que pour les remarques des autres elfes, méprisant la pauvreté, et se moquant étrangement de sa chétive taille. Les Elfes des bois n'étaient jamais bien vus et être une métisse des deux races ne changeait rien à la donne, voir même cela l'empirait car elle avait vécu parmi les Elfes de Silmarie et avait adopté leurs coutumes être rejetée par ses paires pour son apparence différente, et ses difficultés lui fît du mal. Beaucoup.

A l'âge de ses 17 ans elle quitta le foyer familial mais continua de les supporter financièrement, et de passer régulièrement elle ne voulait simplement plus être un poids pour eux.

Tout les jours elle voyait des masses de clients, des clients partout, il n'y avait que cela, elle servait, tout les jours, plein de clients. Elle disait bonjour, discutait avec eux et leur vendait les plats. Il n'y avait pas serveuse plus obéissante dans tout Silmarie, elle ignorait même les railleries de ses camarades serveurs quant à sa petite taille ou les remarques disons déplacées.

Un jour alors que la jeune serveuse quittait son travail un client légèrement inhibé la suivit et lui fit des avances disons ...poussées. Le client tentant de la toucher, elle le gifla violement. Alors qu'il regardait un de ses collègues eût une idée, le lendemain, en avance comme tout les jours, Jibba nettoyait la cuisine du restaurant elle tomba alors nez à nez avec Tessimi. Ce fameux collègue ayant aperçu la scène la veille. Ce dernier lui expliqua qu'elle avait eût raison d'agir ainsi. Qu'il n'y avait pas d'autres solutions, ceci étonna un peu Jibba, Tessimi n'était pas usuellement du genre réconfortant.

Une semaine après, à la même heure Tessimi était encore là, ils discutèrent longuement, puis arriva l'heure du service, la journée battait son plein et passa sans accrocs. Le soir alors qu'elle partait Jibba revu Tessimi ce dernier lui dit qu'il la protègerait en cas de clients inhibés. Cette remarque fît rire Jibba et ils passèrent ensemble un bon petit moment sur le chemin du retour, mais alors que Jibba s'apprêtait à rentrer chez elle, Tessimi la retint par la main, se  demandant ce qui se passait Jibba se retourna. Et le regarda, intriguée.
Il se jeta à l'eau.
Il changerait à jamais sa vie.
D'un geste amoureusement protecteur
Il arracha son cœur...
Pour le jeter, le déchirer, l'étrangler, car plus que son cœur il arracha les vêtements de Jibba. La violence de l'excitation, le mâle exultant, la femelle tentant de se défendre, tentant de s'extirper de l'étreinte possessive, de la folie du mâle. Elle criait, une main sur la bouche, entièrement nue, les joues rouge des gifles douces, des caresses violentes de son profiteur de protecteur. Au sol, se débattant, elle allait s'évanouir, le black out, elle voyait tout en blanc, tout mettait à tourner, alors, dans un effort salvateur elle taillada la chair d'une main avec ses dents et avala un monceau de chair. Un cri strident, elle se releva. Nue, elle courait, traversa Silmarie, tout le monde la vit, dénudée, déshonorée, ou aller ? Ou se cacher ? Ou pouvait elle encore vivre ? Elle couru en ligne droite, loin, très loin jusqu'à une forêt, ou elle s'évanouit finalement, sur le sol elle perdit connaissance, là à l'abris des hommes.  

Deux jour plus tard, elle se réveillait, sale, toujours nue, en position fœtale de la terre et des feuilles la recouvrant, des fourmis profitant de son corps comme d'un pont, piquées sur plusieurs endroits, en larme, elle ne bougeait plus, elle gémissait, au sol. Blanche, maigre, en manque de nourriture. Cela lui pris douze heures de plus de se mettre sur ses genoux pour se déplacer, tel un animal elle cherchait de l'eau, elle allait mourir, elle était perdue et assoiffée.

C'est une flaque qu'elle trouva, elle bu, avidement. Tout sens commun était perdu, elle ne savait pas du tout ce qu'elle faisait, elle survivait. Elle se rendormit et se réveilla encore une fois 6 heures après. Elle devait manger, se dressant, debout tant que possible, elle attrapait un fruit, et croqua dedans avec entrain... Il était doux, sucré, délicieux, rassasiant, un peu salé comme un goût de fer, comme...
Elle vomit sur le sol.
La chair, le gout de la chair humaine était encore dans sa bouche, elle vomit tout ce qu'elle pouvait vomir, horreur, cannibalisme, elle n'était pas une barbare comment avait elle pu ?
D'une flaque elle se lava la bouche, passant et crachant de l'eau, tentant d'oublier mais cela la hantait. Cela la hantait tellement. Comment avait il pu faire cela.. ? Pourquoi ?
Le cinquième jour, à bout de force, elle trouvait un étang. Elle ne pensait plus, elle ne se demandait plus, elle n'était qu'un être errant, vide, n'attendant que la mort. Elle pu enfin se nourrir, elle ne pensait plus à rien. Elle avala des champignons trouvés dans la boue non loin.
26 kilos pour 1m65. Elle était un squelette mouvant. Elle traversait la forêt, errant, tout les soirs elle ne s'endormait pas elle perdait connaissance, n'ayant plus de notion de rien, c'est la fatigue physique qui la rappelait bien souvent à l'ordre, tout les soirs elle croyait mourir. M
Mais elle constatait chaque matin qu'elle n'avait pas encore eu cette chance.. Maintenant son poids de squelette en se forçant elle même a s'alimenter. Le visage et son corps nu couvert de boue, de feuilles, de brindilles, laissant par endroits apparaître sa peau blanche comme pour rappeler qu'elle avait une fois été une elfe de Silmarie...  

Pendant 3 mois elle survécus au rythme du soleil et de la lune, avalant le peu qu'elle savait comestible. Survivant sans penser. Marchant sans but. Errant sans raison. De beaucoup eût dit qu'elle attendait la mort.
Son poids était néanmoins remonté, elle atteignait maintenant les 32 kilos pour 1m65. Grandiose.
Elle s'endormit alors comme tout les jours, mais à sa grande surprise et peut être horreur elle se réveilla le lendemain matin sur un lit, entre des murs de bois, faite en bois sentant la sève et la moisissure, ce taudis crissait de lui même sans qu'elle aie eu besoin de bouger. Affolée, ne savant pas ou elle était, elle se releva en sursaut, des vêtement ... elle était enveloppée d'un drap ! On l'avait touchée ! Horreur. Et... Propre. Elle était propre.
Horreur encore une fois, aurait on osé ? On avait surement profité d'elle. Ou on voulait la réduire en esclavage, c'était certain, qui d'autre récupère une jolie jeune fille et la lave entièrement, même dans ses endroits les plus intimes ?
Bien que propre elle se sentait sale, très sale, tout ça pour rien au final, elle avait fuit pour rien, son destin était il d'être passée de famille en famille en tant qu'esclave sexuelle ?
Surement.

Vers la porte. Sortir. Elle se précipita, enfonça plus ou moins ce qui servait de porte et abouti sur...
La forêt. La forêt et un homme, le voilà. L'esclavagiste. Le kidnappeur, tout chez lui indiquait le fléau du marchandage d'esclave. Ses long cheveux frisés et blancs des années passées dans le commerce, sa barbe longue et soignée pour être présentable. Son teint très mat, un Almer. Ses vêtement longs, et amples, assit en tailleur, il avait vicieusement attendu qu'elle sorte.
Ses yeux plissés presque fermés semblait la regarder. Sa main se leva et lui fît signe de s'arrêter, tel un animal perdu, elle obéit sans poser de question elle n'avait de but ni de contrainte alors elle obéit.

Du calme jeune fille.

Elle ne répondit pas. Elle n'avait pas parlé depuis trois moi, elle paniquait dans sa tête elle ne savait pas trouver de mots, elle se sentait dépossédée de ses moyens. Elle s'apercevait maintenant de ce qu'elle avait été pendant trois mois. Un animal.

Ne cherche pas à me répondre, assieds toi, écoute moi .

Elle s'assis sur le sol humide, sur ses genoux, en face de l'homme, à 6 mètres environs.

Je m'appelle Dara'U'Naed, je suis un Nua métissé avec une Almer, n'aie peur, je ne te veux rien. Je t'offre cette maison. Je t'offre à manger. Je t'offre ces vêtements. Tu peux choisir de rester ou de partir, libre à toi.

Elle n'avait nulle part ou aller, alors elle pensa à rester.

Maintenant hoche la tête si tu veux rester, pars si tu veux partir.

Elle hochait la tête.

Bien. Repose toi et mange donc. Je t'apporterais tes repas aux heures ou tu en auras besoin. Dors pour l'instant. A l'intérieur de la cabane tu as une barre en bois qui sert de loquet si tu as peur de moi.

Elle ne bougeait pas, elle était perdue. Elle décida finalement de retourner à l'intérieur de la cabane et ferma la cabane grâce à la barre en bois. Six heures plus tard, des pas se firent entendre. Jibba regarda par un petit trou dans la porte c'était l'homme. Il passa un plateau de baies et de fruits sous la porte et parti sans rien demander de plus, ne cherchant à savoir si elle était réveillée ou non.
Elle hésita puis avala les baies et fruits goulument, avant de se recoucher. Six heures plus tars encore elle entendit de nouveau des pas qui la réveillèrent. Le plateau un peu plus garnis et l'homme qui repartait.
Pendant deux jour ce manège perdura ainsi. Puis au bout de douze heures du troisième jour, elle était bien plus en forme. 44 kilos pour 1m65 c'était beaucoup mieux. Elle attendit l'arrivée de l'homme et alors qu'il allait s'en aller elle murmura.

-Merci

Le vieil homme s'arrêta, sourit, et versa une larme. L'elfe ne le vit pas mais Dara'U pleurait doucement de joie. Il se reprit avant de dire bas mais assez haut pour être entendu.

Avez vous un nom jeune fille ? Le ton était doux, l'homme souriait mais était de dos à la porte...
- J... Jibba. Je m'appelle Jibba.

Articuler des mots, cela faisait tant de bien, elle sentait qu'elle reprenait possession de son corps.

Restez tant que vous voudrez ici Jeune Jibba.

Ce nom, Jibba, faisait tellement de bien à entendre, elle était à nouveau une personne, plus un monstre rejeté par les engrenages de la vie.

A plus tard Jibba.

L'homme parti, doucement en marchant, un panier sur l'épaule. A la confiance succéda la curiosité, ou partait il, d'où venait il, ou dormait il, ou trouvait il à manger, qui était il. Jibba voulait tout savoir, tout.
Mais pour cela un obstacle se posait, cette porte sur le monde extérieur. C'est la nuit, à l'abris de tout regard qu'elle l'a franchit. Elle ouvrit doucement le "loquet" et posa les pieds dehors, elle entendit une respiration. Assis, contre le fondement de la cabane, dormait le vieil homme, torse nu, dieu qu'il était maigre.
Mais dormait il toujours ici ? Jibba n'eût pas le courage de la réveiller et préféra rentrer de nouveau à l'intérieur, sans verrouiller la porte cette fois.

Elle remarqua que son lit était un lit de fortune, de la paille et un drap ancien lui servait en fait de matelât, à coté d'elle, au sol, un  tapis épais de paille tressée reposait.. Un lit, il lui avait laissé sa chambre et avait dormit dehors tout ce temps ? Elle peinait à le croire... Mais tout de même cet homme en semblait bien capable.  

Le lendemain elle se réveilla avant que l'homme ne lui apporte son petit déjeuné et entrouvrit la porte,  alors à l'heure du repas Dara'U' ne passa pas le plateau par dessous la porte mais ouvrit la porte doucement et le posa, Jibba faisant tout ce temps semblant de dormir mais en réalité dévisageant l'homme d'un œil entrouvert, sa tête passa la porte au moment où il posa le plateau. Il la regarda innocemment, et sourit en se relevant. Puis il parti, le lendemain Jibba répétait l'action mais cette fois ci mit en évidence qu'elle était réveillée en s'asseyant sur le lit.
Alors Dara'U' tourna la tête et dit gentiment...

- Bonjour Jibba

- B-bonjour

- Tout vas bien aujourd'hui ?

- Oui.. oui je crois. Je..

-Qu'y a t'il ?

- J'ai une question.

- Je t'écoute Il était calme et souriant, rassurant comme aucun homme n'aurait pu l'être plus.

- P-Pourquoi ?

- Car je n'ai pas pour habitude d'ignorer les âmes en peine. Tu as besoin de soutiens, tu as pu et tu pourras toujours compter sur moi.

- Mais vous ne me connaissez pas...

- Je n'ai pas eu besoin de te connaître pour comprendre que tu avais besoin d'aide et de réconfort. J'ai juste eu à te regarder, à te sonder.

- Alors...

- Oui, j'aurais fait pareil pour n'importe qui. Il sourit. Jibba ne savait pas quoi répondre, l'homme avait fait bien trop pour elle, s'était gênant. Dara'U' compris qu'elle ne trouvais pas de mots, il était temps.

- Bon j'ai à récolter des fruits pour nous deux... veux tu m'aider ? Ça te défoulerais un peu.

Il était gentil au sens premier du terme. Chaleureux, gentil, attentionné.

- D'accord, oui... Je... j'arrive


Mon heure de gloire !
Votre prénom(facultatif):Yasmeen (Yasmeen-Nawal en complet)
D'où venez vous? (facultatif) Franco-Pakistanaise
Âge (facultatif): 18 ans :3
Avez-vous lu et approuvé les règles? Oui d'ailleurs je doit dire que... [Validé]
Comment avez-vous connu le forum? Par mon colloc ^^
Idées, remarques ou suggestions? Oui. Une. Remarque: Le forum à l'air génial.  cherry 
Revenir en haut Aller en bas
 

Jibba Freyr, Guide physique et spirituel.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» [D-A] Besoin d'un guide svp ! (mission Wolfar) (fini)
» Wolfar compagnon Guide pour vous servir [Fini]
» [151][Début printemps] Le premier voyage du Guide (pv Volesprit) [FINIS]
» [DA]Voyager, c'est bien. Avec un guide, c'est mieux !(pv Arsher) (fini)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Azthia :: Hors-jeu :: Archives et Corbeille :: Corbeille :: Dossiers & fiches-