Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais

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Aziril
Aziril
Nombre de messages : 8
Race et âge : Nua, 28 ans
Cité : Cydonia
Métier : Gladiatrice

Feuille de personnage
Compétences: Régénération, Soin, Mysticisme
Compétences bonus:
Réputation :
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MessageSujet:
Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais
   Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais EmptyDim 13 Mar - 16:21

Nom (facultatif): Isdaëlis
Prénom: Aziril
Âge: Vingt-huit ans
Race: Nua, avec une lointaine ascendance elfique
Cité/groupe d'appartenance: Cydonia
Métier: Gladiateur
Position (facultatif):
Monture/engin:
Arme: "Tout ce qui me permet de survivre ? Une épée qui vieillit trop aujourd'hui, un couteau assez long pour faire réfléchir à deux fois, et une tête bien remplie."
Armure: De simples brassards de cuir.
Compétences choisies: Soins, régénération, mysticisme.
Faiblesse: Récemment sujette à son pouvoir de mystique, constitution relativement fragile, Combat à mains nues, Monture.
Main dominante: Droite
But du personnage: Retourner à sa terre d'origine
Nom de votre échoppe:

Description physique:

"Une fleur des sables perdue dans les larges avenues de la cité. Elle avait une tunique aux couleurs de feuille morte, taillée court à mi-cuisse et aux épaules. J'observais à loisir sa chair ambrée dans laquelle le soleil avait manifestement pleinement mordu au cours de son existence passée. Elle était de taille moyenne mais très fine, ce qui la faisait paraître minuscule dans la foule. Mince, ça elle l'était : des épaules, mais aussi de la poitrine et des hanches. Je craignais que la rencontre avec un passant ne la fasse voler en éclats bien qu’elle semblât en bonne forme, mais elle évoluait dans le courant humain avec une aisance déconcertante… comme si elle appartenait à un autre ordre que le nôtre, diaphane et aussi léger qu'un courant d'air. Il me semble même l'avoir vue éviter une bousculade qui, pourtant, arrivait sur sa droite alors qu'elle regardait droit devant elle. Ses yeux, lorsqu'ils croisèrent brièvement les miens, me donnèrent l'impression qu'elle ne m'avait même pas vraiment vu. Ceci dit ils ne manquaient pas de charme, sombres et chauds ainsi qu'un soleil s'éteignant dans la mer. Elle avait de longs cheveux d'une noirceur extraordinaire, qui suffirait presque à démentir toute appartenance à une quelconque terre du Nord. Elle encadrait superbement son visage, qu'elle avait délicat, avec des traits que je n'avais jamais vu aussi peu acérés. Pourtant, j'éprouvais un certain malaise en me faisant cette idée d'innocence paisible à son sujet, un peu comme si elle avait voulu que je pense ceci et qu'elle s'en amusait. Mais c'est idiot, n'est-ce pas...?"
Jenfried, passant


Caractère, qualités et défauts:

"Aziril ? Oui, parfaitement, je la connais bien. Du moins, autant qu'elle peut se laisser approcher. Sous ses dehors calmes, c'est une véritable tempête à problèmes, vous savez. Certes, elle détient une certaine maîtrise d'elle-même qui peut confiner à de l'impassibilité, et certes elle est capable de conserver un masque impavide dans des situations où certains chercheraient déjà la porte de sortie, mais voyez-vous, il ne s'agit là que d'un vernis. Et pas aussi solide qu'elle voudrait bien le faire croire. Sous la surface, vous trouverez chez Aziril un lac profond d'émotions parfois contradictoires - ou alors c'est l'impression que cela donne, de l'extérieur. Je ne compte plus ses sautes d'humeurs journalières, où elle passe de la mélancolie à la colère fulminante avec une brève toux en guise d'avertissement. Une sacrée bonne femme, capable de vous sortir un tempérament d'ourse tirée de son hibernation derrière la façade d'un ange indolent. Non, vraiment, je serais vous, je me méfierai."

Malik Zeyef, boulanger

"Et les dieux créèrent l'amour ; ainsi les hommes surent qu'ils avaient un coeur, qui pouvait sauter et de joie et de douleur. Aziril a chassé l'amour du sien, et ce n'est que de souffrance qu'il parvient encore à vibrer, croyez-moi. Sous sa colère, il y a de la douleur. Sous sa frustration, il y a de la douleur. Et s'il y a de la douleur en elle, c'est parce qu'Aziril est pleine de rancoeur. Contre qui, je ne pense pas être capable de l'affirmer, mais j'en plains sincèrement l'objet. J'espère juste qu'il ne s'agit pas d'elle-même. Mais, après tout, pourquoi quelqu'un d'aussi droit, avec autant de valeurs morales, s'en voudrait avec une virulence aussi soutenue ?"
Akdul Din'arin, poète itinérant


Biographie:

"Toutes les histoires n'ont pas toujours été faites pour être entendues. Il y en a de belles, de joliment tristes ou de joliment gaies, mais d'autres n'ont en elles ni beauté, ni douceur, et c'est le visage caché de votre propre nature qu'elles vous renvoient à la face. Et on pourrait se dire que celle d'une esclave n'a jamais rien eu de lumineux et que tout n'y fut que malheur ; c'est faux. Je garde précieusement, au fond de moi, tous les éclats de bonheur que j'ai possédés au cours de mon existence, et ils ne sont pas si rares. Mais peut-être que seule la saveur amère de la soumission en faisait des instants de joie. Je ne sais pas s'il y a réellement lieu de se réjouir d'un sourire et du contact d'une main secourable dans la paume ; je sais juste que je chéris ce genre d'effleurement, et ça me suffit pour déclarer qu'il s'agit de fragments de bonheur.

Je suis née sur une île sans doute lointaine, où les arbres sont maigres et effeuillés sur l'écorce, où la terre est soit couverte d'un humus épais, soit faite de sable épais, où le vent ne vous abandonne jamais tant la côte est toujours proche, où que vous soyez. C'est là que vivaient les miens, les Nuas, ceux dont certains s'arrogent le droit de vie et de mort en en faisant des esclaves. Mon enfance n'a pas été malheureuse ; elle était faite de pêche, de tressage de filets et de colliers, des rires d'une famille unie et de la simple satisfaction de savoir son avenir déjà tracé et serein. Peut-être que cette vie ne vous aurait pas convenu, à vous, avec ses privations et sa vague sauvagerie. A moi, elle était idyllique... Enfin, je ne sais pas si elle me semblait aussi précieuse à l'époque, mais à présent que je l'ai perdue, je ne peux m'empêcher de ressentir une vive douleur face à son souvenir.

Neuf ans, je retourne au village. J'ai un panier sous le bras, des coquillages trempés en tapissent le fond, et j'ai même réussi à ramener un poisson. Certes, on l'a harponné pour moi, et avec un sourire timide en prime, mais cela fait chaud au coeur tout de même. La brise joue dans les cheveux, le soleil rit dans son ciel dégagé, et je pense déjà aux bras de mes parents qui se refermeront sur moi dans à peine une heure. C'est là que j'entends ce rugissement. Il n'avait rien d'animal, rien de bestial, pas du tout. Et c'était ce qui le rendait si effrayant ; cette vocifération victorieuse, pleine de triomphe, et subitement une poignée d'hommes qui courent dans ma direction. Comment ne pouvais-je les avoir vu plus tôt ? A peine cette réflexion me frappe-t-elle que je m'écroule, frappée à la tempe.
Je n'ai pas été la seule. Sur le navire qui nous a emmenés, nous étions dix-sept, et nous nous connaissions tous. Chacun s'était absenté seul à un moment ou à un autre de la même journée, et avait fini mis aux fers et jeté au fond de cette cale humide. Le voyage a duré longtemps ; trop pour le peu de place, trop pour le peu de nourriture et d'eau. La joie que j'ai eu de ces moments immondes, passés dans l'odeur insupportable de dix-sept personnes privées de savon et de toilettes ? Celle d'avoir échappée au mal de mer.

J'ai été vendue sous la cape, à un couple de marchands fortunés qui n'arrivaient pas à avoir un enfant. Je ne sais pas s'ils ont un jour compris pourquoi leur amour, sincère, m'était si abominable. Pour eux, j'étais une petite enfant ingrate qui, après tout, avait été tirée d'une quelconque tribu dénuée de toute culture et soigneusement posée sur leurs coussins brodés. Ils ne voyaient pas qu'ils n'étaient que des vautours d'affection, des égoïstes égocentriques chargés d'une certaine hypocrisie. Ce portrait n'est pas injuste, mais il faut avouer qu'il est réducteur. J'ai découvert, de ma vie avec eux, que l'homme avait ce don de pouvoir mêler ombre et lumière en lui, et surtout dans ses sentiments.
J'ai reçu une éducation sévère et étendue. Au départ, je me murais dans un mutisme de mort, allant parfois jusqu'à griffer ou mordre quiconque cherchait à m'en tirer. Mais mon nouveau père n'était pas un imbécile, loin de là. Peu à peu, progressivement, à force de cajoleries innocentes, il m'a amenée à parler. Et de parler, à pleurer. Ce n'était que dans les larmes et les sanglots que je pouvais me libérer de ma haine de lui et de sa femme.

J'ai fini par grandir en bonne intelligence, et nous avons quelques temps formé une bien singulière famille. J'oubliais même mes origines en tant qu'adolescente, ce qui m'aurait été une trahison plus tôt. Cet homme, sincèrement affectif quoique parfois strict et dur, m'ouvrait à ce monde qui était le sien. Celui du civilisé, voire du mondain, du politiquement correct. C'est étrange, et troublant, de penser qu'il m'aimait vraiment et qu'en même temps, je servais son ambition de s'élever dans la société, chose impossible à ce niveau en n'ayant pas d'enfants. Je n'étais pas qu'une monnaie d'échange, j'étais réellement sa fille. Ainsi sommes-nous capables d'être à la fois aimants et hideux dans nos sentiments... Ou peut-être que c'est ce monde-là qui rend les gens aussi doubles.
Lorsque j'ai eu dix-huit ans, le regard que portaient sur moi mes parents a radicalement changé. Chez mon père est apparu une lueur de lubricité, proche de la violence. Ma mère, qui n'était jamais dupe, est progressivement tombé dans la haine aigrie et mesquine.

Les relations que j'ai entretenues avec son mari, je les acceptais sous couvert de... remerciement. Une fois, deux fois. Et puis, c'est devenu effrayant. Lorsque j'ai refusé, il a baissé la tête et est reparti. Mais il est revenu, toujours plus insistant. Jusqu'à ce qu'un jour...
De ce jour, je tire encore mes cauchemars haletants d'aujourd'hui. J'ai l'impression que la douleur incendiaire de mon ventre n'est jamais totalement partie, qu'il m'a marquée plus profondément qu'au couteau. C'est à cette époque que j'ai découvert mon don pour la régénération. Chose assez incroyable, ce don m'apparut totalement capricieux, voire aléatoire. Je ne comprenais pas pourquoi il me secourait un jour et m'abandonnait un autre. Plus tard, je devais comprendre qu'il n'était accessible que sous une certaine condition.
Ma mère adoptive voyait d'un oeil extrêmement noir ces pratiques, non par compassion mais pas pure jalousie. Je réalisais la profondeur de leur folie lors de certaines nuits, et je ne peux que m'interroger sur les causes d'une telle démence, si malsaine. Est-ce leur société d'apparat qui les rendait si pervers une fois le soleil couché ? Leur affection de jour n'était pourtant pas feinte, pas plus que la lueur de honte dans leurs yeux.

Par un soir d'hiver, la fureur l'a emporté sur le goût de l'interdit. Ma mère s'est emparé d'un couteau et a férocement poignardé son mari, aspergeant le lit de sang. J'étais à l'époque tellement réduite à l'état de chose, de possession, que mon premier réflexe a été de m'emparer de ma régénération... que j'ai étendue à mon maître. Ainsi ai-je découvert ma capacité à soigner par magie les êtres blessés. En voyant cela, c'est dans ma propre chair que l'acier s'est plongé.
J'ai pensé que j'allais mourir. Et c'est précisément ce qui m'a sauvé, car m'abandonnant ainsi au néant, j'ai accueilli en moi le pardon, même de ma meurtrière. La condition que requiert ma faculté de régénération, c'est ceci : le pardon.

J'ai fui la demeure, abasourdie. Ma mère assassine avait déjà détalé dans les rues, sans doute assommée par son propre méfait. Je ne sais pas ce qu'il est advenu d'elle, car j'ai erré dans la ville ainsi qu'une âme perdue, ce que j'étais précisément. Pour survivre, j'ai dû voler, vendre mon corps, et parfois tuer. Cette existence d'une rudesse infernale, à plus forte raison par ce temps hivernal, m'a forgé l'esprit comme jamais. Peut-être par désir de mourir, j'ai tenté ma chance dans l'arène.
Lorsque les recruteurs ont vu une jeune femme aux allures de sauvage hagarde se présenter devant eux, ils se sont dit que sa mort pourrait être orchestrée de manière un peu spectaculaire. C'est ma victoire qui le fut.

J'ai appris à me discipliner pour survivre, à devenir plus froide et plus violente que jamais. Je ne prétends pas avoir été une combattante talentueuse. En revanche, j'ai toujours eu cet instinct détestable et honteux, ce soudain désir de survivre brûlant, torride, qui investissait mes membres comme un sang nouveau. J'ai commencé à gagner ma vie en faisant tinter les lames ; pas grand-chose, évidemment, mais assez pour continuer jusqu'au combat prochain.
Enfin... plus maintenant. Ce nouveau pouvoir qui s'éveille en moi, que l'on appelle mysticisme, a bien failli causer ma mort. J'ai pensé qu'il était plus sage de quitter l'arène avant de m'écrouler une seconde fois au mauvais moment, mais je ne sais pas ce que je vais bien pouvoir faire..."

Aziril Isdaëlis, gladiatrice

Mon heure de gloire...

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Avez-vous lu et approuvé les règles? [Validé par Coralynn ]
Comment avez-vous connu le forum? Par une amie qui m'en a parlé.
Idées, remarques ou suggestions? J'attends de voir ce que ça donne, mais c'est très prometteur. x3


Dernière édition par Aziril le Lun 14 Mar - 11:29, édité 1 fois
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Coralynn
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Re: Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais
   Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais EmptyDim 13 Mar - 16:45

Bonsoir =)

Ta fiche est très sympathique à lire, cependant, il te faudrait modifier quelques points pour pouvoir être validée, je te les cite au fur et à mesure :

- Il faudrait aller signer les règles dans ce sujet
- Il te faut un avatar
- Il te faut remplir ton profil, ainsi que générer et remplir ta feuille de personnage
- Une seule arme en état de fonctionner est autorisée par personnage. Tu peux en avoir d'autre, mais émoussées. Tu pourras les réparer ou en acquérir d'autre par un RP avec un forgeron.
- En faiblesse, il faut préciser des compétences dans lesquelles ta perso est vraiment mauvaise.
- Dans ta description physique, lorsque tu parles du regard, tu dis qu'il est glacé, mais en même temps sombre et chaud, tu pourrais ré-expliquer svp ? (c'est peut être mon cerveau qui ne comprend pas bien ^^")
- Pour la bio, les marchands sont cydiens c'est ça ? Tu as noté je pense que les cydiens étaient contre l'esclavage, donc comment ton apparition dans le foyer s'est elle justifié auprès des connaissances de ta famille ? Un adoption ? (je suis pas certaine d'avoir bien compris donc je redemande des explications.)

Bon... ça fait peut-être un peu long tout ça, mais franchement ta fiche est bien =D
Bon courage pour modifier ça, et pour la validation. =)
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Aziril
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Re: Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais
   Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais EmptyLun 14 Mar - 11:32

- Il faudrait aller signer les règles dans ce sujet
- Il te faut un avatar
- Il te faut remplir ton profil, ainsi que générer et remplir ta feuille de personnage
- Une seule arme en état de fonctionner est autorisée par personnage. Tu peux en avoir d'autre, mais émoussées. Tu pourras les réparer ou en acquérir d'autre par un RP avec un forgeron.
- En faiblesse, il faut préciser des compétences dans lesquelles ta perso est vraiment mauvaise.
Tout est fait, dis-moi si j'ai fait une erreur quelque part ! ^^

- Dans ta description physique, lorsque tu parles du regard, tu dis qu'il est glacé, mais en même temps sombre et chaud, tu pourrais ré-expliquer svp ? (c'est peut être mon cerveau qui ne comprend pas bien ^^")
Non non c'est mon cerveau à moi qui a eu un carambolage du soir, ça m'arrive. °° Rectifié.

- Pour la bio, les marchands sont cydiens c'est ça ? Tu as noté je pense que les cydiens étaient contre l'esclavage, donc comment ton apparition dans le foyer s'est elle justifié auprès des connaissances de ta famille ? Un adoption ? (je suis pas certaine d'avoir bien compris donc je redemande des explications.)
Oui c'est ça, une "adoption" discrète par un soir de pleine lune hum... passée sous un jour très naturel.
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Re: Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais
   Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais EmptyLun 14 Mar - 13:50

Bienvenue sur le forum !

Alours, Coco étant déjà passée par là et vu que tu as corrigé pas mal de choses, je ne vais pas en rajouter x)
Je te dirai simplement de bien préciser que ton épée est pour l'instant inutilisable (si j'ai bien compris tu as choisis le couteau). Sinon, je n'ai rien à redire si ce n'est que ta fiche est très agréable à lire !

Je te souhaite de bien t'amuser sur le forum ! =)
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Re: Aziril Isdaëlis - perdue comme jamais
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