Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 Grivious Templier d'Azael

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Grivious
Grivious
Masculin Nombre de messages : 30
Âge : 40
Race et âge : Ancien Almer
Métier : Templier Noir

Feuille de personnage
Compétences: Esprit ~ Invocation Sabre Runique ~ Faveur Divine (Azael)
Compétences bonus: Maîtrise du sabre runique
Réputation :
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MessageSujet:
Grivious Templier d'Azael
   Grivious Templier d'Azael EmptyVen 4 Déc - 9:46

Prénom : Assajj
Nom : Ibn Khaleel

Nom Elfique : Eol

Surnom Actuel : Grivious

Age : 216 ans

Race : Ancien Almer

Cité : ??

Position : Templier Noir

Arme : Sabre Runique de couleur rouge

Armure : Armure légère

Compétence :
- Manipulation de l'Esprit
- Invocation
- Faveur Divine (Azael)

Compétence Bonus :
- Maitrise du Sabre Runique

Faiblesses : Compétences Elémentaires

Main Dominante : Droite

But : Suivre Azael jusqu'à la mort...Ou sa libération.

Description physique:

L’ancien Almer possède des caractéristiques proche de celles des elfes. Son corps ne semble pas bien épais. Cependant, il est beaucoup moins frêle que ces derniers…Possédant une taille moyenne d’environ un mètre quatre-vingt pour un poids d’environs soixante quinze kilos, son physique bien que fin possède une musculature rude sous une peau d’une blancheur rare…Voir cadavérique. Il s’agit du genre de personne qui de loin vous apparait d’un banal mais qui a y regarder d’un peu plus près laisse l’impression d’un guerrier voir d’un mercenaire désargenté.

Son visage présente quelques traits de beauté non sans rappeler ceux de leurs cousins elfiques bien qu’il ne puisse pas vraiment les égaler. Il est joli garçon sans toute fois laisser un souvenir marquant. Son visage affiche souvent une expression calme et assez douce, ce qui contraste avec l’apparence qu’il se donne. On pourrait croire qu’il s’agit là d’une nature tranquille ou d’un homme ayant trop connu la guerre.

Ces cheveux sont de la noirceur de l’ébène et ces yeux d’un bleu presque irréel….Semblant aspirer toute vie.

Caractère, qualités et défauts:

Assajj n’est pas un caractère facile à cerner. La plupart du temps, il apparait comme quelqu’un de tranquille et d’une quiétude à toute épreuve. Cependant, cela devrait être mit sur le compte du peu de douleur qu’il est capable de ressentir. Son être est un espace où rien ne peu plus survivre. Ni l’amour, ni la colère, la mort, ni la souffrance…Il n’y brûle que de la haine…Une haine froide et meurtrière qu’il réserve envers tous ceux qui le regarde de haut, envers tout ceux qui pense que la force domine les faibles…

Il hait par-dessus tout l’hypocrisie…La peur dans le regard des gens…

Cependant, devant cette douceur et cette tranquillité qu’il affiche, il pourra lui arriver de faire une bonne action. Peut être par lubie…Peut être pour se rappeller qui il était ou ce que cela pouvait faire de s’entendre dire merci. Pour lui la mort n’est pas une fin en soit…En avoir peur est la chose la plus idiote qu’on puisse faire. Il n’y a pas d’innocent, il n’y a de justice…Il n’y a que la mort qui frappe au hasard. Et lui en fait de même.

N’ayant plus rien a quoi s’accrocher, il se fait le Prêtre d’Azael, l’apocalypse n’est pas une fin en soit. Juste un retour au calme et au néant…La domination d’Erathia apportera la paix et ceux qui ne veulent s’y soumettre n’auront qu’une vie de souffrance raccourcit par sa lame. Ce qu’il espère…C’est de trouver une personne capable de le tuer une fois pour toute…Ou peut être de le libérer…Il se sent si fatigué de tout cela. Rien n’a plus de sens…Tout est permit.


Biographie:


Il fut un temps où la gloire d’une cité lumineuse éclipsait celle du soleil…Il fut un temps où l’honneur et la vertu n’était pas un idéal…Mais un mode de vie. En ce temps là, les derniers des almers n’étaient plus des légendes…Mais des êtres de chair et de sang. Les elfes tenaient encore en respects les forces les plus puissantes de l’Empire...Car la fierté des templiers n’étaient entachée d’aucune défaite. Le Cœur de Silmaria apportait le peu d’espoir que ces terres et nous en étions les gardiens.

Bien que je ne puisse plus me rappeler à quoi ressemblait mon village natal, je peux encore me souvenir de mon exode dans le désert. De la chaleur de ce soleil assassin…De la caresse du vent sur mon visage…De l’immensité de cet océan de sable. Des nuits durant je pouvais m’allonger dans le sable, baigné uniquement par la douce lueur des étoiles. Au plus profond de ces abysses de solitude, je pouvais prendre conscience que moi aussi, je n’étais qu’un grain de sable dans les rouages de l’univers. Mon cœur puissant voulait partir à la conquête du monde, m’aventurer là où nul n’était allé, percer les secrets des dieux et partager tout cela avec ma famille. Ici dans le désert…J’étais le maître de mon destin…Mais ce que vous croyez pouvoir tenir…Bien souvent vous échappe telle une poignée de sable dans le vent…

C’est ainsi que mon peuple du accepter le protectorat des Erathiens. Emmené de force dans la Lumineuse, nous avons été parqué comme des animaux, obligé de travailler dans les emplois qui nous étaient affectés, louant la générosité de nos sauveurs…Combien moururent de chagrin ? Dépérissant loin de leur désert, de leurs traditions et de leurs modes de vie ? Subissant l’incompréhension de nos généreux protecteurs ? Ils furent nombreux…D’autres ne purent s’adapter, vivant dans la misère…Il n’y eut que quelques uns qui trouvèrent une nouvelle manière de vivre dans ces étranges cités.

Moi-même je ne pouvais comprendre pourquoi des fils de la nature vivaient parqués dans d’aussi petits murs alors qu’un homme se devait de n’avoir que pour seul toit le ciel au dessus de lui. Dont la fierté provenait de son travail bien fait…Mais ceux là aimaient paresser, aimaient les monuments, les choses qui brillaient et les mots qui raisonnent dans les airs et les cœurs. Ce monde m’était si étrange…Et si j’ai pu survivre, c’est grâce à mes parents qui devinrent les artisans les plus émérites de la ville. Qu’ils soient marchant ou noble, les erathiens étaient friand des bijoux que nous fabriquions. A croire qu’ils les mangeaient…Je ne pouvais effacer de mon cœur cette avidité qui régnait alors dans leurs esprits.

C’est peut être pour cela que comme beaucoup, je me murais dans un mutisme absolu. Je pensais alors que les autres parlaient alors assez pour moi. J’avais un peu le mal de vivre. On construisait des mausolées magnifiques pour les morts mais on laissait peu de place aux vivants. Il était plus important de faire de grande fête et de montrer sa richesse que de discuter du peuple dans le marbre du palais. Ainsi était Erathia…Faste…Grande…Opulente…Décadente…Et guettée dans l’Ombre…Une ombre que je pouvais sentir roder autour de moi certain soir…Comme si elle savait que je la ressentais. Le seul moyen que j’avais de me protéger était de lentement détacher mon cœur.

Si ces jours heureux avaient pu continuer…J’aurais pu me contenter de cette simple vie. Cependant, plus lumineuse est la civilisation, plus les ombres s’infiltrent dans les cœurs des faibles. Haine, peur, jalousie. A mesure que je grandissais, je pouvais mettre des mots sur ces ombres que je voyais. Et mes parents ne firent pas exception à cette règle.

Ce qui a détruit ce qui me restait d’enfance et d’innocence…C’est la luxure et la jalousie. Ma mère trompa mon père avec un riche marchand qui voulant se débarrasser de son plus grand rival…Usa de ma mère pour faire accuser mon père de vol. Ne voulant prendre aucun risque d’encourir ma vengeance, je fus aussi arrêté en temps que complice. Il n’y eu aucun jugement…Mais une grande arène…Un seul couteau…Et dans la plus haute et la plus majestueuse des tribunes, un visage que je ne pouvais voir tant la noirceur de son cœur masquait mes sens. S’il y a une chose qui devait me marquer…Ce fut cette présence qui n’était pas humaine…

Que dire de plus ? Si ce n’était la peur dans les yeux de mon géniteur. Etrange comme la terreur pouvait transformer un homme en animal. Je ne sentais plus rien d’humain en lui…Juste la haine envers Erathia…Sa haine envers sa femme…Envers le marchant…Envers le destin…Une haine dévorante et brûlante…Une haine prête à tout pour être assouvie…Même dans le sang de son sang…Il n’y eu aucune hésitation…D’une partie comme de l’autre.

Mes yeux restèrent glacés sous la gorge tranchée de mon père…Son sang…Ces larmes…Aucune chaleur ne se dégageait de moi ou de ce sang. C’est comme cela que tout à commencé. L’Ombre semblait…Jubiler. Il fut décidé que je rachèterais mes crimes en devenant gladiateur. Les morts s’accumulèrent, tentant de fracasser l’armure que j’avais forgée. Je pouvais sentir la mort elle-même gratter mes os, semblant me réclamer…Cependant, un homme le fit avant lui. Enfin un homme…Un elfe. Il n’avait croisé qu’une fois mon regard et me racheta à prix d’or. Avant que je comprenne quoique ce soit, j’étais déjà à Silmarie avec un nouveau père d’adoption.

J’avais même un nouveau frère : Auh’biwan. Plus vieux que moi de quelques années et déjà un bel adolescent. Généreux comme les récoltes de l’été, chaleureux comme un soleil de printemps, sentant la terre, la fraicheur de la forêt. Il prit sur lui de prendre soin de moi sous la férule de notre père. Il était l’un des professeurs les plus doués malgré son jeune âge. L’espoir du Temple. J’étais très fier que mon nom soit associé au sien. Pour rompre avec mon passé, Auh’biwaan décida de me donner un nouveau nom Eol.

J’étais toujours aussi discret et silencieux dans l’ombre de mon frère. M’appliquant dans chacune de mes tâches…Rapidement j’ai fini par combler les années que j’avais manqué et même a surpasser mes ainés. Mon frère en était ravi bien qu’il était soucieux de me voir toujours aussi seul. Il me forçait souvent à l’accompagner à des réceptions et des fêtes mais le résultat était toujours le même. Quand on me posait une question, je répondais avec la tranquillité des maîtres templiers et la sagesse des anciens. Tout le monde louait ma sagesse et ma vertu…Mais cela s’arrêtait là. Bien avant la fin de la soirée, je finissais toujours par m’exiler de moi-même.

C’est alors qu’apparut Elenwe. L’une des rares femmes elfes capable alors de rivaliser avec celle de la grande prêtresse. Son caractère était aussi changeait qu’un ciel d’automne et suivait ces lubies avec la plus grande assiduité. Et sa dernière en date fut de s’en prendre aux deux frères du temple…Elle décida arbitrairement de se marier avec le plus fort d’entre nous…Ce qui eut pour effet de déclarer forfait immédiatement. Je n’avais aucune envie de me battre. Encore moins pour gagner une femme aussi impulsive. Ce fut la pire des idées que j’eu…J’aurais du sentir qu’elle n’aimait pas qu’on lui résiste. Cela ne fit que la renforcer dans son envie de me connaître.

Au fil du temps, j’ai fini par sentir la passion qui animait son être. Et plus encore, son honnêteté et sa gentillesse. Au final, j’ai même fini par céder à ces avances et je me suis marié en secret. Peu de temps après cela, je passais les épreuves pour décider si oui ou non je pouvais devenir un maître. Cela tombait en même temps que les épreuves d’Auhbiwan et nous avons du finir par nous affronter pour nous départager. Cela m’ennuyait énormément de m’opposer à mon modèle alors j’ai truqué le combat et j’ai fais en sorte de perdre. Auhbiwan fut nommé maître à ma place…Mais étrangement, les maîtres m’ont fait mandé…Pour me confier une pierre runique. Une pierre symbole de pureté et de lumière absolue. Une relique de l’ordre. Quand je demandais pourquoi on me confiait cela alors que mon frère le mériterait cent fois. Il me fut répondu qu’ils savaient combien j’étais puissant…Et que j’en avais beaucoup plus besoin que lui…Qu’un jour je comprendrais.

Sur le moment, j’ai mis cela sur ma tricherie. Qu’ils c’étaient rendu compte de ma réelle valeur. La vérité était tout autre. Mais il est encore trop tôt pour l’évoquer. Le temps passa encore une fois. Il est ironique de penser combien ces années tranquille ne m’ont jamais marqué, ne laissant rien d’autre que quiétude et paix. Du moins en apparence. Des rebelles finirent par troubler la paix. Des elfes et d’autres peuplades décidèrent de monter une insurrection contre Erathia. Son Roi voulut plonger la terre d’Azthia dans la guerre…La Grande Prêtresse s’éleva contre cette solution et prôna l’envoi de diplomate. Les templiers furent désignés pour cette tâche. Pour éviter qu’une guerre n’éclate, les anciens décidèrent d’envoyer Auh’biwan auprès du prince héritier pour le former et espérer que sa sagesse déteigne sur le futur roi…Quand au problème des séparatistes…On me bombarda maître et on me chargea de mettre fin aux hostilités.

Erathia me fournit des troupes dans cet objectif et je me retrouvais général sur un champs de bataille. Les insurrectionistes étant bien retranchés et n’acceptant aucun dialogue, je me suis rapidement retrouvé à gérer un conflit qui gagna peu à peu de l’ampleur. Les templiers étaient sur tous les fronts.

Ce qu’il y a d’étrange dans la guerre, c’est qu’elle vous oblige à vous révéler tel que vous êtes. Vous ne cherchez plus a comprendre quoique ce soit. Votre adversaire n’est qu’un ennemi qu’il faut abbatre…Même pour Auhbiwan…Même pour la femme de son frère. Elenwe se trouvait être une sympatisante séparatiste…Du moins elle fut soupçonnée de cela par les Erathiens. Quand on retrouva les principaux maîtres de l’ordre empoisonné...Et une lettre l’accablant…Annonçant mon meurtre prochain…On la mit a mort…Ainsi que l’enfant qu’elle portait alors. Auhbiwan prit la tête de l’ordre avec la ferme intention que ces incidents ne se reproduise plus.

J’étais alors anéanti…Je n’arrivais plus a croire en quoique ce soit. C’est alors que le prince héritier apparut à moi. Il me proposa de le rejoindre mais même après cette…Trahison de la part de mon frère, je ne pouvais me résoudre a en faire de même. Il n’insista que pour m’offrir un cadeau…Le retour a la vie de ma femme…Je savais qu’il s’agissait du pouvoir de l’Ombre…Mais je fini par accepter. Contredisant tout mes enseignements, mes principes et ma vertu, j’acceptais. Juste pour la revoir. Mais à peine ressuscitée…Ce n’est pas vers moi qu’elle c’est tournée…Mais vers mon frère. Elle avait été trahie et accusée a tord. Elle chercha à le rencontrer pour le prévenir de la trahison du prince…C’est a ce moment que je me suis rendu compte…Que mon frère avait eu pitié de moi et qu’il m’avait laissé Elenwe…Qu’elle l’aimait plus que moi…Et que cet enfant…N’était probablement pas de moi.

Bien sûr…Les templiers et moi le premier furent envoyés pour arrêter le prince pour qu’il soit traduit en justice. Mais au moment de l’arrêter…Ma main c’est arrêtée sur mon arme. Le prince souriait…Je n’avais plus rien a quoi me retenir. Mon monde avait totalement basculé…Je ne pouvais alors détacher ma conscience de l’instant où j’égorgeais mon père sous les yeux de ma mère…Je me souvenais de sa peur et de sa haine…La même haine qui circulait dans mes veines…La même haine qui écoulait des larmes sur mon visage…La même haine qui frappa les templiers l’instant d’une lame argenté.

Car si on m’avait offert ce sabre…Ce n’était pas parce qu’on avait reconnu ma valeur…Mais simplement parce que les maîtres de l’époque n’avaient aucune confiance en moi. Ils avaient peur que je bascule…Plus rien n’avait de sens…Rien n’était vrai…Tout était permit…

Ce qui se passa ensuite ? A la tête de l’armée Erathienne, j’ai assassiné tous les templiers sous mon commandement dans la rage et les larmes. J’ai traqué mon frère et sa…Femme…Jusqu’aux confins du désert pour le tuer. S’en résultat un duel dans le sang et les larmes…Durant lequel Elenwe se sacrifia…Pour sauver Auhbiwan…Pour tenter…De me sauver…De sauver mon âme. Au lieu de cela, ma peine o combien décuplée m’obligea à me lancer dans un nouveau duel fratricide dans lequel je cherchais la mort désespérément. Encore une fois…Auhbiwan gagna…Me laissant pour mort dans le désert.
Qu’il était ridicule de penser que la mort elle-même peut mourir. Aucune blessure n’aurait pu m’emporter. Aucun salut dans la défaite. La haine ne cesse pas de vous brûler les veines. Les larmes ne peuvent s’empêcher de couler…Alors au lieu de mort, c’est un long sommeil qui vous emporte. Un tapis de feuille pour seule sépulture. Votre corps se déclenché, vidé de son sang et de ces larmes…Mais dans ce long rêve, les échos des batailles, des adultères, de la colère et de la terreur vous réveille. Alors je m’éveille de mon long sommeil et je rampe…Me nourrissant de vermine, me rassassiant de l’eau de pluie et du sang des animaux morts…Et rien qu’en écoutant l’écoulement de ce liquide carmin dans ma bouche…Mes ennemis tremblent…Car s’ils peuvent m’entendre boire…C’est que je suis de retour.

La tristesse m’élève a nouveau et les larmes coulent sur mon visage. Je suis obligé de le cacher derrière un masque. Je suis devenue la mort…Obéissant aux vœux des fidèles de l’Ombre…De ceux dont les sentiments de vengeance sont si puissant qu’ils m’atteignent…Je frappe sans distinction, oubliant ce que pouvait être la pitié ou le remord. Je frappe encore et toujours, quelque soit les conséquences. Mon bras devient la justice d’Azael. Tous sont égaux devant la mort. Tous égaux devant moi. Il n’y a plus que ténèbres et glace après moi…Des contes ont été écris…Des histoires que les enfants craignent de voir se réaliser…Les obligeant à regarder sous leurs lit le cœur tremblant raidit d’épouvante.

Ce n’est que lorsque les appétits de ce Dieu Impie est rassasié qu’il me permet de reposer en paix…

Mais cette fois ci, ce n’ai pas le fracas des armes qui m’éveilla…Mais bien le son d’un cheval galopant. Derrière lui l’apocalypse…Et un seul mot d’ordre : Lève toi…


Mon heure de gloire...

Avez-vous lu et approuvé les règles? [Validé par Chiko ^^] (Au moins a la cheville de Chuck xD)
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Idées, remarques ou suggestions? Ce serait une bonne idée de commencer a prier, car votre fin est proche xD
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Jacen
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Re: Grivious Templier d'Azael
   Grivious Templier d'Azael EmptyDim 6 Déc - 6:35

Et bien chapeau-bas l'artiste, je dois dire que je n'ai pas lu une biographie aussi prenante depuis bien longtemps! Le ton est donné, plus personne ne semble à l'abri désormais....


Je valide et je te souhaite bonne chance dans ta nouvelle quête!
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Grivious Templier d'Azael

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