Azthia

Ô, petite flamme qui guide chaque cité d'Azthia, surtout ne vacille pas. Car les temps sont bien embrumés et un vent d'inquiétude souffle... Laissez vous tenter par un univers poétique et fantastique, créez un personnage haut en couleurs...
 
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 [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini)

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Aldrena
Aldrena
Féminin Nombre de messages : 9
Race et âge : (Demi-)Almer, âgée de vingt-cinq automnes et des poussières
Cité : Storghein
Métier : Magicienne

Feuille de personnage
Compétences: L'illusion, le chant et le charisme.
Compétences bonus:
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   [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) EmptyLun 18 Juin - 9:06

[ Hors-jeu : Une bonne musique de fond pendant la lecture du RP → cherchez "Future World Music - New Beginnings" sur YouTube ! :3 ]

[Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) 169126LLes amis se comptent sur les doigts d'une main, il paraît. Aldrena pouvait le confirmer. Elle avait beau collectionner les conquêtes amoureuses, à l'opposé, de véritables amis, elle n'en avait pas des masses. L'une de ses plus précieuses connaissances était Abigaia. À une certaine époque, la rousse la considérait même comme étant sa "meilleure amie". En même temps, quand on passe son temps à côtoyer des hommes, il est toujours plaisant d'avoir une présence féminine à qui l'on peut tout partager avec enthousiasme ! De plus, Abigaia représentait un élément important dans la vie de la magicienne. En effet, elles ne s'étaient pas rencontrées à n'importe quel moment : c'était une période plutôt sombre pour Aldrena, qui était au plus mal, l'instant où cette dernière débutait véritablement une existence autonome. C'était au cours de l'année 149 ou 150, alors qu'elle venait "d'abandonner" sa mère, ou du moins de s'éloigner d'elle pour mener sa propre vie le plus loin possible de celle-ci.
En fait, Abigaia avait en grande partie permis à Aldrena d'oublier un passé qu'elle avait beaucoup de mal à digérer. Elles se voyaient le plus souvent possible, riaient beaucoup ensemble, passaient leur temps à se raconter tout dans les moindres détails, si bien qu'elles ne tardèrent pas à se connaître par cœur... Bref, tout affirmait qu'une solide amitié liait les deux jeunes femmes.
La rouquine était âgée d'environ cinq ans de plus que la blonde, mais cette différence d'âge ne les dérangeait pas du tout. Au contraire, cela avait même l'avantage de les rapprocher : l'illusionniste était comme une aînée qui se charge avec plaisir de tout enseigner à sa cadette. Et pourtant, Aldrena avait beau prendre à cœur son rôle d'enseignante, c'était Abigaia qui lui avait appris la plus importante des choses : il n'y a pas que les hommes qui peuvent rendre heureuse une femme. Elle avait compris que la séduction n'était pas le plus beau des trésors, car l'amitié renfermait très certainement des richesses bien plus abondantes.

Hélas, les plus belles choses ont une fin, n'est-ce pas ?

L'année 152 marqua le changement d'une relation si exemplaire. Tout commença à l'arrivée d'un certain Astorg : Nadael.
Nadael était un jouvenceau de famille noble, jeune, beau, grand, blond aux yeux pâles, timide et attentionné. Autrement dit, il n'était pas mal du tout. Et surtout, il était destiné à épouser Abigaia. Quelle ne fut pas la surprise de la rousse lorsque sa meilleure amie lui apprit qu'elle ne l'aimait pas ! Nadael, lui, qui avait tout pour plaire ! La rouquine avait beau lui exposer tous les arguments possibles pour lui faire comprendre la chance inexplicable qu'elle avait, son amie avait du mal à changer d'avis vis-à-vis de ses sentiments.

Nous voilà en début d'automne. En l'espace d'une journée, cette si belle amitié allait changer de visage. Cette journée n'était pas n'importe laquelle : Abigaia célébrait le premier jour de sa dix-septième année. Il était hors de question que ce jour reste un jour banal ! C'est pourquoi la demi-sang avait préparé avec soin la plus belle surprise d'anniversaire qu'il puisse être. Aldrena lui avait donc proposé de venir en sa demeure à la première heure de l'après-midi. Dès le lever du soleil, elle s'appliqua à ranger, déplacer les meubles, décorer son intérieur, préparer un repas royal et cacher le précieux cadeau qui serait destiné à la princesse de la journée. Elle en profita aussi pour inviter une poignée de musiciens, censés venir juste avant l'arrivée d'Abigaia. Elle invita aussi Nadael, qui l'aida toute la matinée aux préparatifs.

Tandis qu'Aldrena dépoussiérait un coin de la pièce principale, le jeune fiancé se débrouillait pour accrocher une banderole décorative et d'autres ornements. De temps à autres, la rousse jetait des regards vers le blond. Lui aussi tournait discrètement son minois pour lui attribuer quelques coups d'œil non dénués de sens. C'était sans doute la première fois qu'elle se retrouvait seule avec lui, du moins sans la présence d'Abigaia dans les parages. À cet instant, la jouvencelle aux cheveux auburn était très pensive. Plus elle le regardait, plus bouillonnait en elle une envie immorale : le séduire. Elle se figea dans ses actions, perturbée entre la culpabilité, la tentation et les interrogations.


* Est-ce qu'elle l'aime réellement ? Est-ce qu'elle le mérite ? * se demandait-elle.

Le garçon à la chevelure dorée se sentit soudainement observé. Il se tourna pour de bon et remarqua que la demi-Almer le fixait sans ciller, le visage inexpressif. Ils se regardaient en silence. La charmeuse ne le trouva jamais aussi beau qu'à cet instant. Elle changea de regard. C'est comme si toute réflexion sombrait pour laisser place à ses désirs. La raison s'étouffait pour valoriser la passion. Elle ne pensait plus, elle désirait, tout simplement. Lorsqu'il lui arrivait de se mettre dans cet état passionnel, presque rien ne pouvait l'arrêter. Elle fit les deux ou trois pas qui la séparait de celui qui ne lui échapperait pas. Les deux regards ne se quittaient pas. Les paupières se baissèrent, les lèvres se touchèrent, les bras s'enlacèrent.

Quelle heure était-il, au juste ?



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Abigaia
Abigaia
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   [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) EmptyMar 19 Juin - 16:39

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Musique : One Summer's Day - joe hisaishi

L’amitié? Si forte qu’elle puisse être. A-t-elle un prix? Faut-il payer pour donner son amour et sa gentillesse a une personne que l’on aime? Pas du tout. Mais dans mon cas, hélas, oui. L’ai-je méritée? Peut-être, comment? Grâce au don que j’ai : le don de m’attacher a de mauvaise personne. Aldrena, je n’ai jamais pensée un instant qu’elle me trahirait. Elle n’était pas mauvaise pour moi, mais bel et bien, mauvaise envers moi. Malgré cela, elle trouva un moyen, une faille qui entrainerait la chute de notre amitié dans un gouffre sans fin. , j’ai commencée à boire. Aldrena était la, toujours la pour me libérer de mes peines et pour partager mes joie. Maintenant, je noie mes peines et savoure mes joies grâce à ce liquide nocif. Comment a-t’elle pu être si mauvaise envers moi?

Comment cette amitié a-t-il pu se briser?

Il fessait frisquet dehors. Mais pas assez pour me démoraliser! Aldrena est passée me voir, hier en fin de matinée, dans la nouvelle habitation d’Élekra, ma belle-mère.

Effectivement, mon père décède et cette femme délaisse la demeure familiale. Quels autres mauvais traitement cette horrible femme va-t-elle nous donner, a moi et ma sœur. Peut-être me faire épouser un noble prétentieux? Hélas, c’est le cas. La bonne femme veut, sans doute, amasser quelques fortunes avec nos alliances. Je la déteste! Je LE déteste…car il vit et ce mariage me promet une vie d’esclavage, dans une énorme maison qui accumule la poussière! Je suis une femme qui aime la vie, qui la veut, qui souhaite la sentir chaque jour! Je voyagerais partout! Dans ses moments de détresse, je sais vers qui me tourner. Aldrena. Elle est la perfection incarnée de l’oreille qui sait écouter et de la bouche qui sait consoler. Notre rencontre fut libératrice pour chacune de nous deux. Nous nous sommes consolées mutuellement, surtout durent les périodes éprouvantes de nos vies : Aldrena a un passé qui la tourmente et moi, avec mon enfance difficile et la mort de mon père qui nous laisses, moi et ma sœur, au creux des mains d’une femme horrible. J’ai même parlé à Aldrena qu’avant cela, disparition d’Argus qui me hantais toujours.

Aldrena est passée me voir, hier en fin de matinée. Elle fut brève et m’a dit de la retrouver aujourd’hui, dans sa demeure, à la première heure de l’après-midi. Nous étions toutes les deux très impatiente, Aldrena, pour une raison que j’ignore et moi, pour lui parler de la fabuleuse semaine que j’ai vécue. Je n’ai, hélas, pas eu le temps de lui glisser un mot et elle était partie. Il fessait frisquet dehors, je suis en route vers la demeure d’Aldrena. J’entre dans les quartiers sud, a vrais dire, je gambadais presque. Je saluais tous les passants qui m’accordaient un sourire. Une bouffée de chaleur monte en moi, le sourire encore existant, je me remémore cette semaine.

Je suis tombée amoureuse. D’un garçon imprévisible, amoureuse de mon fiancé! Qui l’eu crue? Pas moi. Évidemment je n'aurais jamais imaginée m'enticher de Nadael, ce garçon qui paraissait si prétentieux et qui semblait avoir des grands airs sournois. Comme les nobles quoi? J’ai toujours imaginée être la seule ‘’noble’’ à avoir de bonnes ambitions, qui rêve de liberté et qui respecte les autres. Nadael, le garçon ‘’imprévisible’’, m’a totalement épatée. Je dirais même absorbée, il a tellement à donner! Bien sûr je ne l’aurais pas crue si il m’avait sorti des âneries du genre ‘’je veux que les pauvres n’est plus jamais faim’’. J’ai la réputation, chez les nobles, d’être la ‘’ faible aux deux cœurs’’. Dison qu’a Storghein, ce peule dure et froid comme l’environnement, avoir un cœur pour donner de la charité et de la pitié ça n’existe pas. Un cœur, a Storghein, existe à pomper le sang dans les veines pour avoir la force de vivre et se battre. Donc, hélas, ce titre ne me favorise pas dans cette citée et j’ai réellement pensée que Nadael ce servirais de cela pour me séduire. Mais non, ses petits discours charmants au sujet de son rêve, navigué sur les océans, m’avais captivée! Il était certain, d’après son oncle, qu’il existait de nouvelles terres à explorer! ‘’Absurde!’’ Ce dirait une personne terre-à-terre, mais ce n’ai pas mon cas. Moi qui aime les histoires et l’aventure. Au cours de cette semaine nous nous sommes énormément rapprochés, Nadael et moi,
nous avons partagés de bons moments. Comme mon premier baiser, si sacrée, si beau! Le premier! Après cette semaine inoubliable, j’ai écrit à Aldrena chaque détail croustillant dont elle raffole, au sujet de ses jours passés en sa compagnie. Au cours des derniers jours, j’ai donné la lettre au messager, celui-ci m’a promis de lui envoyer ce précieux message d’ici quelques jours. Alors, sans doute qu’aujourd’hui, elle l’a déjà amplement feuilletée! De toute façon j’aime beaucoup mieux le lui raconter de vive voix! Impossible de m’enlever la joie que j’éprouve en ce moment!


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Musique : Princess Mononoke OST - Tatari Gami (The Demon God)

J’y suis enfin! Devant la demeure d’Aldrena. Je suis trop excitée, j’avance de quelques pas et me voila, devant l’entrée. Je fixe la porte impatiente, étrange… Habituellement elle ouvre la porte avant même que je frappe! Ce rappelais t’elle de mon anniversaire? Aldrena si prévisible je savais qu’il était impossible pour elle d’oublier mon anniversaire de naissance! De toute façon, il y a toujours deux choix qui s’imposent : attendre qu’elle ouvre la porte, ou bien, entrer sans frapper! Avec le temps, moi et Aldrena avons développées plusieurs petits rituels de ce genre ‘’interdiction de frapper! Tu es toujours la bienvenue’’ peut importe chez qui. Malgré que, parfois s’était compliqué pour Aldrena d’entrer par la fenêtre de ma chambre. Car n’oublions pas que ma belle-mère est horrible et que les invités nous étaient impossibles, à moi et ma sœur. J’entre donc dans la demeure, mon regard ce posa d’abord sur les décoratifs. Elle ne ma pas oublier a ce que je voie! La pièce était remplie d’ornements de tout genre, il y avait aussi une banderole ‘’joyeux anniversaire Abigaia’’. Mon regard ce posa ensuite sur Aldrena, ma mine réjouie s’effaça aussitôt. Aldrena si imprévisible… Mon cœur ce figea, quelques secondes s’écroules, l’horreur sur mon visage laisse place a une colère sans borne quand je réalisa que ce n’est pas un rêve. Ma meilleure amie était réellement présente, a cinq pas devant moi, en train d’embrasser mon prétendent avec une passion sans limite. Les amants maudits ne donnaient pas l’impression de m’avoir remarqué. Je ne pense plus, les pigments de rages mêler avec le choc éprouvant me fit perdre toute émotion et toute chaleur qui donnait un sens a mon être.

-SURPRISE!M’écriais-je colérique, je poursuivis en laissant échapper quelques larmes, Vous VOUS attendiez CERTAINEMENT pas a sa? Et Bien POUR ETRE HONNÊTE moi NOMPLU! Voyons qu’es que je raconte! BIENSUR VOUS VOUS ATTENDIEZ a ma venu, sinon POURQUOI CETTE RIDICULE BANDROLE ENH? POURQUOI? EST-CE QUE VOUS POUVEZ M'EXPLIQUER? ...Na-Nadael? Comment... ET TOI? Dis-je encore plus attristé lorsque mon regard croisa celui d'Aldrena

Ma colère refit surface et elle était sans limite, mes bras fessaient des gestes démesurés qui exprimaient pleinement cette rage qui ne fait que commencer. Je ne savais plus vraiment à qui je parlais, à lui ou à elle. Peut m’importe, cette colère si forte m’empêche de réfléchir et guide mes paroles. Malgré tout, je s’avais qu’à tout instant les larmes mélangé à une tristesse inévitable remonterais a la surface. Mais pas maintenant pas tout de suite. Je reste la, immobile avec le regard aussi noir qu’une crête ayant aucune sortie a son extrémité, c'est-à-dire, aucune extrémité car aucune crête ne possède de sortie. Alors imaginez-vous sur une échelle de 1 à 10 combiens j’étais fâchée? Pour moi, je dirais 35, reste à savoir si le nombre augmentera par la suite. Mes bras tremblaient, j’attendais une réaction, une réponse, qui mènera peut-être à leurs pertes.
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Aldrena
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   [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) EmptyVen 22 Juin - 8:39

[Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) 898366UUn bruit. Les bouches se séparent. Des regards inquiets s'échangent.

    « Tu as entendu ? demanda Aldrena.
    _ Ce sont sûrement les musiciens, répondit le garçon. »


Aussitôt, il s'empara de nouveau des lèvres de la rouquine, sans lui laisser le choix de reprendre la parole. Cette dernière était assez surprise. Lui qui, habituellement, se montrait plutôt timide face à elle. Si quelques regards échangés suffisaient pour l'envoûter... alors c'était parfait ! Ces quelques embrassades semblèrent durer une éternité. Et pourtant, quelques secondes seulement s'étaient écoulées depuis le grincement de la porte d'entrée. Le plaisir des baisers et des caresses fit oublier aussi bien à l'un qu'à l'autre l'entrée en scène d'un nouvel acteur.

Retour sur terre. C'est à cet instant précis qu'une exclamation mêlant courroux et déception fit sursauter le duo infidèle. En une seconde, ils se détachèrent et se tournèrent vers la source d'un monologue enflammé : Abigaia. Aucun des deux n'osa lui couper la parole. Ils ne l'avaient jamais vu dans cet état. En même temps, il y avait de quoi... Ses paroles véhémentes s'accompagnaient de mouvements tout aussi violents. Elle pleurait. Honteux, Nadael baissa la tête, rouge jusqu'aux oreilles. Quant à la magicienne, elle n'affichait aucune expression, totalement impassible. Derrière son silence n'existait pas même un soupçon de culpabilité. Elle savait qu'il était tout à fait légitime que son amie se montre aussi hérissée, néanmoins, elle ne s'accordait pas le droit de se sentir coupable. Elle s'avança d'un pas et parla d'une voix qui se voulait rassurante.


    « Calme-toi, Abi. Je pense qu'il vaudrait mieux s'expliquer dans le calme.
    _ S'expliquer ? rétorqua le blond, qui n'osait pas décoller ses yeux du sol. Il n'y a rien à expliquer. Abigaia, je suis désolé, tout est de ma faute.
    _ Je ne suis pas d'accord. Personne n'est coupable. Ni toi, ni moi, ni Abi. Il n'y a pas de quoi s'enflammer. Il n'y a aucun amour entre Abigaia et toi, alors je ne vois pas pourquoi l'un d'entre nous serait en tort. »


Le jouvenceau ne savait pas quoi répondre. Aldrena fixa l'autre demoiselle droit dans les yeux, d'un air presque sévère, dans l'attente d'une réaction de celle-ci.
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Abigaia
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   [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) EmptyMar 26 Juin - 15:29


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Musique: The Lord of the Rings: The Return of the King Soundtrack - 06. Minas Morgul.



Aldrena semblait impassible, ce qui, de toute évidence m’hérissais le plus haut point. Comment ose-t-elle? Sans la moindre culpabilité? Je regardais le garçon et j’avais aucune pitié, au fond de moi, je suis désormais la faible sans cœur. Une faiblesse qui disparaissait de plus en plus et laissa place a une chose qui ne cessait d’accroitre et prendre de l’ampleur. Qui ce transformais peut a peut en une force insoutenable. Un démon. Mon démon. Je ne le laissais pas paraitre par contre. Je pris une posture posée et calme mais mon regard noir ne s’effaça pas…jamais. Maintenant j’étais totalement en contacte avec moi-même avec cette rage.

Aldrena prit une voie rassurante. Et débuta une phrase par : Calme-toi. Les mots que je déteste. Pas n’importe quels mots, des mots que cette batârde prononce. Sa voie, une voie qui remplie mes oreilles de poison. Ce poison qui ce propage et ce concentra vers cette partie si vulnérable. Mon cœur.

Nadael dit qu’il est désolé. Aucune importance. Il dit que tout est de sa faute, non je le crains. Aldrena est aussi fautive. La plus… Dire qu’elle a lue ma lettre. Ma peau me démangeait, j’avais envi de tout enlever. Tout enlever ma peau.


«…pas d'accord. Personne n'est coupable…enflammer…aucun amour entre Abigaia et toi…pas …en tort.»

C’est tous ce que j’ai pu tirer de la phrase que cette démone a prononcée. Trop concentrer a prier le dieu Kastrick pour que cette femme déshonorante ne résiste pas au froid jusqu'à la fin de sa pauvre et misérable vie. Elle deviendra froide comme son cœur, froide comme la mort.
Aldrena me fixe d’un air sévère, je ne sais pas ce qui me retiens de lui sauter dessue. Sale bâtarde! Elle dit que personne n’est coupable? Qu’il n’y a jamais eu d’amour entre moi et Nadael? Qu’ils ne sont pas en tord? Je ne voie qu’une seule explication possible. Après lui avoir lue la lettre, jalouse elle me pique mon amant! Dans ce cas la, ils ne sont pas en tord non? Pour quoi? Elle joue la comédie ! Je la connais trop bien… cette enfant de putain. Je suis sur qu’elle va me dire qu’elle n’a jamais lue la lettre. Ce qui la sauvera? Et gardera cette liaison… Elle prendra plaisir à me faire souffrir? De cett facon elle n’est pas en tord? Non sa ne ce passera pas comme sa. Ma peau commence à bouillir...Je Je ne me reconnais plus, moi si gentille, si amicale qui ne cherche jamais les ennuies. Kastrick m’a accordé un don, ce caractère d’ours démesurer qui s’empare de mon âme.


«Et la lettre?»

Nadael, sans réfléchir, trop concentré à ne pas me frustrer d’avantage. Sort de sa poche LA lettre, Mon enveloppe et LE symbole de ma famille dessus. Ce n’est pas tout. Elle était ouverte. Je le savais. Ils avaient une liaison! Cette jalouse croyais que cette ruse marchait avec tout le monde? J’ai toujours su qu’elle prenait plaisir à conquérir les hommes peut importe le prix à payer. Mais me faire sa a moi? Elle était de mèche avec lui, sinon pourquoi aurais t’il la lettre dans sa poche?

«Sale fille de pute. » dis-je en un murmure incompréhensible.

Je m’avance pris la lettre des mains du garçon en un éclair. Je la froissa et la lança dans un coin de la pièce. Je me retourne et m’avança vers la porte. Cependant, j’ai cru entendre quelques choses. Quelques choses qui provenaient de la bouche empoisonnée de la rousse. Je me retourne et fait face a elle. Calmement je lui dis avec le regard noir.

«Tu finiras comme ta misérable mère, seule, froide et avare. Aucune émotion, aucun amour, tu es maudite et sans cœur. Comme ses putes qui trimbale leurs corps dans les rues et qui ce vendent contre les murs. Comment a tu pu me faire sa moi qui t’ai toujours aidée? Tu ne mérite même pas d’être touchée, encore moins giflée. Ta peau grouille de toute sorte de substance dégoutante qui n’a qu’un seule but : souiller »

Je me tourne vers le garçon le dévisage, ricane et me dirige vers la porte. J’eu soudain un immense coup au cœur. Je regrette ce que j’ai dit, de tout mon cœur. Ont dirais qu’une chose à parler a ma place. J’avais envi de pleurer, je ne voulais pas dire sa, je ne pouvais pas! Mon regard ce calma et je ralenti le pas. Je me retourne doucement, je dois m’excuser.

« Après tous ce qu’ils ton fait? Ce qu’elle t’a fait? Étais-ce volontaire? Ou pas… Pourquoi est-ce toi qui lui laisse toujours une seconde chance. Aldrena a fait des erreurs dans le passé mais étais-ce aussi grand? Restera tu la faible au deux cœur? »

Non d’un chien qui m’a parlée? Je pris un air surpris… mais mais cette voix proviens de ma tête? Je ne rêve pas... ce n’étais pas ma voie!

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   [Flash-back 152-DA] Et la trahison fut inévitable. [PV Abigaia] (fini) EmptySam 5 Jan - 3:06

Aldrena voguant vers d'autres contrées, le RP est en conséquence terminé. Si la demoiselle retrouve le chemin de nos terres, il vous suffira de contacter un admin pour relancer le sujet si c'est possible.

[ Désengagées Aldrena, Abigaia ]
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