Nëysia Nombre de messages : 101
Âge : 29
Race et âge : Cydienne - 32 ans
Cité : Cydonia
Métier : Assassin
Feuille de personnage Compétences :
Discretion, Tir à l'arc, Acrobatie Compétences bonus :
Réputation :
(4/10)
Sujet: Nëysia, Assassin [Finie !]
Mer 15 Jan - 14:41 Renseignements généraux Nom (facultatif) : MoroePrénom : NëysiaÂge : Trente-deux années Race : CydienneLangues: Cydien exclusivementCité d'appartenance: CydoniaMétier: AssassinPosition (facultatif): Membre du Soleil NoirMain dominante : Gauchère
Possessions Monture ou engin : Aucune de permananteArme: Un arc sylvestre avec le carquois et les flèches associées. Ainsi qu'une dague(émoussée).Armure: Tenue moulante en cuir noir, complète (sauf casque).Nom de votre échoppe : Nëysia ne possède aucune échoppe.Roleplay Compétences: Discrétion, tir à l'arc, acrobatieCompétence bonus (si offerte par le métier): /Faiblesses: Survie, connaissance de la magie, Combat à main nue.But du personnage: Protéger son frère et ses sœurs des personnes de sa guilde.
Description physique N ëysia s'entraînait avec son tuteur, lequel, amusé par cette jeune femme incompétente, en profitait pour l'observer plus en détail. V êtue d'une tenue en cuir noir, la plus simple possible, ses formes ressortaient, bien que de ce coté là, Nëysia était plutôt plate. C'est une des choses qu'elle enviait d'ailleurs à ses soeurs, lesquelles avaient héritées des formes pulpeuses de leur mère. On distinguait aussi sans difficultés sa silhouette svelte, et énergique. Nëysia bougeait avec grâce, virevoltant autour de lui afin de combler son manque de talent à la dague, on aurait dit qu'elle dansait. Ses long cheveux bruns volaient derrière elle, suivant avec peine ses mouvements. Attachés en une longue tresse, on ne remarquait pas qu'ils ondulaient. L es torches éclairaient d'une lueur tremblante son visage au teint clair, de forme ovale, au menton avancé et au front haut. Ce joli minois était ponctué par des lèvres sensuelles dont on se demandait quel goût elles avaient, ainsi que par un nez droit. Une chose par contre perturbait la vigilance du maître de Nëysia; il ne parvenait pas à détacher son regard des yeux de son élève, d'un vert olive brillant, qui rendaient encore plus pâle son visage. Surmontés par des sourcils épais, on ne voyait presque que cette lumière verte sur son visage, au détriment du reste.Caractère, qualité et défauts: N ëysia était une femme au caractère changeant. Lorsqu'elle était avec son frère ou ses soeurs, Nëysia se montrait bavarde, joviale, et même taquine. Ce n'est pas parce qu'elle est l'aînée de la famille qu'elle est la plus sage, ni qu'elle montre l'exemple. Bien au contraire. Elle adore embêter ses soeurs, son frère encore plus, et profite au mieux de leurs présence. Elle se montre alors très attachante, bien qu'un peu pénible à la longue, mais on s'y habitue ! P ar contre, lorsqu'elle effectue une mission, ou même lorsqu'elle se balade en ville, son caractère change du blanc au noir. Elle devient réservée, extrêmement prudente, et légèrement taciturne. On peut la comprendre, la plupart des personnes avec qui elle parle sont soit des clients de la guilde, qui ne rechignent pas à tuer pour leur propre bien, soit des tueurs professionnels. M ais bon, il faut faire la part des choses. Ce n'est pas pour autant qu'elle ne se montre pas parfois bavarde avec un marchand, ou avec des connaissances. Par exemple, lorsqu'elle était encore sous l'aile de son maître, elle se chamaillait souvent avec lui pour des broutilles, essentiellement, et adorait aussi bavarder avec lui. Peut-être étais-ce dû à l'atmosphère de la guilde, on ne sait pas, mais elle avait eu besoin d'un... "point d'appui".Biographie: C ydienne, Nëysia est l’aînée d'une famille de quatre enfants. Ses deux petites sœurs, Lina et Floeris, sont jumelles, elles ont maintenant 22 ans. Son petit frère, Morec, a quant à lui 28 ans. S es parents se nommaient Bjorn et Sigrid, c'étaient les propriétaires d'une compagnie marchande, dont les affaires étaient florissantes. Nëysia pu vivre ainsi durant vingt ans au milieu des nobles et des fortunés. Elle y appris les manières d'une dame, la façon de tenir les comptes d'une entreprise de l'envergure de celle de son père, comportant trois navire marchand pour un total d'une trentaine de marins et de quelques mercenaires engagés pour assurer la bonne livraison des marchandises. Sa mère lui appris, à elle ainsi qu'à ses deux sœurs, le chant et la danse. Nëysia, peu intéressée, ne suivait pas avec grand enthousiasme ces leçons, et préférait rejoindre son jeune frère lors de ses entraînement pour devenir soldat. Elle passait ainsi des heures à l'observer, maniant diverses armes, et se faisant souvent réprimandé par son maître d'arme. Régulièrement, Nëysia et Morec partaient dans les sous bois, prétextant une balade de santé, et ils en profitaient pour faire des joutes, durant lesquelles Morec profitait de son expérience pour enfin avoir le dessus sur sa sœur, qui se plaisait à l'embêter le reste du temps. C'est de cette manière que Nëysia appris peu à peu à manier l'arc, et la dague, les autres armes que lui proposait son frère étant soit trop encombrantes, soit trop difficiles à manier au goût de l'aînée de la famille. M alheureusement, ses joyeuses années ne durèrent pas, et, alors que Nëysia atteignait sa vingtième année, que l'on s’apprêtait à fêter en compagnie de toute la famille, des amis, et de quelques riches Cydiens cherchant à marier leurs fils, un incident survint : E n tant que propriétaire d'une compagnie de cette envergure, Bjorn s'était attiré de nombreux concurrents, et certains ne pouvaient le supporter. Depuis quelques temps, un ou deux ans, il arrivait que ses bateaux soient pris pour cibles par des corsaires. Mais généralement, les mercenaires employés suffisaient à contrer ces attaques. Bjorn ne pensait donc pas que ces concurrents puissent êtres si présomptueux, et puissent tenter de l'assassiner, lui et sa femme. C'est pour cette raison qu'il n'y avait pas de gardes du corps autour de Bjorn, et c'est ainsi qu'il fut assassiné chez lui, alors qu'il discutait avec sa femme de quel était le meilleur parti pour leur fille. Personne n'entendit rien, on ne s'en aperçu que lorsque les invités, alors tous arrivés, attendaient déjà depuis dix bonnes minutes leurs hôtes, qui ne daignaient toujours pas se montrer. Ce fut Morec, qui avait donc 16 ans, qui se rendit dans la chambre de ses parents et y découvrit la scène macabre. Le corps des deux parents gisaient sur le sol en bois, allongés l'un à coté de l'autre. Leur têtes avaient été tranchées, et reposaient quelques pas plus loin, se touchant toutes deux. Le sang s'était répandu sur le sol, et avait été imbibé par les vêtements des deux cadavres. A la vue de cette scène, le jeune garçon hurla, alertant de ce fait tous ceux qui étaient dans la résidence, à savoir ses sœurs et leurs domestiques. Les invités, conviés à patienter dehors, dans la cour, n'entendirent rien. Nëysia accourue la première, et étouffa un hoquet en découvrant la scène, elle eu alors la délicatesse d'esprit d’empêcher à ses deux plus jeunes sœur ; âgées alors de 10 ans, de voir cette scène qui les aurait traumatisée à vie. Mais cela ne lui permit pas de ne pas éclater en sanglots, ses sœurs dans ses bras. Nëysia resta ainsi pendant de longues minutes, ses muscles crispés, retenant Lina et Floeris auprès d'elle. Ces dernières ne cessaient de demander :« Lâche nous Nëysia! Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qu'il se passe? Ou sont papa et maman ?! » Morec quant à lui s'était laissé tomber sur le sol, et restait désormais à genoux, auprès des ses parents, il se tenait la tête entre les mains, et se ressassait un mot en boucle : « Pourquoi ?! »
A près cet incident, les invités furent renvoyés chez eux sans explications. Nëysia quant à elle, repris les rênes de l'entreprise de son père, avec l'aide de Morec, qui abandonna son désir de carrière militaire. Celui-ci poursuivit son apprentissage des règles de commerce, et s'abandonna à rendre la compagnie maritime plus florissante que jamais. Les deux jumelles firent une dépression durant quelques semaines, puis s'adonnèrent à ce que leur mère avait pu leur apprendre : Elles chantaient et dansaient ainsi lors de fêtes, de ballets, et autres soirées officielles, et s'amusaient à peindre les plantes qu'elles récoltaient pour approvisionner la serre. N ëysia ne cessait de s'inquiéter pour sa famille depuis la mort de ses parents, et craignait que ce type d'incident ne survienne à nouveau. Elle avait ainsi engagé des gardes du corps, chargés de surveiller toutes entrées et sorties de personnel. Leur salaire était suffisamment élevés pour éviter toute tentative de corruption, bien que cela pèse sur les moyens qu'ils possédaient. Elle entreprit aussi de réemployer un maître d'arme, pour leur enseigner à elle, son frère et ses sœurs d'être capables de se défendre. Elle savait ainsi que ses proches ne craignait rien, mais redoutait tout de même que cela puisse se reproduire. Après avoir expliqué à son frère comment s'en sortir tout seul, et lui avoir indiqué les notes qu'elle avait prise pour l'aider à gérer la compagnie, Nëysia décida de s'en aller. Elle rassura ses sœurs d'être en de bonnes mains, et pris la route. S e rendant dans les quartier les moins fréquentables de Cydonia, Nëysia se mit à la recherche d'un moyen d'entrer dans la guilde des assassins, elle souhaitait tous savoir de leurs méthodes, et être ainsi capable de protéger les siens de pareilles manœuvres. Son but était aussi d'apprendre leur art. Car s'était bien un art que de pouvoir tuer deux personnes enfermées dans leur chambre, sans pour autant se faire remarquer, ni ne laisser aucune marques d'effraction. Nëysia n'était pas restée longtemps sur la scène de crime quand elle est arrivée, le choc était trop grand que de voir ses parents, deux personnes respectables et aimantes, mortes décapitées. Mais Nëysia était ensuite retournée dans leur chambre, et elle avait retenu chaque détails de la scène. L'expression de leurs visage, sereine et calme, comme si rien ne s'était passé, leur corps étendus, parallèles, comme s'il n'y avait eu qu'un seul geste, et puis la résidence, d'une propreté impeccable, comme à l'ordinaire, alors qu'un étranger était entré et sorti en tuant deux personnes. Cela relevait d'un véritable talent. Et Nëysia voulait apprendre cela. Elle détestait l'idée que ses proches soient en danger à cause de telles personnes, mais l'admiration qu'elle leur portait la poussait à les rejoindre, et si elle voyait le visage d'un membre de sa famille sur un contrat, alors la guilde deviendrait son ennemie, et elle irait jusqu'à se sacrifier pour les siens. E lle trouva son bonheur dans une taverne, où quelques hommes attablés autour de pintes de bières et de bourses d'or discutaient en ricanant. Nëysia les entendit parler de l'exploit d'un de leur compatriote, dont le nom resta gravé des années durant dans l'esprit de la jeune femme. Mercer. C'était apparemment un assassin de renom qui ne prenait que de gros contrats. Il avait accepté celui-ci suite à un pari, qu'il n'avait signé qu'après avoir bu quantité d'alcool. L'orpheline se rendit compte que ses hommes étaient méprisables, et ne prenaient la vie que pour un jeu, mais elle fut aussi rassurée de voir que la mort de ses parents attristait certains clients, qui profitaient de son commerce diverse et varié. E n effet, Bjorn achetait et vendait les marchandises sans faire états de leur provenance ou de leurs destination, il était ainsi amené à avoir affaire avec certains malfrats, qui profitaient de cela pour établir leur trafic. Peu importait au responsable de la compagnie, tant qu'il gagnait de l'argent. C'était d'ailleurs cela qui lui valait l'animosité de plusieurs autres compagnies marchandes. N ëysia décida de leur parler, et se dirigea vers leur table d'un pas léger. Elle les salua, et leur demanda sans détour quels étaient les moyens pour rejoindre pareille entreprise. La plupart s'esclaffèrent en voyant cette ravissante jeune femme habillée en dame s'adresser ainsi à eux, et un d'entre eux s'autorisa à mettre une main sur ses fesses."Mais c'est qu'elle est plutôt jolie la donzelle !" ,brailla l'homme le plus près de Nëysia." Etes-vous certain de tenir à votre main, Messire ?" répliqua la jeune femme, en appuyant sur le poignet avec la lame de sa dague, laissant un filet de sang couler légèrement."Oh oh ! "Messire" John se fait rappeler à l'ordre par une dame ! C'est cocasse ! " enchaîna l'un des homme, assis en bout de table.
H eureusement pour elle, elle parvint à conserver son calme, et fit la sourde oreille. Le dit John enleva alors sa main, qu'il posa sur la table, tandis que Nëysia rengainait sa dague. La conversation tourna au sérieux. On s'enquit de connaître les motivations de l'arrivante, qui répondit simplement qu'elle admirait leur talent et souhaitait apprendre une telle maîtrise du meurtre. La conversation s'axa ensuite sur ses compétences, qui apparemment laissaient à désirer. A part sa maîtrise de l'arc et de la dague, quoique encore médiocre, Nëysia ne possédait aucun talent apparent pour l'assassina. S on entreprise aurait pu s'arrêter là, mais heureusement pour elle, son entrée s'était plutôt bien passée et avait attirée l'attention d'un des acolyte. Lequel s'engagea à la prendre sous son aile, et à lui apprendre les compétences nécessaires. Ainsi démarra une nouvelle vie pour Nëysia, qui réapprit à vivre: elle abandonna ses bonnes manières, et tout son style de vie dont elle avait jusqu'alors l'habitude. Son tuteur s'employait à faire d'elle une professionnelle, et ne lui laissait aucun répit. Il mit ainsi trois ans à lui apprendre les rudiments du métier d'assassin, et commença alors à lui confier de petits boulots. Appartenant à une guilde des voleurs, en plus de la guilde du Soleil Noir, son maître lui confia d'abord des missions de cambriolage, de rapines, de saccage, de falsification, etc. Ceci afin d'exercer ses talents à rester invisible, et puis aussi évidemment à ramener des sous à la guilde. Elle y excellait. P uis vint son premier contrat, son maître le lui confia en précisant qu'il fallait bien qu'elle s'assure de ne pas se faire repérer. Même si le l'assassina loupait, il fallait qu'elle reste invisible, pour son propre bien, et pour celui de la guilde. La cible était un homme assez âgé qui haïssait sa famille, il faisait tout pour réduire à néant leur héritage, aussi décidèrent-ils de le faire tuer. C'était un coup bas, et Nëysia eu de la peine pour le pauvre homme quand elle lui trancha la carotide, mais l'avait déjà oublié lorsqu'elle préleva un petit pourboire dans le contenu du coffre que sa victime fouillait à son arrivée. A insi continua sa vie, entre meurtres et visites familiales. En effet, Nëysia rendait souvent visite à son frère et ses soeurs, qui l'accueillaient à bras ouverts. Ils ne savaient rien de ses activités, et cela valait mieux. N ëysia voyageaient souvent, l'emprise de la guilde étant assez étendue, et elle était parfois amenée à se rendre jusqu'à Silmarie, ou d'autre villes plus petites mais tout aussi éloignées, pour recevoir le payement de ses contrats. Mais depuis l'accès aux territoires Jinmens, l'influence de la guilde s'était étendu, et certains contrats nécessitaient de s'y rendre. Nëysia se refusait à y aller, car elle souhaitait rester le plus près possible de ses proches. C'est pourquoi, lorsque son frère lui annonça que l'entreprise venait d'acheter des navires qui voguait en territoire Jinmen, et que de plus en plus de leur commerce s'effectuait là-bas, par le biais des fleuves qui parcouraient Azthia et le territoire Jinmen, elle lui proposa de déménager. Leurs soeurs acceptèrent, ravies de pouvoir découvrir les moeurs Jinmen, qui, de ce qu'elles avaient entendues, leurs plaisaient tout particulièrement. Elles allaient ainsi pouvoir étendre leurs connaissances du chant et de la danse, dont elles raffolaient. Floeris et Lina étaient aussi enthousiastes à l'idée de pouvoir s'habiller comme les femmes de là-bas: elles faisaient déjà parvenir par bateau des vêtements, qu'elles portaient lors de leurs chorégraphie, au plus grand plaisirs des spectateurs. C 'est ainsi que le "Grand déménagement" commença, le voyage se fit en partie par bateau, du moins jusqu'à Tamawa, au mécontentement des trois soeurs, qui détestait naviguer. Ce fut un soulagement lorsqu'elle purent remettre le pied sur la terre ferme. L'autre partie était plus longue, et finalement plus pénible, elle nécessitait de traverser les montagnes. Ce n'est pas une mince affaire pour qui n'y est pas habitué que de rester plusieurs jours d'affilés sur le dos d'un cheval sans ressentir de courbatures et sans avoir les cuisses meurtries. Mais le trajet en valait la peine. En pénétrant dans la vallée, tous s'extasièrent devant la beauté de ce paysage, nouveau pour eux, qui resplendissait sous les rayons du soleil levant. Les cerisiers en fleurs reflétaient la lumière grâce à leur pétales rose pale, bordant ainsi la route d'un doux duvet de lumière. Le voyage pris ainsi une note plus joyeuse, et se déroula sans encombres, ou presque, jusqu'à Amamizu. La citée les accueillies par ses grandes murailles en pierre, puis par les rue encombrées de citadins, naviguant entre rues et ruelles et faisant fonctionner le commerce côtier qui s'était établis dans cette ville. Toutes ces lumières et ce bruit impressionnèrent les deux jumelles, qui contemplaient avec béatitude les femmes Jinmens, vêtues pour la plupart de yukatas. L es trois sœurs et leur frère se rendirent ainsi dans leur nouvelle demeure, plus modeste que ce qu'il possédaient, mais largement suffisante pour leur besoins. Ils étaient alors âgés de 32, 28, 22 et 22 ans. Une nouvelle vie débutait, au sein d'une nouvelle ville, avec de nouveaux voisins, mais aussi de nouveaux ennuis, et plein d'autres choses qui surviendrait bien assez vite.Mon heure de gloire ! Votre prénom(facultatif): AntoineD'où venez vous? (facultatif): De la Drôme !Âge (facultatif): 18 ansAvez-vous lu et approuvé les règles? Bien sur, quelle question ! [Validé ^^]Comment avez-vous connu le forum? J'étais déjà venu avant, et j'ai eu envie de revenir.Idées, remarques ou suggestions? Très beau forum, comme toujours !! On distingue pas très bien les sujets nouveau des autres, c'est dommage. Faudrait agrandir le motif peut-être ^^.