J'étais dans la maison d'une famille paysanne dans les environs de la citée de Cydonia. Il devait être six heures du matin. Lorsque les premiers rayons du soleil ,filtrer par la toiture de pailles, vennais m'annoncer qu'une nouvelles journée commençais. Je me sentais chanceux ,nous approchions d'une saison moins clémente .
Je pris la peine de m'habillé à mon aise avant de rejoindre le reste de la petite famille paysanne qui s'etaient réveillée de bonne heure .
Celle-ci comportait un chef de famille de 40 ans . Il possédait une corpulence très importante et on pouvais deviné les cicatrices du passé inscrit dans les trait de son visage . Se qu'il ne l''empêchais pas d'être d'un souriant et d'une sociabilité très humble . Sa femme, âgée de... (on ne demande jamais l'age d'une femme ), me faisait penser à ma mère. Elle défendais toujours l'intérêt ses enfant et y mettait tout son coeur, quitte à faire des sacrifices ,"Leur bien être passera toujours avant le notre , c'est notre rôle " .Quand elle parlaient d'eux , poésie et passion se mélangeaient dans un torrent de phrases, plus belle les unes que les autres .Tom "tit bou d'choux", est un jeune homme de 13 ans . Il part tout les jours accompagné sont père à ses différentes tâches "d'homme" : entretien des champs en fonction des saisons , trier , ranger, gérer les stocks de marchandises . Il s'occupe aussi de quelques animaux dans les enclos à proximité de la maison .Il ne manque à l'appel non plus quand il faut bricolé a gauche et à droite, en résumé ses un bon garçon . Nessi , est une magnifique petite fille de 6 ans tout simplement . Ils venaient de m'offrir un deuxième jour d hospitalité.
Je traversa le petit couloir de chaume encore humide de la nuit fraiche , pour attérir dans le petit salon familiale . Le père et son fils étaient assis autour de la petite table ronde au milieux du salon . Nessi était assise a coté de mon compagnon qui s'était couché a coté d"elle. quelle brave "sac a puce" . La maitresse de maison se postait du coté du fourneaux et ne tardas pas a me parlée

Maitresse de maison :Quelle belle journée Caim !! Tu prendra bien un bol d'avoine avec nous avant ton départ!?

sa voix chaleureuse me fit penser à ma mère .. et ajouta

Une grande journée t'attends,reprend des forces avant de partir.

malheureusement je fus contraint de refusé son offre ... Je devais rejoindre la forêt au plus vite . Je m'excusa au près de la famille et leur fit cadeau d'un petit porcin et de deux lapin attrapé la vielle .Rien ne m'obligeait à le faire mais il me paraissait normale de leur faire un don , même si cela n'avait rien de comparable avec le générosité et la confiance qu'ils m'avaient accordées . J'accrocha le reste de mes équipements à ma ceinture .siffla mon "sac a puce" et fit mes adieux .J'ouvrit la porte de la maison et franchi le porche de la maison.
Une fois dehors , je me mis en route vers la forêt . Javais quelques pièges à relevé et en replacer certains ... Devant moi ce dressait un sentier menant jusqu'aux champs où s'écoule une rivière en contrebat . Après 5 minutes de marche j'arrive à la rivière , je m'approchas de la rive me débarbouilla le visage et envoya une bonne petite flopée d'eau sur mon "sac a puce ". Je savais que sa ne lui plaisais pas, mais ses justement ce qui rendais la chose marrante . Le voir dans sa frénésie temporaire exécutant des roulades de gauche a droite me faisait bien rigoler ..Assez ris ! L'entrée de la forêt se trouvait sur la rive opposé , la largeur de la rivière était beaucoup trop importante pour que je la traverse sans mouillée les gambettes . Par chance un arbre déraciné rejoignait les deux rives . Je franchi l'obstacle sans trop de difficulté et envoya quelques encouragements à mon canin qui appréhendait la traversé , il broncha quelque peux, mais finis par la traversé terminant l'obstacle par un saut imposant et lourd .
A peine avons nous mis un pied dans la forêt . Que nous métions nos sens en alerte, il s'avança devant moi humecta les odeurs et diverses essences transporter par les fin courant d'air qui se propageaient entre les arbres ,tant qu'a moi je me contentas de regarder les buissons qui abondaient de petites baies sauvage, je m'acroupi et souffla au oreilles de mon canin

Caim : C'est le moment ! Va! Va!

Il s'exécuta et s'enfonça dans la forêt .Il m'avait déjà prouvé ses qualitées de flaireur par le passé .Il percevait facilement les emotions émanant des codes de la forêt , la peur , l'angoisse , l'affolement ,des créatures prises aux pièges . Ce merveilleux sac a puce etait un peu la rallonge de mes narines et pour lui j'étais ses pouces et sa parole . Nous nous complétions bien .Une fois partis dans la forêt j'en profita pour récolté quelques baies sauvages dans les buissons qui bordaient les pieds des arbres . Après plusieurs minutes le sac a puce revenaient vers moi , il semblait pas mal exité je décida donc de le laisser ouvrir la marche. Il m'en mena sur un sentier familier aboutissant dans une carrière . Je pris la peine de le caresser le canin en guise de félicitation , et commença mon pistage . Des empreintes étaient bien imprimées et profondément inscrite dans le sol et vus la forme et la taille celle-ci devaient appartenir a des biches qui ne semblait pas pressées et se dirigeant vers la carrière . Les animaux devaient sans doute y venir se ressourcer . Je repris donc la route .
Arrivé a l'antre de la carrière je me posta derrière un buissons imposant . Effectivement deux biche y étaient et prenaient un bain de soleil sur la pelouse encore humide de la nuit fraiche . je décida de pas m'y attardé plus longtemps . En me retournant je ne vis plus mon fidèle sac a puce, celui ci avait disparu .Je me remis en marche en direction d'un de mes fameux piège qui se trouvais autour de la carrière j'avais pris soin de les postés en trois point formant un triangle. Je devait rejoindre la base de mon triangle l'un des pièges était un trous d'environs 1m50 et les autres de simple "attrape patte " en rejoingnant mon trou je perçus des petits cuinements strident . La direction que m'indiquait les plaintes auditive semblait provenir de mon trou .Une fois a l'endroit de mon trou ,je remarqua qu'une partie des branchages s'était engouffrer dans celui ci ,en me penchant dessus je vis 3 lapin!! belle prise pour un simple trou . Un évènement avait certainement du les perturbés pour pas qu'il ne fasse attention ou il allaient . Je descendit dans le piège pris un lapin et le relâcha , j'executa les deux autres, pris deux bout de corde et les fixa a ma ceinture par la patte . je me dégagea de mon piege et me mis en direction du deuxième. A mi route avec celui ci surgit le sac a puce qui courrait tellement vite qu'il n'arriva même pas a contrôler le freinage de sa cours .Il me montra sa piste...
après une bonne demi heure marche nous débuchions sur une petite colline posté prés d'une facade rocheuse où se dressais un petit campement , je me tenais en contrebat de celui ci . Je m'engagea vers le camp , pour en savoir plus En atteignant le haut de la colline je vis un feux de camp vu la température au dessus m'indiquait qu' il était eteint depuis peu il y avait 2 grosse buche pouvant servir de banc autour du feu .Je mis assis et y déposa mes affaire en regardant autour de moi je pouvais aperçevoir l'ossature ayant servi d'abri et de couche pour la nuit ici, des traces de sabot etait visible un peu plus loins . Mon chien lui ?Il reniflait par ci par la les odeurs du camp .Je pris la peine de m'installer plus confortablement et ôtas mes affaires a coté du banc buche . On s'approchais du millieux de matinée ,la prise avait été bonne.
Pourquoi pas me concocter un petit quelque chose avant de me remettre en route ? J'avais tout a disposition pour refaire facilement partir le feux .Je fis un petit tour du camp pour ramasser du petit bois une fois en avais-je en suffisance , je retourna vers la buche où je mettait installer. en m'y installant je vis que mon chien n'était pas attiré par ce que je faisais .[i/]

Reviens ! Tu fais quoi là bas ?

[i]Voyant qu'il restait planté là , je decida de le rejoindre . Il se postait devant la facade rocheuse , reniflant un sac . Curieux comme lui ,je m'en devait d'aller examiner son contenus ... Des pièces d'or ...Surpris de voir autant d'or dans un endroit comme celui ci , je pris le sac et le rapporta près de mes affaires . je continua de rallumé mon feu , n'étant pas spécialement un ami de la monnaie et n'en possèdant pas moi même.je me disait que je devais rester ici attendre le propriaitaire du sac , si celui ci ne se manifeste pas avant la tombée de la nuit j'emporterais l'or .Et pourrai enfin réparé la lame de mon couteau de chasse émoussé .En attendant je continuais la préparation de mon lapin au baies sauvages.

Edit Eléa : Tu as oublié de noter [F-A] dans ton titre ^^

Le temps passe et jamais ne s'arrête.

Le changement de saison s'annonce et bientôt, un blanc manteau recouvrira le monde, le chant joyeux des oiseaux cédera sa place au silence et le monde s'endormira petit à petit. Dans ce décor figé par le temps, le moment est venu de s'éclipser, de laisser la nature reprendre ses droits et le cours des choses se faire.

Désengagés : Caim, Khalid