[D-A] Une réparation urgente.(Iroas et Lunielle) [Finit]

Il fesait particulièrement chaud en cette mâtiné d'automne.Je déambulait dans la rue commerçante,a la recherche d'une forge digne de ce nom.Mes yeux glissèrent sur les nombreuses échoppes qui bordait la grande avenue.Ils furent attiré par un homme,richement vêtu,se pavanant d'une démarche impérial.Je le regarda de haut en bas et discerna une bourse accroché a sa ceinture,a première vu ,elle était bien garnie.Je savais qu'il fallait mieux continuer mon chemin,oublier cette petite fortune a ma porté...Je lutta contre moi même un instant,mais la tentation fut trop forte...
Je m'approcha de lui,rabaissa ma capuche de façon a ce qu'on ne distingue pas mon visage.
Je m'approcha silencieusement de lui,une fois arrivé a sa porté,je fis exprès de laisser tomber une pièce a terre,je me baissa pour la ramasser et en profité pour lui prendre discrètement sa bourse.Il ne remarqua rien et continua sa discussion avec une jeune femme qui lui fesait les yeux doux.Je continua donc mon chemin sur quelques dizaines de mètres,quand je me retourna pour voir si il avait remarqué quelque chose,je le vis en train de tâter sa veste a la recherche de sa bourse,puis il regarda la femme en face de lui et l'accusa en hurlant de l'avoir dépouille,elle se défendit mais il appela la garde dans un crie furieux.
Je me retourna,n'ayant aucun intérêt a porter secours a la femme.La pitié était une notion qui avait depuis longtemps étés bannie de mon esprit.
Je continua mon chemin,sous le regard suspicieux et intrigué de la foule,visiblement troublé par ma capuche ornée de symboles noir.Je continua donc ma route,a la recherche d'une forge,je m’arrêta un instant sur un banc a l'ombre d'un pommier.
Je sortie de ma poche une dague en morceau et la fixa longuement.
Je la rangea enfin et me leva,je regarda autour de moi et vit une femme aux long cheveux noir,elle avait un physique agréable et pour demander son chemin,autant joindre l'utile a l'agréable !
Je m'approcha d'elle,ma capuche baissé,une démarche inquiétante.
"Excusez moi,savez vous ou je pourrais trouver une forge ?" Demandai je d'un ton froid.
Je releva légèrement ma tète,laissant apparaître une longue cicatrice qui lui barrait l'oeil gauche,me rendant inquiétant.

Lunielle marchait tranquillement sur la place marchande depuis quelques heures déjà. Elle essayait de s’imprégner de l’endroit, de voir comment était agencée cette place et surtout de voir quelles échoppes étaient présentes. Cela ne faisait quelques jours qu’elle était arrivé et elle se perdait bien trop facilement à son goût, de plus il fallait qu’elle voit pour restaurer un peu son magasin histoire qu’il ne fasse pas trop pouilleux lorsque les clients arriveraient.
Elle s’arrêta un instant détaillant ce qu’elle avait autour d’elle. Tout était tellement magnifique, bien entretenu. Cela la mettait de très bonne humeur. Cependant la journée était bien trop chaude pour elle. Le soleil tapait sur sa peau déjà bien trop claire, si elle n’allait pas bientôt s’abriter chez elle, elle allait ressemble à un toast bien cuit. Elle partit alors dans le sens inverse et arriva au milieu d’une querelle en pleine rue.
*Tiens, même ici tout ne se passe pas comme on le pressent* pensa-t-elle. Elle écouta brièvement ce qu’il s’était passé, une bourse volé, une jeune femme accusé. Rien de moins que ce qu’il ne se passait dans une allée marchande, les voleurs avait toujours la main un peu leste et n’hésitait jamais à délesté ceux qui montrait un peu trop leur fortune.
Laissant la querelle qui ne la concernait pas de côté, elle reprit sa route vers son magasin tout en regardant les différentes devantures qui s’offraient à ses yeux. Quel ne fut pas sa surprise lorsqu’une personne encapuchonnée s’adressa à elle avec un air légèrement menaçant. Lunielle le regarda et remarqua qu’il mettait en avant une cicatrice qui lui barrait l’œil. Cela l’amusa plus que ne l’effraya. Même par ici les gens essayait sans cesse de vous impressionner. Quelle était le but d’impressionner une personne alors qu’on ne savait même pas si cela serait nécessaire. Elle haussa doucement les épaules, décidément elle ne se ferait jamais réellement aux relations avec les autres personne. Elle se tourna lentement vers l’homme qui l’avait accosté et lui répondit

"Pour commencé, si vous cherchez un renseignement, je vous conseillerais de laisser tomber le côté menaçant. Cela n’apporte rien de bon."

Elle essaya de le détailler mais avec sa capuche, on ne voyait réellement rien.

"Ensuite si vous chercher une forge, je suis moi-même forgeron. Si vous avez besoin de quelque chose je me rendais justement à ma forge, je pourrais peut être quelques chose pour vous."

Elle reprit tranquillement sa marche, comme si de rien n’était et se dirigea vers la forge, de toute façon s’il avait vraiment besoin de quelqu’un il la suivrait, sinon il chercherait ailleurs.

"Pour commencé, si vous cherchez un renseignement, je vous conseillerais de laisser tomber le côté menaçant. Cela n’apporte rien de bon."
Je sourit a la remarque de la jeune femme,il n'existait pas grand monde capable de me repondre ainsi d'habitude;ca ma'asusais particulierement que se soit une femme qui soit capable d'un tel courage.
"Ensuite si vous chercher une forge, je suis moi-même forgeron. Si vous avez besoin de quelque chose je me rendais justement à ma forge, je pourrais peut être quelques chose pour vous."
Intéressant,c'etait le genre de chance auquel j’étais souvent habitué,elle était donc forgeron...
Parfait,une si belle femme forgeron,sa n'arrive pas tout les jour.Elle partie en direction de sa forge,je le suivi en silence,elle se dirigeais vers un bâtiment qui avait besoin d'une bonne rénovation..
"Je vous,vous pourrez sans doutes faire quelque chose pour moi"
Cette fois,j'avais adopté un ton amical,si elle pouvais m'étres utile,je n'avais aucune raison de la menacer.De plus,si je pouvais en plus êtres en bonne relation avec une si belle créature,sa ne me déplairais pas.Je marchais d'un pas silencieux,si bien qu'elle devais penser que j’étais rester las bas et que je ne l'avais pas suivis.
Un homme passa prés de moi avec une bourse a sa ceinture,je lui la déroba avec une agilité remarquable,je doute qu'elle ai pu voir quoi que se soit,mais si elle avait tourné la tête a cet instant,elle aurait pu me voir a l'oeuvre.
Si c'etait le cas,je devrait sois la corrompre,sois faire le nécessaire pour qu'elle ne parle jamais. J’étais en général assez intimident pour que la plus part des personnes normal ne parle jamais,mais cette femme,je sentais qu'elle n’étais pas normal,et j'espérais qu'elle n’étais pas folle au point de me dénoncer,sinon,elle payerais...
Sa m'ennuyais de faire ça a une si belle femme,mais si j'y suis restreint,je n’hésiterais pas...

Lunielle continuait tranquillement son chemin, tout semblait aller pour le mieux pour le moment sauf peut être le soleil qui commençait à lui taper un peu trop sur le visage. Elle qui préférait l’obscurité la voilà servit par du soleil dieu que le monde était injuste parfois. Elle regrettait parfois la forêt de Silmarie. Elle avait tant apprécié être sous le couvert des arbres qu’ici elle se sentait parfois un peu à l’étroit. Elle sortit rapidement de ses pensées lorsqu’elle entendit des pièces cliqueter. Ses perceptions d’elfe était plus développer que la normal, il était logique qu’elle entende ce genre de chose. Mais de toute façon elle s’en fichait après tout chacun gagnait sa vie de la manière dont il l’entendait peu lui importait du moment qu’on travaillait.
Lunielle s’arrêta un instant devant une des devantures, brinquebalante, un peu miteuse, cette échoppe était la sienne désormais et il allait falloir qu’elle la remette sur pied. Elle ouvrit tranquillement la porte, l’intérieur était somme tout bien mieux que l’extérieur. Un comptoir en bois de bonne facture, une forge neuve et tout le matériel nécessaire pour forger des armes de qualité. De plus son don de manipulation du feu l’aidait grandement la forge pouvait ainsi ne pas toujours être allumé. Elle déposa ses affaires dans l’arrière salle et revins très vite.

"Je vous en prie, prenez une chaise et asseyez vous le temps que je rallume la forge. Ensuite je suis tout à vous."

Il avait été aimable sur le chemin, laissant tombé son air menaçant, elle allait se montrer courtoise et polie comme le devait être tout bon marchand, mais elle ne changerait pas sa façon de parler pour autant. Elle savait que son ton était froid mais tant pis, de toute façon il était surtout là pour son travail. Elle se dirigea vers le fourneau et grâce à son pouvoir l’alimenta assez pour qu’il rougeoie intensément. Elle se dirigea ensuite vers quelques barres de fer, elle avait quelques commandes à faire aussi, il était temps qu’elle se remette au travail. Elle mit les barre dans à chauffé et revint vers son client actuel.

"Bien alors que puis-je pour vous ? J’imagine que vous ne chercher pas un forgeron pour parler fleur. Avez-vous besoin de création ? Réparation peut être ?"

Elle le regarda tranquillement attendant une quelconque réponse de sa part. Elle n’était pas pressé après tout elle avait pratiquement toute une vie devant elle.

Je pénétra dans une échoppe qui avait bien besoin d'un petit coup de neuf,la jeune femme m'indiqua une chaise,je m'y installa tranquillement,scrutant la boutique de mon regard vif,je regarda la femme allumer la forge avec des gestes d'expert,a premiere vu,elle s'y connaissais dans le domaine.

"Bien alors que puis-je pour vous ? J’imagine que vous ne chercher pas un forgeron pour parler fleur. Avez-vous besoin de création ? Réparation peut être ?"

Je la regarda un instant,puis retira ma capuche,laissant apparent mon visage aux traits fin,mon regard d'un noir d’ébène,et ma cicatrice qui me barrait l'oeil gauche.J'avais toujours eu du succès auprès des femmes,autant grâce a mon visage qu'a mes phrases toutes faites de séduction.
"Non,je ne suis pas la pour parler de fleur,mais en parlant de ça,vous êtes la plus belle des fleur qui m'a été donné de rencontré.

Je lui lança un sourire charmeur,et la fixa de mon regard noir,qui m'avait toujours donné un coté séduisant.Ceci fesait tombé la plus part des femmes,mais je sentais qu'elle n’étais pas réceptible a ce genre de charme,ce qui était étrange,je n'avait jamais été confronté a une telle réticence.Mais bon,ce n’était pas la première belle femme que je croisais et se ne sera surement pas la dernière.

Je sortie de ma poche une dague brisé en deux morceau,elle était finement gravé et de très bonne qualité.Elle était brisé,mais il manquait certains bouts du model d'origine,mais un forgerons digne de ce nom ne devrait avoir aucun mal a réparer ça.

"Je pense qu'un si bon forgeron que vous n'aura aucun mal a réparer ça"

Je lui sourie a nouveau,puis lui tendis la dague brisé.

Lunielle le regarda toujours lorsqu’il enleva sa capuche et lui répondit. Son visage devait séduire nombre de jeune femme surtout avec des yeux aussi noir. Par contre elle se demandait bien qui il voulait séduire avec une phrase aussi banal que celle-ci. De plus elle n’aimait pas trop le genre lèche botte.
Elle le regarda un instant, il lui sourit, elle non. Elle avait perdu tout sourire, ou alors n’en avait jamais eu. Elle ne savait pas trop en réalité. Elle le regarda par la suite sortir de sa poche une dague brisée et entendit sa remarque. Il y avait tout de même des limites à la flatterie sachant qu’elle ne s’était pas encore fait remarqué par son travail, elle se demandait bien d’où il tenait le faite qu’elle soit un bon forgeron. Elle ne souligna pas la remarque néanmoins…

"La flatterie n’a que peu d’effet pour moi, de plus je ne suis pas intéressé par le charme de qui que ce soit si je peux prendre la dague et regardé là ou elle a été brisé, je saurais quel travail je dois accomplir."

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre et avança sa main jusqu’aux morceaux de la dague. Elle les regarda. Bon la lame n’était pas cassé au niveau de la garde ce qui serait plus facile, cependant, il semblait manquer quelque petits éclats par ci, par là. Elle regarda en détail le moreau de lame et repéra quelques petites fissure qu’il allait falloir combler. Elle examina ensuite la dague. Son regard sr porta sur pommeau. De bonne facture s’il en était même très bonne, elle se demanda bien ou il s’était procuré cette arme. Elle remarqua que ce côté si de la lame semblait plus fin comme si le forgeron avait essayé de l’équilibré en rendant la lame plus résistante mais plus fine de façon à poser un équilibre parfaite entre le manche et la lame. Humm… tout cela devenait intéressant.
Elle regarda de nouveau le jeune homme. Posa la dague sur le comptoir et calcula dans sa tête. Il lui fallait un temps approximatif pour la réparé. Il allait falloir aussi un peu d’adresse pour reproduire exactement le rendu de l’équilibre, cependant elle était sur d’y arriver.

"Je pense que trois heures devrait suffire à la réparé. Par contre vous n’avez pas trouvé des petits éclats lorsqu’elle s’est brisé et cela m’arrangerais si vous pouviez me dire comment elle s’était cassé ainsi je pourrais vous la renforcer tout en gardant son état d’origine enfin si cela ne vous dérange pas. Si c’est trop personnel, je me contenterais de vous la rendre comme elle était avant."

Elle le regarda un instant et puis sans lui laisser le temps de répondre elle lui dit le dernier détail de la réparation.

"Cela vous coutera 20 talents si je dois l’améliorer pour éviter qu’elle ne casse et 12 si je dois seulement la réparé. A vous de faire votre choix."

Elle le regarda attendant une réponse. Soit elle commençait le travail de suite, soit il irait chercher ailleurs.

Mon visage se durcit en entendant la remarque de la jeune femme,je lui lança un regard noir.Elle vint examiner ma dague,elle eut l'aire de la trouver de bonne qualité,en même temps,c'etait celle de son ancien maître,et il l'a payé une fortune. Lorsqu’elle me demanda comment je l'avais brisé,je la fixa un instant de mon regard pénétrant.Voulait elle en savoir assez sur moi pour me dénoncer aux gardes ?Je ne voyais pas en quoi cette information serait utile,mais si jamais son but était de me dénoncer,je serait hors de la ville avant qu'elle n'ai pu quitter la rue.Je la fixa intensément et me décida enfin a lui dire la vérité,et si jamais elle me dénonçais,je la retrouverais...
J'inspira longuement,et lui dit la vérité.

"Un homme qui n'a pas voulu coopéré,je lui ai lancé ma dague,il l'a esquivé et elle est venu se fracasser contre le rocher derrière lui,je lui ai bien sur fait payé ma dague,et comme il n'avait rien sur lui,j'ai du lui faire payé de sa vie,mais bon,vous avez autre chose a faire que de m’écouter raconter ma vie je suppose."

Je lui lança un regard menaçant pour lui montrer qu'elle aurait de gros problèmes si jamais sa venait a se savoir.Elle n'avait pas l'aire idiote,alors il n'y avais que peu de chance qu'elle soit asser débile pour aller voir les gardes pour me dénoncer,mais bon,on ne sais jamais.J'avais déjà eu quelques mésaventures,qui me poussais a êtres prudent,on m'avait déjà dénoncer plusieurs fois,et les personnes qui l'avait fais on toujours du payé leurs acte,la plupart de leurs vie...

Modération Zihark : Attention, je ne vois pas dix lignes, comme te l'a précisé Jacen plus haut... Il faudrait aussi éditer tes posts précédents pour les remettre en règle.

Lunielle regardait le jeune homme devant elle. Il semblait la contempler avec méfiance. Elle le regarda droit dans les yeux, mais ce mec était réellement parano ma parole comme si tous les gens qu’ils allaient rencontrer était là pour le dénoncer ou quoi est ce qu’elle ressemblait à quelqu’un de la garde ? Elle lui avait expliqué en plus pourquoi cela pourrait lui être utile. Bref, elle écouta tranquillement son expliquer.
Donc elle s’était fracasser sur un rocher, ainsi c’était seulement cela. Elle tourna les yeux vers la dague, il allait lui falloir un tout petit la renforcé pour qu’elle n’évite de casser de nouveau aussi sec. Elle s’était brisé juste à la jointure la plus fine, le choc avait du être assez violent tout de même pour la brisé ainsi mais bon le client est roi comme on entendait partout.

"Bien je vais donc commencer par la rassemblé et ensuite je m’occuperais de vous la renforcé pour éviter qu’elle ne se casse encore en cas de désagrément avec une autre personne. Si vous voulez rester, je peux préparer un peu de café ou autre comme vous le voulez."

Elle récupéra les morceaux de la dague et les emmena vers la forge, cependant elle se retourna une autre fois vers le jeune homme.

"Je vous prierais aussi d’éviter de me lancer des regards suspicieux. Je ne suis qu’une simple forgeronne, si vous avez un problème avec la justice ce n’est pas mon soucis. Je répare et je créer c’est tout. Me lancer des regards assassins n’arrangeraient surement pas les choses. De plus ce n’est pas parce qu’on est forgeron que l’ont est sans défense je vous ferais remarquer."

Sur ce, elle repartit vers la forge en silence et mis le côté lame dans la fournaise et le côté garde dans l’autre. Ainsi elle pourrait retoucher les deux côté séparément avant de tout rassemblé et de la fortifier. Elle se mit dés lors au travail.

Je sourit en entendant la remarque de la jeune femme, a priori,je n'avait pas a craindre qu'elle me dénoncé aux gardes,et puis,elle me plaisait bien cette femme,elle avait l'aire de connaitre son métier,elle était a première vu intelligente,et elle avait un physique agréable.Mais bon,elle n’était ce qu'on peut appeler une personne aimable,je ne vais pas lui faire la moral sur se point la,je n’était pas non plus un exemple dans la matière,je lui lança un regard amusé.Il n'y avait pas grand monde capable d'une telle repartie' c'etait impersionnant de la part d'une femme forgerons,decidement,elle etait pleine de surprise cette jeune femme !
Je ne voulais pas avoir de mauvais rapport avec une personne a qui je confiais un de mes plus précieux objet,alors je m’excusa auprès d'elle :

"Veuillez excusez ma méfiance,mais dans ce monde,on est jamais sur de rien,j'ai eu plusieurs mésaventure qui me pousse a êtres vigilent,ce n'est pas contre vous en particulier,c'est une question de prudence.Et j' n'ai jamais douté un seul instant de votre aptitude a vous défendre,a force de réparer de de crée des armes,on finit par savoir s'en servir."

J'avais adopté un ton amical,je n'avais aucune raison d’êtres désagréable,je la regarda se mettre a l'oeuvre,ses mouvements précis et coordonné démontrait son expérience.
Je lui sourit amicalement,elle avait beau êtres froide,je l'aimait bien.J'ouvrit la bourse que j'avais dérobé a l'instant,et me mis a compter les pièces,il y avait bien 100 talents la dedans ! Je sourit,ce n’était pas tout les jours qu'on met la main sur une fortune pareil !

"Quand a votre proposition,je vais rester,mais je pense que vous avez mieux a faire que de me préparer un café,j'attendrais la."

Lunielle écoute ce que lui disait le jeune homme. Elle ne le regarda pas se contentant de remuer la fournaise pour que la lame chauffe au maximum et qu’elle puisse dés lors la travailler à sa guise. Son ton s’était radoucit, elle préférait largement cela bien qu’elle n’était pas réellement aimable non plus. D’un autre côté, elle ne voulait pas être reconnue pour sa gentillesse ou son caractère doux mais pour son travail, pour la qualité de ses armes. Elle se tourna un instant vers le jeune et malgré le faite qu’il lui ait dit ne pas vouloir de café en déposa un sur le comptoir avec des biscuits. Elle faisait toujours une boite de biscuit, il était plus sympa de discuter de prix devant un café et une des biscuits.
Elle repartit alors vers la forge et sortit avec les pincettes la lame encore brulante. Elle l’emmena sur l’enclume et commença à reforger la lame. Celle-ci devait récupérer un peu de substance pour devenir plus solide. Selon ses calculs, la lame n’avait été que forgé deux fois et trempé une seule fois dans l’eau ce qui lui donnait un très bel aspect, mais une forte vulnérabilité. Elle devait aussi arrangé l’endroit ou la lame avait quelques aspérités. Elle était sur qu’elle ne s’était pas cassé par hasard mais bon son rôle n’était pas de savoir comment elle était cassé, mais surtout de savoir comment bien la réparé.
Elle se concentra sur sa tâche, martelant le fer sans relâche, le trempant dans l’eau, le refaisant chauffer et le martelant de nouveau. Après quelques essais, elle arriva finalement à la teneur qu’elle avait souhaité. Plus solide que l’ancienne du à de nombreuses trempes, elle ne se casserait pas aussi facilement. Elle récupéra la garde qui était pile à la bonne température et commença à l’assembler tranquillement. Les coups sur l’enclume rythmaient les minutes et sans qu’elle s’en rende compte, deux heures étaient déjà passés. Elle se tourna vers le jeune homme qui ne semblait pas avoir bougé d’un poil.

"Votre arme est presque refaite, encore quelques minutes et vous pourrez de nouveau la contempler tranquillement comme si de rien ne s’était passé."

Il ne lui restait maintenant qu’une seule étape, lui redonner son ancienne apparence. Et cela n’allait pas être du gâteau. Elle se concentra une nouvelle fois, laissant tout le reste de côté et commença à chauffer la lame tranquillement. Une mauvaise manipulation avec le fourneau et son travail serait ruiné. Il fallait qu’elle rende cette lame plus brillante que l’ancienne, mais aussi bien plus belle ce qu’elle n’allait pas manquer de faire.
Une petite demi-heure était passé rythmer elle aussi par les coups de marteau sur l’enclume. Elle regarda la gouttière de l’arme et s’efforça de la faire la plus fine possible. La pointe était aiguisée à souhait. Une dernière trempe et la lame brillerait de mille feux, ce qu’elle fit rapidement. Il ne restait plus qu’a la laisser refroidir pendant la demi-heure restante.
Elle retourna vers l’endroit ou le jeune homme se tenait et par courtoisie engagea la conversation.

"Humm avec tout cela, je ne me suis pas présenté, je me nomme Lunielle."

Elle s’arrêta un instant puis reprit directement.

"Qu’est ce qui vous à amener par ici ?"

Son ton était moins glacial que d’habitude, mais il n’était pas chaleureux non plus. Elle n’avait jamais parlé que comme ça donc il était compliqué pour elle de voir la différence. Azma n’avait jamais fait de remarque à ce sujet était tellement habitué à la voir parler ainsi. Elle se demandait à l’instant si elle n’aurait pas du prendre des cours avec lui pour s’améliorer, mais maintenant il était trop tard. Elle regarda alors tranquillement le jeune homme en attente d’une quelconque réponse.

Je sourit de plus belle,je voyais bien que le ton employer par la jeune femme n’était pas celui habituel,sa courtoisie la poussais a engager la conversation,mais sans ça,elle aurait attendu patiemment devant la lame,muette comme une pierre. C'est donc d'un ton amusé que je lui répondit :

"Oh..pas grand chose,je passe la plus part de ma vie sur la route,je suis un homme du voyage,je me promène a gré de mes envie,je suis venu ici justement pour réparer mon arme,et a ce que je vois,je suis tombé sur la bonne personne,vous savez quoi,vous êtes l'un des meilleurs forgerons que j' n'ai jamais rencontré,et je ne dit pas ça par flatterie,je le pense vraiment.

Je n'avais pas adopté mon ton charmeur de tout a l'heure,ni mon ton menaçant,j'avais parlé amicalement,en souriant,je ne cherchais pas a la séduire,juste a lui faire plaisir,ce n'est pas sauvant qu'on croise un si bon forgerons !
Je ne lui dit avidement pas la façon de gagner ma vie,mais si elle avait un sens de la déduction assez développer,elle comprendrais,et je pense qu'elle s'en ficherais,je ne la connais pas beaucoup,mais je suis un peu prés sur d'avoir a peu prés cerné sa personnalité, très complexe,son passé devrait êtres intéressant...Je ne pu retenir ma curiosité,je ne savais pas quel allais êtres sa réaction,mais il fallais que je demande:

"Et vous,vous avez toujours vécu ici ?"

Lunielle le regarda en haussant les sourcils. Il avait laissé tout ton menaçant ou séducteur et pour cela elle le remerciait. Il n’y avait rien de pire quelque quelqu’un qui commençait soit à vous menacer, soit à vous séduire pour arriver à ses fins. Elle écouta ensuite ce qu’il lui dit ; un voyageur… Oui, c’était une explication probable, mais somme toute pas tout à fait juste. Peu de voyageur venait voir un forgeron pour réparé une dague qui lui avait surement couté une petite fortune et qu’il avait brisé contre un rocher dans une soit disant bagarre. Elle ne dit rien de toute façon peu importait ce qu’il faisait après tout c’était ses affaires.
Lorsqu’elle l’entendit parler du faite qu’elle était la meilleure forgeronne qu’il est connu, elle haussa les épaules. Elle connaissait des gens encore bien meilleur qu’elle et elle le savait. Elle n’était pas aussi bête pour être vaniteuse et se dire qu’elle était une des meilleures. Même si elle s’était améliorée avec le temps, il allait encore lui falloir quelques années avant d’arriver au niveau des plus grands, c’était aussi pour cela qu’elle avait décidé de venir habiter ici.
Lorsqu’elle entendit sa question, elle se tourna vers lui doucement. Aucune malice n’habitait ses yeux, il avait demandé cela d’un ton poli et courtois si bien qu’elle lui répondit tranquillement.

"Non, je n’ai pas toujours habité ici. En réalité je viens à peine d’emménager."

Elle lui montra ses oreilles pointues caractéristiques de sa race.

"Je suis une elfe, j’ai vécu à Silmarie toute mon adolescence, mon père m’a appris la forge et j’ai décidé de venir ici pour découvrir d’autre technique et aussi m’améliorer."

Elle s’arrêta un instant, elle avait omit quelques détails car elle ne voulait pas étaler sa vie devant une personne qu’elle ne connaissait pas. De plus cela ne le concernait pas de toute façon donc il était hors de question qu’elle s’étale sur le sujet plus en avant.

"Bon excusez moi, je vais voir si votre arme à finit de refroidir."

Elle se dirigeait vers le baquet d’eau situé non loin de là et regarda l’arme. Il était nécessaire de la laisser encore quelques minutes, cependant elle avait encore quelque chose à faire sur cette arme et pour cela elle devait la récupéré maintenant pour la refaire refroidir après. Elle récupéra alors l’arme et commença à la polir doucement. L’eau permettait de ne pas ébrécher la lame et de la rendre bien plus lisse et donc plus tranchante. Une fois qu’elle eut finis, elle la reposa dans l’eau pour qu’elle finisse de refroidir. Bientôt elle aurait terminé et il pourrait la récupéré.

"Dans cinq minutes, elle est à vous."

Elle partit dans l’arrière boutique chercher des barres de fer et elle les mit à chauffer. Après cette réparation, elle avait un peu de boulot pour quelqu’un qui devait venir la voir ici un vieil ami, et elle ne s’était pas encore mise au travail. Elle soupira. Et commença à raviver le feu pour que les lames chauffent plus vite. Qu’est ce qu’elle aimait ce métier.

Je vit bien a son visage qu'elle savait que je n’étais pas un simple voyageur,mais elle avais l'aire d'y êtres indifférente. Je l'écouta raconter brièvement sa vie,je savais très bien que se n’étais pas tout,mais le reste ne m’intéressais que peu.Alors comme ça c'etait son père qui lui avait appris a forger...son père...je n'ai jamais connu le miens,peut-êtres l'ai-je vu sans savoir que c’etait lui... après tout,rien n'est impossible....Je la vit ensuite polir la dague,son père était un bon maître...Je vit également qu'elle aimait ce métier,sa se voyais dans sa façon de travailler,dans ses mouvements.Je pris une tasse de café posé sur le bar,et la sirota en regardants l'elfe mettre des barres de métal a chauffer,je la fixé un instant,pensif,j'avais bien une commande spécial a lui confier,mais en serait-elle capable ?Je la regarda longuement,pesant le pour et le contre,je décida enfin de lui proposer,elle me dirais ensuite si elle en est capable.

"J'aurais un autre travail pour vous,je ne pense pas qu'on vous l'a déjà demander,ce n'est pas grave si vous n'y arriver pas ce n'est pas grave.Je suis prêt a mettre le prix.J'aurais besoin d'une dague,faite de plusieurs partie,qui puisses se rétracter,et s’emboîter,comme ca,je pourrais la cacher facilement,je voudrais également qu'elle conserve son tranchant.Les parties serait de plus en plus petite quand on s’éloigne du manche.Vos comprenez ce que je veut dire ?"

Je la fixa,attendent une réponse.

Lunielle écouta tranquillement sa requête le faite qu’on puisse faire plusieurs partie d’une arme et permette qu’elle s’emboite était largement possible, cependant le processus était long et complexe et il fallait plusieurs jours pour cela. Elle le regarda une nouvelle fois, l’usage d’une arme de cette façon était presque prohibé. De plus il fallait être assez doué pour l’assemblé durant le combat sans prendre de coup. Qui était-il donc s’il voulait une arme de ce type. Elle retourna la question dans sa tête plusieurs fois mais elle ne voyait qu’un seule genre de personne qui voulait obtenir ce genre d’arme. Enfin bon tant qu’il la payait là n’était pas le souci.

"Vous savez que créer une arme comme celle-ci nécessite un temps considérable ? Il va falloir que je la forge que je la casse et que je forge les morceaux séparément pour leur donner la forme qui leur permettra de s’emboiter sans tombé."

Elle n’attendait pas réellement de réponse de sa part, elle était déjà partit chercher quelque chose dans l’arrière boutique. Elle revient avec un matériau assez simple. On aurait pu le prendre pour du fer, mais enfaite c’était très différent du fer.

"Ce matériaux permet de forger ces armes. Seuls les plus grands forgerons ont le secret de cette façon de forger. De plus ce secret est gardé depuis des temps immémoriaux sans que personne n’ait vu une seule de ces armes sortir de leur forge. Êtes vous sure de vouloir une de ces arme ?"

Elle le regarda intensément. Elle ne savait pas pourquoi il lui avait demandé cela et pour être honnête elle ne voulait pas le savoir de plus elle ne savait pas s’il était honnête de forger une telle arme. Elle se posait tant de question. Finalement elle lui dit.

"Quoi qu’il arrive une lame ne pourra pas se rétracter, forger une lame à partie est possible mais une lame rétractable non."

Je finit mon café tout en l'écoutant patiemment,a ses dires sa allais prendre du temps,mais j'avais tout mon temps,elle ne pourrais pas se rétracter, c’etait embêtant...mais ce n’étais as si grave que ça,le principale est qu'elle serait en plusieurs morceaux,de façon a ce que je puisse les cacher facilement,les gardes ne se poseraient pas de questions si ils me voyaient avec des morceaux de métaux sur moi.Elle me permettrais d'entrer dans certains bâtiments armé sans que personne ne s'en rendre compte,de plus,si jamais on me confisque mes armes,il y a beaucoup de chance pour qu'on ne fasse pas attention a des morceaux de métaux insignifiant.

"J'ai tout mon temps,et j'ai de quoi payer,qu'elle ne puisse pas se rétracter n'est pas grave,le principal est qu'elle soit en plusieurs morceau,et que je puisse l'assembler rapidement,de plus j'aimerais qu'elle soit résistante,et oui je suis sur de vouloir une telle arme,si vous y arrivez,je vous payerais assez pour que vous puissiez rénover entièrement ce bâtiment."

Je la fixa intensément de mes yeux d'un noir profond.

"Bien sur,je vous payais également pour votre réparation."

Je sortie la bourse que j'avais dérober a l'instant,puis je lui tendit,il devais vien y avoir 50 talents dedans.

"Tenez,disons que ce qui est en trop était pour le café."

Je me leva,la fixant intensément.Je ne cherchais pas a l’impressionner,ni a la menacer,j'en avais juste marre d’êtres assis.

"Alors,vous allez le faire ?"

Lunielle écouta ce qu’il avait à dire. Elle considéra le pour et contre. Elle partit chercher des documents dans son bureau, reviens et s’assit tranquillement sur le tabouret. Elle étudia les papiers. Ces papiers concernaient une certaine façon de forger qui avait été oublié dans le temps et qui ne servait à rien réellement. Il s’agissait de créer des lames démembrable, Lunielle les parcourut en long ne large et en travers et trouva enfin ce qu’elle cherchait. Juste en dessous de toutes les explications, de la façon de forger et autre elle trouva la petite phrase qui faisait que…

"Cette lame ne pourrais être utilisé. Elle ne peut être forgée qu’en arme de décoration ou de prestation. Elle ne pourra en aucun cas servir au combat."

Elle avait dit cela tout haut pour que le jeune homme puisse bien l’entendre et leva finalement la tête vers lui.

"Je suis navré, il semble que l’usage que vous vouliez faire d’une tel dague ne vous sera aucunement utile. Je vous prie dés lors de m’excuser mais il me sera impossible de vous créer une tel dague, à moins que vous vouliez la mettre en décoration chez vous."

Lunielle récupéré les papiers et la bourse qu’il avait déposé sur le comptoir. Elle prit seulement le prix qu’elle avait demandé initialement pour la réparation et rendit le reste au jeune homme. Cela ne servait à rien de dépensé autant d’argent, même si celui-ci était volé. Elle retourna ensuite vers le baquet d’eau et retira la dague totalement refroidit à présent.
Elle l’exposa au soleil et la regarda. Les imperfections avaient disparu remplacé par une forge nouvelle. Il n’y avait plus d’aspérité et la gouttière n’était ni trop fine, ni trop large. Elle regarda une nouvelle fois le tranchant et hocha la tête. Elle était revenue à son état d’origine, enfin avec plus de résistance. Elle partit alors vers le comptoir et la tendit au jeune homme.

"Navré de ne pouvoir vous forger ce que vous voulez, mais vous avez au moins celle-ci qui est réparé et en état parfait de fonctionner. Je vous l’ai un peu renforcé pour qu’elle ne se casse plus au premier rocher qu’elle rencontrera. En espérant que vous serez satisfait de la rapidité et de la qualité du travail."

Elle regarda la jeune homme en silence attendant une réplique de sa part.

Je l'écouta lire son document en soupirant,en même temps,je m'y attendais, ça ne m’étonnais pas,mais je ne peut m’empêcher d’êtres déçu. Comme je m'y attendais,elle ne pris que le nécessaire dans la bourse.Elle alla chercher ma dague,elle me la tendit,je la pris et l'examina soigneusement,elle étais parfaite.Je sourie a l'elfe.J'avais bien une autre requête pour elle,et ça,je savais que c'etait possible.

"Elle est parfaite,oui,je suis tout a fait satisfais de ma qualité du travail,et vous n'avez aucunement besoin de vous excusez,ce n'est pas votre faute si je vous ai demander quelque chose d'impossible.C'est mémé moi qui devrais m’excusez pour mon ignorance"

Je pris la bourse qu'elle me tendais,elle était encore presque pleine,je la rangea dans une sacoche en cuire a ma ceinture.Je décida enfin de lui exposer ma requête,elle me dirais bien si c'etait possible.

"J'ai une question a poser au brillant forgeron que vous étés...savez vous si il existe un métal très tranchant, très résistant,mais qui permet aux liquides de rester accrocher dessus ?"

J'avais posé cette question car j'avais justement un poison que je ne pouvais pas appliquer sur mes dagues actuels, j’espérais qu'elle serait capable de faire une dague que je pourrais empoisonné a ma guise.Je la fixa d'un regard intense,attendant une réponse quelconque.

Lunielle le regarda. Ce type avait quand même de curieuse demande. Elle réfléchissait intensément, cherchant dans tout ce qu’elle avait pu lire ou rencontrer à ce jour. Elle avait forgé nombre d’arme pour certaines personnes, mais aucune ne correspondait a celle qu’il lui demandait. Elle retourna dans son bureau et effectua quelques recherches dans les papiers qu’elle avait. Elle ressortit finalement quelques minutes plus tard la tête en vrac d’avoir tant cherché quelque chose qu’elle avait déjà sous le nez.

"Il n’existe aucun matériaux capable de faire cela, par contre il est possible d’une certaine manière de forger une arme qui soit moins lisse et reste un peu poreuse pour permettre au liquide de rester dessus. Elle son généralement utilisé par les assassins. Je pourrais vous en faire une, il me faudrait quelques heures je pense."

Il suffisait pour la plupart du temps de jouer entre le temps de chauffer, les coups de marteau et le refroidissement. Une ou deux heures devrait largement suffire à créer une telle arme. Elle repartit dans sa réflexion et s’avança vers la forge, mettant au feu une plus petite barre de métal. Elle alla ensuite chercher quelque chose dans son bureau et revint quelques minutes plus tard avec un étrange matériau qu’elle jeta dans les flammes.

"Voulez vous que je vous en forge une ?"

Je l'écouta expliquer qu'il n'existais aucun matériaux de ce type, j’étais prêt a me lever et a quitter la forge,,mais elle me dit qu'elle pouvais me faire une lame ou les liquides pourrais rester dessus... Intéressant...Mais une question me trottais dans la tête,le fait qu'elle soir poreuse devrait normalement la rendre moins tranchante,ce qui était gênant, très gênant...
Je resta pensif quelques instant,passant ma mains dans mes cheveux argentés,une lame moins tranchante,mais qui pourrais êtres empoisonné,en même temps,il suffisais qu'elle fasse une petite entaille dans la victime pour que le poison fasse effet...Oui,je pense que sa en valais la peine.

"Oui,forgez moi donc cette arme,je peut y mettre le prix,et si vous n'y voyez pas d’inconvegnant,je vais rester la le temps que vous ayez finit."

Je la fixa un instant,conscient de l'étrangeté de ma demande,ce n’étais pas tout les jours qu'un forgeron accueillais chez lui une personne comme moi,elle mit un matériau étrange dans le feu,je ne l'avais jamais vu auparavant,je sortie une pierre a aiguiser de mon sac,sortie également mon autre dague,d'aussi bonne facture que celle qu'elle a réparé,et je me mis a l'aiguiser pour passer le temps.Je finit mon café rapidement et pris un des biscuit posé sur le bar et le manga doucement,ce n’étais pas tout les jour que je mangas des biscuits.

Lunielle le regarda un instant et haussa les épaules.

"Vous pouvez rester, cela ne me dérange pas. Tant que vous n’intervenez pas tout ira bien."

Et elle se retourna vers la forge ou elle avait lancé la barre de fer. Elle commença dés lors son travail. Chauffer à blanc avec son pouvoir, marteler la barre, refroidir, rechauffer, etc.… c’était la meilleure façon de créer une telle arme. Cela allait permettre de mettre en place comme une porosité, tout en restant très tranchant. En réalité, à bien y repenser, ce n’était pas de la porosité, mais plutôt comme un effilage, une façon de dire à la lame qu’il fallait qu’elle oublie tout idée d’être lisse et que ce serait mieux pour cette situation qu’elle garde son effet de fer et qu’elle ne laisse couler aucun liquide sur sa surface.
Elle avait créé une lame comme celle-ci, une fois et y avait inclus comme une gouttière au dessus. Des deux côtés de la lame, celle-ci avait été comme creusé pour permettre d’empoisonné quelqu’un seulement grâce à une entaille ou une minuscule piqûre. Elle se souvenait encore de ce jour. Elle avait eu très peur de se tromper. Cela ne faisait alors pas longtemps qu’elle savait assez bien forger pour qu’on lui confie un travail, mais son père avait exigé qu’elle le fasse. Ahh la belle époque. Elle sourit pour la première fois à se souvenir. Enfin sourire était un grand mot, on aurait juste pour dire que son expression était passé de froide à un peu chaleureuse.
Elle se reconcentra sur la lame qu’elle était entrain de forger. Elle se pencha vers celle-ci et la contempla. Le fer avait gardé sa tessiture d’origine, c’était parfait ainsi la lame ne laisserait pas glisser sur elle les liquides. Maintenant qu’elle avait la bonne tessiture, il fallait qu’elle lui donne du tranchant. Elle chauffa la lame juste ce qu’il fallait pour quelques coups de marteau et se mit au travail. Un coup sur la gauche, un coup sur la droite, retourner la lame puis de nouveau un coup sur la gauche et un coup sur la droite et on retournait de nouveau la lame. Il ne lui fallut que quelques minutes pour forger correctement la lame.
Elle se dirigea alors vers le morceau de métal étrange qu’elle avait jeté dans le feu. Elle le récupéra et le posa sur l’enclume, il était à pine chaud en réalité. Elle le modela avec quelque coup de marteau par ci et quelque coup de marteau par là. Elle était entrain de créer la garde de la dague. Elle récupéra la lame et la fixa tranquillement à la garde. Une fois sont travail terminé, elle jeta la dague dans le baquet d’eau et attendit cinq minute tout au plus et la ressortit. Elle l’essuya et commença à finir la garde elle entortilla de minuscule bout de métal dans celle-ci et la poli.
Quelques minutes passèrent et elle pu admirer son travail. Une dague parfaitement tranchante mais avec la capacité de ne laisser couler le liquide. Elle regarda la garde de l’arme, celle-ci était parfaitement lisse avec des incrustations de filament doré. A dire vrai elle adorait mettre ça dans les gardes. Elle retourna rapidement la dague et apposa son sceau. Chaque forgeron apposait sa marque pour que si quelqu’un regardait la dague il savait qui l’avait fabriqué. Elle se retourna lentement et se dirigea vers le jeune homme.
Durant tout ce temps, il n’avait pas bougé, n’avait pas dit un mot et l’en remerciait, le travail d’un forgeron était assez compliqué pour évité que quelqu’un ne vienne le perturber par de vaine parole. Elle se dirigea vers lui et posa la dague finement ouvragé sur le comptoir.

"Voilà ce que cela donne comme arme, j’espère que je ne vous ai pas fait attendre et que cela vous conviendra. 30 talents si jamais elle vous plait sinon eh bien je verrais pour vous en forger une autre selon vos attente."

Je regarda attentivement l'elfe forger la dague,je vit son expression du visage devenir moins froid, intéressant...Je me demandais ce qui pouvais bien avoir effet sur une personne pareil... Je la vit ensuite incruster la garde de l'arme de filament d'or,ce qui la rendais magnifique.Une fois son travail finit,elle s'approcha de moi en me tendais la dague,elle étais parfaite,j'examina la lame sous tout ses angles,puis mon regard se posa sur celui de la femme,je lui sourit un instant.

"Elle est parfaite,vous avez fait du beau travail,et en un temps incroyablement court,votre père devais êtres un sacré bon maître pour vous avoir appris si bien a forger."

Je lui sourit a nouveau,puis sortie 30 talents de la bourse que j'avais volé et les lui tendis,j'aurais pu ne pas payer,trouver une imperfection sur la dague pour na pas avoir a payer....mais je l’aimais bien cette elfe,elle aimais son métier et ne m’agaçais pas avec des paroles inutiles.Je resta un instant complètement immobile,ne comprenant pas ce qu'il m'arrivais,je ressentis au fond de moi une sensation que je pensais ne plus jamais ressentir...ce n’étais pas aussi puissant que l'amour...Mais cette elfe en face moi,si froide,et pourtant,je m'étais attaché a elle,je ne sais pas quel miracle,elle allais me manquer,car je savais trés bien que c’etait la dernière fois que je la voyais.Je ne sais pas pourquoi elle et pas une autre,mais j'avais une petite idée sur la question,toute ma vie,les rare personne que j'ai rencontré,je les ai dépouille,et la, j'ai pu parler avec une personne qui n'avais pas peur de moi,qui ne me suppliait pas a genou,qui ne dégainais pas en me voyant...Je sus trés bien au fond de moi que si je m'en allais maintenant,j'allais le regretter toute ma vie...
Je releva la tête vers l'elfe,un aire d’incompréhension totale...Elle du surement remarqué un changement dans mon attitude,je la fixais d'un regard surpris.

Lunielle récupéra l’argent qu’il lui tendait et le rangea dans la boite prévu à cet effet. Maintenant qu’elle avait finis son travail, elle se sentait beaucoup mieux, on ne savait jamais si les attentes du client serait satisfaite au premier essai. Elle n’avait jamais eu de problème en particulier en réalité, toutes les lames qu’elle avait forger était bonne dés le premier jet mais on ne savait jamais. Un mauvais calcul, une mauvaise trempe et finalement tout finissais à la casse. Elle se tourna vers le jeune homme une dernière fois.

"Je vous remercie de votre patience, si jamais vous aviez autre chose à faire réparé, n’hésitez surtout pas à revenir."

Elle attendit quelques instants et repensa à ses paroles sur son maitre.

"Oui, c’est un excellent maitre forgeron, de plus il connait certaines technique oublié. C’est quelqu’un de généreux et de bienveillant, j’ai eu de la chance qu’il m’ait trouvée ce jour là."

Elle regarda le jeune homme qui attendait patiemment devant le comptoir. Pourquoi ne partait-il pas ? Avait-il un souci ou une autre demande ? Elle retourna ses questions dans sa tête. Il semblait figer, comme cloué au sol et finalement il leva la tête vers elle. Elle le regarda et se demanda ce qu’il lui arrivait.
Son visage avait une expression déconfite, comme s’il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, il semblait perdu, dans le vague. Elle se demandait bien ce qui l’avait mis dans cet état. Elle-même n’était pas réellement au top niveau sentiment. Elle ne comprenait pas grand-chose vu qu’elle ne se liait jamais avec personne. Elle le regarda alors sans comprendre durant quelques minutes qui paraissaient interminable et finalement elle se décida à parler.

"Est-ce que ça va ? Vous avez l’air totalement dans le vague ? Vous n’êtes pas malade au moins ?"

Rien ne transparaissait dans sa voix. Elle ne paniquait pas, elle voulait juste restait courtoise envers lui après tout il était son client. Elle s’avança vers lui mais ne le toucha pas essayant de toujours garder de la distance entre eux, mais plus le temps passait, plus elle se demandait bien ce qui avait pu le figer ainsi.

Je vit les lèvres de l'elfe bouger,elle parlais,mais je n'entendais rien,strictement rien,elle s'approcha de moi,mais resta a distance,je la fixa toujours de mon regard bouleversé, se demandant pourquoi maintenant,et surtout,pourquoi elle,je me leva,chancelant,et du m'appuyez au bar pour ne pas l’écrouler sur le sol,je passa ma main sur mon visage, complètement sonné,je leva la tête et fixa l'elfe,elle n'avais pas l'aire de comprendre ce qu'il m'arrivais,mais comment aurait-elle pu,moi même je ne comprenais pas....Je la fixa pendant de longues minutes,elle ne dit rien,se demandant surement si je n'étais pas malade...Je me dis que plus je restais la,plus mes sentiments se développerais,et plus j'aurais du mal a partir,j'avais beau me raisonné,je ne pouvais partir,pas maintenant,sous peine de regretter toute ma vie ce jour.Je la fixa d'un regard bouleversé et parvient a peine a articuler un mot...

"J...Je...."

Je la fixa,un profond désarrois s'installa en moi,je suis maintenant a peu prés sur sur se que je ressentais,ayant toujours été en manque profond manque d'affection,le fais d'avoir eu une conversation avec quelqu'un a développer mes sentiments terriblement vite...Je crois....Je crois que je l'aime...Je n'en étais pas totalement certain,mais c'etait presque une évidence...

"Je crois...Je crois...Je crois que je...."

Je ne parvient pas a finir ma phrase, c’etait trop dur,toute ma vie,je n'ai jamais eu ne serais ce qu'une petite parcelle d'afection,alors dire "Je t'aime" étais trop dure...beaucoup trop dure,je me contentais de la ixer de mon aire profondément chamboulé

Lunielle le regarda tranquillement, se demandant toujours plus ce qui n’allait pas chez lui, mais bon sang, comment pouvait-il rester figé comme ça sans bouger d’un poil. Elle se rapprocha imperceptiblement et lorsqu’il parla, elle se sentit un peu soulagé. Elle n’aurait pas su quoi faire s’il s’était évanoui là juste devant elle.
Elle le regarda bafouiller dans ses phrases. Cela l’amusa quelque peu jusqu'à sa seconde phrase. Sur le coup, elle n’avait pas compris mais peu à peu la lumière se faisait dans son esprit, même si elle ne connaissait rien sur les sentiments, elle avait déjà vu une personne agir ainsi et elle savait ce que ça allait donner. Elle ne voulait pas cela. Il était certes gentil, mais elle n’avait aucunement l’intention de vivre cela.
Elle se recadra et recula de quelques pas. Maintenant c’était comment lui dire d’une façon simple mais non méchante. Elle se tourna vers lui, ouvrit la bouche puis la referma. C’était dans ces situations qu’elle aimait son père, lui savait toujours comment abordé ce type de sujet. Elle se concentra et se demanda comment il l’aurait dit ; Sa trop grande franchise lui aurait fait dire des choses atroces aussi retourna t’elle sa phrase plusieurs fois dans sa tête avant de la prononcer.

"Humm, désolé je ne comprends pas trop ce que tu essaye de dire. Enfin je crois comprendre de quoi il s’agit. Tu es en quelque sorte tombé amoureux de moi c’est cela ?"

Elle sentit l’air autour d’elle s’épaissir et son comportement changer un peu. Bon elle avait vu juste, maintenant il suffisait de lui dire avec gentillesse qu’elle n’était pas intéressé et qu’il y avait surement d’autre personne qui irait mieux avec lui et qui serait intéresser par lui.

"Je suis désolé, mais je ne ressent pas ce genre d’émotion pour toi. Pour moi tu es un client rien de plus. Je me doute que tu dois être déçu, enfin je peux le comprendre, mais je ne suis pas amoureuse de toi."

Elle attendit un instant et reprit.

"Je pense que des gens comme moi existent un peu partout, il suffit juste que tu t’ouvre un peu plus à eux et je pense que tu découvriras que les sentiments que tu peux éprouver à l’égard des autres peuvent être similaire à ce que tu éprouve pour moi. Il faut juste s’ouvrir aux autres."

Plus facile à dire qu’à faire. Elle-même se fermait aux autres et ne voulait pas se mêler aux personnes. De plus avec son étrange pouvoir qu’elle ne maitrisait pas complètement, il était hors de question qu’elle se mette en tête de lier de quelconque relation avec d’autre personne.

Ce que me dit l'elfe,je le savais déjà,je savais parfaitement qu'elle allais dire çà,ce n’étais en aucun cas une surprise...Mais j'avais beau le savoir ses mots me transperça le coeur...Je releva la tête et lui lança un regard emplit d'une détresse sans nom,je n'avais jamais ressentie une douleur pareil,une douleur aussi puissante,aussi sourde,et enfin,une douleur qui ne s'arréterais sans doutes jamais.Je me leva de ma chaise,fixa une dernière fois l'elfe et me dirigea sans un mot vers la porte de la forge,je savais que sa ne servais a rien d'insister,je savais parfaitement qu'on aimais pas sur commande,je savais que sa ne servirais a rien de rester,sauf a me faire encore plus de mal...Je me retourna,et tenta de sourir a l'elfe,mais c’etait impossible,j'ai juste réussis a montrer une dernière fois mon visage torturé,mes yeux noir,je la contempla ainsi pendant une minute qui me parue interminable...Sans que je ne puisse rien faire,une larme coula le long de ma joue,dans mes souvenirs les plus lointain, c’etait la seul larme que je n'avais jamais produite...La larme dériva sur ma peau,formans un sillons de détresse absolu,avant de venir s’écraser sur le sol dans un bruit sourd.Je tourna la tête vers la sortie et avança vers elle d'un pas mal assuré,les quelques mètres qui me séparait de la sortie,il me fallut une éternité pour les franchir,et enfin,quand j'arriva devant la porte,j'inspira longuement,posa la mains sur la poignée...et je me souvint que j'avais oublié la lame qu'elle venait de forger a l'instant,je me retourna,la joue encore mouillé,retourna sur mes pas,m'empara de la lame sans jeter un seul regard sur l'elfe,immobile,je posa mes yeux une dernière fois sur son visage.

"A...Adieu."

Je me dirigea vers la sortie
désegagé

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